Instant de réflexion... (RP terminé)

La salle de loisirs...un nom bien prétentieux pour cette pièce, qui ne comprenait que quelques fauteuils et différents jeux de patience.
Marlyn entra. Comme souvent, la salle était vide.
Voilà quelques jours qu'elle n'avait pas été seule. POur réfléchir.
Elle en profita et s'assit sur le rebord de la fenêtre. Le temps maussade et gris était déprimant. La pluie battait contre le carreau.
Elle s'adossa au rebord, et ferma les yeux. Puis prit lentement sa flûte de Pan. Pour le porter à ses lèvres.
Malheureusement, elle ne tira que quelques notes discordantes. Il ne manquait plus que ça...
De rage, elle rangea sa flûte, et laissa son esprit vagabonder dans les Spires. POur se calmer. Et rester maître d'elle-même.
Sans grande conviction, elle reprit sa flûte de pan. Toujours aussi difficile de sortir des notes...Mais que se passait-il ?
Sans musique pour la disrtraire, elle se sentit enragée.
D'un revers violent de la main, elle frappa dans la vitre. Celle-ci trembla sous le violence du choc. Enervée, elle serra le poing, et frappa de toutes ses forces. Le verre éclata, et se brisa en mille mirceaux, répandant des débris sur le sol.
Ce qui eut pour effet de la calmer. La pluie pénétra dans la pièce et la frappa...Qu'il était bon de sentir les gouttes sur son visage...

Peu après, Ivan apparut dans la salle, une bouteille à la main. Visiblement, le concierge était quelque peu imbibé en cette matinée, peut-être fêtait-il un évènement connut de lui seul. Quoi qu'il en fut, il était si ivre qu'il ne remarqua pas tout de suite le carreau cassé, notamment parce que ses yeux louchèrent de manière insistante sur la croupe de Marlyn. S'approchant avec sa célèbre démarche chaloupée, il mit subitement sa main aux fesses de la jeune fille en s'exclamant sur un ton tonitruant :

- Alors, filette, on rêve?!? J'ai d'autres manières de rêver à t'apprendre si...

Constatant seulement le carreau cassé, il s'interrompit en pleine phrase et agrippa colériquement le col de Marlyn en lançant :

- Foutre!!! Je vais t'apprendre, moi, à casser des carreaux la mioche!!!

Laissant tomber sa bouteille sur le sol, il extirpa maladroitement sa ceinture et essaya de fouetter Marlyn avec, mais il tira trop brutalement dessus et chuta lourdement sur le sol en entraînant la jeune dessinatrice dans sa chute.

La porte s'ouvrit subitement sur une ombre.Tirée de ses rêveries, Marlyn tourna la tête. Ce qu'elle vit la laissa sans voix.
Le concierge, Ivan Derkan, se tenait dans l'encadrement de la porte, une bouteille à la main, passablement éméché.

*Encore un de ces ivrognes* , pensa tout de suite la jeune fille.

Elle détourna les yeux de cet homme, et se remit à regarder au dehors, par le carreau brisé, ses pensées dérivant au gré de son envie.
Marlyn entendit un pas chaloupé s'apporcher. Elle n'y fit pas attention, pensant que le sieur Derkan se dirigeait vers l'un des fauteuils de la pièce, pour cuver son vin -si vin il y avait-.
Alors qu'elle rêvait, assise sur le rebord de la fenêtre, elle sentit une présence très proche. C'était évidemment le concierge, qui la regardait bizarrement. Elle voulut s'excuser, pour le carreau, mais il ne lui en laissa pas le temps ni l'occasion. D'un geste vif, il lui mit sa main aux fesses, et dit, de sa voix grasse et malveillante :

Alors, filette, on rêve?!? J'ai d'autres manières de rêver à t'apprendre si...

Avant qu'elle n'ait eu le temps de répliquer, il avisa le carreau brisé, et les morceaux de verre répandus au sol. D'un geste colérique, le concierge agrippa Marlyn par le col, coupant la respiration de la jeune fille et éructa :

- Foutre!!! Je vais t'apprendre, moi, à casser des carreaux la mioche!!!

D'un geste rendu maladroit par son ivresse, il voulut détacher sa ceinture, pour la fouetter. Mais l'homme était si éméché qu'il chuta lourdement au sol, en essayant de tirer sur sa ceinture. ce qui était plus embêtant, c'était le fait qu'il tenait toujours Marlyn par le col. Il l'entraina dans sa chute, sens qu'elle ne puisse rien y faire.
Avant de réaliser ce qui lui était arrivé, le jeune fille se retrouva nez à nez avec le visage du concierge. Le plus profond dégout s'empara d'elle, devant cet homme crasseux et vicieux.
Mais avant qu'elle n'ait eu le temps de se dégager ou de répliquer, Ivan Derkan la prit de nouveau de court...

