Une nuit sans lune (RP terminé)

Aroy regardait l'académie de ses petits yeux perçant, il avait préparer cette attaque depuis des semaines, les mercenaires du chaos les avaient épauler pour mettre au point une stratègie et ils étaient désormais prêt. L'atout majeur de cette attaque était la surprise, la bataille ne devait durer qu'une nuit, un délai court avec un seul but pour eux, faire le plus de dégat possible. Il allait être bientôt minuit un quart, ça allait bientôt commencer, dans quelque minutes à peine, c'était une nuit sans lune, cela allait leur facilité la tache, les humains avait la réputation de ne pas aimer se battre la nuits, les raïs étaient plus à l'aise à ce niveau là. Les étoiles étaient brillante, assez pour voir l'enceinte de l'académie, mais pas assez pour les voirs de l'intérieur des murs.

Aroy commanditait la troupes, une centaine de raîs en tout, le bélier était en place depuis plusieurs heures, Aroy donna le signal et dix raî pris le tronc d'arbre taillé et coupé et ils commençèrent à enfoncer la porte.


BOUM, BOUM, BOUM, BOUM, BOUM, BOUM.


Le bruit résonnait partout, des écuries jusque en haut des tours, ceux qui n'avait pas le sommeil lours avait du se réveiller dès le premier ou deuxième coups donner, les autres avaient du se lever à cause des autres élèves qui devaient s'agiter. Mais Aroy ne s'en souciait pas, il fallait juste qu'il pense à certaines choses comme rentrer avat l'aube, faire un rapport détailler sur les personnes dangeureuses qu'il rencontrait ainsi que sur le nombres de blesser ou de morts que cette divine bataille ferait, ensuite, son clan allait faire le rite d'après guerre, danser sur le cratère du volcan Kur N'Raî.

Au bout d'une dizaine de coup la porte céda enfin, les raî se précipitèrent dans l'aile principale ou déja certains combattant déja réveiller arrivaient. Aroy souleva son énorme épée et sous son casque métaliques, il hurla à ses guerriers.


''Donnons la mort à ses larves d'Al Jeit!''


Un cri de joie se répandit à la troupe et Aroy accompagner de tout ces guerriers foncèrent dans le tas.

Ondiane se dressait devant elle, majestueuse et l'invitant à entrer. A l'entrée de la citadelle un homme attend, sans expression mis à part un léger sourire. Amarylis sent alors une larme couler sur son visage, larme de joie...Elle marche d'un pas précipité...Puis cours...La citadelle lui tend ses grands bras de bois, l'accueillant avec un immense plaisir.

BOUM!

Les portes se referment, légérement. Ewen, l'homme, cesse de sourire.

BOUM!

Amarylis presse le pas...Elle a peur...peur de ne pouvoir renter...

BOUM!

Une légère ouverture reste aux yeux de la rêveuse. Une larme...sur la joue d'Ewen.

BOUM!


Amarylis se leva d'un bon, le visage trempée de sueur. Un rêve...ce n'était qu'un rêve....

BOUM!

La guérisseuse sursauta, le bruit sourd lui était bien réel. Se levant d'un pas paniqué elle charcha des yeux de quoi se vetir. Ni une ni deux elle fut habillée d'une jupe aux tons pastel et d'un haut bleu. Elle saisit un petit poignard, objet qu'elle gardait toujours sur elle en cas d'urgence. Cadeau de son maitre....Ewen....
Des cris retentissaient à mesure qu'elle avançait d'un pas rapide dans les escaliers. Que se passait-il?
Elle comprit en entrant dans la grande salle. Des êtres immondes, répugnants et mauvais venaient d'envahir l'Académie. Des raïs!
Amarylis vit alors une jeune fille étaler par terre, une main pressée contre son flanc, en sang. La guérisseuse se précipita à ses cotés.

-Ne craignez rien, je suis là à présent! Faites moi voir cette vilaine blessure...

La plaie semblait profondemment entamée. Elle entraina la blessée dans un coin, espérant qu'aucuns guerrier-cochon ne viendrait la deranger.
Elle se lança alors dans le rêve.
Elle atteignit facilement le coeur de la blessure et se concentra. Un un instant le flanc de la jeune fille ne comportait plus qu'une vilaine cicatrice.

-Voilà, cela devrait vous permettre de vous relevez mais attendez un peu, la cicatrice reste fragile, elle peut se réouvirir facilement alors faites attention! Si elle s'ouvre à nouveau venez me trouver, je vais tenter de rester dans les parages...

Amarylis se relava et aida la lupus à se relever. Elle chercha alors des yeux d'autres personnes qui auraient besoin d'une grande aide...

Eryn ne dormait pas, rêveuse elle contemplait le ciel étoilé par la fenêtre.

BOUM!

La jeune félixia sursauta, quel était ce bruit soudain survenue au beau milieu de cette nuit paisible?

BOUM!

Se levant elle s'habilla, regardant les autres élèves faire de même dans une panique générale.

BOUM!

Les murs tremblaient. Que se passait-il? On aurait dit que l'on enfonçait une porte! Enfilant des chaussures elle se prépara au pire.
Une foule occupait les escalier et créait de gros bouchons.

