La vielle cabane (RP inachevé)

C'était la deuxième fois qu'Alunia allait à la vieille cabane mais cette fois-ci, elle était seule. La jeune fille n'aimait pas trop la solitude.
La vieille cabane était habitée, enfin en ce moment, elle ne savait pas. Alunia ne préférais d'ailleurs pas savoir. Elle marcha encore un peu et alla s'assoir dans un coin un peu éloignée. La jeune fille espérais rencontrer quelqu'un avant qu'elle pète un câble par excés de solitude.
Soudain, elle entendit des pas et Alunia se retourna d'un coup.

(=déjà quelqu'un pour répondre)

Le coeur d'Alunia fit un de ces bonds dans sa poitrine quand elle se retrouva nez à nez avec une flèche. Quand elle entendit la voix d'une jeune fille derrière l'arc, elle arrêta de loucher sur la flèche et elle sourit à la jeune fille.
- Salut Renn. Je me souviens bien de toi. Ca fait du bien de voir quelqu'un. dit-elle tout sourire.
Voyant que Renn se dirigeais vers la cabane, Alunia la prévint :
- Je crois que la cabane est habitée mais je ne sais pas par qui.

Renn sourit. Depuis son arrivée à l'Académie, elle était plus détendue et souriait plus souvent. Elle rangea son arc et dit :

- Désolée de t'avoir fais peur. Mais je suis méfiante.

Puis, elle écouta Alunia. Cette cabane, elle savait qui y vivait. Elle se souvenait :

- Ce sont les appartements de professeurs. Aridna Irel et Bjorn Til'N je crois.

Puis, elle regarda la jeune fille. C'était une dessinatrice, d'après ce que savait Renn. La jeune fillSe eu une soudaine inspiration. Elle se pencha, sortit une flèche, et écrit dans le sol :

- Ah, c'est donc eux qui y vivent. Je le saurait pour la prochaine fois. dit Alunia, tout sourire.
Puis Renn se pencha vers le sol et de la pointe d'une de ses flèches, elle inscrivit :

Alunia regarda longuement ce message. Parfois, elle ,aussi, avait des moments de solitude. Sa famille lui manquait parfois mais ses amis étaient là. Enfin, aujourd'hui, la jeune fille ne savait pas où ils étaient.
- Tu sais, je veux bien être ton amie. C'est horrible la solitude, enfin, c'est mon point de vue. Alors, amie ?
Alunia lui tendit une main chaleureuse, elle espérait que la jeune fille, en face d'elle, la serrerait, ce qui scellerait leur amitiè.

Renn serra donc la main tendue d'Alunia pour sceller leur nouvelle amitié puis la jeune Corbac devint bizarre. La jeune fille se retourna brusquement comme si elle se sentait observée et regarda Alunia. Mais celle-ci n'avait rien senti et ne sentait rien. Renn lui mit quand même un doute. Les mercenaires du Chaos venaient trop souvent à l'Académie faire un stage de découpe d'élèves.
Soudain, une éclair sortit de nulle part éjecta son amie qui se retrouva aux pieds de la jeune Lotra.
- Que... qu'est-ce qui c'est passé ?! demanda Renn.
- Je ne sais pas mais, en tout cas, je suis sûre que c'était un dessin, vu le bruit que ça a fait dans les Spires. répondit Alunia avant de jeter ,elle aussi, un regard méfiant vers le buisson.

Alunia n'était pas rassurée et Renn non plus, d'ailleurs. Celle-ci proposa de partir, ce qu'Alunia approuva aussitôt. Mais son amie se dirigea soudain vers les restes du buisson en cendre et en sortit une pierre ronde. Cette étrange pierre était extrêmement jolie mais elle avait un aura vraiment maléfique. Sa couleur bleue intense faisait d'elle, une pierre d'une beauté incomparable.
- C'est quoi à ton avis ? demanda Renn, la pierre à la main.
- Aucune idée, mais elle est magnifique cette pierre, tout comme elle m'a l'air dangereuse. répondit la Lotra. A mon avis, on devrait la garder et pas la reposer parcequ'elle appartient peut-être à un mercenaire du Chaos et je ne sais pas à quoi elle sert mais on ne le lui rendra pas.
La jeune fille avait parlé d'un air déterminé. Elle savait que la plupart des personnes dans l'Académie n'aimait pas les mercenaires du Chaos. Et si un mercenaire avait cette pierre sur soi, c'est qu'elle devait lui servir.

- Tu as raison. Gardons-la avec nous. Comme ça, si le mercenaire la veut, il aura qu'à venir la chercher !

