Entretien écourté... (RP terminé)

Les cinq compagnons entèrent dans l'Auberge du Siffleur, endroit vraiment mal fréquenté car il fesait partie des lieux préféré des mercenaires. Alatariel avait le visage caché par la capuche de sa large cape. Les mercenaires la connaissait et elle ne pouvait se permetre d'arriver sans aucune précotion. Même les moins physionomiste pouvaient la reconnaitre facilement. Elle fit signe aux quatre jeunes gens qui l'accompagnait.

-Ne vous faite surtout pas remarquer, je ne peut pas utiliser les Spire ici à moins d'un cas d'éxtrême urgence et si cela arrvie utiliser les voyageuse que nous a donner Merwyn. Vous pouvez allez où vous voulez mais à condition de pouvoir sorir sans difficulté. Je serais assise là bas.

Elle se dirigea vers une table un peu dissimulée et s'assit en face de celui qui l'attendait et la discution débuta.

-Tu aurais pu choisir un autre endroit Gelmir tu sais bienque je ne suis pas très entousiaste à l'idée de me trouver au même endroit qu'un mercenaire surtout que j'en ai repérer quelques un qui sont mentaï. Enfin passons sur ça. Qu'a tu à m'aprendre aujourd'hui ?

-Ils sont agités, très agités même, ils préparent quelque chose et ça sent plutôt mauvais. Ils savent que tu est dans cette ville... Et veulent te récupéré. D'après ce que j'ai apris, ils compte t'utiliser, encore une fois avec "ça".

Alatariel frissonna rien qu'a l'idée de cette chose... Elle n'interrompi pourtant pas son interlocuteur.

-Ils savent que tu est dans l'Académie, Alatariel... Ils y a des mercenaires enfin pour le moins un qui s'est infiltrer.
Sinon je doit t'informer que Alatariel Elanessë n'est pas ton vrai nom... La jeune femme senti son coeur s'arrêter l'espace d'un instant. Comment s'apellait elle dans ce cas? Qui était elle? Son sang se glaça. Maintenant que je le sais je ne m'étonne pas que tes rrecherche n'ai servi à rien. Et pourquoi tes parents ont préférer te cacher ton vrai nom. Ton histoire est quelque peut déconcertante d'ailleur mais il vaudrais mieux ne pas en parler ici...

-Je... Il faut que je sache Gelmir, c'est nésséçaire pour moi, tu comprend. Il la pris dans ses bras e fit un pas sur le côté vers l'éxtérieure de la taverne et il entra en communication avec Arro, Mewenne, Marlyn et Ealsya.

*Sortez dépéchez vous de sortir et suivez nous, on est pas loins on se dirige vers la Citadelle des Frontaliers Alatariel est avec moi...*

Alatariel et Gelmir était à cheval quand leurs compagnons déboulèrent dans la rue. Et tous même Arro grimpèrent sur leurs chevaux. Les six voyageurs partirent au galop sans plus attendre. Dans la taverne une flèche se trouvait planté à l'endroit où se tenait Alatariel...

*Le voyage commence bien.*

Mewenne était sur Élionne, le cheval de sable qu'elle avait rencontrer à l'académie. Le voyage avait bien débuter jusqu'à ce qu'ils durent prendre la fuite. À peine quelques minutes après leur fuite de l'auberge, une cavalière avait rejoind le groupe. Le visage de la nouvelle ne lui était pas étranger, mais Mewenne ne connaissait pas son nom. Elle se souvenait l'avoir déjà vu dans plusieurs de ses cours. L'apprentie marchombre vit la nouvelle se placer près de Arro. Sans attendre, Mewenne alla les rejoindre pour finalement se placer à côté de Galadriel.

*Je ne passerai pas tout le restant du voyage sans la connaitre bon sang.*

-Bonjour, je ne croie pas te connaitre encore et si il faut voyager ensemble, j'aimerais bien savoir qui tu es. Je me nomme Mewenne Firda, élève à Félixia et apprentie marchombre.

La nouvelle se nommait Galadriel et comme elle, était une élève à Félixia. Ils passèrent encore un bon moment à chevauché, jusqu'à ce que Alatariel déclare qu'ils s'arrêtaient pour la nuit.

Galadriel discutait avec Arro quand une jeune fille vint se placer à côté d'eux. Galadriel la connaissait de vue, mais son nom lui échappait. La nouvelle venue lui dit :

- Bonjour, je ne croie pas te connaitre encore et si il faut voyager ensemble, j'aimerais bien savoir qui tu es. Je me nomme Mewenne Firda, élève à Félixia et apprentie marchombre.

Galadriel lui sourit, elle avait l'air très sympathique. Elle lui répondit :

- Je m'appelle Galadriel Sil'Miryan. Je suis élève à Félixia et future sentinelle. Enchantée de te connaître.

Elle fit un grand sourire à Mewenne et elles continuèrent de parler pendant tout le trajet jusqu'à ce que Alatariel les arrête pour passer la nuit.

Marlyn n'avait pas prononcé un mot depuis leur départ de l'auberge, trop occupée a se retenir de tuer les Mercenaires présent dans l'auberge. Les voir ainsi a portée de ses lames luifaisait mal au coeur, mais elle dut se résigner.

Elle enfourcha rapidement Aelita, qui hennit de bonheur a l'approche de sa maitresse. Puis la bande partit vers la citadelle. Marlyn resta à l'écart, ne parlant a personne, ne regardant que les environs pour éviter les embuscades. Elle avait trop de rancoeur envers les Mercenaires pour rester passive.
Voulant rester seule, elle partiait souvent au galop sur la piste, loin devant les autres, pour surveiller, et pour crier...