BOUM!

Après de nombreux autres bruits, cris et difficulté pour se frayer un chemin Eryn arriva enfin dans la grande salle. Ce qu'elle vit la paralysa de peur. Des guerriers cochons venaient d'envahir l'Académie et faisaient un carnage!
La félixia blémit, des corps sans vis gisaient au sol. Une nausée lui monta à la gorge...Lou...lui aussi avait du ressembler à ses corps...Les raïs étaient coupables de sa mort!
Une rage s'empara de la jeune fille, rage aveugle...Vengeance...
Eryn se lança dans la bataille sans réfléchir! Elle ne savait pas se battre, elle n'avait pas d'armes mais elle avait le Dessin....et son amour pour Lou!

Un pieu se dessina dans son esprit...

La nuit sans lune, propice aux manigances, aux complots, aux larcins... et aux insomnies, songeait Ambre, lorsque les ténèbres avaient succédé au crépuscule.
L'agitation était palpable partout. Chez les marchombres, Ena avait sélectionné certains de ses meilleurs apprentis pour qu'ils passent la cérémonie consacrée. Dois-je réellement préciser qu'Ambre n'en faisait pas partie?
Pourtant, pour une fois, la demoiselle n'en avait eu aucune rancœur, les préoccupations de marchombres lui paraissaient bien superficielles, maintenant.

Et puis, l'orgueil démesuré de la demoiselle n'aurait pu supporter les regards critiques de ses pairs chevaucheurs de brumes, s'ils s'étaient posé sur elle en signifiant: "Encore une élève de la Dame Ena?"
Comment supporter sans broncher cette abbération? Des cours d'élèves, des comparaisons entre les membres, des techniques qui se répandaient comme des trainées de poudre dans les rangs? Très peu pour l'ex-apprentie.
Elle avait soif d'attentions, d'individualité, de briller.
Qui, mieux que la nuit, révélait la brillance des astres?

Cette nuit, l'ombre révélait plutôt un désastre, des coups de butoirs qui faisaient résonner les murs, Luminescence qui se campait tout en haut de la grande pendrie attribuée aux filles de Corbac. C'était l'odeur de la pourriture, du sang, de la peur, et ces coups qui vibraient étaient entrecoupés de râes guerriers. Etait-ce possible?
Elle bondit sur ses pieds, passa un de ses pantalons de cuir de siffleurs, pendant que ses deux compagnes de chambre hésitaient sur l'attitude à adopter. Qu'auraient fait ces bourgeoises, sur les routes, à l'aube d'une attaque de raïs? Terrées dans les roulottes, surement. Accueillant la mort avec l'effroi de celles qui ne peuvent encore se défendre. Sans un mot, la demoiselle s'élança, insouciante de la particularité de sa tenue (chemise de nuit à moitié rentrée dans son pantalon, ceinture à poignards épousant sa taille, et bottes de marches, elle s'élança, sans savoir encore vers quoi.

Un carnage, visiblement. Les astres suffisaient à éclairer l'horreur qui se jouait là. La porte défoncée, par lequel entrait un flot putride de ces guerriers immondes. Les ennemis héréditaires de tous humains. De tous itténérants.
Ceux qui lui avaient donné, sans le savoir, une dette et une soeur d'arme indéfectible. Il ne fallait pas réfléchir au commanditaire, ni au reste, pour l'instant, seule comptait cette haine vicérale qui devait s'épancher dans le sang. Quitte à mourir, après tout, ça lui faisait moins peur qu'une vieillesse tranquille et tracée.
Elle sifla entre ses doigts, attirant dans sa direction une dizaine de ces cochons. Faisant une référence ironique, autant à ses adversaires qu'à la mort qui se profilait dans l'académie, Ambre attendit que le premier soit à sa portée, sauta sur le côté, décochant un coup de bien maladroit, mais bien placé, si elle en croyait le couinement furieux de la créature!

Le second s'élançait, elle lui enfonça la dague dans la gorge, repoussant son cadavre vers l'assaillant suivant.
Il n'était pas temps de se demander si c'était les cours de technique marchombre qui l'avaient fait autant progresser depuis la dernière fois, ou bien les remarques avisées de son maître invisible.
Mais il s'avérait que les choses allaient bien pour elle, elle parvint à ce que deux des porcs s'embrochent, par un saut de carpe audacieux, mais un troisième raï entailla son bras gauche.

Elle se rua de plus belle dans la bagarre, aussi exitée qu'ils pouvaient l'être par le parfum de souffre, de fer et la musique des armes qui s'entrechoquaient. Décochant, en traitre, dans les duels qui semblaient tourner en faveur des raïs un coup vicieux, destabilisant.
La chemise de nuit blanche était entachée de rouge, du sang des autres, voulait-elle croire. L'adrénaline avait aggrandi ses pupilles, et son regard de folle se promenait sur les êtres, entre euphorie et effroi.

