Un jour qui semblait banal (RP privé) [Inachevé]

C'était un jour de pluie torrentiel, comme il pouvait y en avoir près des chaînes de montagne. C'est à dire qu'il pleuvait tellement qu'elle avait du annuler tout ses cours et de faire rentrer les chevaux aux granges, qui étaient vraiment trop petites pour contenir à la fois le foins et les chevaux, car la journée était froide et ils risquaient de tomber malade. Et pour la peine c'était elle qui était tombée malade. Elle éternua.
De plus des chevaux étaient toujours blessés à cause de ces fientes de Ts'Liches décomposés qui avaient attaquer l'Académie en même temps que ces précieux pensionnaires ! Elle savait bien pourquoi ce n'était pas les Mercenaires qui avaient attaqué directement, mais elle avait une sainte horreur de ces immondes choses qui ne devraient même pas avoir le droit d'exister. D'ailleurs elle les soupçonnait d'être peu comestible pour que les Ts' Liches n'aient pas songer à essayer de s'en nourrir comme ils avaient fait avec les humains ...
Encore un éternuement. Décidément c'était pas son jour en plus elle devait aller faire ses réclamation à Jehan pour faire construire des écuries plus grande de même que des granges à foins et pailles ... Et il lui faudrait aussi du personnel pour l'aider en supplément ...
Mais avant cela elle s'était résolue à aller jeter un coup d'œil dans les appartements de Valen, son père adoptif et a ceux d'Enoriel, car elle savait pertinemment qu'ils n'étaient pas mort comme le déclarait la nouvelle direction de l'Académie. Ce n'était pas des ces déchets ambulants qui auraient pu leur faire des blessures qui justifieraient des bandages sur tout le corps ... Même celles d'un Mercenaire ...
Elle récupéra donc au passage des documents ainsi que quelques objets qu'il n'aurait pas fallut que l'Ordre du Chaos trouve. Étrange pour une Mercenaire, mais pas pour l'Ecliptiste qu'elle était devenu, de plus il ne lui suffirait que d'invoquer son véritable nom pour les dissuadé de la tuer. Elle était un meilleur atout pour eux vive plutôt que morte.
Elle repartit donc dans la direction du bureau de Jehan qui se trouvait dans l'Aile Principale de l'Académie en se perdant dans des réflexions et ce fut alors qu'elle lançait un juron étouffé entre deux éternuent qu'elle fut percutée au détour d'un couloir.

- Itchoum ! Euh ... oui, oui. Et vous ?

Kusanagi se moucha avant d'aider la jeune femme a ramasser ses papiers tout en essayant d'arrêter d'éternuer.

- Cela faisait longtemps que je ne vous avait pas rencontrer Demoiselle Talan ... Votre poste vous convient-il ?

Quand elle eurent fini de tout ramasser la maîtresse des écuries tendit à sa collègue le paquet de feuille qu'elle venait de faire.

L'arrivante avait un sacrée rhume, elle ne faisait que d'éternuer, la pluie torrentielle qui s'abattait sur Al-Poll devait y être pour quelque chose, comme si ils avaient eu besoin de autre chose après l'attaque des raïs.

- Itchoum ! Euh ... oui, oui. Et vous ? Cela faisait longtemps que je ne vous avait pas rencontrer Demoiselle Talan ... Votre poste vous convient-il ?

Quand la jeune demoiselle dit c'est parole, le nom et la fonction de la fille qui se trouvait devant elle lui revienrent en mémoire, c'était Leïla Tova si elle s'en souvenait bien. Le faite qu'elle n'allait plus aussi souvent à l'écurie justifiait qu'elle n'avait pas reconnu immédiatement le maitre des écuries, elle prit avec reconnaissance le paquet de feuille qu'elle lui tendait.

-Merci beaucoup Dame Tova, je n'ai rien de casser, sinon mon poste de bibliothècaire me convient très bien, à part que je sens que je vais me faire étriper par notre intendant. Il aura des papiers en plus, il ne vas pas apprécier, je préfèrerais peut-être affronter une horde de raï, surtout qu'il a l'air d'avoir pas mal de travail et que de temps en temps il est d'une humeur irrassible.

