Description générale
- Nom : Sil’ Masamune
- Prénom : Kusanagi
- Race : Humaine
- Age : 18 ans
- Alignement : Loyal mauvais
- Classe (primaire) : Combattante
- Classe secondaire : Mentaï en formation
- Enseignement suivi/ Enseignement dispensé : Aucun, ne souhaite pas suivre de cour à l'Académie
Description physique et mentale
- Description physique : Kusanagui est une demoiselle de 16 ans au maintient et au comportement digne d’une impératrice qui la font paraître plus âgée qu’elle ne l’est vraiment. Cette jeune fille est, la plupart du temps, vêtue d’une ample tunique grise sur laquelle des fleurs de nénuphar blanches réside avec grâce et volupté. Elle est chaussée de hautes bottes finement ouvragées en cuir de siffleur et lassées avec de longues lanières de cuir. De taille moyenne, elle passerait totalement inaperçue si la Dame ne l’avait pas dotée d’une peau presque diaphane, de cheveux d’un blanc immaculé et d’yeux grenat aussi brûlants que la braise qui lui donnait paradoxalement un regard aussi froid que la mer de Brume. Sur son visage ne vient se glisser aucune imperfection et encore moins une quelconque émotion du fait de son éducation et de son vécu qui lui ont apprit qu’il valait mieux que personne n’ai accès à son univers intérieur sous peine de le payer très cher. Les apparences de l’aristocrate, autrement dit son physique maladif qui lui fait revêtir le costume d’une fille fragile, lui servit par ailleurs beaucoup.
Epéiste confirmée, Kusanagi n’a pas manqué d’en surprendre plus d’un en tirant de ses amples manches diverses armes, comme des dagues, et de les maniées avec une certaine aisance. Son Don désormais révélé, elle ne transporte que les armes dont elle ne peux se séparée dont un sabre savamment dissimulé et ce qui semble au prime abord à de simples éventails mais qui ont quelques particularités que seuls les personnes qu’elle à tué avec pourraient cité. Une fois entrée dans n’importe quel combat, elle semble dansé au rythme des lames, une danse mortelle pour son adversaire.
Enfin sa démarche, souple et silencieuse, fait d’elle, au même titre que ses talents au maniement des armes, un assassin peu repérable par le commun des mortel. Jamais dans son regard et dans ses pas ou aucun de ses gestes on ne put décelé l’incertitude, l’imprécision, ou le vice. On avait fait d’elle une parfaite taupe au sein de la cour impériale.
- Description du caractère : D’une discrétion notable, Ksusanagi ne laisse jamais échappé des informations si elle ne l’a pas décidé. D’autre part, du fait de son éducation, elle est hautaine et jamais ne se mêlerait de son plein grès avec les paysans qui formaient le peuple Alavrien. Mais en habile comédienne qu’elle est, ce trait ne se devina en aucun cas. Son attitude froide et distante cache un désir inassouvi d’amour jamais reçut et une indifférence ambiante permanente.
Ksusanagi n’est pas le genre de personne qui se laisse aisément dominé. Déterminée et autoritaire elle est plus faite pour diriger que pour suivre, même si elle peut très bien obéir en attendant que son heure vienne enfin. Pouvant se montré très persuasive, elle se moque éperdument des races rang ou autre si on ne lui obéit pas, la sentence est longue et douloureuse. Jeune mais pourtant consciente de ses choix et des tentatives de manipulation, elle ne préfère pas faire de vague afin de se frayer un passage dans les hautes sphères du Chaos. Elle n'a qu'une seule vie et y tien plus qu'on pourrait le croire.
- Principale(s) qualité(s) : Attentive, discrète, habile, souple silencieuse, comédienne confirmée
- Principal(s) défaut(s) : Manipulatrice, méprisante, fière et parfois cruelle.
- Particularité(s) : La seule particularité vraiment visible de Kusanagi est son étrange beauté qui fascine nombre de jeune damoiseau mais pas seulement et qui lui donne l’honneur, bien qu’elle prenne ce fait pour un véritable fardeau, de se classer parmi les Dames les plus courtisées de la cour.
Vécu et histoire sociale
- Situation familiale :Fille unique née d’une mère qu’on lui dit tout d’abord décédée puis qu’on lui décrivit comme une femme lâche qui a préféré fuir sa maternité et d’un père Mentaï souvent absent on pourrait la qualifiée de quasiment orpheline.