*Où es-tu, Soeurette? Qu'est-ce que ces fous en qui tu as confiance ont fait de toi? Attends-moi, attends-moi, je serai ton ombre, je te protègerai... Attends-moi!*

Mais Tifen restait invisible. Morte? Elle stoppa sa course, regarda le sol. N'était-ce pas sa chère soeurette, cette enfant au visage déchiré, aux membres assymétriquement brisés?
Elle sentit la nausée lui enserrer le ventre, et une lame s'enfoncer au même endroit que la précédente. Un rugissement de bête lui échappa, elle décocha un coup de pied pour éloigner son adversaire, se retourna...
Il était aussi immonde que ses pairs, mais avec un petit quelque chose de plus... fort.
Et il semblait qu'elle venait de se trouver un autre adversaire à abbatre...
en priorité, et qui était bien décidé à la même chose. Rien ne servait de répendre sa salive en injure pour ces saloperies, ce serait perdre de l'énergie, et ils n'en comprendraient probablement rien. La douleur dans son bras étaient présente, mais tolérable. Bien plus que les cadavres qui jonchaient déjà le sol.

(Titi, tu as champ libre!)

(Comme tu le souhaite Anouk, merci pour la description!!)

Aroy avançait parmis ses pairs et les cadavres, ils coupaient tranchaient, inlassablement et avec toujours autand d'enthousiasme, les règles des mercenaires l'ennuiyait mais bon, il n'avait pas à s'en soucier maintenant. Il pouvait profiter de cette entrainement symbolique avant de se frotter à des soldats plus expérimenter, comme des professeur par exemple.

*Ou êtes vous, Merwyn et le faël répugnant, vener mourrir devant moi!*

Il était au nombre de 3 morts et de plusieurs blesser quand il arriva derrière la jeune fille, qui était bien inscouciante de ne pas être sur ses gardes. Il leva son épée et par malheur, un autre combat qui faisait rage à coté de lui, le destabilisa assez pour qu'il rate son coup et qu'il lui entailla juste le bras, au même endroit que sa blessure précédente.

*Misèrable larves, ce sont des imbéciles, ils me gènent dans mes combat!*

Pas de bol pour lui un coup de pied l'empêcha de penser à autre chose, il recula un peu à cause du coup et il vit le visage de sa proie. Il sourit, il se ferait un plaisir de déchirer ou entailler se petit visage d'ange, il leva son arme redoutable et frappa, mais son adversaire riposta, elle bloqua la lame avec son poignard, raï comme il était il essaya de forcer à baisser son arme mais elle tapa dans son ventre avec son pied ce qu'il lui fit chanceler. Hargneux, il leva sa lourde épée et il réussit à la toucher, la petite n'avait pas été assez rapide, pourtant celle ci pouvait encore ce battre, elle le montra assez bien avec une de ses techiniques qui fit reculer Aroy.

-Tu a de la ressource misèrable vermine.

(Les studios ont la parole, a toi Ambre)

Le raï promena sur son visage un regard à la limite du pervers, ce qui n'étonna même pas la jeune fille. Après tout, qu'attendre d'autre d'une espèce aussi immonde, sous développée, dégoutante, immonde, pitoyable, atroce, inférieur et...
Ce chien raté lui lançait une grimace qu'elle préfèra ne pas interpréter, resserrant simplement sa garde. Le premier assaut fut lancé, simple, et prévisible, aussi Ambre bloqua-t-elle sa lame. Elle savait que sa survie, comme celles de tous les êtres qui pouvaient s'être lancés à corps et à cris dans la bataille dépendait de ses réflexes et aussi de ceux de ses voisins. S'ils se faisaient tuer, elle serait entourrée de trois raïs, ici, sans possibilité de retraites par les airs. Fichue. Ne pas penser à cette possibilité.

Elle s'obligea à concentrer une force plus résistante qu'offensive dans ses bras, et comme elle l'avait deviné, l'esprit trop simple du cochon n'avait fait qu'intensifier son gestes. Son poids illégalement réparti exigeait qu'il rompe sa garde...
Et son pied rencontra pour la deuxième fois l'armure en cuir de son adversaire, touchant un point particulièrement sensible. La créature s'en trouva déséquilibrée, chance pour Ambre, qui se plongea dans l'agitation des spires, le temps de concrétiser une aiguille fine, et très longue, et de la figer dans la carotide de son voisin cochon, qui mettait en difficulté un des derniers gardes debouts.
L'intervention avait été très discrète, Ambre n'était même pas sure de son succès, mais elle espérait. Que le porc n'y fasse pas attention et s'épuise plus vite.
Mais même cet acte insignifiant fut trop long, sans doute parce qu'Ambre ne s'entraînait jamais en dessin, et elle ne put parer le coup suivant de son assaillant. La douleur se fit cruellement sentir à sa cuisse, et Ambre dut se mordre les lèvres pour ne pas crier, puis canalisant sa rage dans un mouvement complexe, elle parvint à reprendre un pied d'égalité (branlant) avec le RaÏ, qui l'invectiva (étrange qu'une créature aussi stupide/puante/atroce/dégoutante/... ait assez de neurone pour parler).

-Chance pour toi, j'ai aussi de l'odorat!