Une main baladeuse se glissa sur la poitrine de Marlyn tandis que l'autre l'agrippait fermement. Ivan eut un sourire étrange :

- Finalement, j'ai mieux que la ceinture pour toi, la donzelle!

Ensuite, il l'embrassa fougueusement. Le pirate n'était pas d'aspect reluisant, mais on ne pouvait cacher le fait qu'il embrassait à merveille, à vrai dire... il faisait également le reste à merveille. L'instant d'une seconde, la main d'Ivan se glissait sous la tunique de Marlyn alors que l'autre essayait d'abaisser le pantalon de la jeune fille. Seulement, le pirate eut une surprise quelque peu déplaisante quand Marlyn lui mordit la langue et lui infligea un coup de genou en un certain endroit de l'anatomie...

Tremblante de colère et de dégout, Marlyn dessina un épieu en acier qui devait tuer Ivan sur le coup, mais le concierge, dans un réflexe étonnant au vu de son état, parvint à esquiver le projectile alors qu'il se relevait en sautant sur le sol. Se relevant à nouveau, le concierge asséna une baffe magistrale à Marlyn avant de se coller à nouveau contre elle en la plaquant contre le mur. Arrachant violemment le pantalon de la jeune fille et lutta pour lui écarter les jambes alors que Marlyn lui écrasait un pot de fleurs sur le crâne.

- Merci pour les fleurs, ma jolie! Manque plus que le vin!

A ce moment-là, Ivan sortit un bouteille de vin de la poche de sa veste, en but un coup, et l'écrasa à son tour sur la tête de Marlyn avant de poursuivre ce qu'il avait entrepris et de parvenir à ses fins alors que la jeune dessinatrice le mordait et le griffait à tout va.

- J'aime les tigresses! Tu vas voir ce qu'un marin sait faire, la donzelle!

Alors qu'il entreprenait l'acte charnel, Marlyn le frappait de plus en plus violemment à tel point que le pirate commençait à arborer une impressionnante séries de griffures, morsures, et petites plaies. Dans un moment de douleur incommensurable, Ivan se cambra, mit un violent coup de tête à Marlyn, avant de l'empoigner pour la soutenir, pivoter brutalement, et se laisser tomber rudement sur le sol en laissant le dos de Marlyn encaisser le plus gros du choc. Profitant de cette accalmie, le pirate poursuivit son ouvrage.

Dans son affolement, elle dessina un pieu d'acier, pour tenter de freiner le pirate. Mais rien n'y fit. Il évita le coup, et se releva, pour se diriger vers elle. Elle paniqua, mais le mur lui coupa toute retraite.
LE pirate lui administra une baffe monumentale, avant de l'immobiliser à nouveau, contre le mur, en se plaquant contre son corps.
Sentir son souffle fétide dans ses narines, ses lèvres contre les siennes la dégoutaient, plus encore que la main qui redescendaient le long de son pantalon.
Elle prit peur. Coincée comme elle était, entre le mur et le concierge, elle ne pouvait rien faire. Il lui bloquait les poignets.
D'un geste sauvage, Ivan Derkan arracha son pantalon, et chercha à lui écarter les jambes.
Dans un geste désespéré, elle se saisit d'un pot de fleurs et l'écrasa sur la tête du pirate. Celui-ci ne s'en inquiéta pas, et continua sa tentative, en vociférant :

- Merci pour les fleurs, ma jolie! Manque plus que le vin !!

A ces mots, elle voulut répliquer, mais il recommença à l'embrasser, et lui écarter les jambes, pour la violer. Puis, il sortit de la poche de son habit une bouteille de vin, en but une gorgée, et l'écrasa sur la tête de sa victime. L'apprentie Mentaï fut sonnée, mais, alors que Ivan parvint enfin à lui écarter les jambes, et commença de la violer, elle devint littéralement enragée. Elle griffait, mordait, tapait.

- J'aime les tigresses! Tu vas voir ce qu'un marin sait faire, la donzelle!
Elle sentit la chair du forban rencontrer la sienne. C'était...Elle était en train de se faire violer !
N'y tenant plus, alors que le pirate abusait d'elle, elle se déchaina, et frappa tant qu'elle put, coincée comme elle était par Ivan Derkan, qui la tenait contre le mur.
Alors qu'elle ne s'y attendait pas le moins du monde, paniquée qu'elle était, et sonnée par les sensations qui fusaient en elle.
Le pirate lui donna un violent coup de tête, qui l'assoma à moitié. Elle n'eut plus assez de forces pour se défendre contre son agresseur.
Ivan Derkan la prit sous les aiselles, de ses mains sales, et la soutint, avant de continuer. son acte...( c'est fou ce que j'écris n'empêches )
D'un geste sauvage, le forban pivota et se laissa remonter au sol, Marlyn sous lui.
LA douleur dans son dos explosa. Une onde de souffrance se répandit dans tout son corps, la raidissant, et la sonnant plus encore.
Elle perdit conscience de ce qui l'entoura, d'où elle était, ne sentant plus que le corps de Ivan conter le sien, alors que celui-ci la violait.
Reprenant petit à petit ses esprits, l'apprentie Mentaï sentit une vague de rage l'imprégner. Ce pirate, qui violait sa chair, allait souffrir...
Seulement, le poids du corps de Ivan sur le sien l'empéchait de tenter quoi que ce soit...
Seule, dans la salle de loisirs....si seule...

