Voyage pour le Pays Faël (RP privé) (RP inachevé)

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Elle le vit descendre de son arbre, toujours blessé, souffrant. Loris dut se retenir au prix d'un grand effort. L'envie d'allais le soutenir de lui parlais comme avant, de s'occuper de lui, de souffrir avec lui... Elle se releva seulement et se tourna vers lui. Il arriva vers Loris et celle-ci ne bougea pas. Et comme a son habitude bien sûr il parla sans aucun sentiment dans la voix :

" Je n'aurais plus la même discrétion depuis l'accident ? Enfin à compter que ma blessure n'est pas voulue... "

Elle répondit également d'une voix sèche, sans appel :

- Cela n'explique toujours pas ce que tu fait là... Dans les Spires, mes Spires tu as comme un panneau qui te représente dès que tu t'approcha de moi, il se met en alerte : Je te rassure toujours aussi discret...

Les yeux embrumé par la colère, gonflé par les larmes, ellle ajouta presque en criant :

- Et puis ça te dérangerais de mon parlais avec ton coeur pour une fois, de me parler franchement... Je ne suis pas une ennemie, je ne vais pas m'en servir contre toi !!

Elle respira bruyamment essya tant bien que mal d'essayer de l'oublier. Sans lui prêter plus d'attention, elle s'asseya par terre. Si c'était pour qui vienne lui parlait comme d'habitude, en robot, ce n'étais pas la peine ! Elle arracha l'herbe, a présent, de toutes ses forces et les jetait loin devant elle : Si elle ne pouvait pas ce défoulait su rlui et se défoule sur l'herbe, même elle exprime mieux ses sentiments que lui....

[ Désoler, l'inspiration n'est pas au rendez-vous ^^... ]

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Loris l'avait repéré et senti approcher grâce aux Spires... Naro n'en revenait pas. Il y avait selon elle un panneau qui le représentait dans l'Imagination. Mais laquelle ? Chacun avait il sa propre zone d'accès aux Spires ou bien celle-ci était accessible par tous ? Si c'était la deuxième hypotèse qui était vérifiée, les talents pour la discretion et la furtivité de Naro était réduit à néant par cette seule alerte de l'Imagination qui fleurissait dans l'esprit de Loris...

Il n'eu pas le temps de la questionner à ce sujet car déjà, elle lui fit par de sa côlère envers lui :

" Ca te dérangerais de me parler avec ton coeur pour une fois, de me parler franchement... "

Naro s'exprimait toujours de façon à ce que les autres ne connaissent pas ses faiblesse par le son de sa voix. Cependant, Loris avait visé une corde sensible et comme elle était en situation de superiorité, Naro décida de s'expliquer avec des mots forts non pas de sens mais de sentiment et d'affection :

" Depuis toujours, je parle sans dévoilé un millimètre de ce que je ressens et cela m'a seulement conduit à la solitude et au regard suspect des autres. Tu es en mesure de ressentir toutes mes forces, faiblesses et émotions donc je ne vois pas pourquoi je continurai à m'exprimer de manière aussi stupide en ta présence. "

Pendant qu'il parlait, Naro s'était rapproché de Loris assise par-terre puis s'assis à coté d'elle et étouffa un râle rauque quand sa blessure le rappela à l'ordre.
Pour le soigner, Loris s'était sacrifiée et il n'en n'avait pas tenue compte. Il s'en voulais d'autant que seul elle était venue le secourir.
Dehors, la tempéature restait agréable avec le soir qui tombait et il retira soigneusement son manteau et le posa délicatement sur les épaules de Loris en lui murmurant un mot de remerciement quand à son acte envers lui...

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" Depuis toujours, je parle sans dévoilé un millimètre de ce que je ressens et cela m'a seulement conduit à la solitude et au regard suspect des autres. Tu es en mesure de ressentir toutes mes forces, faiblesses et émotions donc je ne vois pas pourquoi je continuerai à m'exprimer de manière aussi stupide en ta présence. "

Il s'essaya près d'elle, un frisson parcourut son échine lorsqu'il la frôla. La brise légère du soir commençait a se faire sentir mais Loris ne lui prêtais aucune attention. Naro apparemment si, parce qu'il lui prêta son manteau sur les épaules et lui murmura un merci. Loris avait envie de criai, de pleurer de joie, de tristesse de colère, de taper Naro, et de l'embrassai... Elle ne fit rien de tous cela, elle murmura a son tour un simple mot qui voulait tout dire :

- Quand ?