Renn prit le même air de défi qu'Alunia. Puis, voyant la tête que les deux jeunes filles tiraient, elle éclata de rire. Puis, se calmant tant bien que mal au bout de quelques minutes, essayant de retrouver son calme, même si elle avait du mal, elle dit :

- On a juste à espérer que ce fameux mercenaire ne traîne pas dans le coin. Sinon, on va se retrouver dans les ennuis jusqu'au cou. Battre un mercenaire, à nous deux, on aura du mal. (n'est-ce pas Valen :p) Donc... croisons les doigts.

Sur ce, Renn, qui n'était pas tout à fait calmée, recommença à rire en voyant la tête qu'Alunia tirait. Puis, elle se calma vraiment. Un bruit suspect venait de parvenir à ses oreilles. Derrière les deux académiciennes. Mais, vu la puissance du bruit, il devait être loin. Loin, mais dans l'enceinte de l'Académie c'était certain. Renn se retourna d'un bond. Son arc au point. A voir Alunia, celle-ci n'avait rien entendu. Un bruit de chaîne, de métal que l'on traînait, comme une armure. Renn se retourne vers la jeune fille et lui dit d'une voix calme, comme à son habitude :

- J'ai entendu quelque chose, un bruit de métal, de chaîne. Comme une armure. Ce n'est pas un mercenaire ça c'est sûr. Ils ne portent jamais d'armure. Ou très rarement. Mais c'était plus lourd. Ca doit être énorme.

- Tu as raison. Gardons-la avec nous. Comme ça, si le mercenaire la veut, il aura qu'à venir la chercher ! dit Renn. Puis, les deux jeunes filles se regardèrent et soudain, éclatèrent de rire.
- On a juste à espérer que ce fameux mercenaire ne traîne pas dans le coin. Sinon, on va se retrouver dans les ennuis jusqu'au cou. Battre un mercenaire, à nous deux, on aura du mal. Donc... croisons les doigts. reprit la Corbac.
Alunia fit mine alors de croiser les doigts mais elle exagéra ses mimiques, pour à la fin, avoir une mine de constipé sur le pot. Renn éclata à nouveau de rire, suivit bientôt de la Lotra.
Brusquement, Renn arrêta de rire et tendit son visage vers un endroit précis. Alunia regarda son amie, d'un regard étonné.
- J'ai entendu quelque chose, un bruit de métal, de chaîne. Comme une armure. Ce n'est pas un mercenaire ça c'est sûr. Ils ne portent jamais d'armure. Ou très rarement. Mais c'était plus lourd. Ca doit être énorme. lui expliqua calmement Renn.
Alunia agrandit soudain ses yeux verts intense. Des bruits métalliques comme une armure, pour sûr, ce n'était pas un mercenaire mais peut-être un t'sliche. Ils portaient parfois aussi une armure sur eux, du moins, dans les encyclopédies. Et elle expliqua ses craintes à son amie.
- Un t'sliche, ça porte parfois des armures, non?

- Un t'sliche, ça porte parfois des armures, non?

Ces mots firent frissoner Renn. Elle avait déjà eu l'occasion de se frotter à un Ts'Lich et l'avait payer cher. Elle ré-écouta attentivement le bruit. C'est vrai qu'il lui rappelait celui que faisait le monstre qui a tué son maître. Elle commença à douter et dit à Alunia :

- Euh... les Ts'Lich ne porte pas vraiment d'"armure" à proprement parler. Mais ils ont des sortes d'anneaux en fer autour du cou qui font à peu près le même bruit. Ce bruit là quoi. Mais je ne pense pas que ça en soit un. Dit elle en levant un doigt vers le ciel quand le bruit c'était accentué.

Elle tourna la tête et scruta les arbres, pour essayer de trouver un quelconque indice de la présence d'un Ts'Lich, ou d'autre chose. Mais bon... Vu l'épaisse toufu de l'espèce de forêt devant elle, elle ne voyait absolument rien.

*Peut-être devrait-on prévenir les habitants de la cabane* se dit-elle.

Mais, elle préfèrait attendre quelque chose qui lui montrerait, qui lui prouverait par a+b que c'était un Ts'Lich. Un bruit de voix, ou tout simplement voir la bestiole.
Elle distingua une forme énorme qui se mouvait sans grâce à travers les arbres. Une forme étrange, verte. Comme... comme un Ts'Lich !! Non, c'était juste les feuilles qui bougeaient. Mais qu'est-ce qui les faisait remuer comme ça ? Elle apperçu soudain un félin. Enorme. Un tigre des prairies. Elle courut vers la porte de la vieille cabane et frappa de toutes ses forces à la porte.

