Demande d'aide (RP terminé)

Sans s'en rendre compte Vivyan se retrouva dans l'auberge du Dragon vert, Slynn dans les bras, toujours en pleur. La sous-directrice amena sa collègue dans un endroit discret de la grande salle en fermant une sorte de rideau derrières elles. Vivyan adressa un sourire chaleureux qui se voulait rassurant pour Slynn ne sachant que faire.

- Tant que nous sommes ici... Que veux tu ?

- Ce qu'ils ont de plus fort...

Slynn avait à peine murmuré, complètement abattue. La fière Sentinelle avait rabattu le capuchon de sa longue cape noire sur sa tête afin de dissimuler au maximum son identité... et son état. Ses yeux étaient rouges à force d'avoir pleuré et de petites larmes cristalline ruisselaient le long de ses joues.

A peine assise, elle croisa ses bras et y enfouit sa tête.

Vivyan commenda des boisson et tendit un alcool fotr à Slynn même si elle savait que ce n'était pas forcément la bonne solution. Elle lui sourit. Quelque part elle était un peu jalouse de sa collègue, elle était humaine elle, on ne l'avait jamais crée pour accomplir le mal, c'était une dessinatrice hors pairs et pour couronner le tout elle était vraiment belle. Enfait Vivyan n'aurait pas du avoir ses sentiments là mais c'était comme si Slynn avait émanté son regard... Elle l'observait... Et semblait hypnotysé par sa personne, sa lougue chevelure d'ébène et ses yeux noir, son regard électrique et son tein si pâle, tout son style particulier à elle seule... Elle semblait si contrôlée et pourtant, elle était semblable à un magnifique félin. La sous directrice détourna le regard et contempla quelques instants le bar sculpté avec précision mais Slynn semblait l'avoir remarqué.
Elle soupira.

*Je ne sais même plus quoi dire.*

- Ne me regardez pas comme ça... je vous en prie, ma Dame.

Que voilà une parole pour le moins inattendue venant de Slynn Ar' Kriss, la Sentinelle que bien des gens percevaient comme une noble cruelle, froide, et hautaine. Certes, elle l'avait été jadis... quand elle cherchait à oublier Beitiris, quand elle cherchait à acquérir toujours plus de pouvoir. Mais, finalement, son séjour prolongé à l'Académie l'avait changée, l'avait rendue plus humaine en quelque sorte. L'aura de son ancien maître, Valen, et l'humanité presque sainte de Vivyan Ril' Lake n'y avaient certainement pas été étrangers.

Parfois, Slynn s'était rendue compte que la femme tant aimée par Merwyn Ril' Avalon était torturée par son inhumanité, elle n'était qu'un Dessin. Pourtant, paradoxalement, si elle savait combien elle était plus humaine que n'importe quel résident de l'Académie... elle l'était incontestablement et dans le meilleur sens qu'il soit.

- Excusez moi.

Vivyan restat immobile à tel point qu'on l'aurait cru transformer en statue. Soudain elle sorti de son état statique et sourit à Slynn. Cette dernière étant loins d'être de mauvaise compagnie aux yeux de Vivyan et elle semblait plus détendue.

- Alors dites moi, comment se passe vos cours dans l'Académie ?

La curiosité de la sous directrice pouvais surprendre mais chez elle s'était tellement naturelle qu'on finissait par ne plus y prété d'attention.
Quelques tables plus loins on fêtait un anniversaire...

- Vous devez vous douter que, en qualité de Sentinelle, je passe davantage de temps hors de l'Académie, ou à scruter les Spires dans mes appartements, que former des élèves. D'autant que peu ont un véritable potentiel pour faire des Sentinelles...

Slynn avala son verre d'un trait avant de le poser relativement brutalement sur la table. La Sentinelle souhaitait être seule... elle devait penser à ce qui s'était passé, elle devait remplir ses devoirs, et surtout, elle devait oublier ses sentiments pour Vivyan Ril' Lake. Avec sa majesté habituelle, elle se leva de sa chaise et déposa une pièce d'argent sur la table.