Quand s'ouvrira t-il a Loris ? Quand elle pourrait le voir rigolais, ou pleurer ? Quand elle pourrait le connaître tel qui l'est a travers son apparence de statue ? Quand verrait-elle ses faiblesses, forces, et émotions ? Elle ne pouvait tenir plus longtemps... Elle s'en fichais de ce qu'il penserait d'elle ensuite : Elle voulait lui faire comprendre. Elle se retourna face a lui et lui prit son visage entre ses mains, puis elle le rapprocha du siens et lui dit avec plus d'assurance qu'elle ne serait cru capable :

- Regarde moi Naro ! Regarde moi dans les yeux ! Que vois-tu ? Ais-je vraiment l'air d'un ennemi qui voudrait profiter de tes faiblesses ?

Elle savait bien qu'il avait toujours fait comme ça, et qu'il n'allait sûrement pas changer pour elle ! Mais l'espoir fait vivre, non ?!...

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" Regarde moi Naro ! Regarde moi dans les yeux ! Que vois-tu ? Ai-je vraiment l'air d'un ennemi qui voudrait profiter de tes faiblesses ? "

Loris s'était rapprochéde Naro et s'il buvait toute ses paroles, il n'arrivait pas à se détacher du charmant visage de la demi-faël.
Elle avait besoin d'être rassurée mais Naro ne sachant trop quoi répondre lui fi un simple sourire en coin exprimant ses erreurs. Tout le long de son existance, il s'était toujours méfié du monde comme s'il était un piège où un seul faux pas lui oterait vie, sentiments et ressenti...
Le froid grandissait de minutes en minutes et si le corps de Naro s'était habitué aux conditions climatiques aussi bien qu'aux armes, il n'en vallait pas de même pour Loris qui semblait se geler. Il décida donc de parager le peu de chaleur qu'il produisait avec elle. Cependant, il ne savait pas si elle se laisserai réchauffait dans ses bras ou si elle le repousserait. Cette seconde éventualité n'était pas rassurante quand à l'avenir de leur relation mais Naro s'y risqua tout de même.
Il allait la saisir doucement lorsqu'un léger craquement se fit entendre à une bonne trentaine de mètre de là.
Dans la nuit faiblement éclairée par la lune, on pouvait distinguer deux grands yeux jaunes perçant un large et touffu buisson à l'orée de la clairière où ils se trouvaient...

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Naro n'avait pas bouger, et pour celle réponse elle eut droit a un sourire. Elle était a présent désespérer, mais si elle savait que les paroles quelle avait dite, il les avait écouté, il se bornait... Eh bien elle aussi ! Elle frissonnait mais elle s'en fichait. Plus rien ne comptait a par lui et elle. Elle vit ses bras s'élançait vers elle et elle lâcha une larme... Qu'elle se depêcha de renverser d'un coup de revers de main. Elle allait peut être enfin sentir, certes que phisiquement, le vrai Naro. Et juste au moment, une branche craqua. Du moins le bruit qui se fit entendre y faisait beaucoup pensait. Elle se retourna très vive, et plongea immédiatemment dans les Spires en un temps record, pour ne voir que c'était un simple animal qui les espionnait... Elle sorti des Spires aussi vite qu'elle en était sorti. D'ailleurs Naro n'a pas d'un sen apercevoir : Cela avit du durer moins de 30 secondes... Elle se détendit et regarda le visage de Naro encore en alerte. Sans réfléchir elle caressa son beau visage... Et enleva sa main honteuse. Elle rigola pour rattraper le coup et lui dit :

- Ce n'est rien... juste un animal sauvage qui nous espionnait.

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Naro avait plisé les yeux afin de voir quel animal était tapie dans l'ombre. Si c'était un prédateur potentiel, ses chances de survie était maigre. Loris ne semblait pas genée et sans preter plus attention aux deux yeux luisants retourna les siens dans la direction de Loris.

" Ce n'est rien... juste un animal sauvage qui nous espionnait. "

Le ton de la voix de Loris se voulait appaisant et Naro retrouva son calme et sa sérénité. Pour lui, il n'y avait plus rien qu'eux deux dans la clairière. Un horde de Raïs pouvait faire une apparition aussi bruyant, il ne l'aurait pas écouter. Il se sentait démunit de tous ses capacités. Il était plus vulnérable que jamais mais n'y portait plus attention. Loris avait saisi sa tête puis s'était approché si près que Naro pu sentir son souffle chaud lui caresser le visage. Puis elle rigola de manière prononcé comme pour montrer sa maladresse. Apparament ils étaient tout les deux respectueux de l'autre. Un peu trop même... Comme pour prouver le contraire, Naro sera l'épaule de Loris contre la sienne et elle y posa dlicatement sa tête.
Le temps passait, ou pas ? Naro s'en moquait et ne pensait même pas aux sermonages qu'Enoriel aurait envers eux deux.
Il était pour la troisième fois dans la journée et comme il navait jamais été, infiniement heureux !...

