Rien a faire alors aussi bien découvrir son don [Terminé]

Messages : 52 Inscription le : 10/08/2011 Age IRL : 26

Arctèr avais entendu dire que dans l'académie il avait une femme analyste qui montrait au gens qui voulais savoir le niveau de leur don qu'il avais juste a allez la voir... Sérieusement il ne savait rien de c'est quoi un analyste, alors il prit le temps d'allez voir un de c'est ami qui savait selon lui tous au sujet de Gwendalavir et même de l'autre monde. Quand il lui demande c'est quoi un analyste son ami lui répondit a toute les questions que Arctèr lui demanda et lui montra même ou étais la salle ou elle était.

Il partit a la recherche de la fameuse salle car il n'avais pas de cour avant se soir et il avait rien a faire, et en plus il ne savais pas jusqu’à ou allais son don, il savait que il étais bon et que il avait de la faciliter a faire des dessins (tant que c'est pas extrêmement haut dans les spires). Il monta en haut de plusieurs escalier, marcha dans de nombreux couloirs et vit une petite pancarte qui disais ``ANALYSTE LOÏCA POUR VOUS MONTRER LE NIVEAU DE VOTRE DON``. C'est avec grande prudence même si il ne savais pas pourquoi qu'il rentra dans la salle.

Quand il étais dans le cadre de porte il demanda avec une voix qu'il voulais rassurante.

-Y a t-il quelqu’un, madame Loïca.

Il étais pas sur qu'elle étais la car il fesait sombre et il étais pas sur de devoir faire de la lumière alors il attendit.

Messages : 43 Inscription le : 25/01/2012

N’étant qu’au début de ses fonctions, Loïca avait grand temps libre, et en profitait pour arpenter l’Académie, connaitre les lieux, les différents cours, les us et coutumes de cette région là. Elle n’osait encore pas trop aborder les autres, aussi se contentait-elle d’observer.
Malgré le froid hivernal, il régnait une belle journée, ensoleillée. Aussi en profita-t-elle pour sortir dans les cours et jardins qu’elle n’avait encore alors jamais vu.
Ce fut l’écurie qui l’attira de prime abord. Non pas l’odeur, mais le hennissement des animaux appelant aux soins quotidiens.

Elle y resta des heures, caressant leurs encolures, apprenant leurs noms, tentant de percevoir en chacun un caractère bien différent.
Elle avait pourtant déjà vu des chevaux. Toutefois Sloann lui interdisait d’en monter ou même d’en approcher, de peur qu’elle se blesse et n’abime son corps si précieux.
Aussi mit-elle du temps avant d’en toucher, prise d’une peur muette dues aux recommandations de son mentor. Mais dès que le premier pas fut fait, elle s’en délecta, sachant bien que, dans leurs enclos, ils ne pouvaient lui faire du mal !

Ce n’est que lorsqu’elle entendit le maitre des écuries arriver qu’elle se rendit compte du temps qui avait pu passer. Elle se précipita donc vers ses appartements. Elle n’avait pas une foule d’élèves venant la voir, mais elle aimait être immédiatement disponible si l’un d’eux venait la voir, et s’absenter trop n’était pas une des meilleures solutions.

Arrivée au troisième étage, elle se figea d’horreur. Sa porte d’appartement était ouverte, alors qu’elle était persuadée de l’avoir fermée derrière elle. Pas à clé. Il est vrai. Au village jamais aucune porte n’était fermée à clé, il fallait s’ouvrir aux autres, ne refuser aucun visiteur. Il n’y avait pas de vol, on était en famille !
Elle en avait oublié qu’ailleurs tout était différent !
Paniquée, elle s’avança vers la porte. Il faisait noir à l’intérieur, et elle n’aimait pas du tout cela. Elle avait pourtant laissé les volets ouverts. Un coup de vent avaient du les rabattre.
Peur. Crainte.
Qui avait bien pu rentrer dans ses appartements ? Alors qu’elle n’y était pas. Et qu’il faisait un noir des plus effrayants.
Déglutissant, elle s’avança, ne dépassant pas toutefois le cadre de la porte. La peur du noir la glaçait et la privait d’un quelconque dessin de protection.

