Voyage pour le Pays Faël (RP privé) (RP inachevé)

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Loris était heureuse. L'aventure commençait enfin. Depuis trois jours, les trois jeunes amis galopait. Loris fit halte de la main. Il était sur un coteau, il allait quitter la foret. Un énorme champ d'herbe séparer la foret d'où il sortait, pour rejoindre a Al-Poll. Loris voulait garder cet sublime vision pour toute sa vie. Avec une voix émut elle dit a ses compagnons :

- Allons y ...

Ils se mirent a galoper très vite dans tous le champ, qui paraissait assez petit sur le coteau, mais qui en réalité était très grand. Loris ne pouvait s'empêcher de rigoler, elle adorait quand le vent lui fouettait les cheveux, cet sensation de vitesse, de liberté, avec son cheval : c'était tous simplement le bonheur ! Quand enfin ils arrivèrent aux portes de Al-Poll, des gardes leurs demandèrent :

- Qui êtes vous ?

Loris regarda ses amis, intrigués.

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Enoriel se sentait bien, elle avait hâte de retrouver les formes familières des forêts de son pays. Elle se sentait à l'aise avec la jument qu'elle avait choisi pour partir: celle ci était calme, et docile.
Ils décidèrent de galopait à vive allure à la vue de la cité d'Al-Poll. Des gardes les arrêtèrent au niveau de la porte, Enoriel prit la tête, car tel était son rôle à près tout et déclara d'une voix calme.

-Enoriel Til' Lleldoryn, chantelame et maître archer accompagnée de Loris Sil' Motip et Naro Rim' Acere. Nous entamons un voyage qui vous regarde en rien et nous allons de ce pas rencontrer un groupe de marchand qui nous accompagnera une partie de notre périple. Cela pose un problème ?

Le garde se dandina un peu, gêné avant de dire:

-Non, j'ai juste le rôle de vous prévenir, il paraît que les attaques de bandits sont assez nombreuses ces derniers temps...mais je pense qu'avec vous Mlle Til' Lleldoryn il n'y aura pas tellement de problèmes. Bonne chance.

Elle lui sourit et claqua la langue pour que Lilya se remette en marche.
Enoriel les guida jusqu'à la place où le rendez vous était fixé. Elle descendit avec agilité de sa jument.

-Vous avez dix minutes devant vous de libre, allez y tout les deux, je reste ici pour garder les chevaux, restez dans les grandes rues et passez inaperçus de préférence. A toute à l'heure.

Elle avait remarqué que les deux jeunes s'entendaient à merveilles...elle décida donc de les laisser seuls un moment, à près tout, se coltiner un prof tout le temps ne devait pas être idéal.

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Naro ainsi que Loris et Enoriel arrivèrent dans le coeur d'Al-Poll après l'information préventive du sodat.
Ils se stoppèrent et Enoriel leur accorda une dizaine de minute de liberté à condition qu'ils restent dans les rues principales et de façon la plus discrète possible.

Naro passa devant la batisse d'un forgeron plutôt agé et lui demanda s'il lui restait une pierre pour éguiser son arme à condition que cette pierre soit de bonne qualité.

Le forgeron partit un instant et lorsqu'il revint, il avait dans ses mains plusieurs pierres de différantes tailles.

Naro ne prit pas le temps de toutes les identifier. Seule une était de grande qualité et il s'en empara aussitôt pour la tester. Il passa et repassa quelques coûp sur la lame de son épée et sur une de ses trois dagues puis demanda avec fermeté pour combien le forgeron en demandait.

Le forgeron ne lui demanda que quelques pièces d'argent puis retourna à ses forges.
Naro acheta des gants en cuir souple ainsi qu'un carqois et des flèches.
Son arc était efficace mais seule des flèches de qualité faisaient la diférene lors d'un affrontement !

Il demanda ensuite à Loris si elle désirait qu'il lui achete quelque chose puis elle sourit l'air ravi...

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-Enoriel Til' Lleldoryn, chantelame et maître archer accompagnée de Loris Sil' Motip et Naro Rim' Acere. Nous entamons un voyage qui vous regarde en rien et nous allons de ce pas rencontrer un groupe de marchand qui nous accompagnera une partie de notre périple. Cela pose un problème ?

Le garde ravala sa fierté et dit :

-Non, j'ai juste le rôle de vous prévenir, il paraît que les attaques de bandits sont assez nombreuses ces derniers temps...mais je pense qu'avec vous Mlle Til' Lleldoryn il n'y aura pas tellement de problèmes. Bonne chance.

Quand on entra dans cet cité, j'avais l'impression d'entrer dans la cité des rêves... Des gens grouillant de partout, des enfant surgissait de partout et nulle part, rigolant aux éclats. Des magasins et des commerçant a perte de vu, c'était vraiment magnifique. Elle méritait amplement, sa réputation. Maintenant a terre, les gens nous regarder non sans amabilité mai plutôt avec curiosité. Enoriel nous accorda dix minutes pour les achats, a la seule condition que ce soit dans des rues central. Heureuse d'être avec Naro je le suivit. Naro acheta une pierre pour ponçait son arme et des gants en cuir souple ainsi qu'un carroies et des flèches. Il me demanda si je voulais qu'il m'achète quelque chose... Je souris très heureuse, je lui répondit avec finesse :

- Je peux acheter ton amitié ? Ah non... Elle n'a pas de prix...