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Elle posa sa tête sur son épaule... Elle se sentait bien avec lui... Il était clair que pour Loris, Naro est plus qu'un ami mais elle ne lui en fera jamais part... Certes Ennoriel allait encore les sermonner, mais n'est ce pas justifier ?! Surtout Loris, elle en tremblait presque a l'avance. Mais elle s'en fichait tant qu'ils étaient ensemble... Elle se rapprocha de son oreille et lui murmura doucement :

- Merci...

Ce simple mot valait tout dire. Elle ne doutait pas que Naro serait pourquoi... Très discrètement, au risque de se faire envoyer valsait sur les roses, elle prit sa main. Elle entremêla ses doigts autour des siens et respira son odeur. Comment exprimait son bonheur ? Même les mots n'était pas assez puissant...

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Naro et Loris s'était encore rapproché l'un de l'autre. Elle avait à présent pris sa main et avait croisé ses doigts entre les siens.
Ce contact si soudain et si intense bien qu'il ne s'agissait que d'un simple geste n'eu pour résultat que de le rendre plus ramolit.
C'était la première fois qu'une personne avait pour lui autant de démonstration sentmentale et s'il ne s'y était pas préparé préparé, il appréciait infiniment et se laissait conduire. Peu importe où il irait, tant que ce serait avec elle...

" Merci... "

Loris avait presque chuchoté, Naro se tourna vers elle pour s'assurer qu'elle avait bien prononcé ces mots puis en ayant confirmation décida de s'élevé pour regarder les étoiles et le ciel de là où il les avait regardé depuis toujours, au sommet des arbres.
Il demanda aussi discrètement qu'elle l'avait fait, comme s'ils étaient espionnés, si elle acceptait de le suivre sur les sommets de la forêt où si elle préférait rester dans l'herbe et que le panorama lui suffisait. Si ses idées étaient un peu trop téméraire pour l'occasion, il voulait éviter que ce soit Enoriel qui vienne les chercher.
A cette idée, Naro referma légerement sa main sur celle de Loris puis attendit sa réponse...

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Il se retourna vers elle. Elle ne bougea pas, elle ne regretterais cet parole pour rien au monde. Il regarda le ciel, et lui demanda si elle voulait le suivre, très discrètement. Pour toute réponse, Loris fit un grand sourire. Elle sentit la prise se resserrait sur sa main. La peau de Naro lui était a présent habituelle, a tel point qu'elle oublié qu'elle lui prenait la main : Bien que son cœur lui ne l'oubliait pas. Naro l'entraina et ils montèrent en haut d'un arbre robuste. Si Loris n'était pas manuelle avec ses jambes, en matière d'escalade elle était plutôt douée. Elle dût lâchée la main de Naro pour prendre prise, pour monter plus haut. Elle n'aimais pas. Elle avait l'impression que quelque chose manquait a sa main : La main a Naro, ce serait-elle tant familiariser a ça main ?! Quand enfin il arrivèrent en haut, elle ne put s'empêcher de regarder la main de Naro, oserait-elle reprendre ça main ? Elle s'installa confortablement face a la sublime vu qui s'étendait a elle. De la verdure s'étendait a pertes de vue. D'ici la faune et flore n'avais pas aucun secret du moins pour cet parti du pays. Ému devant tant de beauté, et de naturel qui de nos jours son bien rare, elle lâcha un soupir de bien-être. Sortir de l'académie, voir de la nature, s'éloigner un peu lui faisait le plus grand bien. Elle arrivait mieux a classer dans sa tête... Elle se rendit compte que Naro était assis a côté d'elle. Elle tourna la tête vers lui et lui fit un grand sourire en faisant un grand geste pour désigné la panorama. Elle prit ça main sans même sans rendre compte et déposa sa tête sur son épaule. Elle était au paradis, Nirvana, et si il existait il ne porterais qu'un nom : Naro. Elle se tourna a nouveau vers lui et lui prit le visage entre se mains. Elle s'approcha de lui jusqu'à presque sentir sa peau et lui dit :

-Naro... Je...

Elle ne dit rien. Elle l'embrassa. "Le meilleur moyen de tous dire sans parler, est le baiser". Voilà, elle avait tout dit.

