Après une humiliation publique... (RP terminé)

Marlyn arriva tant bien que mal à la cascade. Son dos lui cuisait, le sang coulait toujours, imbibant les lambeaux d'uniforme qu'elle avait pris pour bandage.
Elle était en colère. Plus encore que pendant le cours. Plus encore que contr Slynn. Elle ne pensait plus qu'à faire comprendre à Arya sa douleur, lui rendre, et la tuer.
Marlyn grimpa sur u rocher, a fleur d'eau, et enleva soigneusement ses bandages rudimentaires. D'anciennes plaies s'étaient rouvertes, ces cicatrices avaient éclaté. Le sang suintaitdes ouvertures, et la douleur était insoutenable. Marlyn serra les dents, pour s'empécher de crier de douleur.
Les blessures causées par les coups de fouet lui brûlaient beaucoup, mais pas autant que ses anciennes brûlûres.
Précautionnesement, la félixia déchira un morceau de son pantalon, et le trempa dans 'eau fraiche.Puis l'appliqua sur les plaies. Le contact du froid et du chaud lui était insoutenable, et elle se mordit la lèvre tellement fort qu'une goutte de sang tomba. Elle n'en n'eut cure.
Après avoir soigneusement nettoyé le sang, elle déhira d'autres morceaux de son pantaln, le réduisant à l'état de short, et apliqua les compresses improvisées sur so dos.
Quand tout ceci fut fait, elle s'accroupit, avec une grimace, et resta sans bouger, au milieu de la cascade, laissant l'eau couler le long de sn échine.
Dans cette position, elle était encore plus sauvage que jamais. Plus en colère encore. D'une colère froide, calculée, dnt pouvaient émerger les pires plans pour se venger.

Un craquement de brindilles lui fit ouvrir les yeux. Elel ne vit personne. Surement un animal.
Elle respira un peu, et commenca de refermer les yeux. Mais n autre craquement suivit le premier. Plus de doute. Quelqu'un se trouvait la.
Marlyn esquissa un mouvement vers sa ceinture. Avant de se résigner. Plus rien ne pendait à sa ceinture. Ni shurikens, ni dagues.
Dans un geste sauvage, elle volut se relever, mais la douleur l'empéchait de bouger.
Elle cria donc d'une voix menacante :

Qui est là ?! Montrez-vous !

Aridna n'avait pas assisté à l'humiliation de l'élève nommer Marlyn. Voir le sang coulé et la douleur ne lui faisait aucun plaisir, la violence n'était pas la méthode à utiliser pour punir quelqu'un encore moins une élève. Une certaine colère envers Slynn couvrait son coeur. La femme avait été sans pitié lui avait t'on dit.

*Elle n'aurait pas du faire ce qu'elle a fait.*

Après ce qui c'était passé, Arya était venu prendre sa place à l'infirmerie tandis qu'elle avait décider d'aller faire un tours. La cascade était le meilleur endroit qu'elle connaissait pour se détendre. Elle marchait tranquillement, quelques fois écrasant quelques branches.

Qui est là ?! Montrez-vous !

La voie était sauvage et fit parcourir un frisson dans son dos, La rêveuse sortit d'entre les arbres et découvrit une jeune fille, le visage déformer entre la douleur et la colère.
*Marlyn...*

-Je ne te veux aucun mal, et même si je t'en voulait, je ne croie pas pouvoir te faire grand chose.

Aridna vit le nombreux bout de tissus dans le dos de Marlyn.

-Laisse moi te guérrir.

Marlyn tourna le visage vers la nouvelle venue. Elle était plus agée que Arya. Encore une réveuse. Sa colère augmentait, décuplée par la douleur.
Elle fit un geste pour reculer, pour se mettre hors de portée,mais elle ne pouvait pas. Son rocher était étroit. Dans son état de semi folie, elle n'avait reconnu Aridna.
Dans un grognement sauvage, elle fit signe à la rêveuse de partir, d'ête hors de sa vue.

Laisse moi te soigner.

