| Sujet: De retour de l'Auberge du Siffleur Ven 12 Jan 2007 - 17:53 | | | Maafax revint par là où il était parti. La cheminé. Il se ballada dans la salle commune. Il était assez stressé. Il savait que maintenant rien ne sera plus comme avant. Il avait passer un cap. Il allait tuer des personnes innocentespour de simples champignons. Des enfantillages. Des enfantillages pour aider Merwin. devait t'il demander aux éléments de lui retirer ses dons. Il ne savait pas. Sans eux, il meurt. Ils préservent la liaison avec l'oeil d'otolep. Il faisait les cent pas dans la salle commune. Soudain, il voulut remettre ses lunettes.
-Mince, je les ai oublié là-bas. Il faudra que j'aille les chercher le plus vite possible.
Il était assez fatigué. L'utilisation intensive de ses pouvoirs l'avait affaibli. Le meilleur moyen est de reprendre contact avec les éléments. Les éléments. Leurs voix résonnait dans sa tête. Leurs voix douces et mélodieuses. Leurs harmonies. Il s'assit tranquillement. Il regarda la cheminé. Il fit un geste ample et vertical vers le haut. Il y eut un crépitement puis une étincelle. Une flammme apparu et s'étendit sur l'ensemble des bûches.
-Ecoutes-moi.
Maafax se retourna. Qui lui avait parlé ??
-Retournes-toi et regardes-moi danser.
Il regarda la cheminé, le feu dansait anormalement. Il rétrécissait, grandissait, rétrécissait, grandissait dans une même cadence.
-Nous sommes extrèmement fier de toi. Ne mets pas fins à une liaison entre nous et vous. Tu es un des seuls à pouvoir le faire. Grands nombres de personnes tuent et pas par obligation, par envie et par joie de le faire. Relèves-toi, et regardes-moi.
Maafax s'éxecuta.
-Je souhaites que tu arrêtes d'être déprimé comme cela. Tu l'as fait pour aider quelqu'un pas pour toi. Reposes-toi tu en a besoin.
Le feu arrêta de chanter. Il se jeta sur le siège. Et attendis... Il espérait que les lunettes resteraient à leurs place. Tant que ces yeux sont découvert, il a tout à risquer. Il se meva dans un effort surhumain. Il marcha jusqu'à sa chambre et chercha dans ses bagages. Il trouva une paire de rechange, la mit et se sentit à nouveau rassuré. Il toucha son médaillon de liaison avec le troisième monde pour se rassurer qu'il est là puis alla de retour dans la salle commune. Il s'affaisssa sur le fauteiml et s'endormit.
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