- Veuillez m'excuser, Dame Vivyan, il me reste des devoirs à remplir pour aujourd'hui. Nous aurons certainement l'occasion de poursuivre notre discussion une autre fois.

L'aristocratique Sentinelle comptait surtout s'enfermer dans ses appartements et s'enivrer à son aise... pour oublier. Ou du moins, pour tenter d'oublier. Comment pouvait-on oublier une femme comme Vivyan Ril' Lake?

C'est à ce moment là qu'Elewyn entra dans la taverne. Il avait couru pendant 15heures et commençait à être fatigué(les Sylvariens n'ont pas de chevaux, pour se déplacer soient ils font un pas sur le coté pour les plus puissant, soit ils courent. Un Sylvariens en bonne force physique peux courir pendant une demi journée avant de commencer à percevoir la fatigue.) Il n'avait pas fait deux pas dans la taverne qu'il faillit percuter une femme plutôt grande et frêle. Elle devait avoir environ 30 ans. Il la dévisagea le temps qu'elle remette ses idées en ordre. Ses yeux noirs et étincelants reflétaient avec sa chevelure couleur de jais. Il eu aussi le temps de voir son étonnement lorsqu'elle l'aperçu vêtu de sa cape, qui cachait son visage presque entièrement. Elle croisa son regard donc la couleur rouge avait repris le dessus car il était fatigué. Il était a peine visible, juste deux petites braises étincelantes sous sa cape. Ils se regardèrent ainsi longtemps, et la jeune femme détourna les yeux et sortit.
Il avait lut dans ses yeux le désaroi, mais ne savait pas la cause.
Elewyn embrassa d'un regard l'assemblé. Tous les regards étaient tournés vers cet être étrange qui venait d'entrer dans la taverne. De sa haut stature, il les dévisagea un par un, sachant qui lui voulait du mal et qui n'avait que faire de lui. Il décida d'aller s'installer dans un coins au fond de la grande salle pour se faire le plus discret possible. Il n'y avait plus de tables libres, et il demanda une jeune femme splendide qui était à coté de lui si il pouvait s'asseoir. Celle-ci accepta, sans se soucier de son aspect qui en fesait douter plus d'un. Il se mit a son aise et demanda a la jeunne femme assise a coté de lui :

-Bonjour, Comment t'appelle-tu ? Pour ma part on me nomme Elewyn Ergon. Mon vrai nom est Elewyn Erhna Marcheur'Ergon de Hengarda. Mais je préfère que l'on m'appelle Elewyn c'est beaucoup plus court. Veux-tu quelque chose à boire ? Lui demanda-t-il en hôtant son capuchon.

[A croire que tu l'as fait éxprès^^]

Quand Slynn voulut sortire, elle se fit percuter par un homme encapuchonner mais ne broncha pas et sans un mot reparti vers l'Académie. Elle la regarda s'éloigner avec une petite pointe de culpabiliter et quand elle tourna la tête, Vivyan se rendit compte que l'inconnu s'était approché d'elle et s'était assis a sa table.
Presque machinalement elle lui sourit, et observa les regards méfiants des autres clients d'un oeil amusé. Elle n'avait rien à craindre de lui, tant qu'elle ne cherchait pas à lui faire du mal. C'était l'impression qu'elle avait.
Il se mis à parler, spontanément et le tutoiement bien que rapide ne choqua pas la femme.

- Ravie de faire ta connaissance Elewyn, je me nomme Vivyan Ril' Lake.

C'était bien une des rares fois où on lui avait demander son nom. Cela la fit sourire, car a vrai dire elle commençait à se lasser, de ne pas pouvoir passer dans les rues sans qu'on ne l'arrête à un moment où à un autre pour de nombreuses raison.
Maintenant, même si tout le monde savait qui elle était, ils avaient appris à ne pas la questionner sur certains sujet. Comme le fait qu'elle soit un Dessin...