L'humour était une arme bien dérisoire, et pourtant, se montrer insolente bousta la jeune fille, qui s'élança.
Une succession de coups et contre coups s'en suivirent, où les parades succédaient aux parades, et si le raï ne parvint plus à la blesser de son arme blanche (enfin, rouge...) il réussit néanmoins à la frapper tout court.
Elle dût puiser dans ses ressources pour parvenir à le toucher aussi, du tranchant de la main dans le cou, de la pointe du pied dans le tibia...
Qu'est-ce qui faisait que cette ordure était plus puissante que les siens?! Elle ne pouvait pas déjà être à bout de force, elle se devait de tuer encore l'un ou l'autre de ses pairs (de préférence: les deux) pour honorer sa race, son clan... sa caste.
Non, il fallait soit qu'elle abatte ce porc, soit qu'elle parvienne à lui échapper... autrement qu'évacuée les pieds en avant, et les yeux définitivement fermés.
Les spires? Leurs passes répétées ne lui laissaient clairement pas une seconde de concentration.
Un hasard?

Midona s'était précipité dans le hall une envie de sang rendant son regard terrifiant. Elle abattit deux raïs avec son sabre et vit un duel féroce entre un raï assez costaud et une élève. Celle ci se battait avec fougue et précision, mais il était clair qu'elle n'arrivait plus à porter des coûts au porc devant elle. La Dessinatrice accourut et abattit son sabre sur le casque du raï. Malheureusement, il esquiva et dans son hélant Midona parti vers le sol. Elle se réceptionna en roulade et se redressa en un éclaire, la jeune fille entama un duel avec le raï pour laisser le temps à la, d'après sa bague, Corbac de reprendre son souffle. Midona ne prenait des cours que depuis quelques mois, mais elle s'était nettement améliorée. Rapide et souple comme un serpent elle parvint à faire quelques blessures, mais elles étaient tellement fines que le guerrier cochon e les sentit même pas. Midona reçut un coût d'épée au côté mais elle n'y prêta aucune attention. Elle devait laisser le temps à la Corbac de reprendre son souffle. Un deuxième coût la fit s'agenouiller sous la douleur. Le raï levait sa lourde épée mais Midona était prête et elle cria à l'élève pour recouvrir le boucan de la bataille :

- Je te laisse reprendre le combat ! Tu es plus puissante que moi, tu pourras le battre !

La jeune fille sourit et elle entra dans les Spires pour créer son Dessin. Le guerrier cochon abattit son arme de toutes ses forces mais Midona n'était plus là.
Elle se matérialisa dans un coin tranquille et banda soigneusement sa plaie, elle saignait pas mal, mais ce n'était pas trop grave. Une fois son bandage de fortune terminé, la Dessinatrice se redressa et repartit dans la bataille pour aider les élèves qui ne pouvaient pas se défendre. Priant pour que la jeune Corbac s'en sorte avec le raï.

[euh primo, on ne peut pas distinguer un chef raï, d'un simple soldat, simple info, secondo vous ne devez pas tuer mon perso s'il vous plait, je tiens à la vie (enfin à celle là) et je tiens à finir la bataille pour faire mon rapport moi! snif]

Le guerrier cochon essuyait les attaques tant bien que de mal, sont cerveau, aussi petit soit-il, savait que son adversaire faiblissait, il en était heureux, enfin presque! Il réussit à toucher son adversaire à la cuisse , ce qui fit sourire Aroy, il tenait son ennemi à la merci de ses coups.

Mais pas de ses paroles.

Chance pour toi, j'ai aussi de l'odorat!

Tandis qu’il essayait de comprendre le pourquoi de ses paroles, la jeune fille s’élança, coup, riposte, coup, riposte, inlassablement et presque toujours la même chose, le guerrier cochon réussit néanmoins à la frapper, tandis qu’a elle, elle l’avait toucher au cou et au tibia. Malheureusement pour Aroy il avait sentit le coup au cou mais le coup de pied manquait de force et il ne sentait qu’un léger fourmillement désagréable. Il allait lancer un autre assaut, mais il aperçue un mouvement à la limite de son champ de vision, il esquiva lourdement la tentative d’une élève arriver en renfort et lui lança un regard perçant.

-Osez m’interrompre…

Il était tellement hargneux que ses neurones ne purent finir la phrase, il commença le combat avec la nouvelle arrivante, il voyait qu’elle la touchait, mais une lame entre ses mains, la fille ne ferait même pas de mal à un cochonnais raï. Il la blessa une fois, dans les petits yeux risible du guerrier, on y voyait de l’autosatisfaction voyant que son ennemie essayait de ne pas crier. Au deuxième coup, plus sérieux cette fois, il éclata de rire sans toutefois perdre sa victime des yeux, il leva son arme.

- Je te laisse reprendre le combat ! Tu es plus puissante que moi, tu pourras le battre !

Il écarquilla les yeux à cette phrase, et ses yeux s’écarquilla encore plus qu’en elle disparu tout simplement.

-Misère une larve dessinatrice!! ... On va pouvoir finir notre combat.