Un moment hébéter par ses paroles il reprit ses esprits et rattrapa Loris qui avait avancer. Même si Naro ne le montrai pas, Loris savait qu'elle l'avait touché. Pris d'un élan de bonheur, qu'elle savait cour pour la suite, elle l'entraina devant un magasin de vêtements. Devant sa grimace, elle le traita d'idiot elle le décala de quelque pas pour atterrir devant la boutique d'arme. Alors la grimace de Naro se transforma en sourire. Elle rigola et entra dans le magasin.Bien qu'elle fut doué en arc, elle ne s'intéresser pas spécialement a ça. Mais pour le voyage, elle voulait absolument une arme, on en sait jamais si son don décidait de faire de caprices, elle pourrait toujours ce défendre avec son arme. Elle acheta donc un carquois avec des flèches, qu'elle choisit de qualité et acheta également deux petits poignards qu'elle mit dans ses chaussures pour les dissimuler. En sortant de la boutique elle était sure d'avoir fait le bon choix, elle était sure : elle aurait besoin de ses armes ! Elle ouvrit le sac a dos discrètement de Naro et y déposa un poignard, petit cadeau. Il n'avait que de long armes, ou de flèches alors qu'un petit poignard peut servir. Après tous, il n'y aurait pas beaucoup de magasins sur la route, aucun même ! Elle demanda a Naro si il voulait autre chose, puis il revinrent au chevaux visiblement satisfait de leurs achats. Loris dit a Enoriel, amicalement :

- Il ne faudrait pas acheter un peu plus de vivres ? J'ai peur qu'on soit un peu juste si il faut nourri une bête comme celui la...

En désignant Naro. L'intéresser entendant son nom se retourna et les regarda rigoler. Enoriel répondit.

[ HJ : C'est pas parce que je fini par Enoriel, qu'il faut pas que tu poste Naro :p ]

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[je préfère qu'on poste par oredre si cela ne pose pas de problème ^^ ce sera plus aisé à suivre]

Enoriel regardait autour d'elle, elle attacha les trois chevaux à un arbre majestueux qui trônait au milieu de la place marchande. Elle repéra les roulottes des marchands et s'en alla pour venir parler à leur dirigeants.
Elle se présenta, celui ci fut honoré et ils discutèrent un peu de l'itinéraire et autres besoins du voyage.
Les minutes passèrent vite, rapidement, Enoriel repéra Loris et Naro avançant avec un grand sourire aux lèvres.
*alala, les jeunesles jeunes...*
Elle sourit chaleureusement et revint vers eux.

- Il ne faudrait pas acheter un peu plus de vivres ? J'ai peur qu'on soit un peu juste si il faut nourri une bête comme celui la..

Elle hocha la tête, contente qu'une élève soit aussi perspicace, elle la rassura:

-Ne t'en fais pas Loris nous avons prévu avec les marchands itinérants de quoi nous nourire ! De plus, nous passerons par des petits villages où nous pourrons nous ravitailler sans problèmes.

Elle tapota l'encolure de sa jument et reprit:

-Nous partons d'ici une heure, le temps aux marchands de se préparer, et pour travailler vos muscles, nous allons les aider ! Proposez votre aide.

Les élèves firent ne grimace mais obtemperèrent en ronchonant. Déjà Enoriel s'élanca vers une roulotte et s'empara en riant de la bâche pour aider à recouvrir les marchandises. Elle avait hâte de partir, hâte de retrouver son pays.
Lorsqu'ils furent temps de partir, le soleil était à son zénith et les élèves étaient rompus par la tâche.
Prise de compassion, elle leur jeta à chacun une belle pomme rouge et juteuse à souhait.

-J'ai plein de choses à vous apprendre lors de ce voyage...

Elle détacha sa jument et l'entraîna vers les portes de la cité, suivie parles élèves et les marchands.

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De retour là où ils avaient laissé les chevaux, Naro et Loris se mirrent à la tâche que leur avait confié Enoriel. Les bâches qu'ils devaient tendres était en piteuse état et les toiles manquaient de se déchirer à chaque fois qu'elle se tendaient.

Cete corvée terminée (car il s'agit bien d'une corvée), Enoriel distribua à Naro et à Loris une pomme rouge appétissante qu'ils mangèrent avec envie.

Une petite demie heure plus tard, le départ se fit sentir et Naro remonta sur son cheval alezan.
Loris et Enoriel en firent de même puis ils prirent la direction des portes de la ville.
La caravane s'étandait sur plusieurs centaines de mètres et Naro en tant que stratège initié se demanda comment une défense efficace pouvait elle être dispensée à l'intesion de la caravane lors d'une attaque de bandit ou même de simples fauves affamés.

