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| Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) | |
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Messages : 227 Inscription le : 15/12/2007
| Sujet: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Sam 15 Déc 2007 - 20:22 | | | ¤Identité¤ Description générale
Nom : Dal’Kenta
Prénom : Shaïlan
Race : humain
Age : 27
Alignement : Neutre mauvais
Classe : Voleur
Description physique et mentale
Description physique : Un visage d’une beauté incomparable, des lèvres finement dessinées et d’une blancheur translucide, plus douces que sa peau diaphane, un nez droit et fier, soutenu par deux pommettes hautes et minces, sans être maigres, on peut apercevoir sous un front légèrement avancé, mais noble, deux véritables diamants. A ceci près que ses deux yeux étaient noirs. Ils happaient la lumière, la faisaient disparaître dans le tourbillon de sa pupille, parfaitement confondue avec un iris ténèbre, créant ainsi un disque parfait, qui contrastait violemment avec la blancheur immaculée du pourtour. Sous des longs cils recourbés et ravageurs auprès des jeunes filles en mal d’amour, des sourcils de la même teinte que son regard soutenaient la beauté de son visage, arcs de cercles parfaits et soigneusement tracés. Le grain de sa peau blanche est plus doux que celui d’un nouveau né, et la clarté sombre de ses cheveux ne fait que renforcer son allure princière. Sa chevelure lui descend jusqu’aux reins en cascade, faisant scintiller le vif éclat de la lune, quand elle se présente. Sa tête est montée sur des épaules charismatiques, droites, puissantes tout en étant fines, dont partent deux bras musclés, mais communs. Ses membres d’un manteau élégant de cuir souple et aussi noirs que ses yeux ne cachent pas une certaine tonicité, due à son jeune âge et à une vie au grand air. Sur ses poignets, on peut déceler quelques bracelets, allant du simple lien de cuir d’une grande valeur affective au torque d’or volé au détour d’un chemin, étincelant de mille feux. Le regard court le long des veines sinueuses qui traversent sa paume, relevant des doigts longs, des doigts encerclés par diverses bagues hétéroclites, mais toutes d’une valeur inestimable, et par une chevalière à l’annulaire droite, portant la mention « Dal’Kenta » à l’intérieur. Quand il ôte sa tunique de tissu, on découvre un torse glabre et laiteux, dont les muscles saillants luisent, qui pourtant est barré dans sa diagonales par une cicatrice à peine visible, mais qui ôte un peu de sa perfection au corps du jeune éphèbe. Enfin, gainées dans des pantalons assortis à son manteau, opèrent les jambes, alliant la grâce d’un danseur, la finesse d’un noble, et la souplesse d’un contorsionniste. De loin, on croirait Shaïlan maladif, ce qu’il ne cherche pas à détromper, mais sa marche fière et hautaine traduit l’éducation du jeune noble élevé dans la soie et les richesses. Quand il doit persuader quelque marchand, sa voix est posée, mûre, et mâle. Mais quand il s’agit d’envoûter une future conquête pour un soir, elle se fait douce, mélodieuse, enchanteresse, pour attirer l’insecte dans ses filets, et le capturer…
Description du caractère : Noble serait le mot le plus adapté, pour le qualifier. Craintif et hypocrite envers ses supérieurs, il dénigre totalement ces petites larves du peuple, qui triment chaque jour dans la boue et la sueur. Il est orgueilleux, fier de sa petite personne, et égocentrique. Quand il marche le jour, il s’attend à ce que le monde le regarde, dans la rue. Quand il grimpe et se faufile, la nuit, il devient ombre, il devient bruit de vent. De plus, il sait déceler le camp des gagnants, c’est pourquoi il va toujours au plus offrant, pour les besognes à accomplir/ Shaïlan a été éduqué comme les nobles, ce qui fait qu’il peut faire preuve de courtoisie et de politesse envers ses prochaines victimes, pour les amadouer. Il peut faire preuve se galanterie, quand une belle femme se présente. En résumé, ce gentleman cambrioleur a deux faces. La face noble et polie du jeune homme aisé, et la face fourbe du kleptomane avisé.
