Description générale
- Nom : Belanton
- Prénom : Daith
- Race : Humaine
- Age : 32 ans
- Alignement : Neutre bon
- Classe (ou orientation souhaitée) : (à compléter après avoir passé les Trois Défis)
-> Postulante pour la fonction de Garde Forestière, si c'est possible.
Description physique et mentale
- Description physique :
Daith est une personne grande pour son sexe. Elle mesure environ 1,85 m. De même que sa taille, sa carrure la diffère des autres femmes, et, bien que fine de taille et d'attaches, ses muscles sont bien voyants.
D'ailleurs, si ceux-ci ne le démantait pas, on pourrait la prendre pour une matrone, ou une femme-mère, à cause d'une assez forte poitrine et de hanches larges.
Daith a de longs cheveux roux-rouges aux reflets dorés, ondulés, qui lui descendent jusqu'au bas des reins.
Sa plus forte particularité est une immense paire d'yeux verts, immenses, qui illuminent sont visage, ourlés de long cils noirs terriblement sensuels... Bien des hommes s'y sont perdus...
Ses cheveux roux et la pigmentation de sa peau font que celle-ci reste toujours pâle, malgrès les années passées au grand air.
Ses mains ont de long doigts fins, mais on voit que ce sont des mains de travailleuse, couvertes de calles.
- Description du caractère :
Daith aime la Nature. Plus que tout. Et, bien qu'elle apprécie la compagnie à dose raisonnable, elle a souvent besoin d'être seule, pour écouter respirer la forêt, murmurer le vent et chanter les fleurs.
Ceux qui ne la connaissent pas pourrait la prendre pour une marginale, mais elle est très sociable, et possède un grand sens de l'humour. Souvent, on lui demande son âge. Jamais elle ne le donne. Elle dit "Devine". Personne n'a jamais trouvé. Pourtant, 32 ans n'a rien de terrible, mais elle s'amuse à observer le désarroi qui s'affiche sur le visage des personnes interrogées.
Même si elle adore passer du temps seule, Daith ne se rend pas compte de l'énergie presque aggressive qu'elle contient lors de ces isolements, et.. déverse alors sur ses amis lorsqu'elle les voit.
Ainsi, ceux qui ne sont pas prévenus se retrouvent parfois à l'affronter dans une joute verbales inattendue, où ses pics, s'ils ne sont pas faits pour blesser, sont fatiguants à éviter.
Malgrès tout, une fois ce flot de vie déversé, elle se calme, et devient une personne avec qui l'ont peu discuter.
Généreuse, Daith n'apprécie tout de même pas de devoir veiller sur ses amis, elle a déjà assez de sa forêt, et les "choisit" donc autonomes. Cependant, quand ils ont réellement besoin d'aide, elle est la première à les épauler.
Elle est terriblement butée sur certains sujets, comme la politique, qu'elle refuse d'aborder et fuit comme la peste, ou ses origines, que seuls ses amis les plus proches ont réussit à obtenir, en guise de présent.
Daith, volcanique en société, entre, dans la forêt, dans une sorte de transe qui renverse complètement sa personnalité. Ses sens s'affûtent et mais elle médite. Elle réflechit. Elle évolue. A longueur de temps. Pourtant, son esprit capte autour d'elle toute la vie présente. Animale, végétal.
Elle sent chaque pulsation de chaque arbre différemment.
- Principale(s) qualité(s) : Générosité, humour, facilité à la reflexion
- Principal(s) défaut(s) : Être butée, parfois aggressivité, croqueuse d'hommes
- Particularité(s) : Sorte d'affinité mentale appliquée à la nature.
Vécu et histoire sociale
- Situation familiale : Un petit frère adoré, ses deux parents toujours vivants et toujours fréquemment visités.
- Situation sociale : Assez modeste, mais élevée dans un cadre de douceur et de bonheur.
- Histoire :
Un cri. Le premier. On coupe le cordon de l’enfant, on le lave, l’habille. Il est tout de suite placé dans les bras de sa mère. Il n’est pas encore conscient, que déjà il est entouré d’attention, de chaleur, de douceur.
Peut-être l’enfant le perçoit-il, finalement, car il, ou plutôt elle, ouvre d’immenses yeux verts, et les vrille dans ceux de sa mère, comme pour fixer leur image à tout jamais.
5 ans. Elle ressemble à un elfe, avec sa silhouette toute frêle, ses yeux couleur forêt et les reflets d’automne qui brillent dans ses cheveux.
Elle joue devant la maison, dans la forêt clairsemée qui la borde. Elle saute d’arbre en arbre, à la poursuite des écureuils qui, peu farouches, lui courent autour, sachant qu’ils ne seront pas blessés, ni même attrapés.
Ses parents la regardent tendrement, son père, sa silhouette massive inscrite dans l’encadrement de la porte, ses cheveux noirs, son air buté, son cœur d’or. Sa mère, aux cheveux auburn, toute menue, toute fine, toute douce, qui cache un grand courage. Elle tient dans ses bras un petit frère, avec une touffe de cheveux impressionnante qui se dresse sur sa jeune tête. Il dort, son petit torse s’abaisse et se soulève au rythme de sa respiration.
Près de la forêt, un cri de joie et de surprise, mêlé de rire, retentit. Un écureuil, plus effronté que les autres, a sauté sur la fillette, et lui coure sur tout le corps, la chatouillant à son insu.
Bien entendu, elle se déséquilibre, et tombe. Elle n’a que 5 ans, alors, elle retourne vers la maison et pleure dans la jupe de sa mère, plus de frustration que de douleur.