Une fois les avoir franchient, Naro proposa à Loris de la suivre.
Dans la Légion Noire, il était sensé devenir éclaireur et bien que son enseignement ait été le plus complet possible en matière de combat, il aimait rester dans l'ombre afin de voir sans être vu ; cela lui donnait un sentiment de suprématie à l'égard des autres. Il ne s'adonnait à ces réjouissement que lorsqu'il était seul mais aujourd'hui, il allait proposer à Loris de l'accompagner dans son activité à la fois extrême physiquement mais reposante mentalement.

Naro ne sachant pas vraiment comment lui faire sa proposition fit partir son cheval au galop pour la devancer, fitsortir son cheval de la route et commença l'asencion d'un arbre imposant qui bordait le chemin qu'emprinterait la caravane.
Il s'accrocha à la cime de l'arbre après une bonne minute d'effort pour y parvenir puis interpela Loris en lui proposant de le rejoindre.
Elle sourit et s'arrêta au pied de l'arbre...

[HRP : Eno est-ce que nous avons une certaine liberté dans le choix de nos actions au sein du voyage et de la caravane ? ]

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Enoriel répondit a Loris que cela n'étais pas la peine. Enoriel leurs dit :

- Nous partons d'ici une heure, le temps aux marchands de se préparer, et pour travailler vos muscles, nous allons les aider ! Proposez votre aide.

Loris fit la moue, elle râla un peu mais s'exécuta. Elle savait très bien que le voyage n'étais pas le confort de l'académie mais le but en valait la peine. Elle s'activa donc demanda au personne de la caravane son aide... C'est sur une petite fille, maigrichonne ne faisait peut être pas bonne main d'œuvre. Elle nu donc pas énormément de travail, du moins pas des lourds ! D'ailleurs, elle fit connaissance d'une jeune fille, un peu plus âgée qu'elle mais qui était d'excellente d'humeur. Elle deux était surement les rares jeune filles de la caravane. Quand elle revint essouffler de son travail, qui pesait sur ses pauvres jambes, et elle s'assoit lourdement sur une caisse en face de Enoriel et Naro. Enoriel leur lança une pomme rouge, juteuse. Loris contempla la pomme, la savourant rien qu'en la mangeant. Elle la tourna dans sa main. Puis quand elle vit que Naro avait fini sa pomme, elle eut presque un regret de manger cet si belle pomme a son tour. Quand enfin il partit, elle retrouva le plaisir de monter sur Clair de Lune. Elle vit d'un clin d'œil que Naro se débrouiller très bien, pour une première fois et que Enoriel montait comme si elle monta sur un banc : La grâce en elle - même. Justement, Naro la dépassa d'un galop parfait, et dévia de la route. Elle vit que Naro s'arrêta près d'un arbre. Elle s'interroger, et justement il lui fit un signe de la rejoindre. Avait -il un problème ? Le cheval ? Loris était inquiète. Mais lorsqu'elle arriva a sa hauteur, elle vit qu'il souriait, elle fut donc rassurer. Elle lui souriait, elle ne regratterai pour rien au monde qu'il vienne, il lui apporté une sorte de sérénité qu'elle ne ressentait que quand il était a ces cotés ! Un lança a Naro :

- Un soucis ? Ou veux - tu que je t'accompagne... ?!

Elle lui sourit, malicieusement. Elle savait qu'il n'y avait pas de soucis, mais elle s'interrogeait le pourquoi de cet arrêt.

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Les élèves se divertissaient, et Enoriel pensait déjà à les rappeler à l'ordre mais à quoi bon ? Elle ne voulait pas avoir le rôle de la méchante prof lourde. Elle faisait amie ami avec un jeune marchand itinérant d'à peu près son âge. Elle se présenta sommairement pour ne pas le repousser, et évita de dire son nom de famille qui était très connu. Elle appris qu'il s'appelait Malek, un beau nom pensa-t-elle. Elle posa des questions sur leurs voyages et la sécurité qu'ils employaient.
Elle rit, fit plus amples connaissance avec ce dernier. Elle gardait néanmoins toujours un oeil protecteur sur les deux jeunes personnes qu'elle avait en charge.
Elle leva la tête vers le ciel, sa chevelure cascadait dans son dos avec un mouvement fluide inspirant la liberté sauvage. Bientôt, elle sera de retour chez elle, elle était impatiente de retrouver les forêts familières, les visages faëls et la langue chanté de ce peuple.
Ce peuple, son peuple.
Elle sourit.

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Loris s'était arrêté au pied de l'arbre auquel Naro était accroché puis elle lui demanda si il avait un quelconque souci.
A voir son sourire, Naro ne pris que le temps de lui répondre :

- Monte vite, à moins que tu ne préfère que ce ne soit moi qui viennent te chercher ?

Loris entama l'ascension de l'arbre puis arrivée vers la cime, s'arrêta pour souffler et pour inspirer un air bienvenu en vue de l'effort qu'elle avait effectué.
Naro l'aida à gravire les derniers mètres puis ils se retrouvèrent tous les deux dans une position plus ou moins inconfortable de chaque côté du tronc.