*Pourvu qu'on vienne nous ouvrir, pourvu qu'on vienne nous ouvrir !!*

Aridna faisait un peu de ménage dans ses appartements à elle et à Bjorn. Elle venait de détruir pour la énième fois une toile d'araignée.
*Un bon ménage ne fait jamais de tord.*

Des violents coups fapper à la porte de la vieille cabane la firent sursauté. La personne semblait presser de la voir elle ou Bjorn. Aridna se dirigea vers la porte. Elle eu à peine le temps de l'ouvrir, que déjà deux filles étaient entrées.

-Qu'est-ce que...

Dans un grand claquement, l'une d'elle ferma la porte, le souffle couper et soulager. La rêveuse était sans voix. Elle laissa le temsp aux deux filles de se calmer.

-Qu'est-ce qui se passe ici?

La femme attendit avec impatience une réponse.

Bjorn arrivait tranquillement vers la cabane. Il avait une petite table à la main, amenagement necessaire à la cabane. En effet, un endroit ou ecrire dans cette cabande faisait defaut. Il s'etait donc permis d'en demander une au concierge, qui accepta. Il arriva, la lourde table dans les bras. Sans prendre le temps de frapper, il poussa la porte, mais celle ci resista. Aridna faisait etait pourtant là tout à l'heure. Il passaient un coup de balais, et amenagaient la cabane pour en faire un endroit au confort plus douillet. Il posa alors la table, frappa cette fois à la porte, et demanda s'il y avait quelqu'un. Un voix pas tranquille lui repondit :
- Oui, nous nous sommes enfermées à l'interieur, un Tigre des prairies est là.

Juste à ce moment, Bjorn entendit les rugissements caracteristique du félin. Il frappa de plus belle à la porte et dit :
- Laissez moi entrer, il faut l'empecher de rentrer dans l'academie !

La porte s'entrouvrit, et Bjorn s'y engrouffra. Il se retourna, et vit deux eleves apeurées, avec Aridna, qui ne parraissait pas tranquille. Il dit :
-Vous devriez vous eloigner de la porte. Prenez des armes qui sont là, on va sortir.

Sans reflechir à ce qu'il faisait, il prit sa hache, passa une cote de mailles sur ses epaules, prit son ecu, et sortit. Il sortit, pres à eviter toute attaque, laissant les filles l'aider. Elles auraient du mal, mais si Bjorn voulais empecher le Tigre des prairies de fuir, il devait prendre toute les forces qu'il avait sous la main. Il tenta de reperer le tigre, quand une de ses coequipieres le prevint d'un danger.

Un tambourinement monstre à la porte fit sursauté Renn. Celle-ci courut regarder par la fenêtre et reconnut Bjorn. Elle lui expliqua le topo et il prit une décision.

- Vous devriez vous eloigner de la porte. Prenez des armes qui sont là, on va sortir.

Renn saisit son arc dans son dos et encocha une flèche, repérant Aridna, qu'elle savait, comme toutes rêveuses, pacifiste, elle lui dit :

- Professeur Irel, passez derrière moi, je vous protègerais, promis.

Elle sourit. Espérant qu'Aridna lui ferait confiance, elle attendit les ordre de Bjorn, posté devant. Alunia prépara les Spires. Le guerrier passa devant, sur le point d'ouvrir la porte, lorsque d'une griffe énorme traversa le bois de celle-ci et envoya Bjorn quelques mètres plus loin, blessé au bras.
Aridna se précipita sur lui pour dérouler son rêve. Tandis que le tigre continuait de lacérer la porte. Renn recula, essayant de viser le bon moment.
Elle tira une flèche, le tigre la reçu dans la patte. Elle aida Bjorn à se relever.

- On fait quoi maintenant ?

Tout c'était passé très vite, le tigre avait jeté à terre Bjorn, Renn avait tiré une flèche dans la patte du tigre et celui-ci les regarda d'un air mauvais.
Alunia, elle, s'était jeté dans les Spires et avait créé une cage autour du tigre en attendant que quelqu'un trouve une idée de quoi en faire. Le tigre commença alors à se jeter contre les barreaux de la cage. Alunia se concentra sur son dessin afin que celui-ci ne se torde pas sous l'effet du poids de l'animal. Mais le tigre était très fort et son dessin avait été créé à la va-vite, ce qui n'arrangeait rien. Mais la jeune dessinatrice résista et renforça les barreaux de la cage.
- Ca vous dirais de m'aider un peu ? demanda-t-elle, le visage intensément concentré.