Hisae, qui se baladait au hasard des couloirs avait brusquement entendut le bruit du bois qui se brisait. Mais n'entendant pas le "aie!" carateristique des personnes venant de se casser la figure, elle en conclut qu'il s'agissait d'une bagarre. Ni une ni deux, elle se dirigea vers l'origine du vacarme. Ce qu'elle vit la glace. Le concierge gisait a terre, une note accroché sur lui. Elle jeta un oeil dessus et se figea. Il n'avait pas osé? Elle sentit une rage bouillonante montée en elle. Mais a en juger par les voix qu'elle entendait dans la salle des loisirs, les personnes concerné etait encore dedant. Elle efleura la poigné de son sabre dans son dos mais se rendit compte que l'homme qui parlait avait le voix calme et ne semblait pas hostile. Qui plus est, Neige se tenait tranquille, même si a en juger par son hatitude, elle n'avait pas l'air de porter Ivan dans son coeur.

*Moi non plus ma belle, surtout apres ce qu'il vient de faire. Il ne l'emportera pas au paradis crois moi!*

Elle hesita un instant avant de rentrer dans la salle, puis se dit que cela serait plus honnete que d'ecouter aux portes. Elle rentra puis avisa la scène. Marlyn, dévéyu, face a un Yaemgo totalement desemparé. Elle decida qu'elle devait concervé son calme. Elle s'adressa d'une voix douce et calme mais néanmoins sans appel au jeune homme:

-Attend nous devant si tu y tiens mais la laisse moi faire.

Elle s'approcha de Marlyn, se delesta de son sabre afin qu'elle voit qu'elle n'avait pas de mauvaise intention et demanda a Neige de rester a l'ecart. Elle s'adressa a la jeune fille, tout en s'approchant doucement d'elle:

-Marlyn...c'est ca? Ecoute moi, je vais t'aider d'accord. Mais pour cela il faut que je te touche. Je peut?

Elle guetta un signe d'approbation. Elle eut un leger signe de tete, si infime qu'elle pensa l'avoir imaginer. Elle prit la couverture et l'en enveloppa avec douceur. Puis elle reprit la parole:

-Ce qui vient de t'arriver est atroce. Il faut que tu aille a l'infirmerie et surtout que tu en parles a quelqu'un. Tu ne dois pas garder ce pour toi et surtout tu ne dois pas t'en vouloir. Tu n'y est pour rien. Est ce que tu est d'accord pour faire comme je te le dit?

Elle tendit la mais a Marlyn. Ce n'etait pas a elle de prendre les decisions. Tout devait venir de la principale intéréssée. Elle attendit que cette derniere prennent sa decision. Quoiqu'il arrive elle ne la contredirait pas...

Dans un geste désespérée, Marlyn se saisit de la dague du pirate, qui se trouvait dans les vêtements de celui-ci, plus loin sur le sol, et s'en servit comme elle put, bloquée comme elle était, sous Ivan, qui abusait d'elle. La lame s'enfonça jusqu'à la garde dans le flanc du forban.

Il était malheureusement trop tard. Ivan Derkan se relevait déjà, ôtant son corps de dessus le sien, sa chair de la sienne. Tremblante d'effroi, et en état de choc, Marlyn ne chercha même plus à s'enfuir.
Elle resta sur se sol, dénudée, incapable de bouger.
Avec les forces qui lui restaient, le concierge lui infligea un coup de poing monumental, qui eut pour effet de la faire percuter le sol.
Des étoiles apparurent devant ses yeux. Le peu d'énergie qui lui resta la quitta, et elle ferma les yeux, assomée...
Tout son corps la répugnait. Elle tremblait, de cette expérience. Ce lot de sensations, qui la dégoutaient à présent.
Dans un dernier sursaut d'énergie, elle parvint à se remettre assise, tout son corps douloureux, de part les violences et par l'acte lui-même.
Perdue, l'apprentie Mentai se prit la tête dans les mains, et ne bougea plus, en état de choc profond.

Elle n'entendit ni le bruit de combat, ni celui de chute dans le couloir. Elle se tourna pas la tête, quand quelqu'un entra.
Pourtant, sentant comme un danger, elle ouvrit les yeux. La présence qu'elle vit finit de la rendre totalement...blessée...et souillée...

