Du grabuge... (RP terminé)

Elicia était sur les nerf en ce moment. Elle avait de plus en plus de mal avec les cours, et il n'était pas rare qu'elle en seche quelques uns. Elle avait envoyé plusieures lettre a sa mère, mais son silence lui fesai presque peur. Elle ne savai pas ce qu'il se passait, et n'osait pas demander encoe une fois l'autorisation de s'absenter pour une durée indéterminée. Déja qu'elle se fesait régulierement remonter les bretelles par son manque de srieu, elle n'allait pas abuser en plus. Elle entra dans l'auberge et s'assit a une table, commendant un verre d'alcool fort. La nuit allait tomber, mais elle n'en avait rien a faire. Tant pis, elle sauterait le grand portail de l'académie pour rentrer au dortoir. Elle sirotait sa boisson tranquillement, en observant les gens présent Quand elle faillit avaler de travers. Une silhouette venait d'entrer, assez grande, masculine, une silouhette qu'elle connaissait que trop bien. C'était un ami de la famille, enfin ami, c'était beaucoup dire, il n'était présent que pour les mavaises nouvelles. Elle le regarda s'avancer vers elle, et le regarda toujours lui laisser une enveloppe sur la table.........et s'assor en face d'elle.
Elle avait l'habitudede ce genre de comportement, mais cela ne fit qu'accroitre son anxiété. D'une main tremblante, elle prit l'envelope et l'ouvrit.
Elle en sortit le papier qu'elle contenait et lut ce qu'il y était marqué.
D'un coup, toute couleure déserta son visage, et ses yeux prirent la couleure de l'orage menaçant. Elle leva son regard vers cet homme et dit d'une voix blanche, teinté de haine

-Tu plaisante j'espère??

Un signe de tete négatif de la part de l'homme lui confirma ce qu'elle savait déja. Dans sa tete, les mots de la lettre dansaient, lui fesant mal au crane. Sur cette lettre, était tracé les mots " J'ai tué ta mère de mes propres mains!"
Elle vit rouge, et la vengence ne pouvait se faire que dans le sang versé. D'un geste vif, elle sortit son épée de son foureau et en menaça l'homme qui lui fesait face. Lui aussi s'était levé. Dans l'auberge, rgnait un silence de mort, inhabituel pour un endroit comme celui ci. Aucune parole ne fut échangé, seulement des regard emplis de haine et de promesse de mort.
Dans un ensemble parfait, tut les deux se rua l'un sur l'autre.
Le combat commença alors en plein milieu de l'auberge. Mais plus expériménté qu'elle, il prenait vite l'avantage.

[Je sais pas si on peux continuer ce RP vu que normalement celui qui t'attaque est mort dans la rue marchande. Je poste tout de même (j'ai fait comme si locktar et elicia ne se connaissait pas) et si tu trouve que ce RP doit être laissé tomber, dis le moi]

Locktar était sortit de l'enceinte de l'académie. Pour lui, les nuits étaient courtes. De plus, quand il était réveillé, il savait très bien que quand il était réveillé, le sommeil ne revenait pas de sitôt. Il s'était habilé et il avait empoigné son épée. Les rues des villes n'étaient jamais sûre, surtout la nuit. Le plus silencieusement possible, il était sortit de la salle commune des Corbac et il était sortit de l'académie, direction Al-Poll. Il s'était baladé dans de nombreuses rues avant de décider de s'arrêter pour boire un petit verre dans une auberge. Il avait cherché pendant pas mal de temps avant d'en trouver une. L'auberge du siffleur était assez banale. Sans l'écriteau, on aurait pu croire à une maison. Il poussa la porte et il entra. Il y avait un petit peu de monde malgré l'heure tardive. Des piliers de bars étaient avachis sur le comptoir, des hommes discutaient à des tables et Locktar remarqua qu'il n'y avait qu'une femme dans l'auberge. Cette femme, il ne la connaissait pas mais il fut fort étonné de la voir ici. Normalement, les demoiselles prenaient soin de ne pas sortir quand la nuit était tombé, c'était la proie préférée des brigands et des ivrognes. Locktar s'installa à une table libre et il commanda un verre d'alcool. Il ne quittait pas la jeune femme des yeux. Elle avait l'air mal en point. Le guerrier se serait bien approché pour tenter de lui remonter le moral. Un homme s'installa à sa table. Elle avait l'air de le connaitre. Si au moins il pouvait lui changer les idées tout allait bien. Locktar tourna les yeux ailleurs pour observer le reste de l'auberge, en particulier un ivrogne qui tentait par tous les moyens d'avoir une ristourne sur la boisson qu'il venait d'ingurgiter. Un cri se fit entendre et le silence se fit dans l'assistance. Même les piliers de bars semblaient avoir désaoulé. C'était la jeune femme qui avait crié. Elle s'était levé épée à la main. L'homme qui s'était assis à sa table était debout lui aussi. Quand ils se ruèrent, l'un sur l'autre, Locktar posa son verre et il s'approcha de la bagarre. Il connaissait trop les auberges pour laisser le combat sans intervenir. Si on ne le stoppait pas maintenant, les ivrognes risquaient de se battre eux aussi. D'une main ferme, il aggripa la jeune femme pendant que le patron de l'auberge s'occupait de l'autre homme.

- Oh là, on se calme, jeune demoiselle, dit Locktar. Une auberge, c'est pas fait pour se battre. En plus, je suis désolé de vous le dire, mais vous risqueriez de sortir bien amochée. Abimer un si beau minois aurait été dommage.

L'homme lança un regard noir à la jeune femme et il sortit.