Envoi de lettres... (RP terminé)

Messages : 148 Inscription le : 15/02/2008

Loris avait pris la décision d'envoyer un message avec un oiseau, plutôt que par le dessin. Le peu de temps qu'elle avait connu ses parents préfèrent les lettres, et elle était bien décidé a leur rendre hommages. Elle allait envoyé une lettre a ses frères et sœurs de l'orphelinat. Mais il y avait deux problèmes :

- Elle n'avait pas d'oiseaux

Et ...

- Elle ne connaissait strictement rien a ce genre de choses ...

Elle avait entendu parlé du nouveau Fauconnier, en espérant qu'il pourrait l'aidait elle se dirigea vers la volière. Elle arriva et vit que par chance le Fauconnier était justement sur place. Sans faire trop de bruits, elle entra et voulut lui parler mais aucun son ne sorta de sa bouche... Devant elle un spectacle qu'elle n'avait jamais vu, des oiseaux partout de toute sortes... De toutes couleurs ... De toutes tailles... Donc certains était très rares... Des petites étincelles brillait au fond de ses yeux, on aurait dit une enfant émerveillé qui met le nez dehors pour la première fois de sa vie. Enfin elle comprit que la Fauconnier le regardait, gênée, elle dit :

" - Pardon de vous dérangez, je comptais envoyer une lettre par oiseau... Mais je n'y connais strictement rien et puis... Et en plus je n'ai pas d'oiseau, vous croyez que ... "

Loris rougissait, elle trouver le Fauconnier a son gout... Et lui ?

Messages : 112 Inscription le : 01/05/2008

Rurïl monta tranquillement les 4 étages qui le séparaient de la Volière, repensant à l'épisode de la veille. La course dans la Forêt, la longue plainte à la Lune, L'épisode plutôt pas bannal d'Eryne en pleures.... Tout cet ensemble de choses perturbait le Fauconnier. Il gravit le dernier étage plus rapidement que les autres, se recentrant cet fois sur son premier sujet préoccupation, c'est-à-dire Ubac, sa buse variable qu'il n'avait pas vu maintenant depuis 2 bons jours.Il savait qu'il n'avait pas à s'en faire pour lui, car Ubac avait de quoi subsister en nourriture pour une bonne semaine et demie, mais sa présence si particulièrement complice lui manquait...
Il arriva enfin au quatrième étage.
Comme d'habitude, il trouva la petite salle qui donnait sur la terrasse exterieure vide, et un brin poussièrreuse. Dans celle-ci était entassé tout un tas de choses: plusieurs sortes de litières différentes, de la nourriture animalière en tout genre, des empilements de papiers, etc...
Rurïl sortit de sa poche son gant de fauconnier qu'il commançait à connaître, l'enfila en vitesse et, ouvrant la grande porte fenêtre, sortit sur la vaste terrasse.
De là, une allée pavée avançait tout droit jusque au bout de la terrasse, c'est à dire jusu'aux crénaux de la tour, se divisant à certain endroit pour arriver devant les différentes volières.
Le jeune-homme se dirrigea vers celle où logeait son compagnon de vol.
Il n'y avait pas de porte à proprement dit, à l'entrée de la volière. Pour faciliter le passage, on avait accrocher au linteau de la porte des chaines métalliques,tombant juqu'au ras du sol, afin que cela forme un rideau. Ainsi, les oiseaux en vol se cognaient contre le lourd rideau de fer, et les fauconniers pouvaient plus facilement entrer.
(revenons à l'histoire^^)
L'endroit était spatieux. Haut de 3 bons mètres et demi, les paroies était formées de grillage fin pour que les oiseaux puissentse poser dessus. Il y avait à l'intérieur toutes sortes d'arbres, de plantes et de perchoirs afin que les oiseaux y soient à leur aise.
Rurïl s'avança vers le centre avant d'éxécuter son sifflement habituel et de, presue inconsciement depuis le temps, lever le bras de manière à ce que l'oiseau puisse s'y poser, ce qui ne tarda pas à arriver.
Après quelques échanges amicaux suivis de caresses tendres et chaleureuses, Le Fauconnier sortit de la Volière, oiseau au poignet, pour se diriger vers les crénaux.
Arriver contre ceux-ci, il regarda l'Arbre du Fauconnier, plus bas -On avait un très bon point de vue du parc d'ici- , observant sa coupe si particulière, sa tenue si étrange et pourtant si majestueuse.
Il jeta son bras vers l'avant d'un coup sec et bourrin, pour que son Corbeau aille chasser et puisse se ballader. Rurïl le regarda s'éloigner dans le décor juqu'à ce qu'il disparaisse, puis il s'éloigna vers les autres volières.
Il jeta un coup d'oeil au petit tableau sur lequel il y avait la date des derniers repas et de plusieurs autres tâches régulières. Voyant que la volière des oiseaux "rares et exotiques" n'avait pas eu de repas ces derniers jours, il s'y dirigea, prenant au passage au bac de nourriture.
Une fois à l'intérieur de la volière, il commança sa distribution, s'occupant de chaque oiseau en particulier.
Alors qu'il avait presque fini, il s'arrêta, entendant le bruit cristallin du rideau d'entrée. Une jeune-fille d'à peu près son âge fit son apparition, l'air plutôt timide et gênée.