- Je prendrais une bière. Dis moi tu as un bien étrange nom encore que Elewyn Ergon peut s'imaginer, mais le reste...

Elewyn dévisagea longuement Vivyan. Elle était d'une beauté inhumaine, et même les plus jolies Sylvariennes ne l'égallait pas. Il commanda une bière pour sa voisine et pris un verre d'eau pour lui. Il n'aimait pas l'alcool.
Il ne s'attendait pas vraiment a sa question sur son nom étrange car pour lui il n'était pas étrange, mais il lui répondit sans aucune hésitation car les Humains devraient bien apprendre un jour ou l'autre son existence. Il se lança :

- Mon nom étrange peut-il te paraitre vient de mes origines. Je ne suis pas un humain. Je suis un Sylvariens. Mon peuple vit plus au Sud de ton pays, en dessous d'une archipel habités par des pirates. Cette archipel se nomme les Allines. Je suis ici en missions envoyés pas la guilde la plus puissante mais aussi la plus secrète des Sylvariens : la guilde des Marcheurs d'Ombre. Mon devoir est de voir si les peuples de ce continent représentent un danger pour nous. Nos peuples pourraient aussi envisager une alliance, mais cela est une autre histoire. Et toi quelle est-ton histoire?

Elewyn avait fixée Vivyan dans les yeux depuis le début de son récit. Celle-ci n'avait pas cillé a un seul moment. Il déduisait que cette femme n'était pas comme les autres humains, car a ce qu'il a vu, aucun humain qu'il a rencontré depuis le début de son périple sur ces terres n'a réussi a soutenir son regard autant de temps. Il avait hâte d'écouter son histoire, et d'en apprendre plus sur elle.

Vivyan continuait de dévisager l'homme ou plutôt le Sylvarien et remmarqua un certain étonnement à son égard. Elle ne connaissait pas la totalité de son étonnement mais s'en doutait.
Les clients autours d'eux avaient finit par baisser leurs gardes en constatant que Vivyan restait toujours aussi calme.

- Je vois, c'est donc celà... Une simple phrase, qui pour elle voulait dire beaucoup mais qui n'était pas forcément compréhensible par tout le monde. Mon histoire ... Je ne suis pas un model de banalité à vraie dire ... Je ne suis pas vraiment humaine non plus pour tout dire ... Je suis un Dessin, créé par les Ts' Liches il y a de cela quelques années, avec de mauvaises intentions ... Ils m'ont créée parfaite pour que je séduise Merwyn, un très puissant Dessinateur qui dirigeait la résistance contre eux, et le faire souffrir à un point tel qu'il abandonne. Bien sûre dans un prremier temps leurs plans à marcher à merveille, mais Merwyn s'est rendu compte de ce qu'il se passait et m'a libérée de leur emprise ... Grâce à sa motivation tout le peuple Alavrien s'est dressé contre eux et nous sommes désormais libre. Merwyn et moi avons monté une Académie et j'en suis sous directrice et maître dessinateur actuellement.

A l'évocation de sa nature, de Dessin, Vivyan changea de ton. Elle savait, qu'il lui restait tout au plus quelques années à vivre. Pourtant elle continuait à sourire et à dévisager Elewyn. Comme elle dévisageait sa disparition porchaine.

Elewyn écoutait l'histoire de Vivyan qui n'était pas banale comme elle l'avait mentionnée. Il y a quelques années de cela, les surveillants des spires de la guilde des marcheurs avaient entendu un énorme bruit dans les spire. Cela les avait inquiété un bon moment, et c'était une partie de la cause de son voyage sur ce continent inconnu des Sylvariens jusqu'au jour d'aujourd'hui. La guilde avait décidé d'envoyer son meilleur membre, après le maitre de la guilde, en mission sur ce continent inconnu et sûrement hostile.
Elewyn comprenait à présent la raison de ce bruit énorme repéré par les siens. Et cette femme en était la création, dans le but de tuer. Il se demanda comment une créature aussi magnifique pouvait être là pour apporter la mort.
Elewyn avait bien écouté son récit et avait compris qu'elle était la sous-directrice de l'Académie. Cela pourrait sûrement l'aider, car il avait en premier lieu, l'intention de s'y rendre, et de rencontrer son chef, qui devait être un des plus grands représentants du pays.
Il finit son vers d'eau et biensûr lui posa la question.

