Nirül Essinkil [Marchombre - Elève à Félixia]

Nom : Essinkil
Prénom : Nirül
Race : Humain
Age : 14 ans
Alignement : Rebelle
Classe (primaire) : Marchombre si possible
Enseignement suivi : voie du Marchombre

Description physique et mentale :

Description physique :
Jeune de 14 Nirüle a un physique d’enfant plutôt souple, agile. Il mesure la taille moyenne, de 1m 65 , pour son age. Il a les cheveux blonds et la peau mate. Ses habits préférés son, les habits sombrent car il préférait rester dans l’ombre te ne pas êtres vu. Il est rapide précis et a une grande endurance quand il s’agit de course-poursuite. Des montagnes se trouvent près de l’endroit où il vit ce qui lui permet d’apprendre à escalader seule. Devenu un bon grimpeur, il n’hésite pas à se réfugier dans les sommets de la montagne pour fuir d’éventuelle assaillante. Dans certains cas, le combat corps à corps lui était obligé et, même si, dans ses premiers combats, il gagnait rarement cela l’endurcit pour ensuite se vengés de ses défaites. Il s’entraîne au lancer de poignard qu’il jugea utile car dans certains de ces périples, il échappa à la mort de justesse et savoir jetés un poignard aurait pu lui êtres utile. De ce faite il a le bras assez musclé et bien entraîné. Depuis deux poignard pendent a sa ceinture.

Description du caractère :
Il a vécu une grande partit de sa vie dans la solitude qu’il apprécie maintenant. D’un caractère plutôt bienveillant, il ne préfère pas trop se lier d’amitiés avec d’autre enfant où du moins ne pas dépendre d’eux et qu’ils ne dépendent pas de lui. Ses pensées se tournent plus sur l’avenir et non sur le passé. Il est très curieux et cherche à comprendre le sens de la vie et de son existence et bien d’autre question philosophique. Il est perturbé en dans son esprit car par deux fois, il lui était obligé de tuer un homme pour pouvoir avoir la vie sauve. Son seul rêve, ne connaissant pas encore la guilde des Marchombre, est de partir dans les contrer de Gwendalavir et d’êtres libre.

Principale qualité : Agile, souple, rapide.

Principal défaut : Prétentieux.

Particularité : Une cicatrice sur le bras que nul sait à quoi elle est du.

Vécu et histoire sociale :

Situation familiale : Orphelin (ses parents tuer par des Mercenaires du Chaos avant qu’il apprennent que c’est parents étaient des Marchombre).

Situation sociale : Pauvre et a peu d’amis hormis un qui est son meilleur ami mais qui se retrouve éloignait de lui a cause d'un déménagement.

Histoire :
Elle débute chez lui au milieu du mois d’octobre. Il avait à ce jour 5 ans et demi et vivait sans autre souci que de vivre. Un jour, cette petite vit tranquille se brisa quand soudain à la porte de sa maison vola en éclats pour laisser passer 4 hommes, grand, qui se déplaçait avec souplesse et étaient simplement protéger par une armure légère. Son père se plaça entre lui et les inconnues quand soudain l’un deux lança un violent coup de pied vers le visage de son père qu’il esquiva sans difficulté. Sa mère accourue pour le prendre et avant qu’elle ne l’emmène plus loin il eut le temps de voir un deuxième mercenaire fondre sur son père et lui assenait un violent coup de sabre. Son père se glissa derrière ce dernier et lui donna un violent coup dans la nuque ce qui le fit tomber pour plus qu’il ne se relève. Ce fut alors qu’il ne vit pas la suite du combat car sa mère l’emmena hors du champ de vision du combat. Elle s’enfuit avec lui par la fenêtre le plus loin possible en courrant à travers les rus d’Alvor. Elle le confit alors à des amis qui n’habitaient pas loin avant de partir. En la regardant partir, à travers la fenêtre, il eut le temps d’apercevoir la flèche qui se dirigeait vers elle, trop rapide, trop précise pour êtres esquivés.
Un cris exprimant une douleur infinie se fait entendre dans tout Alvor , un crie qui ne témoignait pas une douleur physique mais une douleur bien plus profonde qui ne pourrait pas êtres guéris en une seule vie et que seule la mort pourrait apaiser.