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Loris avait posé ses lèvres sur les siennes... Naro n'avait ni la perception du temps, ni de sensations autres que celle que venait délicatement distiller la fine bouche de Loris.
Pour la première fois, Naro n'était pas sur ses gardes, il n'était pas enxieux, il n'avait même plus de conscience propre ; il était tout simplement dans le vide, dans le néant totale. Avant son acte, Loris avait chuchoté son nom comme si elle avait un souhait à exauser, puis avait rapidement laissé les gestes exprimer ce qu'elle n'avait pu dire.
Naro la prit doucement dans ses bras comme pour combler le vide dont il avait perception sans pour autant géner Loris qui semblait savourer tout comme lui cet instant de bonheur.
Il fit tourner Loris dans le vide puis l'assie sur ses genoux pendant dans une trentaine de mètres de vide sous ses pieds. Sa blessure le tirait toujours et même si des bruits se faisait entendre depuis la caravane, il ne pensa même pas y retourner.
Loris avait comblé quelque chose, un manque que Naro avait eu depuis toujours, ce manque, ce vide absolue dont il avait depuis son enfance envié aux autres n'était qu'une simple marque d'attachement à lui auquel il n'avait jamais eu droit. Depuis toujours, le coeur de Naro s'était embué jusqu'à en devenir noir et dur comme de la pierre. Aujourd'hui, il faisait machine arrière et dès lors, s'il affronterait quelqu'un, ce ne serait pas pour justifier une jalousie mais pour sauver ceux qui lui son cher...

[En espérant que les phrases ne sont pas trop ardues et mal tournées...]

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[ Pour ma part, pas le moins du monde... Et la mienne te serait-elle trop ardu,également ?... ]

Loris vit avec grand soulagement que Naro ne refusait pas son aveux. Comment expliquait ?! Plus rien n'existait a par eux, tout le contour, les sons, la paysage, et tous ce qu'il pouvait y avoir était a présent flou pour Loris... Le goût des lèvres de Naro était un sublime délice, auquel elle appréciait de plus en plus la saveur. Il la prit dans ses bras, et Loris crut "se fendre de bonheur" si le terme aurait existait. Il la fit tourner dans le vide, et elle se laissa faire ayant pleinement confiance en lui. Elle était a présent sur ses jambes, et elle caressa les douces joues de celui-ci en continuant de l'embrasser. La petit brise qui passait faisait volait les cheveux de Loris qui souriait. Elle sentait bien qu'un changement c'était fait en Naro, elle avait trouvé : Il ne fallait pas parler, les gestes était plus efficaces pour parler d'eux même ! Elle se serra plus près de lui, comme si elle avait peur qu'il s'en aille d'un moment à l'autre. Quand enfin il se séparèrent, au grand regret de Loris d'ailleurs, ils restèrent là, tous d'eux hébétaient. Pour tous mots ou toutes phrases, Loris caressa amoureusement ces cheveux qui volait au vent. Combien de fois c'était-elle émerveillait devant tant de beauté ? Elle ne savait a force ! Ces cheveux noirs volant au vent donnait l'impression d'un ange déchu. Son visage si doux et frais a la fois, et ses yeux durs mais quand on savait y voir, gentil. Elle avait envie de plonger vers lui et de l'embrasser, de ne former qu'un avec lui, mais elle se retint tout de même. Alors que dire dans de tel moments ? Elle prit conscience des bruits de la caravane, elle n'avais pas envie de partir! Et pourtant elle savait qu'il le fallait. Elle le regarda les yeux emplis de tristesse, car il imaginait déjà Enoriel. Et puis Naro comment serait-il devant Enoriel vis-a-vis de Loris? Elle prit ça main, et l'embrassa, aimante. Elle le regarda de nouveau et attendit sa réaction et décision...

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[Aucun problèmede compréhension...]

Loris avait décollé ses lèvres des siennes pour pouvoir les retrouver un court instant plus tard. Toujours ce torrent de chaleur, cette envie qui débordait de Naro. Ne sachant quel allure adopter, il avait gardé sa neutralité exterieure alors qu'une bulle de chaleur l'envaissait peu à peu.
Les bruits provenant de la caravane se faisaient de plus en plus entendre. S'il n'y avait rien d'anormal et que les caravaniers festoyaient, le bruit était tout de même pousé et Naro ainsi que Loris avait entère responsabilité sur la caravane.
Naro ne doutait pas sur les capacités d'Enoriel, il en avait d'ailleurs fait les frais, mais dans une attaque en masse d'un ennemi, elle ne pourrai pas assurer à elle seule la protection complète de la caravane. Rennoncant à prolonger l'instant de bonheur qu'il partageait avec Loris, il lui prit la main et l'aida à descendre de l'arbre. La descente s'averait delicate et Naro était de plus en plus fatigué. Arrivé en bas, il reprit on souffle ; signe évident de fatigue. Il avait feind à son devoir, son premier qu'il ne s'était pas commandé de son propre chef, il avait au même titre que Loris la responsabilité de la caravane et il semblait y avoir de plu en plus d'agitation... Comme pour donner raison à ses responsabilité, Naro se mit à courir aussi vite qu'il ait pu sans pour autant lâcher la main de Loris qui peinait à le suivre. Il s'arrêta sous la douleur et s'écroula de nouveau à terre. Sa blessure s'était réouverte et s'il ne s'agissait que de quelque millimètre de peau disstendue, le sang coulait et le vêtement que Loris lui avait donné en guise de bandage était déjà imbibé...