Il s’élança vers Ambre qui esquiva le premier coup, le deuxième, le raï sourit, il avait penser qu’elle aurait un peu plus récupérer, mais non, elle restait encore faible et sa blessure à la cuisse ne l’arrangeait pas, sur de gagner il repris les assaut de plus belle, privilégiant comme tous les raïs, la force à la finesse.

Mael s'immobilisa quand il entra dans le Hall.Des gens couraient dans tous les sens ,les cris d'élèves,les grognements des guerriers cochons resonnaient dans la pièce. Des corps,autant Rais qu'humains jonchaient le sol.
Le Lupus se ressaisit vite quand il vit le nombre de blessé,ayant besoin d'un reveur.
Dans la mélée,il vit Julia,près d'une élève inconsciente,cherchant des yeux de l'aide pour sa camarade.
Julia,la fille à qui il avait pris la famille…Qui lui rappelait temps de souvenirs douleureux de son enfance
Il lui adressa un signe de la main mais la jeune fille ne sembla pas le remarquer.Aller jusqu'à elle serait risqué…
Mael pris soin de toujours rester derrière un élève qui magnait le sabre assez bien pour que le rêveur ne soit pas menacer,et traversa ainsi le champs de bataille.

Je peux la soigner fit il à Julia qui se retourna brusquement,il faut jusque que tu me donne un peu de temps…

Le rêveur croisa le regard de la jeune fille qui ne semblait pas franchement amical ,c'était bien normal ,elle n'avant surement pas encore digérée leur première rencontre... Il espérait juste qu'elle oublierait sa rancoeur au moins le temps qu'il guérisse la Lotra évanouie.

Le pieu bascula à la réalité et vint se planter dans le coeur d'un des guerriers cochons. En voyant le sang s'écouoer à flot et le corps tomber lourdement à terre Eryn eut un léger vertige et à nuveau une envie de vomir. Mais elle se ressaisit vite.

*Ca c'est pour toi Lou!*

Mais un des compagnons de sa victime n'eut pas l'air d'apprécié ce geste et se jeta sur la jeune fille. Elle l'évita de justesse et ne dut la vie sauve qu'à un guerrier tranchant l'air de son sabre. Elle le remercia d'un geste de la tête et se relança dans le dessin. Elle sentit quelqu'un approcher et se joindre à elle mais n'y fit pas attention. Une nouvelle arme bascula dans le vide, ratant malheureusement sa cible.

La jeune félixia vit alors Ciléa...elle charchait à se frayer un chemin parmis la bataille et un rai arrivait tout droit sur elle...

-Ciléa!!! Attention!!!!

Eryn se jeta dans l'imagination, dessina un couteau, tranchant et précis...

La jeune fille le toisait avec tant de mépris qu'il faillit la couper. Comment lui faire comprendre qu'il n'avait jamais voulut ce qui était arrivé! Que cet …accident était une erreur du à sa naïveté et à la trop grande confiance qu'il avait en l'être abject qu'était son père. Il pris à regret la lame qu'elle lui tendait sans la quitter du regard en espérant y trouver une lueur de compréhension. Quand elle eut enfin finit sa tirade il la fixa un court moment,puis répondit d'un ton neutre.

-Si je dois porter cette jeune fille,une arme m'encombrera plus qu'elle ne me servira,mais puisque vous insistez…
Il avez reprit volontairement le vouvoiement,puisque c'était ce que voulait Julia .Il rangea a contrecoeur la dague dans sa ceinture.
Quand à mes compétences…
Je n'ai plus touché une arme depuis l'age 10 ans,et même si ça vous est égal sachez,que depuis ce temps là je n'ai pas cessé une fois de regretter mes actes. Allons y maintenant,votre amie compte sur vous.

En disant ces mot il alla examiner la blessée.
-Elle a reçu un coup sur la tète,elle saigne,mais ce n'est pas trop profond.

Il souleva la jeune fille,elle n'était pas bien lourde mais ce fardeau le privait totalement de ses mains.



dsl j'essayerais de faire un post plus long la prochaine fois

Enoriel continuait son ravage, tout en essayant de repérer d’autres professeurs. Les élèves vinrent vers elle par eux même, ne voyant d’autres personnes adultes qu’ils savaient professionnels dans ce domaine.
Elle essaya de mettre de l’ordre et d’établir une stratégie, mais généralement les élèves étaient à moitié effrayés, et n’écoutaient même pas.
Elle dû hurler pour motiver les troupes:

-Dessinateurs en retrait ! Prévenez les autres professeurs, les marchombres devant et les guerriers les soutiennent. Protéger les dessinateurs ! Si il y a des archers, mettez vous à l’arrière avec les dessinateurs, tirs à volonté !!

Elle leva une de ses épées, les élèves comprirent et formèrent des rangs. Déjà cela aiderait, plus de logique dans les manœuvres. Elle montra l’exemple, courant devant et se battant avec dignité, une aura de confiance. Si elle lâchait ou qu’elle le montrait ne serai ce qu’une seconde, s’était fini pour eux.

