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| Baignade en plein après-midi (RP terminé) | |
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Messages : 449 Inscription le : 14/02/2008 Age IRL : 33
| Sujet: Re: Baignade en plein après-midi (RP terminé) Mar 17 Fév 2009 - 17:27 | | | Julia avait changé d’avis. Blanche la boudait encore, et l’hypothèse qui la supposerait à les attendre Lupus et elle, était tellement dérisoire et relevait tellement plus du faut espoir, qu’elle s’était même exaspéré de s’être accrocher à cette idée. Elle ne voulait pas rentrer tout de suite. Non, la forêt était trop belle, les choses à découvrir trop nombreuses et Lupus était trop tendu pour qu’ils se retirent déjà… il devait sentir Maël qui était encore dans les bois. L’animal s’arrêtait souvent pour tourner fréquemment son museau toujours dans la même direction : l’Est. Julia en déduit qu’elle suivait exactement la même trajectoire que les deux nouveaux et Maël, ils n’étaient séparés que par plusieurs vingtaine de mètre. Hors portée de vue, et d’oreille humaine, mais Lupus lui, les sentait tous autant qu’ils étaient.
Finalement sans réfléchir elle obliqua de nouveau vers le petit convoi. Elle remarqua tout de suite que Maël n’était pas très bon en orientation, il empruntait le chemin le plus long, et s’imposait qui plus est, des détours exubérants… il était pas très alaise, à cette allure ils arriveraient à l’établissement au plus tôt, le lendemain midi. Julia ria silencieusement à l’image qu’elle s’était faite, et puis se dit que c’était méchant. Au moins savait-il encore dans quelle direction était l’académie. Lupus gronda méchamment un instant contre son amie, il avait comprit, mais déjà elle ne touchait plus le sol.
La sensation de grimper ennivra tout à fait Julia qui s’adonna toute entière à cette activité qu’elle pratiquait en tant que loisir plus que pour autre chose. Un sourire paisible se dessina sur ses lèvres quand déjà elle se retrouva au dessus du petit groupe qui n’avait pas encore remarqués sa présence. Pas très futé pour deux aspirant à l’académie, mais elle ne valait pas mieux alors…
Sans attendre, elle se jeta dans le vide bras tout à fait ouverts, un cri de joie sortant malgré elle de sa gorge. C’était plus fort qu’elle ! Qu’est-ce qu’elle aimait voler !
En bas, le garçon aux cheveux blanc se mit en garde, un peu en retard mais en garde tout de foi, excellent réflexe il irait loin. La fille hurla de surprise –comme c’est étonnant- se dit-elle ironique et Maël… Julia éclata de rire cette foi, une larme de joie s’envola dans sa chute. Maël la regardait comme si l’apocalypse s’abattait tout entier sur lui. Julia contracta tout son corps, le déploya à nouveau avec énergie, et n’essaya pas un seul instant à ralentir sa chute. Elle épousa totalement le sol en amortissant sa chute au dernier moment. Elle se laissa rouler sur le sol de la forêt le fou rire encore au ventre, ses yeux en pleurant tellement ça lui était insupportable, son regard se ficha dans les feuillages au dessus de sa tête, Maël ne bougeait toujours pas, le corps tout à fait crispé d’effroi certainement, juste à quelque centimètre d’elle. Les larmes coulaient dru sur son visage, et les crampe à ces joues étaient presque insupportable, mais le rire continuait, elle n’avait jamais autant rit de toute sa vie ! Elle leur avait flanqué une de ses frousses !
_Autant pour moi ! –fit-elle entre deux fou rire, ne réussissant pas à se relever- C’était extraordinaire ! Le ciel soit bénis de m’avoir donné cette idée ! Si vous aviez vu vos têtes !
Julia se rassit, comme Lupus se rapprochait dangereusement. Il dû comprendre que tout allait bien puisqu’il s’immobilisa très peu de temps après. La jeune fille essuya ses larmes de rire avec peine. Eux trois réunis ils étaient des proies beaucoup plus hilarante que n’avaient était son oncle ou sa tante ! Elle n’avait plus fait ça depuis ses quinze ans avec Rodrigue. Tante May avait même faillit avoir une attaque. Elle n’avait plus recommencé… Qu’est-ce que c’était bien de rire ! Elle se laissa retomber fauchant au passage le pied de Maël qui alla rejoindre le tapis. Quand elle eut calmé cette vague étonnante de joie qui l’avait soudainement submergée, elle dit :
_Tu es trop mou Maël. Mais maintenant je sais que face à un danger immédiat tu reste tout à fait stoïque ça c’est sûr ! –elle rit à nouveau ne pouvant s’empêcher de repenser au visage hésitant de son ami. Certainement avait-il hésité entre courir et attendre pour voir si elle se rétamerait ou pas- Haaa Maël ! De vous trois c’est toi qui à le premier prix ! –elle se relava et se tourna vers les deux autres- Excellent réflexe le blanc, et toi quel performance vocale, tu m’as clouée sur place !
Elle rit encore un peu, gardant précieusement pour elle-même le souvenir de leur visage surpris à tout trois. Un souvenir qu’elle ferma sous clé.
_Allez ! Relève-toi, toi ! Mou et peut rapide en plus, comment tu fais pour vivre, je me le demande ! Mou, peu rapide et une vrai catastrophe en ce qui concerne l’orientation… y a tout à refaire c’est pas croyable ! Tu dévies au nord-ouest petit rêveur, et l’académie est direction nord, nord-est-elle l’aida à se relever- Tu veux perdre les deux nouveaux petits Lotra ou quoi ? Ce n’est pas ça qui leur fera perdre la coupe ! Et pour répondre à ta question le blanc- elle regarda les concernés- Tu te trompes. Il y a beaucoup plus d’homme que de femme ici. Mais ils ont si peu de neurones que leur réflexion se butte à les bloquer soit au clos d’exercice le plus prisé de l’établissement pour afficher leur pectoraux tout d’air composé, sois aux salles de luttes ou autres trucmuches de ce genre. Et après y a les intellectuels comme Maël, qui préfèrent la bibliothèque à l’extérieur, sous peine de se perdre même dans les couloirs. –fit-elle ironique à l’intention indirecte de Maël- Hein Maël ? Ça c’était pour la boutade de tout à l’heure. Sans rancune j’espère…-revenant au grand blanc- Et entre les deux, y a les filles. Là aussi il y a plusieurs groupes, je ne te les énumérerais pas, ça serait trop long, mais elles font le plus de voyages dans l’établissement elles ont généralement la bougeotte, sont curieuses, audacieuses et souvent surexcité. Souvent on les envois ici pour qu’elle se la ferme. J’en connais un certain nombre comme ça. Les filles qui veulent apprendre ne sont pas très bien vu surtout en haute société ; les hommes n’aiment pas qu’on sache plus qu’eux, ça les horripiles. Les pères les envois donc ici, souvent à la demande de leur progéniture. Ils font ainsi bonne figure, paraissent comme des « parents modernes » mais espère par derrière que leur fille se prendra la plus belle et la plus grande raclé de toute leur vie. Ils espèrent ainsi avoir la paix éternelle comme on dit et récupérer des créatures totalement réceptives à l’adhésion du moule collectif. –sourire amusé- La société je vous jure ! C’était sans compter sur leur courage et persévérance à toute. Elles se débrouillent très bien, la preuve elles trouvent encore du temps pour courir le peu de mec encore potable dans tout Gwendalavir. Elles sont très actives en résumé, mais pas le plus nombreuses. J’espère que cela répond à ta question.
Julia sortit de nulle part deux fleurs cueillis plus tôt et les lança à la jeune fille puis au grand blanc.
_ça c’est une plante contre les bleus et hématomes quand on la prépare en onguent et contre les douleurs musculaires si on les fait bouillir en tisane. Ça à un gout écœurant mais l’effet est immédiat. Vous en aurez besoin je pense. Pour les plus gros bobos par contre, vous rendre à l’infirmerie est nécessaire, Maël y est fourré tout les jours et se fera un plaisir de vous recevoir avec la dame Amarilys, j’en suis sûr ! Et au fait comment elle va ? Elle survit dans ce monde de brute sanguinaire ? –elle lança quelque chose que Maël attrapa au vol.- C’est contre l’insomnie, tu à l’air tellement fatigué qu’on se demande encore comment tu peux marcher. Ça ne marche plus pour moi, alors autant que ça serve à quelqu’un d’autre, au lieu de le perdre.
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| | Rêveur du Cinquième Cercle Messages : 132 Inscription le : 15/06/2008
| Sujet: Re: Baignade en plein après-midi (RP terminé) Jeu 19 Fév 2009 - 15:31 | | | Mael avait il y a quelque temps trouvé un vieux bouquin dans la bibliothèque d'Ondiane écrit par un des rare spécialistes du grand pas sur le coté,traitant des espèces animale terrienne. Il avait ouvert le livre au hasard et était tombé sur une photo d'un écureuil volant du Canada .Il avait fait quelques recherches et avait découvert que l'écureuil volant n' avait pas d'aile mais disposait de capacités de vol grâce à la présence d'une membrane entre les membres antérieurs et postérieurs appelée patagium.Il pouvait ainsi "s'envoler" d'arbre en arbre,en planant.
Quand Julia tomba,c'est ce souvenir absurde qui lui revint,il se demanda un instant si elle ne s'était pas métamorphosé en écureuil volant du canada. Sauf que Julia ne disposait pas de patagium et qu'elle allait s'écraser sur le sol. Abasourdi,sous le cri de jyliane,Mael vit avec horreur la Lupus manqué de s'écraser sur le sol. Elle amortit bien la chute,et elle…Eclata de rire! Des larmes lui montait même aux yeux ,le réveur se mit à l'accompagner d'un petit rire nerveux,tellement soulagée qu'elle soit encore en vie. Il tomba dans la poussière avant d'avoir eut le temps de dire ouf. Il continua pourtant à rire,le rire de Julia était tellement contagieux,et il avait eut si peur! Encore plus que la fois ou il avait cru la noyer dans le lac!
Elle lui fit remarquer qu'il se tromper de chemin,lui tellement absorbé par sa conversation n'avait en effet pas prit le chemin le plus court. Trop fier pour le reconnaître,il se releva,épousseta ses vêtements et se racla la gorge pour se redonnait contenance alors que Julia débitait son long monologue féministe,Il soupira d'exaspération,croisant le regard de Kirfdéin et manquant à chaque fois d'éclater de rire devant le tableau dégradant de l'individu masculin. Mais Julia continua sur sa lancée et offrit des fleurs aux deux combattants. Le rêveur jeta un œil dessus pour vérifier les dire de la jeune fille.
Mouais,effectivement,ses plantes guérissaient des coups disait-t-on,mais il ne s'était jamais fier à ces dires de vieilles femmes superstitieuses. Il existait des plantes beaucoup plus sures,plus rares aussi. Puis il jeta un œil sur la racine qu'elle lui avait donné De l'olensympe! Ou en avait-t-elle trouvée,ça ne poussait pas en cette saison!c'était un plante hivernale! Il n'y avait vraiment que Julia pour dénicher un truc comme ça ! Il devait avoir vraiment l'air mal en point pour qu'elle lui offre. Il la rangea dans sa besace,qu'il traînait par tout les temps avec lui à coté de sa collection d'herbe et de tisanes.
-Tu ne trouve que tu accentue un peu trop l'injustice dont sont victimes les femmes?Lui répondit-t-il. Beaucoup de petites filles jouent avec leurs poupées de chiffons pendant que des gamin s'amusent à se donner des coups. Si la nature a donné aux femmes la chance de donnée la vie,c'est bien qu'il y avait une raison. En contrepartie les hommes sont dotés souvent de plus grandes capacités physiques,un don bien moindre… c'est pour ça que nous retrouvons tellement plus d'homme soldat que de femme. Et malgré ce que tu en dit,peu de femmes conteste ce système…Beaucoup préfèrent rester sous la protection de leur époux ou laisser leur père décider de leur avenir pour elles. Il y a des exceptions bien sur et toutes les jeunes filles de l'académie en font partie!Elles ont choisit une vie libre! Elles sont courageuses de s'opposer ainsi à une société qui impose cette pensée. Mais une ménagère,entourée de ses enfants ne peut-elle pas être heureuse,selon toi? Est-elle obligé de se "libérer" d'un homme pour trouver le bonheur? Je ne crois pas que la femme est égale à l'homme. Car ils sont trop différents pour être comparés…le plus important,je crois,n'est pas d'acquérir forcement la liberté complète…Mais d'être heureux,tout simplement .le bonheur et la liberté sont quelquefois dissociables.
Il s'arrêta un instant,réfléchissant à ce qu'il pouvait dire d'autre.
-Et oui Amarilys va mieux fit-t-il doucement Tu ne devrait pas te moquer ainsi d'elle. Ce qu'elle a vécu l'a fait beaucoup souffrir. Tu aurais eu la même réaction,si tu était resté cloîtrée dix ans loin du monde .comme elle… comme moi.
La remarque de Julia à propos d'Amarilys l'avait blessé,et il se serait montré beaucoup plus froid si la Lupus avait été une inconnue. Tout ce qui touchait les rêveurs le touchait lui,personnellement.
-enfin ne me refait JAMAIS un coup pareil! Tu veux ma mort par crise cardiaque ou quoi! Faire peur aux gens comme ça… Il secoua la tete et retrouva son sourire
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| | Messages : 449 Inscription le : 14/02/2008 Age IRL : 33
| Sujet: Re: Baignade en plein après-midi (RP terminé) Jeu 19 Fév 2009 - 18:09 | | | _Etre cloitré ne justifie en rien de se croire agresser par les autres à la moindre parole. J’étais arrivé presque morte chez elle la première foi, qu’elle a trouvé le moyen de se sentir injuriée par le peu que j’ai put lui communiquer. Alors ne me parle pas de cloison s’il te plaît, tu seras gentil. –elle lui sourit faiblement avant de se diriger vers un petit taillis emplis de feuilles qu’elle cherchait depuis un moment - Amarylis est certainement quelqu’un de bien, mais il est impossible de parler avec quelqu’un qui vous range de façon immédiate dans les rangs des grandes gueules que personne ne doit écouter et ce à tout pris. Si tu avais vu sa tête quand je lui parlais, c’était exaspérant, je l’aurais étripée vif qu’elle aurait réagis pareillement. Je ne m’entends généralement pas avec ces gens là, qui se sentent victimes de tout et de rien sans concession aucune et sans même l’envie de se dépêtrer de cette façon de penser, alors que tout ce qu’ils ont connu dans leur vie ne se résume qu’à quatre murs, et que la notion de danger leur échappe totalement ou que sa conception et bien trop loin pour qu’ils s’en rappel. C’est plus fort que moi, ça m’énerve quand je pense à ce que je sais moi de ce que peut présenter une véritable situation d’agression.
Julia sorti son poignard d’un coup vif et s’accroupi devant les feuilles qu’elle avait longuement observé. Sa tante en faisait des remèdes mais elle ne savait plus pourquoi et ignorait même leur nom. Elle tiqua en essayant de se rappeler si elles étaient toxiques à un quelconque contacte immédiat, si elles se consommaient en tisane ou autre… finalement elle rangea son arme et interrogea Maël du regard à leur sujet pour voir si il pourrait lui en apprendre un peu plus, avant de repartir sur quelque chose qu’il avait dit plus tôt.
_En ce qui concerne les femmes. Prétendre qu’elles ne sont pas égales aux hommes est une idée bien prétentieuse, mais je crois avoir saisit ce que tu voulais dire au fond. Ne le répète cependant pas ainsi formulé ou tu risquerais de te faire tuer –sourire ironique- Elles ne sont pas toutes aussi compréhensive que moi. Tu as raison quand tu dis qu’on ne peut pas comparer ce qui est aussi différent, mais suggérer qu’il y a une hiérarchie entre homme et femme, et par cela émettre qu’ils son inégaux, n’est-pas par là-même les comparer ? Personnellement je trouve que si, ce qui annule tout ce que tu avais dit avant. Etrange cheminement, non ? Quand on ne compare pas, il n’y a pas de classement puisque que pour classer il faut des critères de comparaisons, non ? Alors sur quels critères te bases-tu pour affirmer qu’une femme vaut moins qu’un homme ? –regard interrogateur elle se demandait elle-même si elle exprimait de façon fidèle ce qu’elle pensait, elle s’était relevée et regardait les deux autres d’un air vague- Ta réflexion Maël est bien vague. –elle le regarda d’un air amusé- Et en ce qui concerne la liberté… il me semble que tu as une vision très restrictive de cette conception. Je n’ai jamais dit qu’une femme ayant des enfants ou aimant son mari serait malheureuse, c’est absurde. Mais dans ce cas on aborde le sujet de l’amour de façon indirecte. Que ne sommes-nous pas capable de faire par amour ? Mais ne nous éloignons pas. Pour la femme qui a des enfants ça liberté à elle réside dans chacun de ses chérubins car ils sont tout pour elle, ils sont donc sa joie et tout son bonheur puisqu’elle est libre de les aimer et encore plus d’affirmer qu’ils sont son sang à elle et à elle seule. Elle n’est donc pas malheureuse puisque sa joie grandit en même temps qu’eux. Pour la femme qui aime son mari, et qui par cela préfère l’obéissance, et je dis l’obéissance et non la soumission –un animal est soumis, une femme et douée de raison, elle n’est donc pas réduite à aussi bas- elle n’a pas à être blâmée puisque sa liberté à elle réside en son mari et à l’étendu de possibilité qu’elle détient pour lui faire comprendre son amour. Ne peut-être blâmé ou presque toutes résolution guidée par amour, puisque c’est par amour qu’elle se laisse guider par celui qu’elle aime. Ces deux femmes sont loin d’être malheureuses, tu ne trouves pas ? Pourquoi penserai-je autrement ? Suis-je aveugle ou trop bête pour comprendre que la liberté de chacun réside en diverse choses? Mais ma pensée est assez floue, je peux me tromper mais suis actuellement persuadée que je n’ai pas totalement tord. Ma liberté à moi, et ce pourquoi je vis, ce qui est mes entrailles, ce à quoi j’accepte totale obéissance, c’est tout ce que tu as autour de toi. Tu es, vous êtes tout trois actuellement dans tout ce pourquoi je continu à vivre. Tout ça –elle désigna du bras toute la végétation et le panorama superbe de la forêt- [i]Tout ça, c’est ma joie, ma liberté à moi, mon bonheur et ma vie. Je ne vit que pour la brise légère qui caresse mon visage chaque matin, que pour tout ces mots doux que me souffle le vent dans la journée, que pour cette terre et le parfum qu’il dégage, que pour ce cœur qui semble battre en même temps que le miens. La nature personne ne peut l’emprisonner et souvent je me sens comme elle, car je réside en elle. Cela n’exclu pas pour autant que je puisse comprendre le bonheur d’une mère ou d’une épouse. Sentir battre la forêt en soi ne veut pas dire être idiote. Ces deux bonheurs ne sont simplement pas les miens, ou du moin ce que mon être recherche pour l'instant. Et pour finir je ne pense pas que tu dirais que j’exagère sur le sort des femmes si toi-même tu en étais une. C’est facile de parler qu’on on n’est pas concerné et je le sais puisque je parle toujours des hommes comme des moins que rien ou du moins assez souvent. Mais en vérité je n’en sais absolument rien et ce n'est pas si mal puisque je ne veux pas savoir. Ce que je vois d’eux et constate d'eux sans aide de peronne et sans même aucune réflexions ou méditations me suffit amplement. A force de dégout on fini par ne plus rien ressentir et je préfère conserver encore un espoir qui vous sauverez tous dans mon estime. Me voilà bien aise de t’avoir dit tout cela, mais nos amis doivent être à présent tout à fait perdu… il était incorrecte de prendre aussi longtemps la parole, excusez-moi.
C’était bien de parler de ce que l’on pense et essayer de mettre des mots sur ce dont l’on était persuadé. Elle n’avait jamais parlé comme ça, jamais même pas avec sa tante… c’était tout étrange. Mais comme elle passait déjà pour une folle il n’y avait plus grand-chose à perdre pour ne pas dire rien. Lupus s’était éloigné mais il ne partirait pas, du moins pas avant que Maël lui, s’en serait allé.
Le petit arbuste aux couleurs variés mais discrètes, l’intriguait bien à ses pieds. Cela ne lui revenait toujours pas. Aucun nom, rien du tout.
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