Cours de Civilisation : leçon n°2

Arya écouta la présentation de Deidra. Après ça, elle se dit que, enfin !, son cours allait commencer. Elle regarda tous ses élèves. La salle était agréablement plus remplie que la première fois. Arya espérait que cette fois ci, ça se passerait mieux. Elle s'approcha de la carte et commenca son cours :

- Alors. Aujourd'hui nous allons parler de l'autre monde. Alors, nous sommes à l'époque où la grande-Bretagne (elle montra l'île sur la carte) fut envahi par les Saxons. Suite au retrait des légions romaines. C'est-à-dire que les armées de Romains, une nationalité comme Alavirien mais pour l'Autre Monde, battaient en retraite. C'est également à cette époque que se déroula la légende d'Arthur.

Après cette phrase, la professeur regarda Celebriän.

- Cette légende est née quand Merlin, un mage, créa l'épée Excalibur. L'histoire disais que la personne qui arriverait à dégager l'épée de la pierre où elle était prisonnière deviendrait le souverain de Grande-Bretagne. Le roi, Uther Pendragon, vint à mourir. Tout le royaume pensait qu'Arthur, son fils, allait prendre le relai. Mais il n'en fut rien. L'épée fut libérée de la pierre par sa soeur, Celebriän. Arthur, furieux, lui vola l'épée et la congédia. Il se proclama roi et plus personne n'entendit parler de Celebriän. Elle revint, quelques années plus tard, aidée par un magicien. Elle récupera Excalibur aux mains de son frère et disparut. On entendit plus jamais parler d'elle. Enfin ... là-bas.

Elle sourit. Ne sachant pas qui était au courant que leur Celebriän était la même que celle de la légende. Mais bon, elle lui avait demandé, et elle était d'accord donc :

- Nous avons une chance particulière. Nous avons cette Celebriän ici, avec nous. Celebriän, veux-tu venir raconter l'histoire sous ton point de vue ? Je leur ai parlé du l'essentiel. Mais si tu pouvais mettre des détails pour rendre l'histoire plus intéressante. Ou pour nous dire ce que tu as fais durant les années où tu as été congédiée.

Arya s'écarta, laissant place à la jeune Chantelame.

Celebriän se leva et prit la place de la professeure, fesant face à la classe. Pour la première fois depuis bien des années sa voie allait s'élever devant tout un groupe qui lui portait son entière attention, seulement cette fois ci ce n'était pas pour une bataille. Elle pris parole de manière douce, contrôlée et chantante. Elle inspira et commença son réçit.

-Quand avais environs sept ans je me trouvais dans l'autre monde car j'en suis originaire... Merwyn, qui là bas se fait appeller Merlin dit "L'enchanteur", venait de planté une épée, Excalibur, et annonça que celui qui retirait l'épée du rocher où il l'avait mis deviendrais roi. Mais ce fut moi qui la retira... Mon frère aîner, Arthur, me déroba mes seul biens qui étaient Excalibur, mon épée et son fourreau pour accuérir le pouvoir avant que personne ne put savoir que c'était moi qui avait libéré l'épée. Un jour Merwyn me fis prendre concience de ce qu'il avait fait et j'ai tenté plusieurs fois de récupéré ce qui m'apartenais bien sûre Merlin à tenter de m'aider mais au final, j'ai réussit seule... Elle fit une pose. La dernière chose que je me souvient c'est que je fuyais Camelot, la cité où est réunis toute la cour du roi, Mes uniques possétions dans les bras, avant d'arrivé dans ce monde, je ne sais toujours pas comment... En me réveillant, je ne me souvenais que de mon nom et j'avais la certitude de ne jamais devoir me séparé d'elle, enfin Excalibur. Voilà l'histoire de mon point de vue...

(H-j -> Marlyn... désolée d'avoir éffacer ton message mais tu perturbais le cours. Pour infos, je ne suis pas une spécialiste de cette légende et les petits détails, c'est pas très grave)

Arya écouta avec attention l'histoire racontée par Celebriän. Tous les détails donnaient à l'histoire plus de vie. Quand la jeune fille eut fini, le professeur se leva et dit :

- Merci Celebriän pour cette histoire très intéressante. Maintenant, est-ce que quelqu'un aurait des questions sur cette légende ? Ou bien est-ce que quelqu'un voudrait rajouter quelque chose ?