Elle motivait les élèves de sa voix rassurante qui se répercutait contre les murs en pierres de l’enceinte de l’académie. Déjà ils reprenaient confiance. Une confiance fragile…très instable, elle faiblissait un instant et tout tomberai en miettes. Elle sentait de lourdes responsabilités sur ses épaules frêles. Elle était toujours effacée derrière son frère.
Mais son frère n’était pas là….alors qu’elle si.

Elle prenait les choses en mains avec une vivacité étonnante pour quelqu’un qui généralement suivait les ordres de son ainé. Elle repoussa la hache d’un raï, sauta en l’air, se pencha..
Combien de feintes avait-elle enchaînée à ce moment là ? Elle ne le savait pas elle-même, ils étaient largement inférieur en nombre, et elle ignorait si son savoir suffirait à compenser le nombre. Elle effaça cette idée, non, l’académie du noble Merwyn ne tombera pas entre les mains de répugnants raïs !!

Une lueur de rage assombrit ses yeux très sérieux. Une lame ennemie rasa le ventre de la faëlle, arrachant au passage un morceau de sa tunique de cuir. Un peu de sang coula, mais ce n’était qu’une blessure superficielle, des élèves la regardèrent avec inquiétude mais elle ne faiblissait pas d’un pouce.
D’ailleurs le sang avait déjà arrêté de couler…pas la peine de s’inquiéter.
Elle était entourée de raïs…elle avait beau en tuer sans répits, ils revenaient, encore plus nombreux…

Amarylis venait de terminer de soigner la jeune fille. Alors qu'elle s'appretait à se lever un rai surgit, s'appreta a frapper....
Et fut transpercer pas l'arme d'Enoriel. Son amie lui lança une recommandation mais la rêveuse ne l'écouta pas. Elle se leva et chercha des yeux qui pourrait avoir besoin de son aide...Elle repéra de loin un élève de lupus qui semblait avoir du mal a transporter un corps inconscient. Elle le connaissait de vue, il était l'un des rares élèves rêveurs dans cette académie. A eux deux ils pourraient arriver à soigner pas mal de personnes et àmieux se protéger des attaques incessantes des raïs.
Elle se leva et réalisa que la distance qui les séparait était assez longue mais surtout pourvue de multiples dangers!
Alors elle se mit à courir....
Plus vite...
Encore plus vite...
Elle trébucha sur e corps inanimé d'un mort. Se releva aussitôt et continua sa course.
Ne pas s'arreter...
Pour ne pas se faire tuer....
La silhouette de l'élève rêveur devenait de plus en plus proche...
Un guerrier cochon lui barra la route de son imposante masse. Sa hache levé vers le ciel s'apprétait à s'abattre sur la guérisseuse. Elle poussa un cris et ne dut la vie sauve qu'à un rélexe: elle se jeta à terre sur le coté. Elle voulut se relever mais le rai la repoussa à terre violemment.
L'arme prépara soncercle mortel...
Amarylis hurla...

*Non pas maintenant!*





(ps: mon perso ne doit en aucun cas mourir, il est là pour vous aider et vous soigner, mais soyons réaliste une reveuse ne sait pas se battre donc si quelqu'un pouvais venir à son secour...Merci!)

Alors que la Lune avait décidé de ne pas montrer son blanc manteau, en ce soir, Duncan dormait. Pour le moment, rien d’anormal, dirons-nous. Dans ses appartements, son blanc bonnet ( de nuit ) étincelait à la lumière. Comment ça, rien d’anormal ?! Comment un bonnet pourrait-il luire alors qu’il faisait nuit ! Aha, question piège. Le narrateur, qui se trouve être moi, vous dira alors que notre cher professeur de lettres et civilisation, réputé pour son sérieux et son professionnalisme, porte, la nuit, un bonnet spécial ! Car oui messieurs-dames et.. ah, tiens, Raïs qui êtes à la porte de l’Académie, sachez que son étoffe est entremêlée de fils de bulbe d’Enjôleuse d’Hulm, qui ont la faculté de luire la nuit.
Absolument puissant, n’est-ce pas ? Seulement, le thème de cette ôde à Duncan n’est en aucun cas son accoutrement dont nous passerons certains détails pour que sa réputation n’en fût point entachée, mais en effet ce qu’il était en train de faire au moment où une horde de guerriers cochons préparaient leur apocalypse aux alentours de notre chère et tendre Académie. Car oui, il est décisif de savoir ce qu’était en train de faire, ou de ne pas faire, Monsieur le Professeur. Et pourquoi ?
Ben pour remplir des lignes de post, tiens.
Donc.

Duncan Cil’ Eternit, docteur ès littérature, fervent membre du Cercle de Pantoufles Disparues, était donc en train de rêver. La preuve, il marmonnait, se retournait dans son sommeil, et suait à grosses gouttes. Un élève des plus perspicaces nous dira donc que.. Oui je l’ai entendu dans le fond ? C’était un Cauchemar, exactement, deux points pour la Maison Pantra !
Mais je m’en vais désormais laisser la place à notre protagoniste, qui n’est autre que Duncy, afin que le post avance enfin autre part que droit dans le mur et que ceux qui ne se seraient pas endormis en le lisant.. le lisent.

