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| Sujet: Réconfortante amitié [Inachevé] Lun 20 Aoû 2012 - 2:29 | | | Arcter, qui réussi a s'endormir a une heure impossible se leva malgré lui un peu trop tôt pour lui... Soit vers trois heure du matin a cause du bruit. Encore endormit il se leva et alla s'habiller en vitesse pour aller déjeuner de bon petits oeufs avec un jus d'orange. après le repas il alla s'assir sur une chaise et commença un bon livre. Celui d'un dessinateur célèbre qui aurait changer le cour de l'histoire pour les humains. Mais après quelque minute il ne peut plus lire d'avantage... Alors pourquoi pas aller se promener dans un belle endroit comme les jardins.
Il étais environ sept heure quand il arriva dans les jardins. Il trouvait la senteur des plantes tellement bonne, il passerait des heures a être juste assit ici a rien faire ou a dormir dans un coin de mousse. Mais cette fois il ne pourra pas se reposer car une fille assit sur un banc pleurait a chaude larme. Elle était la, assit seul, les yeux rougie et gonfler, se qui paraissait qu'elle avait passer beaucoup de temps a pleurer sur ce banc, peut-être toute la nuit. Il alla vers elle pour être sur qu'elle allait bien, sérieux.. Quoi de pire que voir une fille pleurer.
-Salut...... Heu, est-ce que sa va?.. Je peut tu d'aider?
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| Sujet: Re: Réconfortante amitié [Inachevé] Lun 3 Sep 2012 - 0:57 | | | La jeune rêveuse s’était levée de bonne heure. Sans aucune raison notable, elle avait eu une nuit agitée, se réveillant sans cesse en plein milieu de cauchemars qui s’évaporaient dès qu’elle ouvrait les yeux. Elle avait fini par renoncer à trouver le sommeil cette nuit-là, et s’était levée. Ses pas la dirigeant naturellement vers la bibliothèque. Elle s’était levée, et paraissait partie pour une journée ordinaire. Elle ne se doutait pas du malheur qui l’attendait. Elle passa à côté de deux rêveurs qui discutaient, sans doute n’arrivaient-ils pas à dormir eux non plus. Elle entendit leur conversation, sans vraiment y porter attention.
- La haine est liée - Ris ! - L’haine ? - Flazie… - Oh (Enelÿe Ril’Enflazio) zut, j'étais persuadée que c'était "l'haine" et pas "la haine".
« Flazie » était le nom d’un des rêveurs, le reste n’avait aucun sens. Ils devaient sans doute jouer à l’un de ces jeux idiot, auquel la jeune rêveuse ne comprenait pas les règles. Elle continua, sans vraiment essayer de comprendre, ne voulant pas les déranger en plein milieu d’une partie, ou d’elle ne savait trop quoi. Plongée dans ses pensées, elle réfléchit à ce qu’elle allait faire aujourd’hui… Donner un coup de main à l’infirmerie ? Rester étudier, elle ne savait trop quoi à la bibliothèque ? Se balader et ramasser les plantes médicinales dans le jardin ? Elle savait qu’elle aurait dû aller voir Amarylis. Mais l’idée ne lui vint même pas à l’esprit. Et si elle écrivait quelques mots à sa chère petite sœur ? Cela faisait longtemps qu’elle n’avait guère eut de nouvelle…
Elle n’y avait pas fait si peu attention que cela à leur jeu. Ça lui avait fait penser à un autre jeu, tout aussi étrange et inutile, qu’elle avait appris un jour. Un jeu qui faisait plus passer celui qui y jouait pour un idiot qu’autre chose.
- Bien ouèj, le keum mapa téma.
Et elle fit un tour sur elle-même. Oui, décidément, c’était pire que ridicule. Heureusement que personne n’était dans les parages. Ca la fit rire tout de même, c’était tellement bête. Reprenant son air sérieux, elle continua d’avancer, aperçu Eliott au loin, qui triait le courrier d’ailleurs. Elle qui se disait justement qu’elle allait écrire à Ael. Elle s’avança donc pour le saluer, et remarqua son air triste. Il semblait… Désolé de la voir. Que se passait-il donc pour qu’il ait cet air-là ? Elle ne l’avait jamais vu ainsi. Quand il la voyait, il lui adressait toujours un immense sourire. Il avait dû se passer quelque chose de grave. Mais quoi donc ? Elle n’eut même pas à lui demander qu’il lui tendit un courrier dont le cachet avait dû se casser durant le transport. Un courrier sur lequel ses yeux étaient tombés. Elle le prit, l’ouvrit, et le lut d’une traite.