2 ans plus tard Nirül avait réussi a ce couler dans la vie de sa famille adoptive. Son Malheur avait réussi à s’apaiser mais pas a cicatriser. Depuis le jour de la mort de sa mère il c’était juré de la venger même en ne sachant pas qui l’avait assassiné. Il avait aussi décidé qu’il quitterait sa famille adoptive qui ne l’aimait pas beaucoup et ne s’occupait guère de lui. Mais son voyage ne pouvait pas être pour tous de suite car pour l’instant il était trop jeune et trop faible pour pouvoir réussir. Il attendit encore 3 ans avant de pouvoir partir de sa famille, mais il ne passa pas ses 3 année a ne rien faire si il voulait pouvoir partir a l’age de 10 ans. Pendant ses excursions dans la ville, il avait repéré un coin tranquille où il pouvait s’exercer au combat. Pour cela il avait acheter un poignard avec le peux d’argent gagner grâce a de petit boulot. Il commença a placer un carton a 10 mettre et il s’entraîna a le lançait le poignard dessus. Après il décida de s’entraîner au combat à main nue, pour cela il commença par entraîner sa souplesse puis a donner des coup de plus en plus puissant dans un bâton avec le pied pour le casser. Pour son agilité, il s’entraîna a grimper au plus hautes tours de la villes. Il s’imagina des parcours du combattant qu’il répétait jours après jours. Il fait travailler son endurance en courant le plus dans la ville.

Le jour de ses 10 ans il ramassa ses affaire qui ne prenait pas plus de place que le contenue d’un petit sac et dans la nuit il s’enfuit de sa famille qui n’en était pas la sienne et qui ne déployait aucun effort pour lui rendre la vie meilleur. Il parcoura les rues sinueuse de la ville qui le séparait de sa planque. En arrivant il dégomma d’un coup de pied la bout de bois devant lui puis il prit le poignard qui pendait à sa ceinture et l’envoya volait vingt mètres plus loin dans le centre d’une cible en carton. Ensuite il s’élança en crochetant une fissure qui s’ouvrait dans une tour et enchaîna en l’escaladant jusqu’au sommet. En haut de la tour il trouvait enfin sa vrai liberté mais il ne pouvait vivre longtemps si il restait comme sa indéfiniment. Pour le lendemain il se promis de trouver un travaille, pour l’instant il préféra s’installait dans une couverture qu’il avait pris de chez lui et il s’endormit en se roulant en boule dedans. Il fut réveillé aux aurores par le cri cristallin des oiseux qui passait pas loin d’ici. Il s’aspergea le visage d’eau en puisant l’eau dans le fleuve qui se trouvait non loin d’où il se situait. Ensuite il se dirigea vers le centre de la ville et il commença a chercher un travail qu’il pourrait faire. Il demanda au marchand s’il acceptait de le prendre pour effectuer les échange commerciales mais ils refusaient sous prétexte qu’il était trop jeune mais Nirül avait vite compris qu’ils avaient puer qu’il leur volent des marchandise. Il fut obliger s’il voulait gagner peu d’argent d’aller travailler dans une taverne. Certes le salaire était dérisoire, mais il était logé et nourrit. Il passa 4 ans de sa vie comme sa : a subsister grâce au salaire misérable, a s’entraîner au combat en parcourant les rues mal famé d’Alvor. Après 6 mois de travaille il avait économiser assez d’argent pour s’achetez un poignard en meilleur état que le sien et bien plus efficaces. 2 ans plus tard il put s’acheter un arc, un carquois et des flèches en pointe d’acier. Il s’aperçut assez vite qu’une vie entière ne lui suffirait pas à économiser assez d’argent pour s’acheter un cheval. Ce fut sur ces pensées moroses qu’il aperçut quelqu’un entrez dans la taverne. Il s’approcha de lui et il lui prit sa commande. Cette personne l’intriguait car il savait qu’il allait jouer un rôle important dans sa vie. Son regard pesait sur lui et il savait qua chaque instant, la femme le regardait et ne le quittait jamais des yeux. En s’approchant pour lui en faire la remarque, la femme le devança.
Elle lui souffla deux mots, seuls mais plein de puissance :
-Marchombre, Académie de Merwyn.
Elle s’enfuit avant qu’il n’ait eu le moindre temps de dire quelque chose…

Bonjour et Bienvenue à toi!