-Si j'ai bien compris, votre amant est le directeur de l'académie? Et vous êtes la sous directrice. Je voudrais m'entretenir avec lui. Est-ce que cela serait possible ?

Sa mission sur ce territoire allait enfin commencer. Et pour l'instant, il n'avait encore rencontré aucun dangers apparant, à part une troupe de brigands sur son chemin, qui avaient finis enfummés, et avaient du rentrer les bras balant car leur cibleétait partie... sans leur hôter la vie.

Vivyan changea de position comme pour masquer une petite grimace.

- Il n'est pas à l'Académie en ce moment. Je ne sais d'ailleur pas où il est, à moins qu'il ne soit la bas ... En fait l'Empreur est à Al-Jeit et la deuxième personne la plus importante est le seigneur de la Citadelle des Frontaliers. En ce qui concerne le danger que peut représenter notre peuple pour le votre... Je ne connais pas la puissance de ton peuple mais il y a une guilde, la Guilde du Chaos, qui s'est liguées contre l'académie autant que contre l'empreure et le reste du monde, dont le but est de tout détruire. Ils sont très dangereux et je crain que s'ils apprennaient l'existence de ... enfin ils voudraient tout faire disparaître de vous. Je pense, personnellement que vous êtes un grand danger pour eux, si vous les retrouvez.

Vivyan passa ses doigts dans sa chevelure dorée et commenda un verre de lait de courreur.

- Merwyn n'est pas là, par contre peut être que Valen pourrait quelque chose pour toi.

Elewyn fut surpris d'apprendre que parmis les humains, certains voulaient la mort de leurs, et de tout autre être vivant qui n'appartient pas à leur guilde. Il commençait à se dire que les humains sont vraiment étranges. Chez lui, dans sa contrée, il n'y a pas de Sylvar qui veulent la mort d'autres Sylvar. Il y a tout au plus des Sylvar qui se disent neutres, et qui oeuvrent pour eux et non pour les autres. Mais aucun de nous ne vise la déstruction de sa race.

-Pourquoi en voudraient-il à mon peuple ?

Elewyn avait parlé à voix haute, mais ne s'en était pas vraiment rendu conte. Il contacta grâce au spires le maitre de sa guilde, pour lui apprendre ce qu'il connaissait déjà de cette terre, si loins de la sienne, mais qui pourrait poser des problèmes si ils arrivaient à traverser les Archipelles des Alines.
Il pensa aussi a ce que lui avait dit Vivyan. Il devrait aller voir ce Vallen, et demander plus d'information sur l'ordre du Chaos, voir si il pourrait s'en débarasser seul, si celui-ci n'était pas trop étendu et pas trop puissant, ou s'il devrait essayer de protéger son peuple. Il lui lança.

-Et.. où puis-je trouver ce Valen ? Si tu pouvais me conduire à lui, je t'en serait vraiment très reconnaissant.

-Si tout ton peuple à un Don de Dessin comparable au tien et la même adresse, alors vous seriez en mesure de comprometre leurs plans. Je te prévien tout de suite, seul tu n'auras pas de grande chance de faire quoi que ce soit, ils sont nombreux, très nombreux et très bien caché. Malgrès les recherches, nous n'avons jamais découvert une de leur base ou autre.

Vivyan, caressa le bois de la table doucement, comme pour effacer de sa mémoire ce qu'elle avait du dire avant que le sujet de converstion ne se tourne vers les Mercenaires. Elle soupira.