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Naro s'écroula une fois de plus au sol. Loris encore
horrifié se reprit en main, et cette fois-ci se promit d'être forte. Elle prit
le bras de Naro et le mit sur son épaule et essaya de se relevait tant bien que
mal. Elle faillit abandonner sous le pois et l'odeur du sang mais ce releva
pour le transporter jusqu'à la caravane. Quand enfin elle aperçut Enoriel
malgré son énervement qui demeurait dans son être tout entier, elle était bien
contente qu'elle soit ici. Elle s'approcha de Enoriel et lui demande d'une voix
qu'elle aurait voulu un peu moins sèche :

- Ou je l'emporte? Il est blessé! Il faut qu'on le soigne!

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Enoriel feintait avec une adresse nettement supérieure à celle de Naro. Elle étudiait ses failles avec un regard d'expert et corrigeait sa posture avec des paroles précises. Elle lança quelques attaques, indifférente de Loris qui se terrait derrière Naro. Elle s'occupera d'elle demain, et demain, interdiction qu'elle reste derrière. Une de ses épées passa sous la garde du marchombre et entama légèrement sa tunique, comme une mise en garde. Elle prodigua ses conseils plusieurs minutes durant. Il baissa sa garde, peut être voulait il faire son malin devant la jeune dessinatrice ? Elle arracha l'arme de Naro et sa lame blessa l'abdomen du marchombre qui s'écroula sous le regard effrayé de Loris et le sourire de Naro. Enoriel n'aimait pas recourir à de telles extrémités. Mais pour combattre dans une situation proche de la réalité, il fallait accepter la douleur. L'accepter, la recueillir en soit et faire face. Si on ne connaissait pas la douleur, on ne pouvait combattre avec l'ardeur adéquat. Elle laissa Loris s'occuper de lui et s'éloigna. Certes elle avait le rôle du méchant, mais espéra que cette première leçon serait compris sans qu'elle ait des comptes à rendre. L'archère s'en alla se recueillir en haut d'une pierre à côté du camp, pour monter la garde avec un oeil agile. Loris vint à elle et lui lança sèchement, sans prendre la peine de cacher sa colère.

- Ou je l'emporte? Il est blessé! Il faut qu'on le soigne!

Enoriel soupira, inutile de la rassurer, la rage l'aveuglait. Et puis, mieux valait s'assurer que son coup ne s'infecterait pas.
Elle se leva de sa pierre et alla auprès de Naro. Elle finit de déchirer son haut et observa la blessure qu'elle lui avait infligé avec un regard calme et serein. Aucune émotion ne passait au delà de son visage de marbre et d'une beauté figé. La blessure saignait, certes, mais n'était pas très profonde. Enoriel avait bien visé, juste ce qu'il fallait. Elle tira de ses longs vêtement de voile une herbe et mit dans sa bouche pour la réduire en une bouillie qu'elle étala en silence sur la plaie. Elle le pansa par la suite. Et enfin, elle daigna parler.

-Tout combattant doit connaitre la douleur pour se battre avec sérieux. La blessure n'est pas très profonde, et la plante empêchera celle ci de s'infecter.

Elle se leva et s'en alla préparer le feu. Lorsque le marchombre aurait pris la pleine étendue de la leçon qu'il venait de recevoir, il reviendrait vers elle.

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Enoriel se comporta bien mieux que Loris ne l'aurais espérais. Elle sortit une herbe de nulle part, le prépara en bouillie qu'elle étala sur la plaie de Naro. A l'inverse de Loris, Enoriel ne disait rien et son visage ne trahissait aucune émotion. A cette réaction Loris était à la fois jalouse d'Enoriel et ressentait de l'admiration pour elle. Après tout cela Enoriel pris enfin la parole vers Loris:

-Tout combattant doit connaitre la douleur pour se battre avec sérieux. La blessure n'est pas très profonde, et la plante empêchera celle ci de s'infecter.