La caravane était toute juste visible de là où ils étaient.
Il faut dire que le point d'observation n'était pas des mieux choisis mais Naro ne voulant pas réduire les efforts de Loris à néant préfèra ignorer son manque de réflexion et penser à autre chose.
Il demanda soudain à Loris :

- Quand penses-tu ? Ce n'est sûrement pas aussi merveilleux que le monde fascinant des Spires mais au moins tous les êtres humains sont à même de contempler ce panorama !

Naro n'était entré que de rare fois dans ce qui était un semblant de "Spires" et à chaque fois, il en avait été repoussé même sous une conscentration sans faille.
Depuis, il n'avait pas retenté l'expérience par crainte d'être repousser une fois encore.

Mais aujourd'hui, il y avait une dessinatrice à ses côtés et elle seule pouvait tenter de lui donner un accès, même bref, à cet univers et cela sans resentir aucune douleur ni physique, ni mentale et ni psychologique...

Il ne lui exposa pas ses voeux et préfèra lui en faire part à un autre moment mieux choisi...

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- Monte vite, à moins que tu ne préfère que ce ne soit moi qui viennent te chercher ?

Loris aimait les défis. Elle commença donc a grimper a l'arbre, laissant son cheval au pied de l'arbre. Cet arbre se révéla un peu plus dur ce que avais prévu Loris. Naro aida quand même Loris, sur les dernières branches a monter : Elle commençais un peu a fatiguer. Quand elle s'y installer, elle voyait mieux la longueur de la caravane. D'ailleurs elle était encore plus grande que ce qu'elle croyait. La place avait beau ne pas être très confortable, elle était quand même bien. Le paysage était sublime. On voyait s'étendre une grande prairie verte a perte de vue. Loris trouvait sa sublime. Elle avait un peu rougi en montant, elle n'était pas très agile sur ses pieds, surtout quand il s'agissait de monter aux arbres. A son grand soulagement, d'ailleurs, Naro avait choisi de passer éponge et de ne pas évoquait le défaut de Loris. Tous d'un coup, Naro apostropha Loris :

- Quand penses-tu ? Ce n'est sûrement pas aussi merveilleux que le monde fascinant des Spires mais au moins tous les êtres humains sont à même de contempler ce panorama !

D'où voulait -il en venir ?! Loris sentait qu'il avait dis le mot " Spire " avec une sorte de dégout. Loris savait qu'il voulait devenir combattant, détenait aussi le pouvoir des Spires ?! Non, alors pourquoi avoir t-il dis ça ?! Tant de questions se bousculai dans la tête de Loris. Elle devait être franche, elle lui devait :

- Tu as entièrement raison ! Mais as tu un problème avec les Spires ?

Son ton n'étais pas agressif, juste étonné.

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[Eno, sauf si le post par ordre est un principe chez toi, je me permet donc de poster sans attendre le tien qui est un peu en parallèle.] Very Happy

- Tu as entièrement raison ! Mais as tu un problème avec les Spires ?

Naro ne s'attendant pas à devoir donner d'explication sur sa vision des Spires fut un peu embarrassé pour s'expliquer.

Loris le regardait avec un large sourire ne laissant rien à penser d'autre qu'à un enfant qui pose une simple question à laquelle il désire à tout prix une réponse.
Naro inspira un grand coup puis commença par quelques mots d'hésitation puis s'exprima avec plus de vigueur :

- Aujourd'hui, je vais te confier une chose à laquelle je n'ai jamais parler à personne ! Il y a plusieurs mois de celà, un peu avant d'arriver à l'Académie, j'ai tenté l'impossible en essayant de m'introduire dans ces "Spires".

Naro utilisait un ton avec lequel il exprimait un profond dégoût puis, pour ne pas trop en faire devant Loris, il se ressaisit puis continua :

- Mais ce monde n'est accessible que par la voie de la pensée et j'en ai été lamentablement repoussé et rejetté. Pourtant, je m'estime avoir une volonté plutôt dense et infaillible mais même celle-çi ne m'a pas soutenu...

Naro ne semblant pas être compris dit enfin à Loris :

- J'ai depuis une haine démesuré envers ce monde de la pensée qui ne veux pas de moi !

Cette fois-çi, Naro avait dû blesser la jeune fille et il s'en voulait beaucoup. Il était en côlère ! En côlère contre sa propre personne. Il avait fait disparaître le séduisant sourire de Loris qui lui donnait un semblant d'espoir en un sourire neutre et indifférant. Espoir qui lui avait donné des ailes. Sauf que là, les ailes lui faisait gravement défaut et il n'avait de replit que sur Loris.

La sueur perlait maintenant au niveau de son menton et ses cheveux ruisselait presque.
Il avait tout à l'heure exprimé le mot "haine". Il utilisait ce mot pour la première fois et en totale connaissance des mots, il eu mal au plus profond de son être...

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[ Puis - je poster ? Je veux dire t'a pas grand chose a poster, Enoriel, non ?! =S Je veux pas être méchante... ]

- Aujourd'hui, je vais te confier une chose à laquelle je n'ai jamais parler à personne ! Il y a plusieurs mois de cela, un peu avant d'arriver à l'Académie, j'ai tenté l'impossible en essayant de m'introduire dans ces "Spires".

