Noam Adams (Félixia)

Noam s'avança lentement vers le bureau qu'on lui avait indiqué. Elle qui voulait de la liberté... elle se voyait obligée de demander son chemin! Si ce n'était pas le comble! Elle se sentait bizare. Elle avait souvent quitté sa nourice durant les 12 ans de sa vie... Mais jamais pour s'y installer vraiment! Elle révait de s'évader, de mener sa vie toute seule. Mais là, elle avait la forte impression qu'ici, elle allait être enfermée... Elle cligna des yeux pour effacer ses larmes : c'était une dure! Depuis la mort de ses parents, lorsqu'elle avait 6 ans, elle avait pleuré toutes les larmes de son corps et après, elle avait eu un horrible mal de tête et était réstée couchée pendant trois jours... C'était sa nourice, celle qui s'occupait d'elle quand ses parents étaient absents, qui l'avait consolée. Elle lui avait chuchoté pendant des heures et sans se lasser qu"il ne fallait pas pleurer. Que ça lui faiait du mal, qu'il fallait quelle regard la vie en face... Elle Noam s'était juré de ne plus pleurer... Et elle avait tenu! Elle n'allait pas lacher maintenant! Elle avait beau se répéter que tout aller bien, elle sentait qu'elle n'arrivait plus à avancer. Soudain, elle fit volte face et se mit à courir, courir... Elle buta dans la femme qui lui avait indiqué le bureau. Cette dernière lui répéta le chemin.
*Tout de même, Noam! Vas-y! Allez!*

Noam la remercia et repartit en direction du bureau, confiante. Ellefrappat à la porte et entra.

- Bonjour! Je m'appelle Noam, Noam Adams. J'ai douze ans et je vien ici dans l'esoir d'apprendre l'art du combat. lançat-elle d'une traite, pleine d'une nouvelle assurance. Je souhaite devenir marchombre. Ma nourice, Mamita... Ne me demandez-pas son vrai nom je l'ai oublié! Elle habite a Alchen. J'ai fait le long chemin sans elle, de charettes en charrettes... Comme vus le voyez, je suis loins d'être riche, j'espère, que si cela pose un problème, vous accepterez de m'accorder l'hospitalité pour une nuit, que je me repose.

De puis longtemps, Noam avait appris à parler comme une adulte. Elle révait de liberté. Pour elle, adulte était un demi-synonime... Elle regarda l'homme, Merwyn... L'accepterait-il? Avait-elle été correcte? Elle était toujour sèche quand elle parlait, dure. Elle masquait ainsi sa ensibilité... Mais peut-être était-ce impoli? Elle attendit sa réponse.

Noam observa la femme face elle.

*Comme je voudrais avoir ses cheuveux!* pensat l'enfant.

Malgrès la maturité que la femme avait fait remarquer, elle possédais encore des aspects très "petite fille".
Elle semblait belle et pleine de bonnes intentions. Noam ne su d'abord que penser puis décidat qu'elle l'appréciait quand elle se surpit à se demander si sa mère lui resemblait.

*Mais non! Tu as les cheuveux noirs voyons! Et les yeux verts! Quelle idée!*

Idée qu'elle abandonnat à regrets...
Elle ne savait pa pourquoi elle avait perdu son assurance, pourquoi elle avait envie de pleurer? Elle était en compagnie d'une femme qui avait l'air extrèmement gentille et qui lui disais qu'elle serait surement accéptée ici, elle étais enfin arrivée après son long et pénible voyage... Et elle avais les larmes aux yeux?! Elle renifla et chassa ses larmes pour la seconde fois.

- Oui. déclarat-elle tout en continuant de la dévisager de ses grands yeux verts. Je pratique un peu les bases. Ma nourice m'a apprit.

Elle avait chaud. Elle détachat l'élastique qu'elle gardait autour de ses poigners fins et attachat ses longs cheuveux noirs. La femme lui désignat un fauteuil où elle s'assit en croisant ses fines et longues jambes. Elle croisat ses bras musclés et attendit la réponse de la femme dont elle ne pouvais détourner le regard.