Principale(s) qualité(s) : Intelligent et grand orateur, courtois, et vindicatif
Principal(s) défaut(s) : Imbu de lui-même, et parfois, têtu et inconscient du danger
Particularité(s) : Une fine cicatrice barre son torse, de l’épaule gauche au flanc droit, vieu souvenir de son enfance.
Tic : Passe une main dans ses cheveux, et lève un peu trop le menton, pour mettre en valeur sa dentition éclatante.
¤Vécu et histoire sociale¤
- Situation familiale : Dernier né de la grande et noble famille de Dal'Kenta, de Arslan et Rinaëla Dal'Kenta, Shaïlan possède nombre de cousins et cousines, d'autres familles nobles qui se marient entre eux, dont il ignore jusqu'au nom même. Il a beaucoup de frères et soeurs, qui ne sont même pas de la même mère que lui. Seul un de ses cousins lui revient en mémoire, pour avoir partagé son enfance. Le jeune blond Dolohov Zil'Urain...
- Situation sociale : Une famille nobliarde, à moitié ruinée par ses créanciers, composé d'une foule de ramifications. Les Dal'Kenta sont respectés, comme leur cousins des Zil'Urain. Cependant, Ils ne cherchent qu'à faire dominer leurs armoiries dans les clans familiaux, et les guerres inter-familiales éclatent souvent, et Shaïlan, retors et fourbe, en tire toujours profit pour faire grandir sa soif de fortune et de richesse.
Histoire : -Qui crois-tu que je suis… ?
Le jeune homme fixait de son regard hautain cet homme, accoudé contre le bar, avide de questions et d’histoire. Shaïlan sourit narquoisement, et se saist d’une bière qui traînait là, pour la siroter.
-Alors, qui crois-tu que je suis… ?
Toujours pas de réponse. L’éphèbe frappa de son poing droit le bois dur du comptoir, le bruit accru par les nombreuses bagues qu’il portait, au point que le tavernier sursauta. Le noble supportait très mal qu’on l’ignore, qu’on s’occupe d’autre chose quand il était là. Aussi renversa-t’il tout ce qui se trouvait sur le comptoir, pourtant d’un calme parfait. Les client du bar daignèrent enfin tourner les yeux vers le jeune effronté, qui les toisait de manière méprisante. Mais avant qu’il n’ait pu leur faire comprendre à haute, très haute voix ce qu’il pensait d’eux, une main apaisée se posa sur son épaule, dans son dos. Le jeune noble se tendit un peu. Lui, le kleptomane, lui le rôdeur agile, lui le voleur, se faire bêtement prendre de dos par…une femme ?! Une vieille femme qui plus est ! Dégoûté par cette mendiant qui la tenait ainsi par son pourtant magnifique blouson de cuir, Shaïlan lui ôta rapidement la main, la toisa un instant, de son regard scrutateur et horripilant. Loin de se laisser démonter, la vieillarde l’assit sur une chaise et prit place en face, au coin du feu ronflant. Puis enchaîna, de ca voic chevrotante :
-Dis-moi qui tu es, jeune homme…
Plus agacé qu’étonné, le jeune homme, en habile cambrioleur, commença par la détailler d’un air scrutateur. Ce fut alors qu’il aperçut une bourse rebondie accrochée à la ceinture de cette femme. Maintenant professionnel et posé, il répondit, évaluant du coin des yeux le contenu de la bourde :
-Très bien…Je suis né un jour de pluie…
Les souvenirs, parfois fugaces, parfois nets, refluèrent devant ses yeux, et il se mit à raconter, raconter, sans détacher les yeux de l’or qui luisait à travers le tissu… Il semblait revivre sa vie…sincèrement.