Alors, j'aurais quelques modifications à te demander.

Pour la Partie description physique et mentale:

D'abord, même si cela n'est pas une obligation, ta fiche manque cruellement d'originalité. Je peux te montrer certains points qui me semblent trop banals, pour le cas où tu voudrais le modifier:

-Tous les alèves ici sont souples et agiles.
-Les habits sombres, le fait de rester dans l'omre et de ne pas être vu, même chose.
- Ton personnage sait tout faire, est bon partout: Lancer de poignard, endurance, rapidité, escalade, combat au corps à corps...Pas très réaliste.
-La solitude et le fait de ne pas se lier aux gens est également très répendu.
- Les cicatrices-mystères, on connait aussi =)

Ensuite, il se trouve qu'il manque deux lignes à te description physique, et au moins 4 pour la description morale.

Note que ton personnage est un peu jeune. 17-18 ans, ça ferait moins prodige.

Puis, au niveau de l'écriture, je remarque des problèmes de syntaxe parfois gênants:
"Ses habits préférés son, les habits sombrent car il préférait rester dans l’ombre te ne pas êtres vu." > La virgule coupe la phrase au mauvais endroit, et tu commences par du présent ("Sont") avant de passer à l'imparfait ("Préférait"). En relisant, tu aurais pu voir toi-même les erreurs tel que "te" au lieu de "et", "sombres" au lieu de "sombrent". Sâche aussi que l'infinitif s'écrit "être" et non pas "êtres".
"il ne préfère pas trop se lier d’amitiés avec d’autre enfant où du moins ne pas dépendre d’eux et qu’ils ne dépendent pas de lui." > Ne préffère pas trop, ce n'est pas très correct. "Il préffère ne pas trop se lier à d'autres enfants, ou du moins ne pas dépendre de ceux-ci ..." .
Essaye aussi de relire correctement pour éviter le maximum de fautes.

En principal défaut, tu indique "Prétentieux", sans en parler nul part dans ta description morale. Comment cela, il est prétentieux? Explique-le.
A propos de la description morale, il ne correspond pas vraiment à l'alignement "Rebelle"...

Pour la partie Vécu et Histoire Sociale:

De la même manière, beaucoup de clichés:

- Les orphelins, on en a pleins les poches. (Surtout des parents tués par des mercenaires).
-L'Enfant de 8-9 ans qui s'entraine au poignard etc, c'est très peu probable et un peu prétentieux.
-Le jour de ses 10 ans > Date trop précise, trop clichée.

Ta fuite est également très héroïque, aucune anicroche, le gamin de dix ans qui escalade une tour, envoie un poignard avec la précision d'un maitre, tout ça, c'est un peu gros, je pense.

Au niveau de la forme, il y a beaucoup de fautes, de syntaxe, d'orthographe, de concordance des temps: Le récit se fait au passé, les temps utilisés sont donc passé simple, imparfait, et à la limite, plus-que-parfait. Or "Elle débute", par exemple, c'est du présent =)
Il y a des phrase dont le sens est incertain, puisque leur construction n'est pas correcte: "il s’enfuit de sa famille qui n’en était pas la sienne" pourquoi "en"? Sa famille adoptive, c'est plus court.
Sans compter que tu indique auparavant que ceux qui se sont fait tuer ne sont pas ses vrais parents. Deux adoptions? Pourquoi a-t-il été adopté, la première fois? Tu parles d'un ami, dans " Situation Sociale", mais qui est-il? Tu n'en parles pas du tout dans ton histoire...

Ce sera tout pour le moment, Bonne Chance à toi!