La Dessinatrice savait qu'elle avait raison mais son égo sûrement déchainé a cette instant lui fit penser le contraire. Loris ravala sa salive, et les mots méchants avec. Pourquoi réagissait-elle comme ça?! D'un côté elle avait l'impression que c'était justifié et d'un autre que c'était elle qui ne comprenait rien. Elle se contenta d'hoché la tête et sans trop le vouloir, jeter un regard noir à Enoriel. Elle se leva doucement et pris le corps de Naro encore inconscient sur ses épaules. Elle défaillit sous le poids du jeune guerrier, et faillit tomber par terre. Mais quand elle vit le regard d'Enoriel, Loris releva la tête dignement et partit, transpirante de partout, souffrante, mais fière d'un défi qui n'avait jamais exister.
Elle déposa Naro sur une couchette aménager de paille, un peu plus loin, et lui caressa une dernière fois la joue. Elle repartit dans le sens inverse, en ne prêtant aucun regard a Enoriel et s'arrêta devant celle-ci. Elle prit la parole, difficilement:

- ...M...Merci.

Elle avait la voix dure, le regard dure, elle ne regardait même pas Enoriel mais c'était déjà un bon début.
Elle partit en courant vers la forêt se ressourcer parmi les plantes. La jeune dessinatrice savait bien que dès le lendemain matin, elle serait au combat, elle se ridiculiserai devant Enoriel et qu'elle aussi soufrerait physiquement, et peut être mentalement. Mais tout sa elle s'y était préparer, sûrement pas assez vu sa réaction face à Naro blesser, mais elle savait très bien que le chemin ne serait pas parsemés de pétales de roses, et qu'elle vivait a Gwendalavir pas au Paradis...

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Les nuages sombres s'étaient rassemblés pour ne former plus qu'un amoncellement orageux. Les premiers éclairs et les coups de tonnerres qui les suivaient ne tarderaient pas à se faire entendre. La vue se brouilla, et le paysage devint macabre. Là, éparpiller sur plusieurs dizaines de mètres, des cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants jonchaient le sol. En arrière-plan, on pouvait apercevoir les ruines encore fumantes d'un village ou d'un petit bourg. Un trait ajusté vint se planter dans le flanc droit de Naro. Un archer devait se tenir là mais il n'était pas visible à cause de l'obscurité qui régnait. Naro avait mal mais il n'était pas maître de son corps, tout mouvement était impossible. Seuls ses yeux agissaient encore selon sa volonté. Soudain, sa vue se brouilla de nouveau et il ouvrit les yeux…

Les rayons du soleil qui passaient par la porte entrebâillée effleuraient le visage de Naro. La douce chaleur distillée par le soleil matinal fit afficher un sourire éclatant au jeune homme. Il tenta un mouvement, changea soudain son sourire en un rictus et étouffa un grognement. Il venait à l'instant de se rappeler de sa situation. La blessure avait déjà fait des progrès en une seule nuit mais la douleur était toujours présente.

Il était allongé sur un matelas peu confortable. Ses cheveux étaient trempés de sueur à cause de son cauchemar et des gargouillis intestinaux témoignant de sa faim vinrent ajouter une douleur supplémentaire. Il se releva avec peine et fit quelques pas hésitant en direction de la porte avant de retomber lourdement sur les genoux.
Naro souffrait le martyre et il avait besoin d'aide. Aide qu'il ne pouvait
appeler tant sa gorge était desséchée. La caravane ne s'était toujours pas
remise en marche et Naro en profita pour marcher péniblement jusqu'au point d'eau se trouvant à quelques mètres de là où on l'avait couché. Il plongea la tête dans l'eau fraîche et ne la ressortie qu'après avoir avalé une grande quantité d'eau.

Une ombre s'approcha et son image se refléta dans l'eau limpide que Naro buvait. Il n'eut pas de mal à deviner de qui il s'agissait. Enoriel était derrière lui. Le reflet était trop flou pour qu'il puisse déterminer son humeur et il se retourna donc avec un sourire timide aux lèvres…