" - Pardon de vous dérangez, je comptais envoyer une lettre par oiseau... Mais je n'y connais strictement rien et puis... Et en plus je n'ai pas d'oiseau, vous croyez que ... "

Quoique timide, la jeune-fille avait l'air simpathique. Rurïl décida volontier de l'aider, et puis, c'était un peu son boulot à près tout.

"_Oh bonjour, damoiselle! Ne vous en faites pas, vous ne me déranger pas du tout! Et pour finir votre phrase, oui, je crois que je peut vous aider! Venez, suivez-moi, allons vers la volière des oiseaux voyageurs. Où doit aller votre lettre au juste? Ah, et, au faite, comment vous appelez-vous? Moi, c'est Rurïl `Léôl'Êm, mais Rurïl suffira."

Messages : 148 Inscription le : 15/02/2008

Le charmant jeune homme sourit, aussitôt Loris se décontracta et étira son plus beau sourire, il répondit :

"_Oh
bonjour, demoiselle! Ne vous en faites pas, vous ne me déranger pas du
tout! Et pour finir votre phrase, oui, je crois que je peut vous aider!
Venez, suivez-moi, allons vers la volière des oiseaux voyageurs. Où
doit aller votre lettre au juste? Ah, et, au faite, comment vous
appelez-vous? Moi, c'est Rurïl `Léôl'Êm, mais Rurïl suffira."

Et lui répondit tous en le suivant :

- Cet lettre doit a aller a L'orphelinat Saint Pierre...

Loris continua de répondre aux questions de Ruril, suite a son silence :

- Vous y connaissez quelqu'un parce que, je doute qu'un oiseau connaisse le trajet, c'est pour sa que je savais pas si cet " envoie " pouvez ce faire... Et je m'appelle Loris, Loris Sil' Motip... Mais Loris suffira aussi...

Il se retourna et étire un grand sourire, il étire les rideaux de couleur chaudes, et me dit d'entrai. C'était splendide des centaines d'oiseaux, principalement des pigeons, volait en tous sens, manger, se désaltérer et roucouler de partout... Il se retourna et lui fit un sourire charmeur, comme pour demander si ça allait... Elle lui répondit par un sourire. Il lui montra un pigeon, et Loris lui tendit la lettre.

- Waouh c'est splendide ! Il sont magnifique, c'est toi qui t'en occupe ?

( T'a vu, charmant jeune homme <~~ Je fais des efforts ^^ Razz

)

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"- Vous y connaissez quelqu'un parce que, je doute qu'un oiseau connaisse le trajet, c'est pour sa que je savais pas si cet " envoie " pouvez ce faire... Et je m'appelle Loris, Loris Sil' Motip... Mais Loris suffira aussi..."

La jeune-fille étonnait de plus en plus Rurïl. Il sourit gentillement pour masquer sa frustration quand la damoiselle évoqua le nom de l'orphelinat. C'était fou comme le hasard faisait bien les choses! Ces parents lui avait souvent parlé de cet orphelinat! Ils voulaient le marier par arrangement avec l'une des orphelines car, disait-on, les enfants qui sortaient de l'établissement était assez riche, pour cause du luxe de la batisse. Rurïl s'était révolté contre cette idée, car il voulait (et veux toujours) épouser la personne de son choix. Mais, si la charmante créature qu'était Loris était elle-même une orpheline, l'idée ne lui déplaisait finalement pas plus que celal!
Il la conduit donc dans la volière aux pigeons-voyageurs, écartant un fin rideau aux couleurs chaudes avant de tirer celui, beaucoup plus lourd, de métal et de la faire entrer. le son des gloussements déjà assez présent à l'extérieur s'intensifia encore plus quand il entrèrent à l'intérieur. Comme d'habitude, une mulmtitude de pigeons volait de part et d'autres dans la volière, lachant quelque fois au passage de petits paquets blanc, qui venaient lourdement s'écraser sur le sol ou sur l'un des nombreux cabanons où les pigeons pouvaient se prélasser.

"- Waouh c'est splendide ! Ils sont magnifiques, c'est toi qui t'en occupe ?"

Rurïl eut un sourire en coin, dû à une certaine fierté, avant de répondre:

"_Eh bien, on peut dire que oui, puisque pour l'instant nous ne sommes que deux fauconniers et que ma supérieur et en ce moment très prise...! Cela demande un certains travail, mais quand on aime son travail, celui-ci n'est plus considérer comme besogne. Viens, allons trouver le bon oiseau! L'orphelinat n'est pas tout proche, il faut en choisir un endurant."

Le jeune-homme partit en direction d'un attroupement d'oiseaux, suivit par Loris, de moins en moins timide et de plus en plus ravissante.
Ils s'approchèrent des pigeons sans que cux-ci n'éprouvent aucune crainte, habitués à la présence humaine. Après en avoir inspecté plusieurs, de différentes tailles et carrures, sous l'oeil curieux de la damoiselle, Rurïl se décida enfin. Il souleva un oiseau assez grand, qui possédait une fine musculature sous un plumage épais, que seul l'oeil d'un amateur de fauconnerie pouvait voir.