Le mot était empreint de dégout, mais maintenant Loris comprenait mieux pourquoi...

- Mais ce monde n'est accessible que par la voie de la pensée et j'en ai été lamentablement repoussé et rejeté. Pourtant, je m'estime avoir une volonté plutôt dense et infaillible mais même celle-ci ne m'a pas soutenu...

C'était plus que normal ! Même Loris avait énormément de mal a entrer completement dans les Spires !

- J'ai depuis une haine démesuré envers ce monde de la pensée qui ne veux pas de moi !

Loris ce donné a présent le défi de faire entrer Naro dans les Spires. Elle aurait du être vexer par sa façon de qualifier son " don ", mais elle le comprenait tellement que c'était impossible. Elle prît la main de Naro, et le regarda dans les yeux en lui disant :

- Je te promet d'essayerai nuit et jour si il ll faut : Mais j'arriverais a te faire voir le monde des Spires.

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Loris vennait de promettre à Naro un accès aux Spires...
Il n'en revenait pas. Il n'avait même pas eu besoin de lui faire cette demande.
C'était comme si elle avait lu au coeur de son esprit.
Naro sourit à l'idée que Loris puisse s'introduire sans aucun problème dans les pensées d'autrui.
Après une plus mûre réflexion, il se ressaisit et admit que son esprit était imperméable à toute intrusion venue de l'extérieur de son être.

Le soleil commençait à décliner et Naro aida Loris à descendre de l'arbre après avoir vu que la caravane se rapprochait à forte allure à leur hauteur.

Enoriel était peut-être inquiète ou bien peut-être les avait elle tout simplement oublier pour passer son temps à faire divers travaux au sein de la caravane.

Naro et Loris reprirent les rênes de leur monture puis s'élançairent au petit trot en direction de la caravane...

[Post court pour qu'Eno puissent participer au RP avec plus de présence.]

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Enoriel les vit revenir, le sourire aux lèvres et n'eut pas le courage de les rappeler à l'ordre. Le danger était omniprésent...et elle étit responsable de leur sécurité, mais elle n'en dit rien.
Ils s'installèrent tout les trois au milieu des itinérants et partagea leurs repas avec convivialité et joie, mêlée de chants typiques et de rires qui perçait dans la nuit qui se levait avec une lenteur mesurée.
Une fois le repas finit, elle se leva et appela Loris et Naro:

-C'est l'heure de l'entraînement, je ne vous lâcherai pas, vous êtes resposables de ce convoi comme moi. J'espère bien faire de vous des machines de guerre lors de ce voyage, alors allez y ! Mettez vous à deux contre moi.

Elle les incita du regard et dégaina ses deux épées thüles. Elle leur sourit et les poussa à l'attaquer sans crainte. Depuis la bataille, elle avait retrouvé l'ensemble de ses forces.
Et puis après tout, ce n'était pas deux élèves, aussi talentueux qu'ils soient, qui pourraient blesser gravement une Chantelame.
Elle se mit en garde, ses épées formant un bouclier.
Elle allait évaluer le niveau de ses élèves avec un soin particulier. Ils ne se rendaient peut être pas compte de la chance qu'ils avaient de bénéficier du savoir de la petite soeur de Valen...

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Naro et Loris étaient revenus à la caravane et tous les itinérants avaient partagé leur repas ensemble.
Durant ce repas, il y avait eu beaucoup de convivialité, de joie et de rire.
Cependant, Naro resta un peu en marge du mouvement pour réfléchir et repenser à sa discution avec Loris et quand à la fin du repas Enoriel vint les défier lui et Loris dans un combat à deux contre un, Naro n'eu que peu d'engoument.

Il se leva pourtant et sorti son sabre affûté du fourreau.
Il réaffuta la lame rapidement et se mit en posture offensive puis passa à l'attaque sans l'envie qu'il avait avant chaque affrontement.
Enoriel le repoussa facilement comme s'il était un simple débutant dans la maîtrise des armes !

Enoriel semblait prendre un malin plaisir à vaincre Naro avec tant de simplicité.
C'était maintenant la côlère qui lui permettait de tenir une certaine cadence de combat mais il s'épuisait pourtant à une vitesse visible.
Après un dernier assaut, il fût une fois de plus repoussé par les deux lames thüles d'Enoriel.

Il n'était pas d'humeur à combattre et il n'insista pas.
Il prit une position de replit et attendit que Loris intervienne dans ce combat où son désaventage devenait de plus en plus flagrant...

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Ils mangèrent a leurs guises et il fallait le dire : Loris s'empiffrait, elle était morte de faim !
Elle repensait encore a la discussion de Naro et elle. Elle essayer pourtant désespérément, de ne plus en penser mais a chaque fois qu'elle le voyait : Leurs paroles revenait tous seuls. Enoriel lança aux deux jeunes apprentis, avec une pointe d'arrogance et de provocation dans la voix :

-C'est l'heure de l'entraînement, je ne vous lâcherai pas, vous êtes responsables de ce convoi comme moi. J'espère bien faire de vous des machines de guerre lors de ce voyage, alors allez y ! Mettez vous à deux contre moi.

