Un puma sortait d'une foret, un lapin blanc dans la gueule. Il était efflanqué d'un homme encore jeune. Tous deux essaient si proches que seule la mort eu pu les séparer. Ils étaient tous deux parés d'yeux d'un bleu cobalt, montrant une force spirituelle grande, et montrant sagesse. La chevelure de l'homme, contrastait avec celle de la bête. Ses cheveux évoquaient la chaleur des braises incandescentes tandis que son compagnon, lui, avait un pelage noir comme du charbon. Tous deux avançaient tranquillement a travers les pâturages logeant le chemin menant une un des bourgs proches d’Al pol. L’homme avait environ une vingtaine d’années, il était habillé d’une tenue sombre faite de cuir, sur laquelle une ceinture maintenait trois poignards, chacun représentant une idée, écrite sur le pommeau. Un était rouge, il y était écrit sang. Un était noir, il y était écrit haine. Le dernier était blanc, il y était écrit amour. Tout en avançant silencieusement sur le chemin de terre, le puma, dénommé Sihlm, sentit une présence, son maître, le comprenant, se mis sur ses gardes. Grand bien lui en fit, car, trois brigands sortirent des fourrés accolés à la route. - La bourse ou la vie, cher ami, lui dit le chef
- Ta vie sera suffisante, répondit Liraï tout en envoyant le poignard amour sur le chef du groupe, qui tomba en arrière grâce à la force des mots écrits sur la garde.
Les deux autres brigands chargèrent pour venger leur chef, mais Sihlm les attrapa en cours de route. Le cou de l’un se déchira entre les crocs aceres de la bête, tandis que ‘autre était emprisonné par son poids, qui l’écrasait. Pendant que son acolyte se vidait de son sang, le voleur a terre était lacère par les griffes acérées de l’animal. Reprenant leur chemin après cette escarmouche, Liraï reprit en passant son poignard dans le corps du chef, qui gisait, mort. Ils avancèrent tranquillement pendant une heure, avant d’arriver devant Al-Poll. Ils marchèrent dans les rues de la ville, et y trouvèrent l’objet de leur quête : L’école de Merwyn, formant de jeunes marchombres. Tout en rentrant dans la cour du bâtiment, il se remémorait tout ce qui l’avait conduit jusqu’ici. Sa famille massacrée par les ts’lich, l’ayant enfermé dans un deuil le rendant solitaire, ses 5 ans de vagabondages a faire son deuil, et à s’entraîner en autodidacte dans le foret. Le sauvetage de Sihlm, dont la mère avait été tuée par les chasseurs, et le jour ou il a appris l’existence de cette école, permettant la renaissance de ses espoir quant à sa vengeance, qu’il désirait plus que tout au monde pour honorer la mémoire de ses parents. Il voulait devenir un marchombre, car il n’était pas très costaud mais plutôt agile, et il maniait à merveille les poignards des mots exprimant la force des idées, héritage de ses parent, qui s’en servaient pour honorer et défendre leurs idées. Il arriva dans le hall de l’école, ou on lui dit de procéder a sa répartition avec les enseignants
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