¤¤¤¤¤
Un cri. Le sien. Le premier. Et pourtant, il se tut aussitôt que les regards se posèrent sur lui, comme si il se sentait admiré et respecté. Déjà pourri. Déjà noble… On le prit bien haut dans les bras, on le fit arriver à hauteur de visage, et lui, nourrisson, souriait de ces sourires qu’on les rois quand toute une foule les acclame. Un nom retentit à ses oreilles, résonnant dans son cerveau retors. Aïshlan… A peine eut-il ouvert les yeux qu’il les referma, tombant nez à nez avec la pauvre servante qui le lavait. Lui, poser les yeux sur un insecte puant… Fallait pas rêver non plus… Il sut tout de suite que sa mère était de sang noble, quand elle le prit dans ses bras et lui embrassa le front. Il sut tout de suite qu’il serait choyé, aimé, comme il devrait l’être. Mais alors que faisait donc la larve du peuple dans la même chambre… Un nouveau-né qui se pose des questions comme ça…Il y a de quoi foutre une paire de claques, non ? Et bien non. Apprenant à marcher tout seul, autonome, appuyé contre les murs de leur résidence, Aïshlan avait cependant de graves lacunes au niveau de la parole. A un an, il ne savait toujours pas parler, ou tout du moins émettre des borborygmes infantiles. Ses parents, soucieux de leur énième gamin, mirent tout en œuvre pour lui permettre de se forger un avenir noble, donc d’apprendre à parler. Aïshlan eut droit à des maîtres particuliers coûteux, mais incompétents. Il eut droit à des onguents et autres potions que proposaient les rêveurs, les mages, mais rien n’y fit. Pourtant, il savait marcher, il savait déjà lever le menton quand on le regardait, il savait déjà qu’il était noble. Mais il ne savait toujours pas parler. Déshonorés lors des fêtes de familles, où des centaines d’invités apprenaient le défaut de leur fils, et devenaient distants et froids, ses parents, résolus, envoyèrent leur fils chez une de ses nombreuses tantes, connue pour avoir dressé son fils, Dolohov, à coups de bâton. D’ailleurs, on le voyait, à chaque réunion mondaine, le petit Zil’Urain était le plus noble et le plus mature des petits garçons, il s’exprimait de manière élégante et réfléchie. Aïshlan fut donc envoyé vivre sous le même toit que ce petit fils parfait. Sa vie en fut bouleversée. De deux ans le cadet de son cousin, Aïshlan vit son égo démesuré en prendre un coup, il devait se plier aux règles, il était toujours « l’autre », « le petit muet ». Toujours dans l’ombre de son cousin, toujours après quand il s’agissait d’avoir des gâteaux… Sa tante le remarqua bien vite, car le petit brun jetait tout le temps des regards offusqués et haineux vers Dolohov. C’est pourquoi elle choisit de le dresser lui aussi, à coups de bâton, et de lui apprendre à parler le plus vite possible, pour pouvoir le renvoyer chez lui. S’ensuivirent de longues matinées passées à plancher sur un livre, tandis qu’au dehors, son cousin des Zil’Urain s’amusait avec son père, épée en bois à la main. Lui, Aïshlan, ânonnait, lentement, pour pouvoir maitriser la langue. Et toujours ce rire cristallin du plus grand qui lui parvenait aux oreilles… Un jour qu’il faisait beau, Dolohov était venu se moquer de lui, alors qu’il pleurait doucement dans un arbre. Il lui répétait « Aïshlan le mioche ! Aïshlan le faible ! Ouh, Aïshlan, mais pourquoi pleures-tu ! » Agacé, son orgueil soigneusement réduit en miette, le gamin de 7 ans ouvrit la bouche, et hurla :
-Shaïlan ! Shaïlan !
