Aro Maltalt [Dessinateur - Corbac]

Description générale

- Nom : Maltalt

- Prénom : Aro


- Race : Humain.


- Age : vingt ans


- Classe (primaire) : Dessinateur


- Classe secondaire : /


- Enseignement suivi/ Enseignement dispensé : Dessin




Description physique et mentale

- Description physique :

Aro est grand et brun, le teint pâli par les heures d’études, pas spécialement musclé et même un peu trop fin.Il n’est pas particulièrement vif ni rapide, encore moins souple, mais fait preuve d’une vivacité d’esprit étonnante, et est assez endurant. Il avance à grandes enjambées, hors de l’académie il porte une simple tunique beige clair et un pantalon de la même couleur, ainsi que des bottes souples.
Il n’a pas d’armes à lui, et ne se bat pas spécialement bien, ni à mains nues ni armé, et passe en général pour un être insignifiant. Son physique commun le rend facile à oublier, et il passe totalement inaperçu dans la foule.
Aucune cicatrice ne le distingue, et il n’est pas particulièrement beau ni laid, juste…dans la moyenne.
Son visage est fin, lèvres toutes aussi fines tout comme ses sourcils.
Il a des cheveux raides qui tombent jusqu’ aux épaules, qu’il laisse flotter.
Ses yeux sont noisettes et vifs, un regard survolant en général le paysage, mais fixe et pénétrant quand il fait face à un interlocuteur. Ils sont toujours à demi fermés et de grandes cernes noires sont en général présentes au-dessous d’eux.



-Description du caractère : de 5 à 10 lignes au minimum

Aro est sérieux et concentré sur sa tâche actuelle, et a du mal à s’ouvrir, mais n’est cependant pas dépourvu d’humour. De plus, il ne fait pas toujours assez attention à ce qui l’entoure.
Il déteste parler en public, et cherche à éviter le contact humain. Cependant, il aime sa solitude et n’est pas particulièrement nerveux, ce qui ne veut pas dire qu’il n’est pas sujet au stress, loin de là. Cependant, il gère assez bien la tension, bien qu’il devienne parfois sec et brusque en ces occasions.
Il est calme et posé dans les autres occasions, et fait preuve d’une vivacité d’esprit assez étonnante et d’une grande intelligence, tant dans sa maîtrise du Don que dans la vie quotidienne.





- Principale(s) qualité(s) :
Calme, gérant bien le stress, sérieux et studieux.

- Principal(s) défaut(s) :
N’aime pas le contact humain, parfois trop sec et brusque en période de stress, et se surmène parfois.

- Particularité(s) :
Aucune.

- Capacités:

Sa maîtrise du Don n’est pas des plus puissant, quoi que largement au-dessus du commun du peuple ( en tout cas suffisamment pour être qualifié de « dessinateur de bon niveau ») mais il compense ce défaut par une grande subtilité quant à son maniement, et fait preuve d’imagination quant à ses créations.
Etant donné qu’il ne sait pas se battre avec une arme, il se débrouille pour maintenir l’adversaire loin de lui grâce à ses créations, toujours originales et surprenantes. Par exemple, lors d’un combat à plusieurs ou d’une bataille mortelle, il lui arrive de créer de petites billes d’acier qu’il projette à grande vitesse dans des angles improbables, suffisamment rapidement pour pouvoir briser un os ou percer une boîte crânienne. Dans un combat amical, il remplace l’acier par le bois.
Il est particulièrement doué pour s'approprier les dessins de ses ennemis et les rendre inoffensifs, voir les retourner contre eux.

Vécu et histoire sociale

- Situation familiale :

Parents issus de la classe moyenne d’ Al-Jeit, père aubergiste et mère dessinatrice au service du palais.



- Situation sociale :

Issu de la classe moyenne d’ Al-Jeit, il a côtoyé simultanément le palais et l’auberge de son père.