- Situation sociale :Mal grès deux parents qu’elle trouvait indigne d’elle, elle leur trouva la bonté de lui avoir cédé leurs titres de haute noblesse. Elle fait donc partie d’une prestigieuse lignée Alavrienne proche de celle de l’Empereur.
- Histoire : Née en plein hiver d’une mère inconnue et de Saelian Sil’Masamune, qui bien qu’il soit son père ne s’est jamais occupée d’elle, on peut dire qu’elle s’est élevée seule ce qui explique certains de ses traits de caractère bien prononcé qu’elle dissimule pourtant avec beaucoup d’aisance. Dès sa plus jeune enfance on lui inculqua l’éducation de la cour, ainsi que quelques supplément dont le maniement des armes, équitation et autres car son père lui voyait déjà un avenir de Dame du Chaos. Elle grandit donc entourée des traîtrises et complots de la cour autant que dans le faste mais sans amour. Ce fut sans doute pour ça qu'elle accepta de rejoindre l'Ordre du Chaos, parce qu'elle ne semblait rien être pour son propre père ... Tout d’abord formée pour être assassin, elle fit son premier meurtre ... Une nuit d’automne où les feuilles cuivrées des arbres tombaient avec grâces dans de délicates courbes que leur imposait le vent. Kusanagi s’était introduit dans les appartements d’un noble dont elle avait du observé les habitudes deux semaines durant aux ordres d’un Mentaï, qui n'était autre que son père, mais elle ne l'apprendrait que bien plus tard. Elle avait attendu qu’il s’installe à son bureau, confondue avec les ombres, et se faufilât discrètement derrière lui afin de planté d’un geste vif et précis une dague dans la nuque du condamné, sans état d’âme, avant de se retiré en laissant pour seule trace le cadavre de l’homme qu’on ne retrouverait que le lendemain dans l’après midi. Aucune enquête ne fut lancée car l'affaire fut étouffée, jugée compromettante pour l'image de l'Empire. A la grande chance de Kusanagi. Le temps passant et la fillette s’ennuyant, elle réussi à quitté la cour pour assouvir son désir de voyage mais mal grès ses protestations accompagnée d’une femme plus âgée. Sans doute plus pour ne pas attiré l’attention que pour la protégée, car elle le savait déjà bien sa vie n’aurait de valeur que si elle arrivait au sommet. Et c’est à cause de cette constatation que chaque seconde de sa vie elle se bat pour qu’enfin on reconnaisse ses talents, pour qu’enfin elle soit indispensable. Au cour de ces années de vagabondage, elle finit par se débarrasser de la femme qui l’accompagnait, on ne sut jamais comment et effectua ses missions sans accroc. Un jour, alors qu’elle devait se renseigner sur une future victime, elle apprit que sa mère ne l’avait pas vraiment abandonnée et dans un excès de rage, elle se déchaina sur son père, en le blessant à peine, pour lui avoir menti et parce qu'il l'avait manipulé, avait fait d'elle sa chose en l'incitant à la haine, et enfin parce que c'était à cause de lui qu'elle n'avais jamais connue sa mère. Plus tard, elle s'en fut loin de chez elle, le plus discrètement possible sans se retourné, un désir de vengeance et de pouvoir l'enchaînant au près des Mercenaires. Ce ne fut qu’une fois qu’elle se rendit compte qu’elle avait oublié de demander l’identité de sa mère, avant de partir, qu’elle regretta son geste, pour le reste elle ne s’en souciait pas. Il n’était qu’un étranger, une illusion de famille. Suite à cet épisode plus ou moins triste Kusanagi entama recherches sur cette femme dont elle ignorait tout mais qui peut être était la seule personne à l’avoir jamais aimé. Kusanagi apprit quelques mois plus tard que ses deux parents étaient dessinateurs et se rendit d'elle même chez un analyste qui lui adressa un superbe sourire en lui disant qu'elle pourrait faire partie de l'élite si elle prenait des cours de Dessin et il lui recommanda de se rendre à l'Académie de Merwyn. Ce qu'il ne savait pas c'est que l'élite qui était pour lui les Sentinelles et autres grands dessinateurs était pour elle les Mentaïs, le sommet de l'Ordre du Chaos. Elle stoppa donc son vagabondage afin d'apprendre maîtrisé correctement son Don mais pas en académie, avec un maître, un Mentaï à qui elle a accepté de se soumettre pour cela.
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