[j'ai écrit un nouveau message car j'ai modifié la plupart des phrase et allongé mon histoire qui n'ait pas fini . Dis moi si je met la suite . Désolé si j'ai gardé l'histoire de l'orphelin et les parents tuer par un mercennaire mais sa fait beaucoup a changer . ]

Description générale :

Nom : Essinkil
Prénom : Nirül
Race : Humain
Age : 17 ans
Alignement : Rebelle
Classe (primaire) : Marchombre
Enseignement suivi : Marchombre




Description physique :

Agé de 17 ans, Nirül a un physique d’enfant plutôt agile. Il mesure 1m 80, taille moyenne pour son âge. Il a les cheveux blonds et la peau mate. Ses yeux sont d’un bleu nuit profond dans lequel on a l’impression de se perdre. Sa façon de s’habiller lui importe peu tant que ce n’est pas trop voyant. Il est assez rapide, précis et il a de l’endurance quand il s’agit de course-poursuite. Des montagnes se trouvent près de l’endroit où il vit ce qui lui permet d’apprendre à escalader seul. Devenu un grimpeur de niveau moyen, il n’hésite pas à se réfugier dans les sommets de la montagne pour fuir d’éventuels assaillants qui ne sont pas très doués en escalade. Dans certains cas, le combat corps à corps lui était obligé et, même si, dans ses premiers combats, il gagnait rarement cela l’avait endurci, mais il préférait quand même prendre la fuite quand cela lui était possible. Il s’entraîne au lancer de poignard qu’il juge utile car dans certains de ses périples, il échappa à la mort de justesse et savoir jeter un poignard aurait pu lui être utile. Il continue à s’entraîner, mais il peine à y arriver. Un poignard, dont il se sert rarement, pend à sa ceinture, plus pour intimider que par nécessité. Il essaye de se tenir au meilleur de sa forme en faisant des petites courses à pied dans la ville et il entraîne ses réflexes qui sont pour l'instant plutôt lents a son goût.


Description du caractère :

Il a vécu une grande partie de sa vie dans la solitude mais il accueille toujours chaleureusement l’amitié quand elle se présente. Mais il veut avant tout pouvoir agir comme bon lui semble et ne pas dépendre de ses amis ni que ses amis ne dépendent de lui, ce qui limite parfois les amitiés. Il est toujours prêt à aider une personne dans le besoin dans la capacité de ses moyens mais sans trop en faire non plus. Le fait de voler ne le dérange pas car pour lui une personne est autorisée à voler des marchandises si elle est dans le besoin et il s’occupe peu des règles qui l’entourent. Ses pensées se tournent plus sur l’avenir et non sur le passé. Il est très curieux et cherche à comprendre le sens de la vie et de son existence et bien d’autres questions philosophiques bien qu’il soit incapable d’y répondre mais cela ne l’empêche pas d'essayer de trouver des réponses. Il est parfois un peu perturbé car à l’âge, de 15ans, par deux fois, il a été obligé de tuer un homme pour pouvoir avoir la vie sauve. Son seul rêve, ne connaissant pas encore la guilde des Marchombres, est de partir dans les contrées de Gwendalavir sur le dos d’un cheval, d’être libre et de pouvoir agir comme bon lui semble sans la restriction des lois et des règles. Le drame de la mort de ses parents le poursuit depuis son enfance, et il est le seul a connaître l’histoire qu’il n'a révélé a personne. Il s’est mis plusieurs fois dans des situations périlleuses en se surestimant et se croyant assez fort pour se mesurer à de redoutables combattants, mais s'en est toujours sorti avec plus ou moins de mal.

Principale qualité : Agile, souple, rapide.

Principal défaut : Prétentieux, trop refermé sur lui-même.

Particularité :Poète.

Vécu et histoire sociale :

Situation familiale : Orphelin (ses parents ont été tués, alors qu'il avait 5 ans et demi, par des Mercenaires du Chaos , ils étaient des Marchombres)

Situation sociale : Pauvre et a peu d’amis hormis un qui est son meilleur ami.

Histoire :

Elle débute chez lui au milieu du mois d’octobre. Il avait à ce jour cinq ans et demi et vivait sans autre souci que de vivre. Un jour, cette petite vie tranquille se brisa quand soudain la porte de sa maison vola en éclats pour laisser passer quatre hommes, grands, qui se déplaçaient avec souplesse et étaient simplement protégés par une armure légère. Son père se plaça entre lui et les inconnus quand l’un deux lança un violent coup de pied vers le visage de son père qu’il esquiva sans difficulté. Sa mère, s'était précipitée pour le prendre et avant qu’elle ne l’emmène plus loin il eut le temps de voir un deuxième mercenaire fondre sur son père et lui assener un violent coup de sabre. Son père se glissa derrière ce dernier et lui donna un violent coup dans la nuque ce qui le fit tomber définitivement. Il ne vit pas la suite du combat car sa mère l’emmena hors du champ de vision du champ de bataille. Elle s’enfuit avec lui par la fenêtre le plus loin possible en courant à travers les rues d’Al'vor. Elle le confia alors à des amis qui n’habitaient pas loin avant de partir. En la regardant partir, à travers la fenêtre, il eut le temps d’apercevoir la flèche qui se dirigeait vers elle, trop rapide, trop précise pour être esquivée.
Un cri exprimant une douleur infinie se fit entendre dans tout Al'vor , un cri qui ne témoignait pas d'une douleur physique mais d'une douleur bien plus profonde qui ne pourrait pas être guérie en une seule vie et que seule la mort pourrait apaiser.