- Histoire : 20 lignes au minimum

Né dans un petit village, Aro connut d’abord le travail dans les champs et l’élevage de siffleurs. Puis lui et sa famille déménagèrent à la capitale, étant donné que le Don de sa mère n’était guère utile en campagne.
Ce fut là-bas qu’ Aro apprit à lire et à « écrire, et reçut des bases d’histoires et de diverses autres matières. Ses parents, bien que peu fortunés, mettaient un point d’honneur à assurer l’éducation de son fils.
Fils qui grandit tranquillement, à son rythme, sans toutefois se lier aux enfants de son âge.
A ses dix ans, Aro commença à se plonger de plus en plus longtemps dans de fumeux ouvrages d’histoire, au point de consacrer une grande part de ses nuits à déchiffrer les caractères des pages. Il acquit ainsi une solide connaissance sur des domaines variés, alors que les autres enfants de son âge se consacraient à se muscler, et y « gagna » ses cernes, car les nuits d’études l’épuisait. Pourtant, il ne prêtait pas grand cas à sa fatigue et recommençait dès le lendemain.
Bien sûr, il aidait aussi son père à tenir la taverne sans jamais se plaindre, conscient que cette auberge représentait une grande part de leurs revenus. Il ne pouvait en revanche pas seconder sa mère, son don ne s’étant pas encore révélé, si Don il y avait.
Puis, vers ses dix-sept ans, ledit Don apparut derrière un premier dessin. Le contexte était tout simplement le suivant : Contrairement à son habitude, Aro s’était mêlé à une bande d’adolescents se lançant des défis dans les rues d’ Al-Jeit. Il était le plus âgé, mais certainement pas le plus musclé, et d’ailleurs les autres le méprisaient pour sa passion littéraire, et aussi par le fait qu’il ne les rejoignait jamais dans leurs déambulations. Le jeune homme fut poussé à « prouver qu’il était un homme » en grimpant à une des rares tours en pierre de la capitale. Bien sûr, il n’avait aucune chance d’ y parvenir, mais avec une stupidité étonnante venant de lui, il accepta.
Et le voilà se hissant tant bien que mal quelques mètres au-dessus du sol. Arrivé à une dizaine, ses bras et jambes flageolaient, et ses doigts étaient à vif. De plus, les prises étaient peu nombreuses, espacées et glissantes.
Soudain, il regarda en bas. Ses « amis » le regardaient, à une distance raisonnable pour éviter de lui servir d’amortisseur s’il chutait, mais ce fut surtout la hauteur à laquelle il s’était hissé qui le frappa.
Stupéfait, il tendit un bras, tenta de verrouiller ses doigts dans une fissure insignifiante, la rata… en même temps, une autre prise du même genre que celle qu’il avait échoué à atteindre s’effrita sous ses pieds, et il commença à tomber.
Chutant dans les airs, Aro eut le temps de se demander ce qu’il y avait après la vie, de fermer les yeux…avant d’atterrir sur un épais matelas.
Stupéfait, il rouvrit les yeux, et remarqua qu’une dizaine de personnes l’entouraient. Les adolescents qui lui avaient lancés ce défi stupide, mais aussi des adultes inquiets pour sa santé.
Stupéfait, l’adolescent leur assura qu’il allait bien et les questionna quant au matelas. Les spectateurs se montrèrent catégoriques : ledit matelas avait surgi à la dernière seconde, et était probablement un dessin. Hypothèse confirmée par l’objet, qui disparut soudainement.
Stupéfait, le jeune homme rentra chez lui et raconta son aventure à son père, puis à sa mère. Celle-ci confirma qu’il avait le Don, et s’employa à lui apprendre à s’en servir, son fils se montrant remarquablement doué.
Puis plus tard, quand sa mère ne suffit plus, Aro fut confié à des professeurs qualifiés qui purent l’aider à développer sa maîtrise du Don.
Enfin, le jeune dessinateur apprit l’existence de l’ Académie de Merwyn dans les alentours d’ Al-Poll, et décida de s’y rendre.

Autres

- Comment avez-vous connu ce site ? Par un topsite, en faisant des recherches sur les RPGs sur le thème des livres de Pierre Bottero.

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