Loris blêmit. Certes l'arc était son domaine, chance pour elle, mais le combat... Pour un peu de répit, Naro c'était lancée dans le combat sans aucune hésitation. Et même si il se faisait largement maitrisait Naro se battait drôlement bien. Si Loris n'était même pas capable d'avoir le niveau de Naro, alors que serait-elle fasse a Enoriel ? Elle tremblait de tout ces membres, et quand Naro finit par abandonner Loris s'avança frêle, et lui dit timidement :

- Je ne sais pas vraiment me battre....

Elle baissa la tête, confuse, et rouge de son incapacité a se battre.

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Naro avait rompu le combat avec Enoriel. Il transpirait beaucoup trop pour un combat et celui-çi n'avait pas durer plus de 5 minutes. Le niveau d'Enoriel était sans conteste grandement supérieur au sien mais il avait le sentiment que tout ses entraînement intensifs n'avait rien fait de lui qu'un piètre combattant. Il n'avait même pas le courage de rester devant son adversaire.

Loris s'approcha de la zone d'affrontement et Naro reprit espoir.
Elle dit en baissant la tête :

" Je ne sais pas vraiment me battre... "

Puis elle était resté devant Enoriel sans aucune autre justification.

Naro avait combattu Enoriel sans envie. Sans l'envie qui décuple sa force lors des affrontements.
Il se releva et s'approcha de Loris.
Enoriel était une Chantelame, et si elle était compétente dans l'art du combat, elle avait subi un entraînement rude pour parvenir à ce niveau.
L'entraînement était donc la clé de la réussite. Il saisi les mains de Loris puis les referma sur sa lame. Il lui dit enfin avec assurance :

" Apprend...! "

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Naro se leva, au grand étonnement de Loris. Il s'approcha d'elle, et Loris retint sa respiration ne savant ce qu'il allait faire. Il prit sa main -Loris eut un frisson au contact de sa peau-, et les posa sur sa lame et lui dit avec assurance :

" Apprend...! "

Loris regarda Naro dans les yeux, pour elle c'était un vrai supplice : Mais on ne fait pas un voyage aussi long sans savoir ce battre ! Elle respira un bon coup, et une flamme nouvelle brûlait dans ses yeux. Une flamme de sauvagerie, mêlée a la soif d'apprendre, et surtout une confiance en soi de fer. Elle avait puisait ce nouvel espoir dans l'assurance et dans les yeux de Naro. Elle retira d'un geste vif la lame de son fourreau et se mit en position de défense. Elle ne savait pas trop se battre mais elle avait quelque notion : Comme la position d'attaque et de défense. Elle regarda Naro et dans un effort hors d'elle même et se tourna vers Enoriel avec sa flamme de sauvagerie dans les yeux. Et elle lui déclara fermement et sûre d'elle-même :

- Apprend moi !

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" Apprend moi ! "

Loris lui fit cette requête en fixant les yeux vide de sentiment de Naro.
Elle était dans une pseudo position défensive et Enoriel passerai bientôt à l'attaque. Le regard intense que Loris avait posé sur Naro avait revigoré ses forces et c'est avec énergie qu'il sortit deux de ses dagues.
Ses chances face à Enoriel était encore réduite car elle utilisait deux épées thüles et qu'elle avait donc l'avantage de pouvoir frappé sans trop s'exposer au risque d'une éventuelle riposte.
Naro allait surement se blesser, gravement peut-être ; mais il s'en moquait, sur lui reposait le regard de Loris et c'est avec envie cette fois-çi qu'il se jeta sur Enoriel.
Avant de l'atteindre, il s'exprima haut et fort à l'attention de Loris toujours en position défensive d'une voix grave digne d'un sage qui va transmètre son précieux savoir :

" Observe, ... et apprend ! "

C'est avec une larme à l'oeil qu'il atteint les deux lames Thüles qui le repoussèrent.
Il souriait, jubilait même...
Il allait gagner et il devrait sa victoire au seul regard de Loris posé sur lui !

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Plus que heureuse, elle vit Naro passait en premier : Cette fois-ci pas parce que cela retardait son combat, mais parce qu'elle avait vu son sourire angélique et sa larme au coin de l'œil. Lui aussi pris la position défensive, bien sûr mieux que Loris, et elle l'observa de bas en haut. Au automatiquement elle l'étudia en essayent de reproduire la figure sur elle. Elle fléchit sa jambe droite en retrait, replia un peu les bras vers elle qui était presque tendu, baissa un peu la tête : Et pour un peu, elle ressemblait a Naro. Il engagea le combat en parlant d'une voix grave, digne d'un professeur :

" Observe, ... et apprend ! "

Loris était plus attentive que jamais, elle qui était toujours tête en l'air : Elle était prisonnière de l'ordre de Naro. Il vit chacun de ses coups, ses esquives, ses attaques pourtant repoussé par la super combattante devant lui... Certes maintenant elle avait retenu quelque idées mais serait-elle capable de les faire prendre formes ? Elle observa le combat, et la fougue avec laquelle Naro se battait....