« Elisha,
J’ai deux tristes nouvelles à t’annoncer. Mais avant que tu ne les apprennes, j’aimerais que tu me promettes de rester suivre ton apprentissage à la Confrérie. Ne rentre pas, ce serait inutile. J’ai cherché des heures durant, comment t’annoncer cela, mais au final, je pense que c’est inutile de détourner, de retarder le moment où tu l’apprendras. Ton père s’en est allé. Après ton départ, il n’a même pas tenté de faire d’Ael une combattante, comme elle l’aurait tant voulu, il est resté à se morfondre, puis a fini par partir. Je n’ai jamais osé te le dire. Mais je pense que tu le dois le savoir. Ensuite, il y a autre chose que nous t’avions caché. Ta petite sœur était atteinte d’une sorte de maladie inexplicable. Elle n’en souffrait pas, mais ses forces s’amenuisaient jour après jour. Alors voilà, je pense qu’il est inutile de prendre des gants pour te le dire. Ael est morte. Ne cherche pas à me joindre, continue de vivre ta vie, pour Ael. Je m’en vais retrouver ton père.
Ta mère qui t’aime. »
Le papier glissa d’entre ces mains, tomba au sol. Ses yeux brouillés l’empêchaient de réfléchir convenablement. Elle n’avait rien compris. Elle avait mal lu. Ce n’était pas possible. NON ! Ce n’était pas POSSIBLE !! Une phrase résonnait dans sa tête, tout le reste, elle l’avait oublié. Ael est morte. Ael est morte. Ael est morte. C’était une blague, un canular. Ael ne pouvait pas mourir. Ael ne pouvait pas mourir avant elle, hein ? C’était quelqu’un qui se moquait d’elle. Qui trouvait drôle d’envoyer une telle missive. Etrange coïncidence après tout. Après Mael, c’est Ael. C’était impossible. Elle ne pouvait pas être morte. Le regard désolé d’Eliott lui fit comprendre que si. Et puis, au fond, elle reconnaissait bien l’écriture de sa mère. Mais pourquoi ne l’avait-on pas prévenu avant ? Elle aurait peut-être pu la soigner, elle. Elle n’aurait pas dû mourir. Elle voulait retourner en arrière. Tout recommencer.
« Sans cette personne, ce monde perd toutes ses couleurs Cela va même jusqu'à la démence, un rire implacable »
Elle retourna sur ses pas, recommença. Modifiant certains éléments, comme si elle tentait de modifier le passé.
- La meuf est chelou.
Et un tour sur soi-même.
Quelques pas encore, et les rêveurs qui jouaient toujours.
- Vas-y, lis. - « a dit Nalane. » (Lya Dinal)
Aucun sens, toujours aucun sens. Absurde. Aussi absurde que ce qu’elle avait lu plus tôt. Non, plus tard. Elle modifia cet espèce de passé. S’avança.
- Je peux jouer ? - Bien sur, tu sais jouer ? - Pas du tout, mais je peux apprendre.
Elle était sur la bonne voie. Si elle continuait ainsi, le « futur » s’effacerait peut-être.
- D’accord, on te montre, essaie de comprendre.
Et elle ouvrit un livre, lut une phrase au hasard :
- « L’âme à rit » - Lis ce li… - Nuïlen (Amarylis Linuïl), j’essaie de lui faire comprendre, m’interromps-pas. Je reprends… - « L’eau a ne… » - « Gaïa n’a… » ! (Lohan Gayana) - ‘Woli (Wall-E) - On dit « joli » espèce de roturier !
Et ça parti en dispute, apparemment ils avaient du mal à se mettre d’accord sur les règles exactes de ce jeu que Nuïlen, le roturier en question, avait appris à Flazie. C’était une histoire de lancer un bout de phrase, tiré du même livre, reprenant une syllabe uniquement de ce qu’avait lu le précédant. La rapidité était de mise, puisque, plus on attendait, plus le nombre de syllabes utilisées augmentait, et plus c’était compliquer de caser une autre phrase. Bref, un jeu compliqué, pas si idiot qu’elle le croyait au début. Elisha s’en alla finalement, n’arrivant pas à se changer les idées. Cette dispute lui rappelant trop les disputes fraternelles qu’elle avait eu avec Ael.