Sa mère lui caresse les cheveux. Elle ne peut retenir un sourire. Chuter est une des façons d’apprendre, et de toute façon, elle ne craint pas pour sa fille, elle ne lui laisse grimper que dans les branches basses. Quand bien même, elle sait confusément que la petite possède une affinité avec la nature. Elle ne s’en doute pas, mais rare sont ceux qui jouent avec les écureuils.
Déjà, le chagrin est terminé, mais il reste un peu de peine dans son regard vert. Alors, elle change d’activité, et s’enfonce un peu plus dans la forêt, afin de continuer à construire sa cabane. Etrangement, une fois pénétrée dans le bois, elle devient étrangement calme et méditative.
Une fois, sa mère, sous prétexte de l’aider à trouver du bois, l’a suivie dans la forêt. Elle a eu une discussion avec sa fille. Jamais, même avec un adulte, elle avait écouté des paroles si… éveillées. Mais sa fille lui a fait un peu peur, par sa trop grande maturité, et elle n’est plus retournée dans la forêt avec elle, sauf pour lui dire de rentrer à la maison quand il était l’heure de manger.
- Maman, pourquoi je m’appelle Daith ? demande l’enfant à sa mère.
C’est son père qui lui répond, à sa plus grande surprise.
- Parce qu’en langage de la forêt, Daith veut dire lumière, et tu es celle qui a illuminé notre vie.
Elle regarde fixement son père un instant, et se jette dans ses bras.
13 ans. Avec son frère, qu’elle adore, Daith fait les 400 coups. Grâce à leur agilité acquise à passer du temps dans la forêt, ils sont doués pour chaparder et embêter es adultes. Mais leurs « larcins » ne sont jamais bien graves, et le village les aime beaucoup, cette petite rousse piquante et son petit frère rigolo, avec son adorable bouille.
Les années passent, toujours dans la douceur. Daith grandit dans l’amour, et, au contact des autres adultes et adolescents, acquit un humour dévastateur et très apprécié.
Elle passe de plus en plus de temps seule dans la forêt, et devient très bonne dans l’art de la chasse. L’arc devient son arme favorite. Si elle respecte la nature plus que tout, elle sait qu’en tuant un lapin, ou même un chevreuil, cela ne perturbera bas l’écosystème.
De plus, elle ne tue jamais pour le plaisir, bien que la chasse en soit un, et mange toujours les bêtes qu’elle tue. Ses parents sont d’ailleurs ravis de cette abondance de gibier délicieux…
Elle s’intéresse aussi de plus en plus aux garçons, qui le lui rendent bien.
Elle enchaîne les conquêtes, mais son caractère volcanique fait qu’elles ne tiennent jamais bien longtemps. Pourtant, ils reviennent à l’assaut, et même ceux qui ne veulent pas sortir avec elle apprécient Daith, car sa présence est agréable.
19 ans. Daith commence un peu à se lasser de son village natal, et bien qu’elle donne tout son amour à sa famille, ils sentent qu’elle va bientôt partir.
Pourtant, avant qu’elle ne prenne cette décision, un homme arrive dans le village.
C’est un Dessinateur. Il est grand, bien bâti, et ses yeux, détail important à ceux de Daith, sont couleur d’ambre. Elle tombe amoureuse de lui.
Elle avait déjà entendu parler des Dessinateurs par les villageois et par sa famille, mais lorsque l’homme fait apparaître une rose blanche devant elle, elle ne sait que dire. Quelque chose se brise en elle.
Elle va souvent chez l’homme, qui s’est installé au village pour profiter de son calme. Ils discutent de tout, de la vie, du monde. Il lui parle du dehors. Elle lui parle en dedans. De son âme, des choses qu’elle sent, de la forêt. Cela le touche plus profondément qu’il ne saurait l’avouer.
De mot, en murmure, de paroles en caresses, de baisers en étreintes brûlantes, ils en viennent à s’aimer. Daith est une femme.
25 ans. Daith est sur la route. Elle chemine. Elle ne sait pas où elle va, mais elle est heureuse. Elle a quitté sa famille, leur promettant de revenir les voir. Elle a quitté son premier amour. Ils ont discuté, et décidé de correspondre toujours ensemble. Ils ne sont plus amoureux, mais du respect et une grande amitié naît entre eux. Il lui a montré qu’ils pouvaient discuter ensembles par leur esprit, et le fait souvent. Parfois, Daith était en train de chasser, et a raté sa proie, mais elle s’en fiche, elle est toujours heureuse de l’entendre.
Elle va, laissant ses pieds la porter, de forêts en forêts, de villages en villages. Elle explore. Elle trouve un endroit, s’y pose, y reste un mois, 2 jours, une semaine.
En route, elle rencontre beaucoup d’hommes. Mais, elle s’en rendra vite compte, elle n’aime discuter qu’avec le Dessinateur, et ses amants n’ont droit qu’a un amour charnel. Pourtant, avec ses amis, c’est une toute autre chose. Mais, elle ne peut s’empêcher, elle sait que quand un homme est officiellement déclaré son « amoureux », elle ne l’utilise plus que pour le sexe. Elle déteste cette partie d’elle-même, elle sait qu’elle leur fait du mal.
Alors elle part, et continue.
32 ans. Daith a parcouru une grande partie de Gwendalavir, maintenant. Elle est repassé une fois voir sa famille, à fait la fête pendant un mois, puis est repartie, dans la direction opposée de son arrivé. Un jour, elle est arrivée dans une ville, une ville magnifique.
Elle s’est arrêtée devant un bâtiment magnifique, une académie.
Elle a aperçut une forêt.
Elle a posé les bonnes questions aux bonnes personnes, et a apprit qu’un poste de garde forestier était disponible.
- C’est pour moi.
Elle entra. Voici le début d’une nouvelle aventure.
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