-Qui est là ?

Malgré l’effroi, sa voix était forte et dénuée de tremblements. Sloann venu la chercher ? Ou Lutchia ? Un assassin, un autre messager venu venger la trahison ?

Une ombre se tourna alors à elle, et l’Imagination s’ouvrit à nouveau dans un excès de panique.
Les lumières éclatèrent d’un coup, éblouissantes, aveuglant toute la pièce et…l’élève ?
Un simple élève se retrouvant seul dans ses appartements, sans aucune lumière ?
Loïca rétablit les lumières, moins fortes, et alla rouvrir les volets, le cœur encore battant la chamade d’une telle frayeur. Puis elle se tourna vers le garçon.

-Qui es-tu ? Et que faisais-tu dans mes appartements ?

Elle ne savait quel sentiment laisser l’emporter : la colère ou le soulagement ? La colère qu’un élève se permette de rentrer sans frapper, ou le soulagement qu’il ne s’agisse que d’un élève la cherchant et non d’une menace la concernant.

Messages : 52 Inscription le : 10/08/2011 Age IRL : 26

Quand Arcter commença a s'en allez une dame apparut dans le cadre de porte en lui fesans le saut, une vive lumière l'ébloui pendant quelque seconde, quand il pu à nouveau voir il examina la dame qui lui fessais face, elle étais une des rares femmes qu'il trouvais belle mais celle la au contraire étais une des plus belle femme qu'il avait jamais vue... Pas au point de tomber amoureux d'elle bien sur mais quand même.

Il étais perdu dans sa contemplation quand la femme en question l'interpella:

-Qui es-tu ? Et que faisais-tu dans mes appartements ?

Oups, tout-à-coup il étais pas sur que s'étais une bonne idée qu'il soit la, et même qu'il soit a la bonne endroit. Mais il étais sur qu'il étais a la bonne endroit car il avait vue la pancarte a l'entrée de la porte, alors décida t'il te rester ferme et confient de lui.

-Je suis Arctèr Wil' Oroan et je suis venu ici pour faire évaluer mon don... Je suis désolé de vous avoir fait peur c'étais vraiment pas mon intention. Êtes vous disponible pour une analyse de mon don. En regardant autour de lui il ne vit pas grand monde. On dirais bien que oui, que vous êtes disponible.

Il la regarda comme elle le fixais et attendit qu'elle lui réponde.

Messages : 43 Inscription le : 25/01/2012

Un élève. Encore jamais croisé. Mais juste un élève voulant tester son don.
Elle cacha son soulagement, plus qu’agacée par le comportement du jeune garçon.
Oui, apparemment libre. Mais de quel droit rentrait-il dans un appartement privé sans aucune invitation ? Cela était défier, outrager les règles et la politesse, le savoir vivre de tout homme.
Si au Village personne ne fermait sa porte à clé, par confiance, personne, au grand jamais personne, n’entrait dans la demeure, dans l’intimité de l’autre sans invitation.

Serrant les dents, elle se contint, se promettant de fermer ses appartements à double tour lors de sa prochaine sortie. L’extérieur n’était pas un monde de confiance et de respect. Il lui faudrait s’y habituer.

Elle entra dans ses appartements, et prit soin d’ouvrir les volets afin de cesser immédiatement cette lumière aveuglante qu’elle venait de créer. Il lui fallait vraiment apprendre à maitriser son don. Mais elle savait pertinemment qu’il était tout aussi impulsif qu’elle.

-Entre. Je vais te tester. Mais à l’avenir, n’entre plus de la sorte dans mes appartements, compris ?

Elle lui jeta un regard sévère.

-Que les Divinités te pardonnent et t’apprennent le savoir vivre. On frappe avant d’entrer, et si personne ne répond, c’est qu’il n’y a personne ou que celle qui ne répond pas ne désire pas recevoir.