[ HJ : Je te laisse décidai comment se finit le combat ^^... ]

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Les deux lames Thüles d'Enoriel balayèrent le vide...
Encore et encore...
Naro avait donner un rythme de combat plutôt soutenu et s'il ne parvenais toujours pas à toucher le moindre cheveux d'Enoriel, il avait au moins une plus grande facilité dans ses mouvements.

Cette fois-çi, il en est certain, il va vaincre. Il va vaincre Enoriel, montrer l'exemple à suivre à Loris toujours imperturbable et donner une main à son adversaire pour lui prouver son respect et son admiration face au combat qu'ils auraient mené...
Une attaque d'estoc, Naro n'eu d'autre moyen que de parer avec ses deux dagues en même temps. Sous le choc, Naro lacha maladroitement ses deux dagues.
Il se retrouvait en mauvaise posture et ses armes était hors de portée...
Sa lame longue en revanche était dans les mains de Loris mais il devais s'approcher d'avantage.

Déjà Enoriel passait à l'offensive. Une esquive, puis deux, puis...
Une des deux lames Thüles d'Enoriel s'arrêta un peu tard et finie dans l'abdomen de Naro ! Plus sous le choc que sous la douleur, il s'écroula.
Déjà Loris approchait à grandes enjambés. Lorsqu'elle fut là, il s'arca et lui chuchota :

" La dernière tentative d'esquive n'est pas à retenir... "

Naro se recoucha sur le sol, le sourire aux lèvres. Une larme chaude dégoulina le long de sa joue ; pour la première fois, il pleurait de joie et de bonheur...

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Certes Naro n'arrivait toujours pas a percer dans la défense de Enoriel, mais elle donnait des coups dans le vide. Alors que Naro et Loris croyaient sérieusement que Naro battrait Enoriel, celui-ci perdu ses deux lames. Sa dernière arme était dans les mains de Loris. Elle s'approcha pour lui donner dans un coup de revers de main... Mais n'eut pas le temps car Enoriel attaqua. Loris lâcha l'arme morte de peur pour Naro. Pourquoi Enoriel continuait-elle ?! Certes elle avait était élevée a la dure, mais quand même ! Et avant que Loris est pu s'interposait, Enoriel n'avait pas réussi a freiner la lame qui transperça l'abdomen a Naro. Loris ne put bougeait devant l'atrocité de la lame qui transpercer le corps de Naro, et lui qui s'écroulait doucement, comme si il attendait pour tomber... Elle se rua vers lui très vite, en pleurant toutes les larmes de son corps. Elle se pencha sur lui, ou plutôt tomba sur lui et cria toutes ses forces. Elle caressa son doux visage, pleurant encore et encore. Elle se rendait compte qu'a présent a qu'elle point elle tenait a lui... L'heure n'était pas a ça ! Il lui dit en chuchotant :

" La dernière tentative d'esquive n'est pas à retenir... "

Loris tapa sur le sol avec son poing de rage. A tel point qu'elle c'était ouverte la main. Elle se releva tremblente de rage est s'approcha de Enoriel. Enoriel pouvait être une simple fermière ou l'Empereur lui même, elle n'aurait pas eu peur une seconde de lui mètre un point. Elle essaya de se calmer, et de parler distinctement :

-... Pourquoi... Tu ne t'est pas arrêter ?...

Elle serrait les poings, jamais elle n'avais était comme ça. Elle n'attendit pas sa réponse et retourna au chevet de Naro. Elle était encore en rage et ne prêtait aucune intention a ce qui l'entourait. Elle enleva le tissu qui recouvrait sa poitrine et la mit sur la plaie de Naro. Elle s'en fichait d'avoir presque la poitrine a l'air : Il fallait que Naro guéris. Pour ne pas se faire plus remarquer, elle prit un manteau qui trainait et l'enfila pour se recouvrir le torse. Après quoi elle déchira une parti de son haut sur Naro a présent et partit le trempait. Elle revint et le déposa sur son front. Elle mit le tissu sur la plaie qui traversait l'abdomen de Naro et lui prit la main en la serrant très fort. Elle embrassa sa main si douce et lui murmura :

- Je suis là... Ça va aller...

Même si elle était sûr que lui ne s'inquiétait pas, elle y tenait. Elle se releva et partit vers Enoriel en essayant de redevenir plus zen. Elle parlait a présent d'une voix sèche, mais dépourvu de colère :

- Comment on fait maintenant ?

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Loris avait recouvers la plaie que la lame d'Enoriel avait laissé sur le flanc droit de Naro. Il ne souffrait presque plus et le sang qui au début gouttait rapidement stagna au bord de la plaie mais comme Loris était partie débatre avec Enoriel sur le violent affrontement, il se retrouvait seul et sans aucune aide.