- Actuellement, il se trouve que nous avons trois personnes qui ont pu observer longement leur technique, de l'interieur, à l'Académie. Seulement une de ces trois personne est une élève de l'Académie, plus pour très longtemps à vrai dire. Mais je préfère que tu t'entretienne avec Valen. Il fait partie de la direction de l'Académie, je pense que nous le trouverons dans ses appartements, ou dans le bureau de Merwyn. On y va quand tu veux.

Sur ses mot elle vida d'un trait son verre de lait de coureur et le reposa.

-Nous ne sommes qu'une dizaines a avoir des dons comparables au miens. Par contre tout ceux de mon peuple sont plutôt habiles comme moi, et la pluspart le sont plus que moi.

Elewyn finit son verre d'eau, appela le tavernier, et paya leurs consomation. Il regarda Vivyan, s'étonnant encore de savoir que cette personne était en fait un dessin. Elle était vraiment parfaite, tous ses traits étaient fait à la perfection. Les personnes qui avaient "fait" cette femme devaient avoir une très grande puissance, ou alors être très nombreux. Sur ce, il r'enfila sa cape, se leva et remit la chaise à sa place sans bruits. Il dit doucement à Vivyan :

-Nous y allons.

- Ils étaient douze et puissant...

La réponse fusa, comme si elle avait lue dans les pensée d'Elewyn, enfait elle lisait son comportement.
Elle se leva à son tour et sortit de la taverne suivie d'Elewyn. Vivyan le guida à travers les rues d'Al-pol tout aussi magnifique que celles d'Al-Jeit. Ils passèrent devant un gigantesque dome sans s'arrêter. Ils longèrent une faille sans fond qu'ils traversèrent ensuite par un pont et au bout d'une bonne heure de marche ils arrivèrent devant les portes de l'Académie qui s'ouvrirent d'elles même et ils traversèrent la cours en contournant la grande fontaine qui siégait en son centre, pour enfin arriver dans le bâtiment principale.

Elewyn fut stupéfait lorsqu'il entendit la réponse à la question qu'il s'était posé sans parler. Il devait s'attendre à des choses étranges de la part de cette femme. Il savait désormais que 12 monstres étaient à l'origine de cette femme. Il comprenait mieux pourquoi elle était si parfaitement dessinée. Ils travèrsèrent tout Al-Poll avant d'arriver devant l'Académie. C'était un batîment majéstueux, qui devait faire au moins cinquante mètres de haut. Lorsqu'ils approchèrent, les deux grandes portes principales s'ouvrirent. Elewyn sentait, plus qu'il le savait que tout ces batîments n'étaient pas réels, du moins ils étaient tous des dessins. Il en fit part à Vivyan comme pour confirmer ses sentiments.

- Tout ce qui nous entour, toutes ces maisons, tout n'est qu'un dessins plus ou moins éternel non ? C'est vraiment magnifique, mais tout cela trompe la réalité. Je pense que je ne pourrais pas vivre ici éternellement. Ces batîment empreints de magie me dérangent.

Ils bifurquèrent à un coin de l'Académie, à un autre, et ainsi de suite jusqu'à se retrouver devant un bureau. La porte était fait, ou plutôt dessinée de bois massif. La poignée était elle aussi couleur de bois, et elle était agréable au touché, et ne grinçait pas.

-C'est donc ici le bureau du dénomé Valen?

Vivyan se retourna vers Elewyn pour lui parler.

- Ces bâtiments ne sont pas des dessins, pour la simple et bonne raison que cela perturberait les élèves dessinateurs qui ne maîtrisent pas leurs Don. Et puis les arts de nos artisants doivent s'afficher non ? Cependant, il existe certaines pièces dont les accès sont déssiner...

Ce qu'il sentait n'était pas le bâtiment en lui mêm mais une protections que Slynn, elle même et Merwyn avaient mis en place afin d'éviter des visites indésirées.
Au bout de quelques minutes ils finirent par arriver devant la porte du bureau de Merwyn où se trouvait Valen, apparemment occupé, mais qui n'allait sans doute pas refuser la visite.

==> Bureau de Merwyn ^^