Ce furent les tous premiers sons qui sortirent de sa bouche. Ce fut son nom. Ce fut lui, Shaïlan, celui qui a vaincu la peur... Depuis cette époque, sa tante le dénigrait moins, mais ne manquait jamais une occasion de lui rappeler que les Zil’Urain étaient de sang plus noble que les Dal’Kenta. Et à chaque fois, lui était enragé, mais restait de plus en plus glacial chaque minute. Il apprenait à se maîtriser, sans s’en rendre compte, à se forger ce masque d’hypocrisie qui allait tant lui servir plus tard. Malheureux, bien que extrémement bien nourri et logé, Shaïlan apprit à voler. D’abord les petits cadeaux de son cousin, puis l’argent que le blond recevait et pas lui, et ainsi de suite… Faisant toujours plus preuve de discrétion, il devenait maître pick-pocket. A onze ans, il pouvait subtiliser la ceinture de Dolohov, qui ne le remarquait même pas tant il méprisait son cousin de mioche. A quatorze, il crochetait la serrure des écuries du domaine, apprit à monter à cheval au cours de longues excursions. A seize, quand son cousin en avait dix-huit, il se rendait dans les bals, les réunions mondaines et les réceptions, s’invitant dans les chambres des jeunes filles, gagnant la faveur d’opulents hommes haut placés. Une nuit qu’il revenait d’une quelconque débauche, sa tant l’attendait au pas de la grande porte du château, et dit sans préambule :
-Ton cousin est parti.
Bien plus atteint qu’il ne le fit d’abord croire, Shaïlan renferma un peu plus sa vraie personnalité, pour ne plus être que l’élégant jeune homme poli et toujours très bien apprêté. Et ses facultés grossissaient, voler devint une seconde nature, les gestes se firent fluides, puis invisibles, les mouvements limpides, puis souffle. Puis rien… Vivant le jour de larcin dans les rues, la nuit de soirées nobles où il courtisait volontiers quelque jeune fille affriolante et fortunée, Shaïlan atteint la majorité, devenant d’une beauté à couper le souffle.
-Je suis mieux que LUI ! disait-il souvent en comparaison à son cousin disparu dans la nature.
Mais un soir qu’il revenait ivre, sa tante, mécontente de sa vie de jeune frivole débauché, le mit à la porte. Loin de se laisser démonter, Shaïlan mit cette occasion à profit pour aller se lamenter auprès de ses parents vieillis et compatissants, qui acceptèrent de lui fournir une pension. Mais se rendaient-ils seulement compte que l’argenterie disparaissait.. ? Que les services en porcelaine étaient devenus invisibles… ? Le jeune éphèbe voulait bien croire que non, et les vendait au plus offrant, amassant ainsi une fortune personnelle considérable.
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| | Messages : 227 Inscription le : 15/12/2007
| Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Sam 15 Déc 2007 - 22:36 | | | A vingt-trois ans, le jeune homme devenait de plus en plus influent, couchant avec les femmes des politiques proches de l’empereur, se taillant une place dans le monde aveugle des nobles. Il profitait de tout. Et ne rendait rien. Chaque éclat d’or finissait dans sa poche, pas une boutique n’avait été épargnée par celui qui allait prendre le surnom du « haut cambrioleur » Les commères parlaient sans cesse de lui, et il se sentait de plus en plus puissant chaque vol qu’il opérait. Jusqu’au jour où un homme vint le voir. Riche, fortuné, au son que faisait sa bourse. Mais l’air mauvais. Lui disant :
-On a besoin de toi. Ne dis rien. Contente-toi de me suivre, de faire ce que je te demanderai, et ta récompense n’en sera que plus grande, grand cambrioleur.