C'est vrai que ce n'était pas faux, rare était les fois où il quittait sa figure de rogne passagère, mais beaucoup de monde était dans ses cas là, surtout après ce qui s'était passer. Elle reprit la mèche qui tombait encore sur ses yeux et vit que Leïla continuait d'éternuer et que cela ne s'arrangeait pas, elle avait même l'impression que cela empirait. Elle tendit quelque mouchoir à la femme vu que le siens était assez maltraiter.

-Vous un mauvais rhume, l'un des rêveurs de l'académie pourra peut être vous soigner? Et sinon où aller vous? Si cela est dans la même direction on pourrait faire un bout ensemble.

C'est vrai que depuis qu'elle n'était plus considérée comme une élève, beaucoup de nouveau élèves qu'elle connaissait ne l'osait plus l'aborder et faire un bout de chemin en discutant serais assez agréable. Par contre beaucoup de professeur et d'autre résidant de l'académie lui parlait plus souvent, c'était comme si elle était soudainement devenue adulte au yeux de tous, c'était une sensation assez bizarre. Surtout que dans sa tête elle n'avait pas vraiment changer et physiquement non plus, à part ses cheveux, mais là ce n'était pas intentionnel. Contrairement ce que croyait la moitier des personnes qu'elle connaissait. Elle tria un peu ses feuilles en les remettant dans l'ordre, puis elle repporta son attention sur Leïla attendant sa réponse qu'elle espérait favorable.

Kusanagi accepta le mouchoir avec plaisir et se remit sur pied en même temps que la Gardienne des écritures.

- A vrai dire je me rendais aussi voir notre très cher intendant pour lui faire des réclamations que je n'ai pas eu le temps de mettre par écrit ... Et puis je voulais voir Va ... Maître Til' Lleldoryn avant de me rappeler ... Enfin bref nous ferions mieux d'y aller. J'aimerais prendre une tisane bien chaude et me mettre au lit pour me remettre plus rapidement.

Elle éternua de nouveau avant de se moucher. Elle commença à marcher sans se presser car après tout elle avait toute la journée pour ça, étant donner que tout ses cours étaient annulés. Quel comble pour une Mercenaire de ne pas pouvoir passer inaperçue ... Mais cela pouvait avoir l'avantage qu'on ne se méfierait peut être pas d'elle. Un soupir

- Tchoum ! Rah heureusement que je ne tombe pas malade souvent sinon je le supporterais pas ! Tien mais en fait je me demandais ... Où est donc passé votre adorable petit singe ?

Quand Leïla accepta de venir avec elle, son sourire s'élargit, comme ça elle prendrait le temps de la connaitre un peu mieux. Après tout que connaissait telle de Leila Tova, rien a part qu'elle s'occupait des chevaux et qu'elle était plus vieille qu'elle, sinon nada, rien comme le desert le plus aride, on ne voyait que le sable sans remarquer les animaux qui y vivent, si petits qu'ont ne les voit pas. Elle pensait justement à cela quand la phrase la percuta, Valen était mort et cela l'attristait aussi, puis un cri se fit entendre, un hurlement de peur qui couvrir un peu la question de Kusanagi. Elle se retourna sur le qui vive, ses sens en alerte et en se mettant en garde, après avoir entendu quelque cris, elle repris une position normale et un sourire refleuri à ses lèvres, franchement il n'en loupait jamais une.

-Dame Tova, je crois que cette petite énergumène arrive en faite!

En effet, le petit singe n'ayant pas de branche pour s'accrocher et aller plus vite avait décider d'utiliser les humains, trop grand à son goût, à son avantage. Il sautait de personne en personne, faisait tomber des gens comme des quilles au passage et causait une belle frayeur a tout le monde, en voyant sa maitresse il accéléra de plus belle. Il se rattrapa inextremis et se réceptionna habillement sur l'épaule de Khelia, celle ci lui prit une de ses pattes avant de la taper gentiment.

-Piki, je t'ai dit de ne pas leur faire peur.

La posture de Piki était plus qu'expressive, nananananère je ne t'écoute pas de toute façon, retenant un soupir d'exaspération, Khelia dit d'une voix normal, quoique empreinte de lassitude.

-Piki, que doit-on faire quand on voit du monde?

Aussitôt le singe se tourna vers Leïla et lui tendit sa main pour que le maitre d'équitation la serre.