Ses pas décidèrent qu’elle se rendrait à la salle (Alasa) qui servait d’infirmerie à l’Académie. Peut-être arriverait-elle à se changer les idées là-bas. Elle marchait, tentant de ne penser à rien. De ne surtout pas penser à Ael. Consciente qu’elle ne pourrait rien changer. Que ce qu’elle refusait d’admettre était bel et bien arrivé. Que le petit conte de fée qu’elle avait créé autour de son petit ange, de sa petite princesse de petite sœur était bel et bien terminé. Un petit ange, une petite princesse est normalement inaccessible, menacée mais toujours victorieuse. Pourquoi ça n’avait pas fonctionné là ? Pourquoi le chasseur avait-il fini par tuer la princesse ? Pourquoi n’avait-elle pas aidé là pour l’aider ? Dans tous les contes de fées, il y avait une bonne fée. Elisha se devait sans doute d’assurer ce rôle. Si elle voulait faire de sa sœur une princesse, si elle voulait lui céder tous ces caprices, se sacrifier sans cesse pour elle, elle aurait dû aller jusqu’au bout de ses pensées. Devenir sa marraine la fée.
Et voilà qu’elle recommençait à se sentir responsable de la mort de quelqu’un.
« Comment te dire, que tout est noir ... Comment j'ai peur.. comment j'ai froid »
- « Comment te dire, quand t'es pas là que moi sans toi,ça ne veut rien dire ?»
Et elle pleura. Les larmes enfin, sortirent, coulèrent, ne s’arrêtèrent plus.
« Comment te dire, dis-moi Comment te dire que moi sans toi C'est comme un rire qui ne trouve pas Vers où mourir ... »
Elle était arrivé dans les jardins, elle n’avait plus la force de marcher jusqu’à l’infirmerie finalement. Elle souhaitait juste pleurer sa sœur disparue. Pleurer, et réfléchir. Réfléchir à ce qu’elle allait devenir désormais, la marraine la fée qui avait perdu sa princesse, son petit ange. Allait-elle continuer son apprentissage de rêveuse, alors qu’elle avait échoué dans son rôle de conte de fées imaginaire, alors qu’elle n’avait pu sauver, ni sa sœur, ni un ami ? Une fée très nulle, vraiment. Ou allait-elle voir Jehan et lui dire :
- La voie du rêve est une voie bête et inutile, faites-moi combattante.
Puisqu'en tant que rêveuse, elle n'avait pas su aider ceux à qui elle tenait. Peut-être qu'en redevant une combattante, elle y arriverait cette fois. Non, elle devait y réfléchir plus sérieusement. Et puis, elle n’irait peut-être pas jusqu’à dire que la voie du rêve était bête et inutile. Elle pleurait encore lorsqu’un jeune homme l’aborda, lui demanda s’il pouvait l’aider. Elle leva la tête, étonnée. Pourquoi il venait la voir, lui ? Quelqu’un pouvait-il réellement l’aider alors qu’elle s’avérait être incapable de faire de même ? Elle n’avait pas envie de parler, encore moins à quelqu’un qui venait de montrer qu’il pouvait faire quelque chose qu’elle n’arrivait pas à faire. Le simple fait de sortir de sa bulle et d’aider quelqu’un d’inconnu.
Elle se méprisait, encore une fois. Décidément.
Elle secoua la tête, signe de négation. Incapable qu’elle était encore de parler à travers ses larmes qui ne cessaient de couler. Elle ignorait ce qu’elle allait devenir désormais. Elle ne connaissait pas le mode d’emploi pour vivre sans Ael. Finalement… Il pouvait peut-être l’aider. Elle parla, sans vraiment s’en rendre compte :
- En fait… Peut-être… Tu as le mode d’emploi pour vivre après avoir perdu son petit ange ?
Elle avait encore plus l’air d’une idiote. Mais elle s’en fichait. Elle réalisait peu à peu, qu’elle ne savait pas vivre pour elle-même.
« Mes sciences qui ressemblent qu'à l'ombre du doute Le bien qui fait du mal quand le mal vous envoûte Quand au coeur de l'iris c'est le temps des moussons Qui vient noyer le blé juste avant la moisson Dans les travers du temps je sais je t'ai perdue »
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| Sujet: Re: Réconfortante amitié [Inachevé] Dim 21 Oct 2012 - 1:37 | | | Quand Arcter entendit la réponse il ne comprit pas tous de suite, mais après quelque minute a y penser il comprit qu'elle avait perdu quelqu’un de cher dans sa vie. Jamais il avait aimé voir une personne triste comme sa, même si cette personne il ne la connaissait pas. Alors il s'assit a côté d'elle et essaya de la réconforter et de savoir ce qui allait pas mais après plusieurs minute il comprit que rien ne pouvait lui faire redonner le sourire. Alors décida de l'emporter marcher et en plus il avait passer tellement de temps a s’entraîner alors il allait essayer aussi avec son don du dessein.