-Marlyn, ce... C'était... Affreux... Tu... tu vas bien ?
-Je... l'ai assomé. Tu as besoin d'aide ?

Heureusement, Yaemgo avait fermé les yeux, et lui tendait une couverture. Avant que l'apprentie Mentaï n'ai eu le temps de se décider à bouger, quelqu'un d'autre entra dans la salle. Hisae...
Marlyn se sentit désemparée, que tant de monde la voit ainsi, sur le sol, dêvétue....
L'envie de se révolter, de tous les envoyer balader, lui monta à la tête. Mais toute l'énergie avait quitté son corps, comme si elle avait été détruite par Ivan, lors du...de l'ouvrage..

Hisae envoya Yaemgo balader, comme si il n'avait rien à faire là. L'apprentie Mentaï aurait voulur répliquer, lui dire de rester...Mais déjà Hisae s'était approchée et lui parlait. Elle, tremblante, en état de choc, n'eut d'autre choix que de la laisser faire :

Marlyn...c'est ca? Ecoute moi, je vais t'aider d'accord. Mais pour cela il faut que je te touche. Je peut?

Un léger mouvement de recul se saisit de Marlyn. Qu'on la touche, après ce que venait de faire le pirate, la dégouta. Avant qu'elle ne puisse repousser Hisae, celle-ci prit doucement la couverture, et l'en enveloppa. Les tremblement reprirent, incontrôlables, dés que son corps fut caché. La Lupus reprit la parole :

Ce qui vient de t'arriver est atroce. Il faut que tu aille a l'infirmerie et surtout que tu en parles a quelqu'un. Tu ne dois pas garder ce pour toi et surtout tu ne dois pas t'en vouloir. Tu n'y est pour rien. Est ce que tu est d'accord pour faire comme je te le dit?



Pas de réponses...elle avait comme perdu la parole...comme si le pirate, en la violant, en souillant sa chair, l'avait rendue muette.
Marlyn se reprit la tête dans les mains, et ferma les yeux.
Incapable de bouger...
Incapable de penser...
Incapable de prendre une décision...
Le silence qui pesait devint plus léger, alors que le temps passait. Hisae recula un peu, pour laisser le choix à Marlyn. Celle-ci fit un très léger signe de tête, pour leur signifier d'attendre.
Tachant de calmer ses tremblements, elle essaya d'oublier la douleur qui irradiait toujours son dos, quand le pirate, dans son acte sauvage, l'avait fait violemment retomber sur le sol, avant de continuer son action.
Rien que de repenser au corps du pirate contre le sien, à ses lèvres contres les siennes, Marlyn eut un haut-le coeur...
Puisant un peu d'énergie dans la haine qui augmenta petit à petit, un filet de voix tremblant sortit de sa bouche :

Non...pas...trop de monde...où...où est Yaemgo ?...Ne...ne me touche pas...

Sachant que Hisae pourrait le prendre mal, elle éspéra. Le jeune homme, après s'être assuré que Marlyn n'était plus dévêtue, entra à nouveau, et s'approcha.
A ce moment-là, on entendit des pas dans la couloir...

Alertée par le bruit alors qu'elle se trouvait dans la salle de déssin juste en dessous avait fait du plus vite qu'elle avait pu et grimpa quatre a quatre les éscaliers, croisant Ivan courant gauchementqui lui marmona quelque chose qu'elle ne comprit pas, tout en se précipitant vers une porte ouverte en remarquand un papier qu'elle rammassa. Après l'avoir lu elle fut saisie d'une rage telle qu'elle aurait pu tuer Ivan, cependant elle ne s'occupa pas de son cas pour pour le moment. Le plus important était Marlyn. Même si ,elle en avait été informer, Marlyn était une apprentie Mentaï il y avait moyen de la repéché. Lui faire ça était la chose la plus innacceptable qu'il puisse éxister. Elle se raprocha de Marlyn qui était choquée est bléssée. La seule présence da Vivyan ramenaun calme sommaire et sa voie suffit a rassurée un eu et convaincre la jeune fille.

- Marlyn, mon enfant... La sous directrice prit l'élève dans ses bras pour la rassurer. Vous autres vous partez et vous ne parlez de ça a personne. Je suis bien claire? Silence totale le mal est déja asser important si vous voulez des nouvelles vous vous adresserez a moi.

*Yaemgo ce que j'ai lui est vrai, a propos de Ivan?*

*C'est finit Marlyn, c'est finit maintenant, je t'emmène dans mes appartements.*

Après avoir reçut la confirmation à sa question, Vivyan fit un pas sur le côté vers ses appartement. Elle déposa la jeune fille sur son propre lit.