Deux ans plus tard Nirül avait réussi à se couler dans la vie de sa famille adoptive. Son malheur avait réussi à légèrement s’apaiser mais pas à cicatriser. Il n’en parla à personne, même pas à ses meilleurs amis. Personne ne connaissait l’histoire de la mort de ses parents. Depuis le jour de la mort de sa mère, il s’était juré de la venger même en ne sachant pas qui l’avait assassiné. Il avait aussi décidé qu’il quitterait sa famille adoptive qui ne l’aimait pas beaucoup et ne s’occupait guère de lui. Mais son voyage ne pouvait pas être pour tout de suite car pour l’instant il était trop jeune et trop faible pour pouvoir réussir. Il attendit encore sept ans avant de pouvoir partir, mais il ne passa pas ces sept années à ne rien faire. Pendant ses excursions dans la ville, il avait repéré un coin tranquille où il pouvait s’exercer au combat. Pour cela il avait acheté un poignard avec le peu d’argent gagné grâce à de petits boulots. Il commença à placer un carton à dix mètres et il s’entraîna à lancer le poignard dessus. Après il décida de s’entraîner au combat à main nue, pour cela il commença par entraîner sa souplesse puis à donner des coups de plus en plus puissants dans un bâton avec le pied pour le casser. Pour son agilité, il s’entraîna à grimper aux petites tours de la ville qu’il eut du mal à grimper au début de son entraînement. Il s’imagina des parcours du combattant qu’il répétait jours après jours. Il faisait travailler son endurance en courant le plus longtemps possible dans la ville.