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Enoriel n'avait pas dormi de la nuit, non pas parce qu'elle s'en voulait d'avoir blesser de façon volontaire Naro mais tout bonnement parce qu'elle n'avait confiance qu'en elle pour monter la garde.
Malgré le fait qu'elle ait veillé toute la nuit, elle était fraîche et d'attaque. Il faudrait plus qu'une nuit blanche pour l'abattre. Elle s'étira sur son rocher, son arc à ses côtés, ses deux dagues accrochées à ses cuisses.
Elle donna encore une heure aux itinérants et il faudra partir, profiter de la fraîcheur du matin pour que le voyage soit plus agréable. Et les convois étaient tellement lents !
Cela en était désespérant mais Enoriel se retenait de tout commentaire, protéger un convois était son devoir, et voyager en groupe était une sécurité.
Et puis elle n'avait pas à se plaindre des voyageurs qui étaient plutôt de nature discrète et joviale.
Enoriel, elle, rêvait de son pays et n'attendait que de le voir. Ces forêts rassurantes et mystérieuses, les traditions des faëls, leurs visages, leurs agilité, son peuple, ses origines.
Son regard se perdit à l'horizon, une douce brise caressa son visage, comme une caresse d'un prochain retour chez elle. Elle avait hâte de renouer avec sa terre.
Elle se leva et s'en alla près du point d'eau afin de se faire une petite toilette. Elle y vit Naro. Il était accroupi au bord de l'eau.
Elle haussa les sourcils et se rapprocha sans lui prêter attention. Il semblait bien pâle et elle se demanda s'il exagérait ou pas. Qu'importe. Elle se baissa, ses cheveux bruns cascadèrent autour de l'ovale de son visage typiquement faëls.
Ses yeux vifs scrutèrent la surface de l'eau, elle y plongea ses mains et sourit doucement en regardant les ondes créées par ce simple geste.
Elle se mouilla le visage, but quelques gorgées et se releva, sans un regard au marchombre.
Non elle ne s'excuserait pas, elle n'avait rien à dire là dessus, s'il n'avait pas compris, ce n'était pas son problème et c'était le signe qu'il n'était pas prêt à bénéficier de l'entraînement d'élite des Til' Lleldoryn.
Elle s'apprêtait à repartir vers le convois lorsque ce dernier la retint.

Messages : 118 Inscription le : 08/01/2008

Le mouvement de Naro n'eu pour effet que de lui tirer une grimace sur le visage. Enoriel ne le regarda pas une seule fois, elle s'était accroupie pour boire et pour se faire une toilette sommaire. Puis sans un regard elle se releva et fit un pas en direction du camp. Naro se racla soudain la gorge puis échappa un filet de la salive avec des nuances rouges. Enoriel avait déjà fait un pas de plus. Naro se releva avec peine et voulu retenir son mentor qui n'avait toujours pas posé un regard sur lui. Il était intrigué par son comportement. D'habitude, c'était elle qui souriait et qui positivait. Aujourd'hui, elle n'avait rien dit, rien vu, comme s'il ne s'était rien passé, comme s'il n'avait pas été là. A son teint plutôt pâle, Naro en avait conclu que sa nuit n'avait pas été de tout repos mais au fond de lui, il savait bien que seul l'incident qui avait eu lieu la veille en était la cause. Il ne pouvait pas rester là sans rien faire, sans comprendre le fond de ses pensées. Il fallait qu'il agisse, maintenant ! Mais comment ? Comment attirer son attention sans la rendre plus passive encore ? Et si elle s'énervait ? Trop de questions passaient par la tête de Naro, son cerveau saturait, lui qui trouvait toujours des idées rapidement et astucieusement n'arrivait même pas à inventer une phrase capable d'attirer positivement l'attention d'Enoriel. Il décida soudain, dans un éclair de lucidité, de se lancer :

- Enoriel…

Elle s'arrêta mais ne se retourna pas. Naro continua :

- Je manie si mal l'épée pour qu'une Til'Lleldoryn ne daigne même plus me regarder ?

Suite à cela, il fit un grand sourire et Enoriel se retourna…

Messages : 367 Inscription le : 21/07/2007

Elle l'écouta avec une pointe d'indifférence. Elle se retourna lentement pour le toiser.
Avait il appris ? Etait il prêt ?
Elle en doutait fort. Elle posa sa main sur sa hanche. Elle laissa quelques minutes de silence s'installer, imperturbable.

-Naro, je ne te sens pas prêt. Pas prêt du tout. Peut être manie tu vaguement l'épée, mais tu n'est pas prêt à recevoir les leçons d'une Til' Lleldoryn, tu supporterais pas, et tu craqueras.
As tu compris la leçon d'hier ?
Quand tu sauras, vient me parler, mais pour l'instant je suis navrée mais je ne peut rien pour toi.

Sa voix n'était pas froide, seulement neutre.
Elle aurait bien aimé transmettre son savoir, prendre un apprenti, mais Naro n'était pas prêt. Une blessure le couchait à terre, comment ferait il lorsqu'elle le blessera volontairement plus profondément?
Il fallait qu'il se ressaisise, maintenant.