Attendant que des mains se lèvent, Arya repensa à ce cours. Il c'était, pour l'instant, plutôt bien dérouler. Marlyn n'avait pas encore ramener ses sciences. Et personne n'avait interrompu l'histoire. Elle rajouta :

- Quelqu'un connaissait-il cette légende ? Elle est connue dans l'autre monde pour le côté magique. Car la magie, ni même le Dessin, n'existe dans l'autre monde. Alors qu'en Gwendalavir, ça n'a rien d'étonnant. L'autre monde ne croit pas en la magie. Ce qui est, en soit, idiot vu qu'elle existe réellement en Gwendalavir alors pourquoi pas là-bas ?

( pas grave, je vais me ratraper. Ramener ses sciences ?! )

Marlyn ne leva pas la main, consciente que son intervention ne serait pas la bienvenue.
Mais quand Arya parla de l'aute monde, et de sa non foi en la magie, elle ne put s'empécher d'ouvrir la bouche, avant de la refermer.
Arya percut ce mouvement, et lui jeta un regard oucrroucé. Marlyn le soutint, et attendit une quelquonque réaction de la part de la prof.

- Marlyn Til'Asnil ? Avez-vous quelque chose à ajouter sur le cours ? Dîtes ce que vous pensez, ça m'intéresse au plus haut point étant donné vos merveilleuses performances du cours dernier.

Marlyn se retint a grand peine de sortir ses dagues. Faisant un geste furtif vers ses fourreaux, elle se ravisa. Cette prof ne valait pas la peine de tâter ses armes.

Jetant un regard de haine vers Arya, elle ne dit rien, et commenca à ranger ses affaires. Son sac sur l'épaule, elle se leva, sous le regard intrigué des autres, sauf de Sayana, qui souriait, rangée du coté de son amie.
Croisant le regard de Arya, elle vit passer sur son visage un sourire narquois, à son attention. Ce fut pusqu'elle ne pouvait supporter. Son honneur était blessé. Elle devait le regagner.
Donnant d'un mouvement rapide son sac à Sayana, qui le prit volontiers, elle se dirigea à pas lents vers le bureau, ou se tenait Arya.
Celle-ci la regardait toujours d'un air de mépris.
N'écoutant que son insctinct, elle dégaina ses deux dagues. D'un mouvement rapide et presque sans bruit, elle en placa une sous la gorge de la rêveuse, une dans ses côtes. Au moindre mouvement suspect, elle était prète à les enfoncer.

Mettant dans sa voix tout le mépris qu'elle éprouvait à l'égard de la professeure de civilisation, elle murmura, de telle sorte que personne dans la classe ne l'entendit :

Je vous préviens. Vous ne bafourez plus jamais mon honneur. Je suis prète à vous tuer, alors prenez garde. J'en suis capable.


Alors que la rêveuse esquissait un geste pour se dégager de la poigne de Marlyn, celle-ci la saisit par la col, et dit d'une voix haute, de sorte que toute la classe l'entende :

Aujourd'hui, je ne vous tuerez pas, rêveuse. Mais si je vous rencontre ailleurs que dans ce cours, ou je suis obligée de rester, je vous préviens, je vous tuerai.

Et d'un geste hargneux, elle fit mine de planter une de ses dagues dans le ventre de la réveuse, mais dévia au dernier moment, et ne lui traca qu'une ligne sans gravité sur le flanc. Puis elle retira son arme, ruisselante de sang, et l'essuya sur la robe de sa victime.
La lachant, elle la regarda s'affaler au sol. Une comédie. Marlyn lacha un juron, et la frappa au sol, du pied et du poing. Puis d'un pas rapide, elle retourna sans un regard pour la classe le fond de la salle, prit son sac, et sortit du cours, la porte claquant derrière elle.





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