Un jour de mois d’Octobre, lorsque la nuit était tombée depuis cinq heures déjà, il prit son sac dans lequel il mit ses maigres affaires et il commença à sortir de la maison sans faire un bruit. Malheureusement la dernière marche de l’escalier craqua. Il savait que sa belle mère avait le sommeil sensible et il s’apprêtait a courir pour s’enfuir. Au moment où il franchit la porte, il vit son beau-père dégringoler l’escalier et foncer vers lui. D’un coup, Nirül se mit a courir a travers les rues d’Alvor et un seul coup d’oeil en arrière lui permit d’apprendre qu’il échapperait a son beau-père. Ensuite, une fois sûr de l’avoir semé il parcourut d’un pas tranquille les rues sinueuses de la ville qui le séparait de sa planque. En arrivant il dégomma d’un coup de pied le bout de bois devant lui puis il prit le poignard qui pendait à sa ceinture et l’envoya voler vingt mètres plus loin a coté du centre d’une cible en carton. Ensuite il s’élança en crochetant une fissure qui s’ouvrait dans une maison de deux étage et il enchaîna en l’escaladant jusqu’au sommet qui se trouvait dix mètres au-dessus du sol. Dans sa planque, il trouvait enfin sa vraie liberté, mais il ne pourrait vivre longtemps s'il restait comme ça indéfiniment à savourer le plaisir de liberté. Il se promit de trouver un travail dés le lendemain, pour l’instant il préféra s’installer dans une couverture qu’il avait prise chez ses beaux-parents et il s’endormit en se roulant en boule dedans. Il fut réveillé aux aurores par le cri cristallin des oiseaux qui ne passaient pas loin d’ici. Il s’aspergea le visage d’eau en la puisant dans le fleuve qui se trouvait non loin d’où il se situait.
Ensuite il se dirigea vers le centre de la ville et il commença à chercher un travail qu’il pourrait faire. Il demanda aux marchands s’ils acceptaient de le prendre pour effectuer les échanges commerciaux, mais ils refusaient sous prétexte qu’il était trop jeune, mais Nirül avait vite compris qu’ils avaient peur qu’il leur vole des marchandises. Il fut obligé pour gagner un peu d’argent d’aller travailler dans une taverne. Certes le salaire était dérisoire, mais il était logé et nourri et donc en sécurité contrairement a sa planque qui était visible depuis la rue si on regardait attentivement. Ce fut dans cette taverne qu'il découvrit son meilleur ami. Âgé de deux de plus que lui, il avait les cheveux noir et il se nommait ali. Nirül s'entendait très bien avec lui, ils firent de bon amis et cela dura deux ans. Malheureusement au bout de la deuxième années ali vint le voir et il lui annonça qu'il quittait la ville pour partir avec des itinérants. Nirül passa trois ans de sa vie, dont deux où il avait connu un ami, ainsi: à subsister grâce au salaire misérable, à s’entraîner au combat en parcourant les rues mal famées d’Alvor. Après six mois de travail, il avait économisé assez d’argent pour s’acheter un poignard en meilleur état que le sien et bien plus efficace. Deux ans plus tard il put s’acheter un arc, un carquois et des flèches en pointe d’acier. Il s’aperçut assez vite qu’une vie entière ne lui suffirait pas à économiser assez d’argent pour s’acheter un cheval. Ce fut sur ces pensées moroses qu’il aperçut quelqu’un entrer dans la taverne. Il s’approcha de lui et il lui prit sa commande. Cette personne l’intriguait car il savait sans vraiment le savoir qu’il allait jouer un rôle important dans sa vie. Son regard pesait sur lui et il savait qu’à chaque instant, la femme le regardait et ne le quittait jamais des yeux. En s’approchant pour lui en faire la remarque, la femme le devança.
Elle lui souffla deux mots, seuls mais pleins de puissance :
-Marchombre, Académie de Merwyn.
Elle s’enfuit avant qu’il n’ait eu le moindre temps de dire quelque chose. Il sentit quelque chose dans sa poche et il en ressortit des pièces d’or.

Le soir même il réfléchit aux paroles que lui avait dites l’inconnue : Marchombre et académie de Merwyn. Ce fut au moment où il allait s’endormir que des souvenirs rejaillirent de sa mémoire. C’était il y a un an, il se souvenait avoir entendu des clients dialoguer :
-Il paraît que maintenant l’académie de Merwyn accepte de recevoir des Marchombres et elle enseigne la voie, disait l’un des clients.
-Non c’est une blague, l’Académie n’accepterait jamais des Marchombres !
-Si, le reprit son acolyte, j’ai un ami guerrier à l’Académie, il m’a dit qu’il avait vu des Marchombres s’entraîner.
-Et bah… Elle se situe où l’académie de Merwyn ?
-Selon mes souvenirs, elle se situe près d’Al-Poll.
C’est là que les souvenirs de Nirül s’estompèrent. C’est alors qu’il comprit que la femme qui lui avait parlé était un maître Marchombre et qu’elle travaillait à l’Académie. Il se promit que le lendemain, il irait acheter un cheval et il partirait à la recherche de l’Académie. Il espérait aussi, sans le savoir, que la femme qu’il avait aperçue le jour même serait son Maître. Il avait entendu que les Marchombres formaient une guilde de combattants à main nue et qu'ils étaient en parfaite harmonie avec la nature. A suivre...

C'est beaucoup mieux, dis donc^^

Tu aurais pu éditer ton premier message, par contre, grâce au bouton "Editer" en haut à droite.

Juste une petite note:

"Tu parles d'un ami, dans " Situation Sociale", mais qui est-il? Tu n'en parles pas du tout dans ton histoire..." > Je n'ai toujours pas entendu parler de cet ami.

Pour le reste, je pense que ça ira. N'oublie pas de ne pas jouer les héros, et pendant les cours, rapelle-toi qu'il y a des choses que tu n'as jamais faites: Tir à l'Arc, Equitation...

Tu pourras aller te faire répartir, Bon Jeu à toi!

J'ajoute juste une remarque Est-ce que tu pourrais te trouver un avatar? Tu peux en trouver dans la galerie du forum ou sur Last Event^^