Par ce discours alléché, Shaïlan fit donc partie d’un complot visant à assassiner l’empereur lui-même. Pour cela, lui devait crocheter des serrures, subtiliser des clefs, et enfin, endormir les gardes devant la chambre de l’empereur, en leur injectant du venin d’Hulm. Malheureusement, ce qui n’était pas prévu, c’était le fait qu’une légende se trouverait là. Valen Til’Lleldoryn, en conférence avec l’empereur le jour-même, et qui patrouillait dans les couloirs. Alerté, le jeune voleur ne put éviter une blessure à l’abdomen, avant de s’enfuir en crochetant la serrure d’une fenêtre. La vue du sang, pour la toute première fois dans la vue de ce jeune insouciant, faillit le faire défaillir. Mais il s’en sortit. Avec à la main la bourse pleine de Valen Til’Lleldoryn…
Cet acte ne lui servit malgré tout pas de leçon. Il contina à trafiquer à droite à gauche, se dirigeant vers le plus offrant, tombant les femmes à ses heures libres, volant, cambriolant. Apprenant à monter sur un mur, s’introduire partout, sans bruit… Shaïlan Dal’Kenta devint le cambrioleur le plus redouté de tout Gwendalavir. Mais aussi le plus anonyme. Personne autre que ses sources et relations fiables ne le savait kleptomane, et il ne s’en vantait pas dans la rue. Se contentait de voler. Dans les auberges, il était le jeune noble qui payait bien. Dans le lit des dames, il était le jeune fougueux qui ne se fatiguait jamais…
¤¤¤¤
Se taisant enfin, Shaïlan détourna un instant les yeux de la bourse de la vieille femme pour croiser son regard. Elle semblait captivé par son récit. Mais un seul problème se présentait. Elle était morte. Lentement, au coin du feu, se laissant partir avec la voix du jeune éphèbe comme étendard. Souriant, découvrant sa dentition blanche et droite, le noble se leva, et la bourse disparut dans sa manche en un clin d’œil. Puis, remontant le col de son manteau de cuir, retrouvant son masque de jeune riche insouciant, il partit d’un pas fier de la salle, laissant la morte derrière lui. L’oubliant déjà…
¤Autres¤ - Comment avez-vous connu ce site ?En cherchant un forum de poèmes marchombres sur google |
| | Messages : 1102 Inscription le : 23/02/2007
| Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Dim 16 Déc 2007 - 0:04 | | | Hum, hum hum... A minuit et demi, je suis censée me taper à lire tout ça?? Sa va pas nan...? Bon, aller, go... Et puis, sa commence à ma souler les posts de 10 metres de ngs...>< Mis...rere...Bienvenue! |
| | | Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Dim 16 Déc 2007 - 12:32 | | | Re - Bienvenue ! ( sur la CB ^^) Dites...Moi aussi j'peux pas avoir un rang de voleuse en plus de ma maison quand je serai répartie ? Parce que je suis bien plus voleuse que marchombre, hein...Marchombre, c'est juste une couverture. |
| | Messages : 1460 Inscription le : 25/04/2007
| Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Dim 16 Déc 2007 - 13:37 | | | En raisonnant comme cela, tu risques bien de ne pas passer l'épreuve d'Ena de toute façon. Elle ne forme que les " vrais " marchombres... les fans ou ceux qui veulent seulement apprendre leur technique, elle ne les accepte pas. Tel est le prix de son enseignement.
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| | | Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Dim 16 Déc 2007 - 13:42 | | | Et je deviendrai quoi alors ? Parce que je peux jouer la comédie, sinon...
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| | Messages : 1102 Inscription le : 23/02/2007
| Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Dim 16 Déc 2007 - 14:41 | | | Exact Valen, désçlée hein, mais les marcombres sont censés peyer de leur vie leur trahison...Et, tu as beau ^tre douée, ça m'éttonerait que nat ET Moi ne voyons pas ta comédie^^ Désolée!!
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| | | Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) Dim 16 Déc 2007 - 15:06 | | | J'avoue que ce serait gros qu'on te laisse faire comme ça ^^ Surtout qu'on est deux, faudrai être encore plus aveugle^^
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| | | | | | Sujet: Re: Shaïlan Dal' Kenta (Voleur) | | | |
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