-Viens, il faut reprendre la route.

Sans un mot de plus, elle se détourna et s'avança à grand pas du convoi. Dans une heure, ils partiront et le soir même, ils devraient voir les contours familiers du pays faël, si cher à Enoriel. Elle accéléra le pas. Lorsque le convoi parti enfin, elle essaya d'accélerer l'allure.
Elle avait si hâte...son regard ne quittait pas l'horizon et elle semblait en permanence perdue dans ses pensées.
Bientôt...bientôt elle sera chez elle à nouveau.

Messages : 148 Inscription le : 15/02/2008

Loris profitait de l'arrêt du convoi pour flâner un peu dans la nature. Après tout ce qui c'était passée avec Naro, Enoriel: Un peu de vide dans sa tête ne lui ferait que du bien. Elle divaguer entre les plantes, les quelques animaux qu’elles pouvaient croisait en silence, et surtout n'avait aucune idée de où elle allait. Mais bizarrement, le fait de ce savoir perdu en forêt avec pour seul présence la faune et la flore la rassurait. Elle avait l'impression qu'elle retournait a ce qu'elle est vraiment. A ce que nous somme tous: Un petit point parmi des milliards. Ça lui rappelait pourquoi elle avait souhaitée partir. Peut être un peu pour la même raison. "Pour se retrouver". Et puis elle avait tellement vécu et vu de sang depuis toute petite, qu'à présent elle était quelques peu dégoutas par l'espère humaine, ses ambitions, et son égo. Elle s'arrêta doucement et écouta au loin. Un doux bruit de ruisseau parvenait à ces oreilles. Elle poussa un soupir d'aisance et s'approcha du ruisseau. Elle regarda son reflet, et caressa sa joue « d’eau ». Elle se regarda dans les yeux et se demanda :

« Qui suis-je pour juger la grande Enoriel Til’ Lleldoryn… »

Elle était une petite gamine blonde sur la voie des Dessinateurs, qui recherchent désespérément un fantôme, qui fait un caprice pour revenir dans son pays natal, qui assiste a la formation d’un jeune homme par une grande, et qui se permet de juger et de crier. Tout d’un coup, elle se sentait pitoyable. Elle se sentait gamine dans sa tête mais elle décida qu’à partir de ce moment, elle allait changeait. Elle croyait quoi que la vie s’était un conte de fée peut être?! Maintenant elle ne ferait plus aucun écart, plus jamais! Elle fit un sourire a son reflet et frappa la surface de l’eau et repartit en rigolant en direction de convoi. Elle se sentait légère, comme si elle avait réglée un grand problème. Elle savait qu’entre prendre une décision et l’appliquer sérieusement il y avait un grand pas à faire, mais elle avait confiance. Elle aperçut sans difficulté le convoi, et vit qui ne s’était rien passée en son absence. Elle décida de chercher Enoriel et Naro, pour leur demander de reprendre l’entrainement. Du moins pour elle. Elle ouvrit un buisson s’engagea entre les marchand, mais ne les trouvaient pas. « Mais où sont-il ?» Elle s’arrêta et écouta-le plus loin possible. Elle entendit pas loin :

- Je manie si mal l'épée pour qu'une Til'Lleldoryn ne daigne même plus me regarder ?

L’humour à Naro! Elle se dirigea doucement vers eux et entendit la réponse de Enoriel.

Pas prêt du tout. Peut être manie tu vaguement l'épée, mais tu n'est pas prêt à recevoir les leçons d'une Til' Lleldoryn, tu supporterais pas, et tu craqueras.
As tu compris la leçon d'hier ?
Quand tu sauras, vient me parler, mais pour l'instant je suis navrée mais je ne peut rien pour toi.

Au départ si elle ne comprit pas ses paroles, ils prirent doucement un sens dans sa tête. Son moral et sa motivation en fût quelques peu blessée, mais elle releva la tête et se dit :

« C’est justement dans des situations comme cela que je vais affronter, et je les affronterais la tête haute quoi qu’ils m’en coutent ! »

-Viens, il faut reprendre la route.

Elle choisit alors ce moment pour intervenir. Elle sortit du buisson avec un air froid et s’adressa à Enoriel :

- Puis-je avoir droit à une leçon ? Je sais que tu ne dois pas me sentir non plus Enoriel, mais j’en aurais besoin pour la suite alors dis toi que c’est pour ma survie. Je ne te force pas. Si tu refuses je trouverais quelqu’un d’autre, mais vu comment je suis maladroite il va me falloir quelqu’un de très douée pour m’apprendre. Et de la patience sans doute.

Elle fit un sourire maladroit.

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