Marlyn ne put s'empécher d'essayer de se relever. En vain. Ladouleur lui déchirait le dos, mais elle ne cria pas. Toutefois, elle était forcée de rster accroupie.
Ses cheveux lui tombaient dans les yeux. Sa colère brulait, tel un incendie dans son coeur.
D'une voix menacante, elle cria :

Partez ! Ne m'approchez pas ! Ne me touchez pas avec votre venim.

Son cri résonna longtemps dans les feuillages. Toutefois, la femme ne bougea pas. Marlyn Lui lanca un regard noir, et lui dit, d'une voix pleine de rancoeur et de mal :

Vous pouvez être fière de vous, vous et votre collégue, Arya. Pour une réveuse qui ne peut supporter la vue de sang, elle semblait pourtant ben prompte à le faire couler. Vous n'êtes qu'une bande de ...

Mais une quinte de toux l'empécha de finir sa phrase. Sa poitrine lui brulait, ravivant la douleur dans son dos. Quand la toux s'arréta, elle avait le gout du sang dans la bouche.
Redressant péniblement la tête, elle adressa un regard noir à l'intruse.
Le long de son échine, elle sentait toujours la sang couler, imbiber ses compresses de fortune.
Mais une chose était sûre, elle ne laisserait pas cette rêveuse la soigner. Elle préfererait mourir, plutot que de subir ne humiliation de plus.
Aridna ne bougeait toujours pas, et restait à la regarder. C'en fut trop. La colère s'insinua dans l'esprit de Marlyn. Dans son coeur.
Mais elle resta sans bouger, les cheveux dans les yeux, à fixer d'un regard de braise cette femme. Attendant le bon moment....

Aridna c'était approcher encore un peu de Marlyn avant que celle-ci ne l'écarte sauvagement.

Vous n'êtes peu être pas Arya, mais je ne vous laisserez pas me soigner. J'ai connu bien pire dans ma vie, ce ne sont pas de simples coupures qui vont me géner.

*Qu'est-ce qu'ils ont tous à s'entêter ?*

-Tout le sang que tu perds va te tuer si je ne referme pas tes blessures, Je peux te laisser les marques si tel est ton désir, mais je ne peux pas te laisser te vider de ton sang, laisse moi t'aider Marlyn.

La femme regarda Marlyn dans les yeux, la supliant de la laisser l'aider. Sans se brusquer, elle se releva et fit un pas vers la jeune fille.

Sans répondre à l'ordre de Marlyn, Valen apparut alors devant elle et Aridna, le visage grave. Le demi-Faël semblait être troublé, cependant il conservait encore l'incroyable sérénité qu'il avait acquise depuis la mort de Celebriän. D'une voix douce, il parla à Marlyn :

- La différence entre nous, membres de l'Académie, et les mercenaires du Chaos, c'est que les mercenaires du Chaos prenaient tout simplement leur plaisir en te faisant souffrir alors que, pour beaucoup de professeurs, ta sanction publique était un moment poignant auquel nous ne voulions pas assister. Honnêtement, c'est à contre-coeur que Merwyn et moi-même t'avons infligé cette punition et nous le regretterons probablement tout le restant de notre vie.

Valen se rapprocha encore de Marlyn, lui posa une main apaisante sur l'épaule, et la regarda dans les yeux :

- Par ailleurs, t'infliger une nouvelle punition comme tu le fais à l'instant ferait énormément plaisir à Slynn Ar' Kriss. Mon ancienne élève te déteste pour une raison que je ne comprends pas et elle a toujours ces méthodes dignes d'un mercenaire du Chaos, mais, aussi d&testable qu'elle soit, elle accomplira toujours son devoir, même si elle sautera sur toutes les occasions possibles de te punir. Quant à Arya Envarinya, elle fut Frontalière avant de devenir rêveuse et elle n'a jamais souscrit entièrement à leur voie pacifique, ce qui fait qu'elle tourmente les personnages qu'elle déteste avec sa langue acérée. Ce pourquoi tu l'as attaquée par ailleurs, elle t'avait poussé à bout et tu as perdu le contrôle de toi-même. Nous t'avons déjà punie pour cela, Marlyn, il n'est pas sage de te punir toi-même en refusant de te laisser soigner.