Lors d'une nouvelle chevauchée en solitaire, Marlyn remarqua le cheval de Easlya. Elle ne fit rien pour la semer.

Marlyn, qu'est-ce qui ne va pas? Tu ne parles as depuuis qu'on est partis de 'auberge. Je me doute que c'est à cause des Mercenaires mais tu ne dois pas te miner le moral à cause d'eux.
Et, si tu veux parler, je suis la, comme à la cascade tu as été là pour moi et tu m'as livré tes secrets, si tu as besoin de parler je t'écouterais, comme... une amie ou... une soeur.


Marlyn savait que Easlya voulait l'aider, mais les mots qui sortirent de sa bouche furent tout autre.


Je ne dois pas me miner le moral a cause d'eux ?! Ils ont détruit mon honneur, ils m'ont marqué comme...comme un chien.

Elle montra ses tatouages au visage. Et reprit d'une voix forte :

J'ai juré de me venger de leur guilde. Je n'ai jamais été aussi prét de les tuer, de les détruire. Mais je n'ai rien pu faire. Je ne pouvais tout simplement pas. J'ai l'impression de me mentir a moi même, mais a part ca, tout va bien ! tout va merveilleusement bien!
Je n'ai jamais eu de soeur. Mes parents ne m'ont pas fait l'honneur de me le dire avant de mourir. J'ai toujours vécu seule, je n'ai pas besoin qu'on m'écoute. Alors laisse moi !

Marlyn s'éloigna au galop. Elle avait pété les plombs. Détruire les Mercenaires était le but qui l'avait conduite a l'académie. Elle s'en voulait beaucoup.
Elle chevaucha loin des autres, seule. Arrivant devant un roc, loin de la piste, elle arréta sa jument, et lanca une dague. Elle alla se ficher droit dans la roche. Pleurant, Marlyn s'assit, et hurla. Elle s'en voulait, elle ne voulait pas blesser Ealsya. Elle n'aurait jamais du la repousser. Sa seule amie, sa soeur. Elle ne voulait pas la perdre...

Arro planta ses deux dagues à ses pieds. Easlya arriva, ainsi qu'Alatariel. Trop de choses en une seconde. Marlyn fut dépassée.
Le sermon conjugué de Arro Easlya et Alatariel lui fit l'effet d'une douche froide.La colère la quitta, elle redevint calme.
Assimilant lentement les paroles plus que douloureuses de la panthère, Marlyn les regarda à tour de rôle. bouche ouverte.
Elle était consciente d'avoir pété les plombs. Elle le regrettait amèrement. Ses paroles, elle n'avait jamais eu l'intention de les prononcer.
Marlyn avait blessé Easlya. Elle ne regagnerait sûrement jamais sa confiance. C'était comme de perdre une deuxième fois ses parents.

Essayant de ne pas y penser pendant quelques secondes, Marlyn réfléchit ( incroyable^^). Elle avait faitune promeese à Alatariel. Elle l'aiderait dans sa quête, faisant passer ses intêrets personnels au second plan. La félixia murmura :

Je reste. Je t'ai fait une promesse, Alatariel, j'y ai failli. Laisse moi une chance de me rattraper. Je reste avec vous.

Marlyn alla chercher ses dagues, échappant aux regards des autres. Puis elle alla seller Aelita, et prépara ses affaires.
Par mesure de précaution, elle garda ses dagues en main.
Quelques minutes plus tard, elle revint vers Arro, Alatariel et Easlya. Un lourd silence s'installa. Marlyn était mal à l'aise. Sachant que cela ne voulait plus dire grand-chose, elle ajouta :

Je suis désolée de vous avoir génée. J'ai...j'ai pété les plombs. Je n'aurais jamais dû. Vous avez tous souffert à cause des Mercenaires, j'aurais dû le savoir.

Marlyn tourna les yeux vers Easlya, qui la fusilla du regard.
Les autres se préparèrent à repartir. Marlyn resta un moment au sol, pensive. Puis elle se décida :

Easlya, je dois te parler, seule à seule.

Marlyn éspéra que les autres comprendraient...

Marlyn prit Easlya par l'épaule, et s'assit avec elle sur le rocher, qui quelques minutes plus tot, supportaient ses deux dagues.
Elle aussi était mal à l'aise. Mais elle ne se laisserait pas aller aux larmes. Les larmes seraient un signe de faiblesse, de dénégation de la vérité pure. Marlyn se leva, et plongea ses yeux dans ceux de sa soeur.

Mes, pardon, nos parents sont morts quand j'avais un an, tu venais surement de naitre. Je suppose qu'ils t'avaient confié a quelqu'un, avant de mourir. La dernière vision que j'ai d'eux, je te l'ai déja racontée. Tu n'apparait pas dedans.
Mais la preuve est la. La vérité ne peut être écartée. Tu es ma soeur, et j'aimerais rester dans de bons termes avec toi.
Je viens de te dire que l'on voit mon nom aussi, mais je ne l'ai pas cité, tiens tu a savoir le nom biologique de ta soeur ?

Marlyn se leva a nouveau, essayant de ne pas croiser le regard d'Easlya, ou plutot de Sayuri...

Marlyn laissa les larmes pleurer sur les joues de sa soeur. Elle n'essaya pas de les retenir.

Je ne le dirais pas aux autres. J'espère que tu comprends pourquoi.
Maintenat, Sayuri, repartons vers eux, ils ont besoin de nous.

Les deux soeurs devisèrent encore pendant tout le voyage...