*

Quelques éclats blonds ; une voix lointaine abîmée par la distance ; l’azur paré de Sa pluie d’étoiles, plus blanches encore que les jupons de coton fin qui dissimulaient une peau translucide tant elle était pure.
Mais cela disparaissait sans cesse, et l’ouate d’une brume à la provenance inconnue enleva à la silhouette des lambeaux de réalité, interminablement ; irrémédiablement. Peut-être était-ce un cri qui suivit cette écharpe d’oubli ? Il ne sut le dire. Tout du moins, deux sillons argentés creusaient les joues pâlies de Duncan, évaporant les limbes d’iris détrempés. Il ne pouvait bouger, les mollets emplâtrés dans quelque illusion onirique. Il ne pouvait..
Finalement, il voulut crier, mais sa gorge déployée n’émettait aucun désespoir, autre que celui qui émanait de tout son être, l’échine brisée, la face ravagée par le chagrin ; car l’ombre coulait entre ses doigts comme de l’eau, et lui échappait.. Lui échappait doucement. Comme avant.
Lorsqu’elle eut complètement disparu de son champ de vision, un long gémissement retardé retentit enfin. Il tomba à genoux, les mains serrées contre les yeux comme pour ôter de sa rétine les volutes blanches, ces volutes au visage de..

BOUM !

Le professeur Cil’ Eternit se redressa sur le bruit, les pupilles dilatées sous la suprise, le cœur battant la chamade. Il est unitile de préciser que l’extrémité de son bonnet, surmontée d’un élégant pompon fait par ses propres soins, lui revint instamment dans la figure. D’autres bruits provinrent des étages en deçà, faisant trembler quelques peintures simples accrochées à la cloison. Sans se rendre compte des larmes qui coulaient encore lentement sur sa peau, il se dressa mieux, et jeta les jambes hors du lit, où elles atterrirent dans les pantoufles, disposées au millimètre près afin de les enfiler d’un seul mouvement. Puis, un grognement plus tard, il se dressa enfin sur son séant. Les « boum » avaient cessé, mais des cris résonnaient dans les couloirs, et certains bruits de ferrailles lui écorchaient les oreilles. Des élèves galopaient, semblant affolés à leur bruit.
Mais que se tramait-il donc ?! Se pouvait-il que les Raïs eussent pénétré l’enceinte de l’Académie ?
Ce qui signifiait que…
Il allait falloir..
Se battre..


Non, non, et NON ! Lui, Duncan Cil’ Eternit, n’allait certainement pas se battre, ceci était totalement hors de ses principes ! Et puis, il ne savait pas combattre. Alors pouêt pouêt les Raïs, il les affronterait pas. Le monde pourrait s’effondrer, il n’allait très certainement pas ceindre une épée comme tous ces rustres. Ah nan.
Il allait, vaillant et preux, rencontrer le chef de l’attaque commandité contre l’Académie, et parlementer, négocier leur retraite, combattre avec la plume, que diable ! C’est comme cela qu’il fallait batailler, de nos jours, de manière Ci. Vi. Li. Sée. Ces mioches qui se prenaient pour des grands guerriers et se faisaient déjà blesser.. Cela devait cesser !
S’affublant de sa cape de super-Dudun, communément appelée Robe de chambre par toute personne normalement constituée, ce que malheureusement, dans ces moments-là, n’était point notre ami professeur, le dit-enseignant se rua hors de sa chambre, en pantoufles-bonnet-robe, pestant à tout va, sacré dieu !

Seulement voilà. Trois couloirs plus tard, il croisait dans son infortune la route du concierge, dont il ne reconnut pas la figure congestionnée et vide de toute bonhommie en cette heure critique. Jusque là, rien d’anormal. Mais lorsque Duncan s’apprêta à tempêter contre le brave gaillard, celui-ci balbutia quelques directives, et lui fourra une épée batarde dans les mains, parmi celles qu’il portait aux premières lignes, dans le hall d’entrée. Hébété, l’homme malchanceux observa un moment le morceau de métal qu’il avait entre les doigts, le tournant dans tous les sens pour en trouver le bon bout. Il fallait le comprendre, il n’avait jamais touché d’armes de sa vie, et la seule vue de son fil tranchant lui tournait les sangs !
Mais cependant, empoignant fermement l’arme par la lame, poignée tendue méchamment vers l’ennemi, prête à le trancher de son pommeau rond, il reprit la direction des couloirs où les bagarres se déroulaient, pérorant toujours ses sempiternels avis de paix, d’amour, de bisounours (il était fier d’avoir trouvé ce nouveau mot, d’ailleurs.) et de pour-parler avec les Raïs.

L’arrivée sur la barricade où il trouva Julia, et bien d’autres dont il ne put identifier le visage, lui causa un grand trouble. Il y avait.. du.. dududu.. du Sang ! Aaargh. Des blessés livides.. Le visage de Duncan prit la même teinte, alors qu’il trembla de tous ses membres devant la réalité de la chose dans laquelle l’Académie était plongée. Et soudain.. Il vit.. Il vit..

UN Raï.