Elle soupira, encore sur les nerfs. Elle commençait à douter de sa faculté à s’habituer aux coutumes de ces gens. Puis elle ferma juste un instant les yeux, à peine une seconde, et revit sa toute première rencontre, son premier test avec Attalys.
Ils n’étaient pas tous étrangers. Attalys avait compris et lui avait été d’une grande aide.
Elle se remémora les maisons, et la façon dont Lev avait montré d’un signe sa bague lorsque Loïca avait évoqué sa maison. Ses pupilles noisettes cherchèrent alors le bijou d’appartenance du garçon et le trouva.

-Tu viens d’Aequor, tout comme Attalys. Je suppose que vous vous connaissez?

Elle sourit en pensant à la jeune fille, mais fut bien obligée de constater que les enfants de la Dame ne se ressemblaient pas tous. Comme faisaient-ils donc leurs répartitions ?
Elle savait que les anciennes maisons regroupaient des élèves de caractère semblable. Le mode de classement avait du changer du tout au tout. Arctèr n’était en rien comparable à Attalys. Elle le savait rien qu’en le voyant.
Pourtant tous deux étaient Etincelle. La Dame lui envoyait bien des dessinateurs, jeunes et novices, mais dessinateurs tout de même. Ce ne pouvait être qu’un plaisir immense !

-Assieds-toi, je vais te tester à présent.

Elle avait retrouvé son sourire, ne désirant pas rester en colère contre cet élève impoli, mais surtout maladroit. Rien de méchant. Juste de la maladresse.
Elle le laissa donc s’assoir sur le siège du scintilleur, pendant qu’elle plaçait une nouvelle toile blanche, prête à l’emploi.

-Tu n’as rien à faire. Juste à te laisser faire, les Spires s’ouvriront d’elles-mêmes.

Elle se plaça derrière lui, tout comme elle s’était placé derrière Attalys et Lev, et entra dans l’Imagination.
Les couleurs se brouillèrent, puis se formèrent, en trois cercles. Le bleu était le plus grand, et le plus centré, tandis que le rouge et le jaune, bien plus petits semblaient partir de toute part.

[img]

[/img]

-Tu as beaucoup de créativité, mais tu utilises ton pouvoir n’importe comment. Je le vois à ton cercle de pouvoir ainsi que celui de volonté complètement excentrés.

Tout en créant une miniature de la toile, afin que l’élève puisse emporter son dessin avec lui, elle le fixa, analysant sa réaction.

-Il faut que tu canalise ce pouvoir, où cela pourrait te jouer des tours. Parles-en à un des professeurs de dessin, s’il le faut. Elles pourront t’aider à l’utiliser avec plus de justesse. Tu commence tout juste, Etincelle, tu n’es qu’un novice avec peu de pouvoir, tu peux encore t’améliorer et rectifier un peu ce défaut.

Messages : 52 Inscription le : 10/08/2011 Age IRL : 26

Arcter regardais son dessin avec une lueur d'amusement dans les yeux, car c'est vrai qu'il s'amusais un peu n'importe comment avec son pouvoir et il devrait belle et bien le gérer pour de bon et ne plus s'amuser avec.

Il prit la toile que la dame lui tendait et lui dit avec son air le plus désolé que possible:

-je suis désolé de vous avoir fait peur et d'être rentrer dans vos appartement mais on m'avais dit que j'avais juste a entrer et que vous seriez la avec d'autres élèves alors je suis rentrer comme sa. la prochaine fois je vais cogner si je vais a quelque part.
Il prit sa toile et partie vers la porte en fessant un signe de main. Il partit mettre sa toila dans sa chambre et la montrer a ces amis.

**Contenu sponsorisé**

» Découvrir une salle et se découvrir soi-même [Terminé]
» Parcequ' en dehors de ses heures de travail, un garde n' à vraiment rien à faire... [Terminé]
» Quand on a rien faire, autant faire travailler son cerveau :naif:
» Parce que rien ne dure... (RP terminé)
» Je ne crierai rien sur les toits [Terminé]

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée