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 V comme vengeance ou vivacité... (ou vache) (RP inachevé)

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Anaïel
Anaïel

Marchombre
Messages : 462
Inscription le : 09/12/2006
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http://voleusedencre.skyblog.com
MessageSujet: V comme vengeance ou vivacité... (ou vache) (RP inachevé)   V comme vengeance ou vivacité... (ou vache) (RP inachevé) Icon_minitimeSam 17 Jan 2009 - 16:09

C'était la première fois. La toute première. Et cela la métait vraiment, vraiment très en colère. D'un pas rapide et sure, elle marchait, ou plutôt glissant dans les ruelles d'Al-Jeit, n'ayant aucun doute sur sa destination. Son pas colérique lui valait quelques regards curieux, mais la plupart des passants s'écartaient pour lui laisser le passage, à elle et à sa fureur. Trahis. Elle avait accomplit une mission, peu de temps auparavant, un convois, comme d'habitude, et celui-ci était trop important par les temps qui couraient pour prendre le risque de voyager seul. Le marchant d'arme et de bijoux avait donc lancé un appel auquel elle avait répondu. Elle avait donc voyagé avec le marchant, mais aussi avec 3 guerriers musclés et assez bêtes pour obéir au doigt et à l'œil à leur "maître" qui ne lui plaisait franchement pas. Son intuition s'était d'ailleurs vérifiée lorsqu'elle avait du subir des remarque pour le moins désobligeantes de la part de ces trois têtes d'œuf avant qu'elle ne leur fasse rentrer leur suffisance dans la gorge au moyen de quelques bon coups de poing bien placés. Évidemment ils s'étaient plaints. Elle était liée par le contrat qu'elle avait signé, elle ne pouvait donc pas partir avant la fin du voyage. Alors comme une gentille petite fille elle s'était doucement excusée tout en souriant de toutes ses dents luisantes. Elle ne les avait plus défié, mais c'était étrange toutes les branches d'arbres ou les cailloux qu'ils recevaient sur la tête le soir en allant au petit coin...
Toujours est-il qu'une fois arrivé à destination, la paye en poche les trois affreux étaient partis se saouler, et que le marchant avait tout bonnement disparu. Avec sa paye à elle. Avoir enduré tout ça pour rien... D'un coup de pied rageur, elle envoya valser une pierre sur un mur salle. La douleur à son orteil lui fit reprendre un peu ses esprits. Elle s'arrêta quelques secondes puis, plus doucement, s'assit contre un mur pour réfléchir. Ça ne lui ressemblait pas, cette colère. Elle n'avait jamais vraiment été trahis, si se n'est par elle même, et n'appréciait, mais alors pas du tout que quelqu'un rompe sa parole. Surtout lorsqu'elle était impliquée personnellement. Elle en avait vu des tas qui trahissaient leur pairs, et cela la mettait en rogne, mais elle s'en fichait aussi un peu, alors que maintenant c'était elle qui n'était pas payée. Aurait-elle passé un agréable voyage sans les têtes de nœuds qui l'avait accompagné qu'elle ne serait pas aussi en colère. Mais supporter les quelques mots grossiers de ces tas de muscles et ne pouvoir répliquer car elle était elle une personne de parole, et se faire arnaquer comme cela, et bien elle n'acceptait pas. En plus elle avait vraiment besoin de cet argent. Sinon elle n'aurait pas travaillé pour qui que se soit.

Elle se releva alors, tout doucement, et se rendit compte du sourd grondement qui lui agitait les entrailles. Il était trop sourd pour qu'un simple passant le remarque, mais cet acte était remémoré de son passé de sauvage, passé ou pour conserver une proie, l'on devait grogner plus méchamment que son adversaire. Elle fit taire son grognement, se calmant en fermant les yeux, en écoutant le son des pas sur les pavés sales. Des pas lourds, pressés ou pas, et d'autres plus furtifs, voleur ou pickpocket, peut-être y avait-il des marchombres dans le tas... Toujours est-il que son esprit se clarifia au fur et à mesure que la fureur reculait pour ne laisser qu'une colère froide et calculatrice. Le marchant se souviendrait de sa visite, et avec un peu de chance il n'escroquerait plus personne... Oh, elle pourrait aussi partir, laisser cet homme tranquille, tout le monde trompait tout le monde de toute manière, une personne de plus ou de moins... Mais voila, c'était son orgueil qui avait été touché, et elle ne supportait pas qu'on se paie sa tête. Elle n'avait pas beaucoup d'exigence, mais un certain respect s'imposait quand même que diable ! En outre, elle avait vraiment besoin d'argent. Ses armes s'abimaient. Sa tranquillité aussi.


Alors elle arriva devant la boutique qu'elle avait patiemment cherché pendant un long mois, afin de retrouver la trace du voleur. La vitrine flamboyait de toutes les couleurs, la foule noctambule qui déambulait ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'œil à ce mini soleil dans l'univers boueux des ruelles. Une terrasse quelques pas plus loin lui offrit le point d'observation qu'elle cherchait. S'accoudant à sa table, elle commanda à boire tout en regardant la boutique lumineuse. Il avait les moyens celui la, pour mettre toutes ces lucioles à illuminer la rue, en avait-il assez pour se payer un garde puissant ? Elle avait déjà rencontré des marchants fortunés qui avaient embauchés pour une durée indéterminée et à salaire exorbitant des marchombres qui surveillaient leur marchandise. Qu'importe. Elle voulait son argent.

D'une démarche souple et aiguisée, elle se mit debout quelques une heure et demi plus tard, et paya avec les quelques pièces qui lui restaient. Elle rabattit son capuchon sur ces traits en un geste purement instinctif et traversa la rue quelque peu nettoyée du monde fatigué ayant regagné son lit. Les lumières de la vitrine s'étaient tue. Le marchant -elle l'avait reconnu une heure auparavant- avait fermé les portes et rangeait sa boutique. Elle fit mine de regarder la devanture, des babioles chères qui brillaient, puis lorsqu'il tourna le dos, elle toucha furtivement la poignée, sentant dans ses phalanges le complexe assemblage qui composait la serrure. A l'aide d'une épingle et de quelques secondes d'invisibilités que conférait le statu de passant, la porte s'ouvrit.

La clochette retentit dans la boutique, alors que le marchant se retournait vivement, un air de doute pris place sur son visage. Il n'y avait personne. Il s'approcha alors de la porte, ferma celle-ci d'un coup de pied et se retourna. Son cris se noya dans sa gorge tandis qu'Anaïel lui plaquait violemment une main sur la bouche et qu'elle le fit reculer jusqu'à un mur. La lumière brusquement éteinte rendait la scène invisible depuis la ruelle. Le marchant, un homme assez grands, une vingtaine de centimètres de plus que la marchombre, possédait de petits yeux noirs et une fine moustache ainsi qu'une calvitie prononcée. Se remettant de la surprise qu'elle lui avait causé, il voulu se défaire de l'étreinte de cette jeune fille d'une cinquantaine de kg, mais ne pu plus bouger lorsque, trop vivement pour qu'il puisse riposté, elle le retourna et tordis son bras dans son dos avant de lui plaquer la figure contre le mur. D'une voix froide que rendait son sifflement encore plus menaçante, elle chuchota à son oreille :


- Alors, on se retrouve hein...
- Mais qui...
- ah oui c'est vrai je ne me suis pas présentée, je pense que vous vous souviendrais si je vous dit mon nom... Une certaine Anaïel...
contrairement à d'autres marchombre de sa connaissance, elle donnait toujours son vrai nom lorsqu'elle travaillait. Elle vit sa joue perdre peu à peu ses couleurs qui semblaient refluées vers son cou. Se rendant enfin compte qu'il pouvait parler, il ouvrit la bouche... et poussa un adorable couinement de chiot, assez pathétique pour un homme de son envergure, lorsque Anaïel lui remonta le bras, provoquant quelques craquements de mauvais augure.

- Pas de cris, s'il vous plait, je suis juste la pour mon argent, vous savez, celui que vous avez oublié de me donner après ce fameux voyage...
- Je... j'ai oublié, j'étais pressé et...
- Oui, je me doute, et c'est pour ça que maintenant je vais vous libérer, puis vous allez gentiment chercher cet argent, et je vais vous y accompagné. Comme ça vous ne risquerez plus d'oublier...

Anaïel sauta en arrière en libérant l'homme qui, déboussolé, failli tomber par terre c'est la faute à voltaire. Un instant son regard se tourna vers la porte, décidément pas loin, mais le poignard à lancer qu'Anaïel avait sortit et qu'elle tenait par la lame sembla le décourager. doucement, pour que la marchombre ne se méprenne pas sur ses intention, il alla derrière le comptoir. Il sortit la caisse qu'il avait compté peu de temps auparavant et, toujours aussi doucement, l'ouvrit et compta les billets. Alors il se baissa derrière le comptoir, se releva et brandis un arc simple et une flèche. Un instant, Anaïel trouva la situation comique, l'homme pourrait lui tirer dessus, s'il la touchait elle aurait très mal. Mais il ne la toucherait pas. D'un bond elle esquiva le premier trait, et parcouru une distance incroyable avant qu'il n'arrive à encoché une seconde flèche. Un poignard sous la gorge, cependant, lui fit comprendre que sa vie ne tenait plus qu'a un fil.

- donnez moi une seule bonne raison de ne pas vous tuer.

Sa voix était froide, glaciale d'une mort toute proche. En réalité, elle ne savait pas si elle devait tuer l'homme. Se n'était pas un homme de parole mais ça restait un homme tout de même. Mais ses doutes restèrent verrouillés au fond d'elle même. Au moment ou elle s'apprêtait à reprendre la parole, cependant, les clochettes silencieuses carillonnèrent aigrement. Elle leva lentement la tête vers l'encadrement de l'entrée de la boutique.

[pour qui a le courage de lire le pavé ^^]

Neo Lil' Sia
Neo Lil' Sia

Messages : 105
Inscription le : 03/09/2008

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MessageSujet: Re: V comme vengeance ou vivacité... (ou vache) (RP inachevé)   V comme vengeance ou vivacité... (ou vache) (RP inachevé) Icon_minitimeMar 10 Mar 2009 - 1:38

[J'ai eu le courage, j'ai le droit de m'incruster ? Very Happy]

Al-Jeit, ville de lumière et de beauté, étincelante sous sa coupole de verre, fidèle au tableau de la capitale de Gwendalavir... Le temps était à la gaieté, à la joie, on entendait des enfants crier, rire, des adultes discuter, s'énerver parfois, le tout provoquant un brouhaha illustrant la vie tranquille qui s'écoulait en ces lieux. Le soleil se couchait, parant le ciel de magnifiques couleurs rouges et or, un spectacle qu'on aurait pu voir des centaines de fois sans s'en lasser.
Al-Jeit brillait littéralement.
Tache claire dans le décor coloré, la jeune fille avançait à pas lents, les épaules basses, le visage caché par sa longue chevelure blanche. Ce petit être semblait cruellement manquer de vie, évoquant plus un fantôme qu'une humaine dans la fleur de l'âge... Simplement vêtue d'une robe immaculée et d'un châle fauve qui recouvrait ses fines épaules, elle passait inaperçue dans la foule multicolore, trop discrète pour que l'on puisse s'intéresser à elle. Son visage ne reflétait rien, ses grands yeux noirs étaient vide de toute émotion, perdus au loin sur un point qui n'existait pas.

Emmène-moi...


Les raisons de cette absence de joie de vivre ? Neo n'en pouvait plus. Elle ne parvenait pas à changer, à s'ouvrir au monde. A chaque tentative elle se trouvait ridicule et lâchait l'affaire, retournant s'enfermer dans son monde. Elle n'existait plus, ici, en Gwendalavir. Oui, ce n'était plus qu'un souvenir... Un rêve...
Elle en faisait, des rêves étranges, en ce moment.

Emmène-moi loin...


Un sentiment de profonde détresse s'était emparée d'elle lorsqu'elle s'était réveillée par l'horreur de ses songes, en pleine nuit. Du sang, des morts, des êtres repoussants qui s'approchaient d'elle, lents et menaçants... Elle essayait de se lever, elle ne pouvait pas bouger, elle tentait de crier, son hurlement restait coincé dans sa gorge brûlante... Les corps se rapprochaient, accompagnés d'une mélopée douceâtre à vous faire frémir, et puis juste avant qu'elle ne s'éveille, elle se voyait elle, au loin, les iris d'un rouge sanglant, un sourire effrayant sur le visage, une aura maléfique parant sa silhouette fragile.

Tu n'as pas ta place ici.


Des séquelles des combats qui s'étaient déroulés dans l'enceinte de l'académie ? Elle n'en savait rien, mais une petite voix au fond d'elle lui dictait que c'était elle qui était détraquée, et rien d'autre.
Une larme roula sur sa joue de nacre, signe de faiblesse qu'elle balaya négligemment de sa main blafarde. Son visage se releva fièrement pour toiser la foule avec un air de défi. Et puis elle baissa de nouveau la tête, la gorge douloureusement nouée.
A bout, elle décida de faire une pause et s'engagea dans une ruelle pour aller s'appuyer contre le mur de ce qui lui semblait être une auberge, les traits tordus dans un mélange de douleur et d'anxiété. Elle passa une main fébrile dans sa chevelure qui s'était presque ternie, perdant de son éclat en même temps que sa propriétaire, et soupira en tentant de se détendre à coup de longues expiration. Elle ne fit pas attention à la porte qui s'ouvrait à environ deux mètres d'elle, trop concentrée sur une tâche déjà bien difficile, et mit une bonne dizaine de seconde avant de se rendre compte qu'elle était observée. Lentement, elle tourna son visage qui avait retrouvé son inexpressivité vers la droite et sentit son cœur accélérer en découvrant qu'elle se faisait méchamment toiser par trois homme de hautes tailles, à l'allure imposante. Ses yeux passèrent de l'un à l'autre à une vitesse folle, discernant sans peine les plaques rouges bien visibles sur leurs joues, témoignant du temps qu'il avaient passé à boire dans l'auberge.
L'un deux fit un pas dans sa direction, Neo sentit un frisson désagréable parcourir son échine et tenta de reculer avant de se rendre compte qu'elle ne pouvait pas bouger, tétanisée. Ses cauchemars lui revinrent en tête, alors qu'elle ouvrait de grands yeux remplis d'effroi.

- Eh, la p'tite, là !

Néo se sentait presque fondre, luttant avec acharnement pour pouvoir bouger ne serait-ce qu'un membre. Alors que le lourdeau se rapprochait encore, elle parvint à mouvoir son bras tremblant, lentement, ce simple geste lui demandant des efforts surhumains. Tout ça ce n'était que psychologique, pourquoi n'arrivait-elle pas à reprendre le contrôle d'elle-même ? Sa main droite frôla son bras, s'y agrippa brusquement et elle s'enfonça les ongles dans la peau avec une force qu'elle ne se soupçonnait pas. La douleur aigüe qu'elle ressentit la réveilla de sa 'torpeur' et elle leva brusquement la tête vers l'inconnu en reculant d'un pas.

- Ne... m'approchez pas !

- Mais oh... On va rien te faire, insinua l'un de ceux qui étaient restés en arrière avant de s'esclaffer bruyamment.

Le premier à présent juste devant Neo lui jeta un regard vitreux avant de lui attraper le bras dans sa grosse main de brute. La jeune fille ne réfléchit pas, elle la mordit de toutes ses forces et profita de l'instant où, interloqué, l'homme relâcha son étreinte pour s'enfuir en courant. Son cœur s'emballa lorsqu'elle perçut des bruits de course derrière elle, comprenant qu'au moins deux d'entre eux la suivaient, et elle se força à accélérer, maudissant sa faiblesse en jurant.
Elle trébucha sur une dalle ma placée, se rattrape in extremis, continua sans regarder où elle allait, se retenant de crier à pleins poumons pour préserver son souffle, mais plus elle courrait et plus la distance entre ses poursuivants et elle se réduisait. Des larmes de détresse se mirent à ruisseler sur son visage crispé, alors que sa respiration se faisait désagréablement rauque.

Elle bifurqua dans une seconde ruelle, et tenta d'ouvrir une porte, fermée à clef. Paniquée, elle en essaya une deuxième, puis une troisième, et s'engouffra finalement dans la quatrième bâtisse, les brutes à présent juste derrière elle. La scène qui se déroulait dans la boutique, puisque c'en était une, la fit s'arrêter net, lui soutirant un hoquet de surprise. La fille qu'elle avait vue, ce jour-là, à l'infirmer...

- Coincée, gamine !

Neo n'eut pas le temps de se retourner que l'un de ses poursuivants empoigna solidement sa tignasse désordonnée pour la tirer brusquement à lui, provoquant chez la jeune fille un hurlement de douleur. Contrôlant sa proie comme un cavalier dirigerait sa monture, il la força à s'agenouiller et se mit à rire bruyamment, trop saoul pour se rendre compte qu'une petite faëlle tenait en respect celui qui avait été son ancien patron, juste à quelques mètres devant lui. Neo, quant à elle, ne pensait plus qu'à cette posture ridicule et humiliante dans laquelle elle avait été mise, comme un animale. Son cuir chevelu irradiait de souffrance, son visage tordu dans une expression de rage et de douleur, elle faisait crisser ses ongles sur le sol en pierre de la boutique.

Je ne suis pas... un animal...

- Lâche... moi... Lâche-moi... LÂCHE-MOI !!

Le pieu se ficha d'une dizaine de centimètre dans le ventre de l'homme qui couina de surprise en regardant son sang couler à flot de la plaie. Sentant son emprise se desserrer, Neo se dégagea sans grande difficulté et se traîna plus loin avant de se retourner brusquement, se projetant dans les Spires pour la deuxièmes fois. Le poignard qui jaillit de nulle part traversa la gorge du guerrier, et alors que les deux armes disparaissaient en même temps, il s'écroula sur le sol qui trembla. Son voisin écarquilla les yeux.

Neo s'effondra, consciente mais incapable de se relever, exténuée par l'effort qu'elle venait de faire en utilisant son don de façon aussi rapide.
Depuis son arrivée dans la boutique et la mort du premier homme, il ne s'était écoulée que quelques secondes.
Le second se rua vers elle avec un hurlement de rage.

 
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