Esseulé loin du combat, à la recherche de quelque victime à égorger. Et Duncan se trouvait juste en face de lui, tenant l’épée à l’envers. Seul le pompon de son bonnet bougeait encore, dans l’immobilité latente de la scène. Alors que le guerrier allait brandir sa hache immense, le digne professeur de lettres et de civilisation hurla. Non, pas ce ‘iiiiiiiiiiiiih !’ qu’on aurait pu entendre venant de lui, mais bien un :

- NOON !

Fixant le petit homme de ses yeux vides de lumière intellectuelle, le Raï se demanda subitement pourquoi. Pourquoi non ? Il pouvait pas le tuer ? Même pas un tout petit peu ? L’être humain Duncan se faufila alors sur le côté, un petit sourire trèès mal à l’aise sur le visage, et lui lança, la voix tremblant aussi fort que son bouc, au menton :

- Vous savez, très cher.. on pourrait être amis, vous savez.. vous savez jouer au Haman-Lô je parie ! Quelle coïncidence.. Allez.. posez votre arme..

Un pas sur le côté.. Mais seulement, le Raï, ne comprenant pas, grogna dans sa direction, et brandit sa hache.
Les élèves eurent donc droit au fameux « iiiiiiiiiiiiih ! » suivi d’une explosion du record du cent mètres, en pantoufles et bonnet, par leur meilleur professeur –évidemment. Quelques centimètres plus loin, essouflé, et vidé de ses forces, le coureur de fond fut forcé de s’arrêter, et de prendre enfin un clair visuel de la situation.
Des élèves. Des professeurs. Des Raïs. Des armes. Voilà. Maintenant, il était au point. Il pouvait.. Attention.. Se battre ! Et oui, pour la première fois dans l’histoire de Gwendalavir, il avait pris la décision de se battre ! Duncan Cil’ Eternit prit alors une épée qui traînait par terre, et l’empoigna – dans le bon sens – avant d’arriver aux côté des quelques élèves qu’il avait repérés, à savoir Julia, Mael qui transportait Elera inconsciente. Seulement, une rêveuse s’occupait déjà de la Lotra, et il put alors se tourner autrepart.
La bataille promettait d’être rude. Il lui faudrait du courage.. Les doigts du professeur se resserrèrent autour du manche de l’arme, et il alla à la rencontre d’un Raï. Vindicatif.
Le combat s’engagea sur une note courageuse. Mais il sembla qu’effectivement, n’avoir jamais tenu une épée de sa vie allait l’handicaper. Après quelques passes hargneuses avec le guerrier le plus proche des barricades, qu’ils avaient dépassées pour se jeter dans le feu ennemi, voulant protéger SES élèves.
Lorsqu’il voulut parer un coup, la violence de celui-ci le projeta au sol, faisant voler son bonnet de nuit un peu plus loin, où il est dit qu’il ne le retrouvera jamais. A terre, égratigné par leur combat, Duncan ne connaissait aucune technique pour se sortir de cette situation..

Mais quelque part dans sa tête, une petite partie de son être avait envie de mourir, depuis..

-Ciléa!!! Attention!!!!

Le cri d'Eryn lui sauva la vie,elle se retourna vivement et une lame rais frôla son épaule. Déstabilisée, la jeune fille butta sur un corps et tomba,à la merci de son ennemi.

Sachant qu'elle n'aurais pas le temps d'utiliser le dessin,elle fit une tentative désespérer pour reculer et ainsi,se mettre hors de portée de la lame de son ennemi. Le guerrier cochon était trop rapide…Il allait la tuer. Ciléa vit la mort s'approcher à grande vitesse sans qu'elle puisse faire quoi que ce soit.
Soudain, le guerrier cochon se figea,arrêta son geste et s'écroula à quelques centimètres de Ciléa,un couteau enfoncé dans la nuque. L'arme se dématérialisa.

Un dessin!Eryn! La dessinatrice se tenait à quelques pas d'elle se battant comme une furie dans la nué de rais.Ciléa se releva un signe de la tete accompagné d'un sourire timide à celle qui lui avait la vie et recommença à se battre.Trois boules de feu fusèrent vers le visage de leurs ennemis .Toujours aussi facile à dessiner et tout aussi efficace,le feu s'insinuait entre les fentes des casques de leur ennemi,et leur brûlait le visage,les yeux,dans des grognement de souffrances. L'odeur épouvantable de la chair brûlé se mêler à celle du sang. Dos à dos,les deux Félixia affrontaient leurs adversaires de plus en plus nombreux.

Presque tous les élèves avaient rejoint les rangs du professeur Til' Lleldoryn
,et elles se trouvaient seules,entourés de rais.Elle ne tiendraient pas éternellement ,d'autant plus que l'utilisation du dessin aurait ses limites.

-Eryn,appela elle par le biais des Spires,alors que trois nouvelles boules de feu allaient s'écraser dans les rangs ennemis,elle envoya à son amie des image destinée à lui faire comprendre son idée.
Leurs deux esprits liés,unis et le feu qui ravageaient tout dans un vaste rayon autour d'elles deux.
Elle attendit une réponse ,si Eryn avait quelque chose à proposer,qu'elle le fasse,c'était elle qui avait le plus d'expérience après tout.