Il se releva quelque minutes plus tard et ressenti une violente douleur dans le dos. Il avait du subir un traumatisme lors de sa chute au sol. Il chercha de distinguer la provenance des éclats de voix puis au prix de nombreux effort de volonté dont il était capable de faire preuve, Naro arriva bientôt sur le lieu de l'affrontement verbale de Loris et d'Enoriel.

Il s'adossa sur une surface froide sans chercher à savoir de quoi il s'agissait. Même sa démarche trébuchante n'avait pas détourner le regard des deux femmes.
Enoriel semblait perdre patience et Naro craint le pire en devinant un rictus se former sur son visage. Il décida d'intervenir avant que la situation ne s'envenime.
Loris avait pansé sa blessure et c'est vers elle que Naro s'approca doucement mais avec un maximum d'assurance dans ses mouvements.
Il placa sa main sur l' épaule gauche de Loris qui sursauta puis il lui expliqua d'une voix sans marque d'émotion comme il avait l'habitude de faire mais avec un sourire rassurant au coin des lèvres :

" Arrêtez donc de débattre sur un sujet qui ne pourra pas être guéri par vos paroles plus ou moins perçantes ou mal venue. Loris, Enoriel est une combattante chevronnée et si elle a jugé bon de m'infliger cette blessure, je ne doute pas qu'il y est une explication plausible... "

A sa grande surprise, Naro se tenait debout sans aucune difficulté et si sa blessue lui imposait du repos, il pouvait se déplacer sans encombre.
Une larme perla au coin de l'oeil de Loris. Il retira son gant droit et l'essuya avec son index...

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" Arrêtez donc de débattre sur un sujet qui ne pourra pas être guéri par vos paroles plus ou moins perçantes ou mal venue. Loris, Enoriel est une combattante chevronnée et si elle a jugé bon de m'infliger cette blessure, je ne doute pas qu'il y est une explication plausible... "

Loris devient rouge de colère. Il essuya sa larme de colère au coin de son œil et Loris s'exclama haut et fort :

- Eh bien d'accord Naro ! Je vais te laissait avec tes blessures mérités !

Elle fit tombait le bras de Naro dans un revers de main et partit furieuse dans un endroit, seule. Elle marcha, puis e mit a courir a petit pas régulier, souffle constant en repensant a ce qui venait de se passer. Elle l'avait soigner, Enoriel avait failli blesser gravement Naro, mais d'après lui : C'était méritait ! Si elle continuait a s'énerver ainsi elle ne tiendrait pas longtemps son rythme de course. Elle se détendit donc et oublia ses soucis. Elle écouta attentivement les bruits qui l'entourait : Les envols majestueux des oiseaux, ceux des rongeurs qui grignotaient, les renards plus que jamais discraient... Certes elle n'avait pas l'oreille d'une marchombre, et d'ailleurs eux devait entendre mille choses de plus, ici quelle, mais elle avait quand même une bonne ouïe... Elle trouva une petit clairière et s'y arrêta au milieu de celle-ci. Elle s'y assit en tailleur et inspirant profondément.
Inspiration.
Expiration.
Inspiration.
Expiration.
...
Peu à peu elle retrouva son calme de tout les jours. Puis selle décida d'aller dans les Spires pour y voir... Elle se concentra et y entra plus facilement qu'elle croyait, sans doute parce qu'elle était parfaitement calme. Elle vit le monde qu'elle aimait temps, Le monde des Spires et navigua au milieu des milliers de chemins qui se formait. Et là elle vit un drôle de signe : Une présence. Elle sortit des Spires très rapidement, et demanda d'une voix sèche :

- Quoi ?

Elle savait qui c'était...

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La remarque de Naro avait fortement blessé Loris qui parti en courant dans la direction des sous-bois. Il s'en voulais terriblemant et à défaut de suivre son rythme, il la suivit sans se faire remarquer.
Au bout d'une bonne dizaine de minutes, elle s'arrêta dans une clairière. Naro avait mal à en mourir aussi bien blessé physiquement que moralemant. Il arriva essouflé au bord de la petite zone non boisée qu'était la clairière puis monta dans un arbre au prix d'un nouvel effort.

Loris semblait être concentré et il ne voulait pas la déranger.
Elle avait surement trouver refuge dans les Spires et il ne tenait pas à lui faire un affront de plus. Dans sa poursuite, Naro s'était fatigué encore d'avantage et il n'avait pas su remercier Loris pour ses soins. Il était très honteux et s'en voulais plus encore qu'à Enoriel...

Tout d'un coup, Loris détourna son attention en relachant sa concentration et demanda d'une voie seche et haute :

" Quoi ? "

De la où il se trouvait et même si ses aptitudes de camouflage était réduitent par sa blessure, Naro restait invisible et il n'avait pas fait un seul bruit...
Il attendit de savoir si l'interpellation lui était destinée puis ne voyant venir personne, il dessendit de l'arbre avec un maximum d'adresse et d'agilité.
Il arriva au niveau de Loris puis lui demanda sans aucun timbre dans la voix :

" Je n'aurais plus la même discretion depuis l'accident ? Enfin à compter que ma blessure n'est pas voulue... "

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