-Euh..... Sa te tenterais de venir te promener un peu? Ici c'est sur que juste assit rien va te donner le sourire.
Elle le regarda et il attendit sa réponse.
(désoler si ce n'est pas gros je savait vraiment pas quoi écrire)
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| Sujet: Re: Réconfortante amitié [Inachevé] Mar 30 Oct 2012 - 22:07 | | | Elle aurait aimé être à dix mille lieues de là. Elle aurait aimé être sous terre elle aussi. Tout. Tout mais pas ça. Elle ne voulait pas du pseudo réconfort d’un inconnu. Elle voulait juste… Ael. Et Mael. Que tout soit comme avant. Mais c’était trop tard. C’était toujours trop tard. Son petit ange était parti. Son ami aussi. Tout un pan de sa vie lui échappait, et elle n’y pouvait rien. Elle ne pouvait que se tenir au courant des nouvelles et pleurer leurs morts. Porter le deuil. C’était tout ce pour quoi elle était faite finalement. Porter le deuil. Mais elle ne voulait pas de ça. Elle ne voulait pas ne faire que ça. Porter le deuil, sans cesse.
Elle voulait apprendre à vivre. Seule. Libre. Apprendre à vivre pour elle-même. Apprendre à vivre malgré la perte d’êtres chers. Et ne plus jamais risquer d’en perdre d’autres êtres chers. Apprendre à vivre sans se lier à quiconque. Apprendre à vivre, tout simplement. Parce qu’elle ne savait pas comment faire ça. Elle avait toujours vécu pour les autres. Eté celle que l’on attendait d’elle. Accepté les décisions des autres pour elle. Elle ne s’était rebellée qu’une seule fois dans sa vie. Une seule et unique fois. Et c’était ainsi qu’elle avait débarqué à la Confrérie.
Pouvait-on discuter, se balader avec un inconnu en faisant en sorte qu’il reste un inconnu ? Juste histoire de se changer les idées ? Elle pouvait toujours essayer ? Proposer ? Que risquait-elle au fond ? Qu’il la prenne pour une folle et s’en aille ? La laisse tranquille ? N’était-ce pas ce qu’elle voulait au fond ?
Un éclat un peu étrange commençait à briller dans ses yeux. Ce n’était déjà plus trop la Elisha que l’on connaissait tous.
Elle releva la tête, le regarda, ne prenant même pas la peine de sécher les larmes qui venaient de couler. Ne prenant la peine que de répondre. D’un air un peu étrange. Un peu ailleurs. D’une voix qui ne lui ressemblait pas beaucoup.
- Pourquoi pas…
Une idée folle naquit au sein de son esprit.
- A l’unique condition que ça reste un moment volé entre deux inconnus.
Le moment de vérité serait là. Accepterait-il ? Ou s’enfuirait-il ? Dans les deux cas, cela lui irait à merveille. Que rêver de mieux que de passer un espèce de moment hors du temps pour se changer les idées ?
Qu'en penses-tu ?
[Bon, ce n'est pas un super post mais j'espère que ça te donne matière à répondre]
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| Sujet: Re: Réconfortante amitié [Inachevé] Dim 18 Nov 2012 - 21:23 | | | Que sa reste un moment volé entre deux inconnus, Arctèr aurais préféré pouvoir rencontrer du monde mais si elle veut juste être réconforter c'est sa qu'il allait faire. Ce n'étais pas son but premier aussi? Elle se leva et partit sans rien dire et il eut un moment de surprise avant d'aller la rejoindre. Il marcha quelque minute dans les jardins en silence avant qu'il décident de briser le silence:
-Je sais que tu a dit que tu voulait pas parler de tes problèmes mais si tu veut m'expliquer pourquoi tu est si triste je pourrais t'aider.
Marcher sans rien est dire est une des choses les plus ennuyeuse du monde, surtout en plus qu'il ne la connaissait pas. Il pouvait aussi essayer qu'ils se parlent de eux mais subtilement. Il pensais aussi a faire un dessin pour la réconforter mais sa sa allait devoir être après qu'elle est dit se qu'elle a.
(Je suis désoler si m'est poste sont pas très long mais comment tu termine les tiens sa me donne aucune idée de comment faire le mien. Comme si ton personnage voulait pas qu'on l'aide et sa sa me faire perdre toute mes idées)
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