Au contact de Valen, Marlyn paraissait s'apaiser d'une manière étrange. Le demi-Faël lui-même était un personnage étrange qui avait hérité de certains pouvoirs rarement acccordés aux siens et il n'hésitait pas à s'en servir lorsqu'il le pensait bon, même s'il devait pour cela puiser dans sa propre force vitale au risque de s'affaiblir lui-même. D'une voix douce, il ajouta :

- Laisse-toi soigner à présent, je n'aime pas voir mes élèves souffrir quand cela peut-être évité.

- Ta punition était d'être isolée pendant deux semaines et d'être ensuite fouettée. Notre Académie doit savoir se montrer dure, mais nous n'imposons pas de discipline militaire et encore moins les sanctions qui vont avec. Dans l'armée impériale, tu aurais été fouettée sans être soignée, si pas exécutée, mais les soldats sont endurcis par leur mode de vie strict et discipliné. Toi, tu ne l'es pas et tu es encore jeune de plus. Cette punition a atteint son but, à présent laisse-toi soigner!

Puis, il ajouta tout bas :

- Contrairement à moi, tu ne peux juger si la punition a été suffisante ou non et je ne te laisserai pas te punir toi-même pour une quelconque fierté déplacée! Qu'importe ce que peut penser, Slynn, tu n'es pas une faible et nous le savons. Alors, retrouve enfin l'humilité qui doit être tienne et laisse-toi soigner sans faire d'histoires! Tu es venue à l'Académie pour apprendre, alors apprends non seulement de tes cours, mais également de chacun de tes actes! Apprends ce qu'il te manque, l'humilité!

- Si tu souhaites garder tes cicatrices, ce n'est pas avec moi qu'il faut en parler, mais bien avec Aridna Irel. Quant à tes dagues, tu les récupèreras. Sur ce, d'autres affaires m'appellent, je le crains...

A ce moment-là, il se tourna vers la rêveuse et lui lança son habituel regard pénétrant et impresionnant :

- Aridna, je laisse Marlyn entre tes mains.

Ensuite, il se tourna à nouveau vers Marlyn et lui sourit doucement :

- Continue à apprendre, Marlyn, sur tous les plans et à tous niveaux, et tu deviendras une grande dessinatrice.

A peine eut-il prononcé ces mots, qu'il se détourna doucement de Marlyn etd'Aridna et s'en fut, silencieux et vif comme une ombre, vers l'Académie.

S'il vous plait...

Aridna s'approcha de Marlyn. Doucement, elle retira les compresses improviser du dos de la jeune fille. Les blessures qu'elles couvraient lui donnèrent un pincement au coeur.

*Comment Slynn a-t-elle pu faire ça? Il faudrait être un être sans conscience et coeur pour faire une telle chose.*

Le sang coulait des nombreuses plais faites par le fouet. Sans attendre une seconde de plus, la rêveuse dévoila son rêve. Quelque instant plus tard, il ne restait plus que de vilaines cicatrises et du sang. Arirda prit un bout de tissu propre qu'elle avait sur elle et alla le mouiller. Elle n'éttoya ensuite le dos de Marlyn.

-Voila, les blessures sont refermées et et voit la cicatrise comme tu me l'as demander.

Marlyn, malgrés son envie de fuir, laissa la rêveuse approcher, et retirer ses bandages. Elle fit une grimace, son dos la brûlait.
La rêveuse dévoila son rêve. arlyn serra les dents, quand la chairse referma, car la douleur était dure à supporter.

Les plaies les plus grosses furent grossièrement refermées, les petites à peine. Le sang nettoyé.
MArlyn était à genoux, laissant la réveuse faire son travail, nettoyer la sang.


-Voila, les blessures sont refermées et et voit la cicatrise comme tu me l'as demander

Marlyn réouvrit les yeux, et laissa échapper un petit cri. Elle avait essayé de se relever,mais les cicatrices toutes récentes tiraient, et l'empéchaient encore de bouger.Elle dut se contraindre à rester accroupie, dans une position qu'elle aprréciait, fort heureusement.
Aridna la regardait, avec des yeux inquiets. Marlyn détourna le regard, et laissa le temps passer, regardant l'eau qui tombait.

La vois de la rêveuse la tira de son ennui...