"_C'est celui-ci qu'il nous faut!, dit-il, l'air triomphant. Je suis sûr qu'il tiendra largement la route. Maintenant, pour la destination, c'est très simple: tu es dessinatrice je crois? Eh bien, tu n'a qu'à progeter le plus d'image préçises du chemin dans l'esprit de l'oiseau et il suivra la route que tu lui aura indiqué. si tu n'a pas de route en tête et que tu es assez forte, essaye de lâcher des mots simple comme <> ou <>. Je dit <> car un oiseau, et c'est bien connu, n'à pas un cerveau supra-dévellopé! Ah, aussi je te préviens, je vais tenir l'oiseau pendant l' <> car cette intrusion dans son esprit risque de l'énervé, et il pourrait donner des coups de griffes et de bec, même s'il y a été habitué pendant le dressage.Ensuite, on le libère et le tour et joué. Ok ?"

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Il ne le montra pas, mais Loris senti bien que le charmant jeune homme ( <~~ I love you

) redoublé de fièrter....

"_Eh
bien, on peut dire que oui, puisque pour l'instant nous ne sommes que
deux fauconniers et que ma supérieur et en ce moment très prise...!
Cela demande un certains travail, mais quand on aime son travail,
celui-ci n'est plus considérer comme besogne. Viens, allons trouver le
bon oiseau! L'orphelinat n'est pas tout proche, il faut en choisir un
endurant."
Loris se devait l'avoué elle était impressionné, et puis elle adore voir les garçons se sentant très fier, cela l'amuse fortement !! Elle le regarda et enregistra méthodiquement chaque geste, chaque pigeons essayant de comprendre les différences entre tous. Malheureusement il semblerait qu'elle ne soit pas faite pour ce métier, car pour elle aucune différence il y avait entre tous ces pigeons ! Enfin, il la regarda avec les petites étoiles dans les yeux, comme trouvant un trésor il prendit un pigeon, bien remplumer et dit :

"_C'est
celui-ci qu'il nous faut!, dit-il, l'air triomphant. Je suis sûr qu'il
tiendra largement la route. Maintenant, pour la destination, c'est très
simple: tu es dessinatrice je crois? Eh bien, tu n'a qu'à projeter le
plus d'image précises du chemin dans l'esprit de l'oiseau et il suivra
la route que tu lui aura indiqué. si tu n'a pas de route en tête et que
tu es assez forte, essaye de lâcher des mots simple comme
<> ou <>. Je dit
<> car un oiseau, et c'est bien connu, n'a pas un
cerveau supra-développé! Ah, aussi je te préviens, je vais tenir
l'oiseau pendant l' <> car cette intrusion dans
son esprit risque de l'énervai, et il pourrait donner des coups de
griffes et de bec, même s'il y a été habitué pendant le
dressage.Ensuite, on le libère et le tour et joué. Ok ?"

Elle lui sourit. Et resta figé oubliant complètement ce qui lui demanda, le comptenplent sans se laisser, comme on regarde un héros... Quand elle se rendit compte de son erreur, elle devient toute rouge et bredouilla :

- Euh, déso... désoler, oui je connais le chemin ...

Elle se concentra, un peu perturbé par le jeune homme qu'il le regarda faire, mais réussi a bien s'épanouir complètement dans les spires. Elle les traversa puis entra dans la tête du pigeon, celui- ci se débattit autant dans la réalité que dans le mental. Loris ne se laissa pas faire, elle lui imposa les images du chemin de l'académie jusqu'à l'orphelinat, et puis elle lui montra une fenêtre précisément...

Loris ressortit des spires, et regarda Ruril, et lui fis un signe d'approbation, alors Ruril donna de l'impulsion au pigeon pour qu'il vole... Elle se retourna vers lui et murmura un simple " merci " mais qui était plein de compliments pour son fabuleux travail...

Messages : 112 Inscription le : 01/05/2008

Rurïl lâcha le pigeon qui alla se perdre dans l'horizon, entre les nuages et les courants d'air. Du balcon, les deux jeunes-gens le virent s'éloigner petit à petit. Devant ce paysage magnifique, il eut une petite pensée pour Eyne, qu'il rejeta immédiatemment, par peur de sombrer dans la tristesse: Eryne était maintenant morte, elle allait rejoindre son Lou, il ne fallait plus y penser...
Quand il détourna afin son regard de l'horizon, il remarqua que Lori avait posée sa tête sur son épaule. Décidemment, cette fille avait des projets en tête, mais cela faisait bien longtemps que Ruril avait arrêter d'essayer de comprendre les filles, pour une simple raison: trop compliquées! D'abord, il pensa naturellement à s'éloigner de la damoiselle, mais après tout, cette fille était gentille et pleine de charme, et en ce moment il avait un grand besoin de se changer les idées...
Lui jetant un regard embarassé mais heureux, il passa son bras derrière elle, pour la prendre à la taille et la rapprocher un peu plus de lui.
Ensemble, ils regardèrent le paysage qui se dressait devant eux...

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