Besoin d'un bain

Lyarme s'était perdu dans l'académie, elle recherché la grande salle, elle avait faim. Au troisième étage elle entra dans une salle qui était la salle de bain des filles.

*Un bain ne devrais pas me faire de mal*pensa-t-elle.

Elle fit coulait de l'eau dans l'immense baignoire et se déshabilla, pour ensuite rentrer dans l'eau. L'eau était chaude, sa lui faisait beaucoup de bien. Lyarme se trouvait maigre par rapport au autre élève de l'académie, mais elle se dit que s'était normal vu qu'elle mangeait a peine. Lyarme nagea quelque minute puis retourna au bord pour repenser à ses dernières années de vie, mais à chaque fois le souvenir de l'incendie de sa maison revenait. Elle finit par fermés les yeux et attendre.

Une jeune fille était entré, quand elle prit la parole elle sursauta.

- Salut, je m'appelle Renn. Je suis marchombre, à Corbac. Et je me disais qu'un bon bain ne me ferait pas de mal vu son état. J'espère que ça ne te gêne pas.

Lyarme écouta, elle disait qu'elle était à corbac.

-Salut, moi c'est Lyarme, Je suis dessinatrice aussi a corbac, je suis arrivais il n'y à pas longtemps. Tu peux entrait sa ne me dérange pas.

- Salut, moi c'est Lyarme, Je suis dessinatrice aussi a corbac, je suis arrivée il n'y a pas longtemps. Tu peux entrer ça ne me dérange pas.

C'est en ces mots que se présenta la jeune fille. Renn la regarda.
Puis, elle tourna la tête vers le mur. Fermant les yeux, elle se relaxa doucement. Le bain était juste à la bonne température.

- Moi, je suis arrivée il y a quelques temps maintenant. Cette Académie est vraiment un endroit superbe. On peut y apprendre tout ce que l'on veut savoir.

Renn sourit. La détente était vraiment ce qu'elle préferait.

- Moi, je suis arrivée il y a quelques temps maintenant. Cette Académie est vraiment un endroit superbe. On peut y apprendre tout ce que l'on veut savoir.

Lyarme écouta puis répondit.

-C'est vrai, elle est belle. Mais il y a beaucoup de salle et je me perds beaucoup.

Lyarme avait parlait d'une vois neutre qui ne traduisait aucun sentiment. Elle se sentait bien et détendue, mais le souvenir de ses parents lui revint.

-papa...maman...Murmura t’ -elle, la voit tremblante.

Et se tut, mais sentent une larme montait jusqu'a son œil, elle la laissa coulait pour l'essuyait.

Renn vit Lyarme changer d'un coup de tête. Elle semblait plus triste. Elle l'entendit murmurer.

- Papa... Maman...

Puis, elle se mit à pleurer. Renn n'aimait pas voir ça. Elle la prit par l'épaule, comme pour lui montrer qu'elle n'était pas seule. Elle ne savait pas trop quoi dire.

- Tu sais... je suis là si jamais tu veux parler. Tu peux te confier à moi. Ton secret ne risquera rien.

Elle tenta un sourire réconfortant. Mais ce n'était pas vraiment son fort.
Elle espérait que Lyarme lui raconterait ses problèmes, ce n'était que comme ça qu'elle pourrait l'aider.

-Tu sais... je suis là si jamais tu veux parler. Tu peux te confier à moi. Ton secret ne risquera rien.

Renn voulait l’aidait, Lyarme ne savait pas s’y elle pouvait se confiait, elle n’avait pas l’habitude de parler de ses problème, mais aujourd’hui elle était plus triste que jamais.

-c’est juste que…elle hésita encore un peu. C’est juste que mes parents sont…

Elle s’arrêta là, ça lui faisait trop mal de devoir se rappelait.

- C’est juste que... C’est juste que mes parents sont...

Renn comprenait. Elle savait ce que ça faisait, elle même avait perdu quatre parents.

- Tu sais, je comprends ta douleur. J'ai perdu moi aussi, mes deux parents, morts sous mes yeux, tués par des brigands. Mais j'ai apprit que c'était mes parents adoptifs. Mes vrais sont... son morts eux aussi. Alors que j'avais cinq ans. Alors crois-moi, je sais parfaitement ce que tu ressens. Sans compter que j'ai perdu mon frère il y a peu de temps, mort sous mes yeux dans la salle commune des Corbacs, tué par Valen d'un sabre dans l'abdomen. Son dernier sourire était pour moi. Depuis, je pleure souvent, seule dans un coin reculé de parc ou des écuries, je m'entraîne sans arrêt, comme pour oublier. Mais rien ne pourra me le ramener. Je l'aime malgré tout. Mais quand je le revois en train de tomber sous le coup de Daelos, je ne peux m'empêcher de tomber en larmes. Son sang souille encore mon esprit.

Elle avait parlé gentiment, doucement. Une larme perla au coin de son oeil pour finir sa course avec les milliers d'autre gouttes qui constutait l'étendu claire de leur bain. Mais elle se resaisit. En ce moment, elle ne devait pas être triste, mais réconforté sa nouvelle amie. C'est ce qu'elle savait faire de mieux. Alors elle devait le faire. Son côté gentil était toujours au dessus, elle ne pouvais s'en empêcher.

- Tu sais, je comprends ta douleur. J'ai perdu moi aussi, mes deux parents, morts sous mes yeux, tués par des brigands. Mais j'ai apprit que c'était mes parents adoptifs. Mes vrais sont... son morts eux aussi. Alors que j'avais cinq ans. Alors crois-moi, je sais parfaitement ce que tu ressens. Sans compter que j'ai perdu mon frère il y a peu de temps, mort sous mes yeux dans la salle commune des Corbacs, tué par Valen d'un sabre dans l'abdomen. Son dernier sourire était pour moi. Depuis, je pleure souvent, seule dans un coin reculé de parc ou des écuries, je m'entraîne sans arrêt, comme pour oublier. Mais rien ne pourra me le ramener. Je l'aime malgré tout. Mais quand je le revois en train de tomber sous le coup de Daelos, je ne peux m'empêcher de tomber en larmes. Son sang souille encore mon esprit.

Lyarme ne savait pas, Renn c'était confié à elle, pour la réconfortait et cela ne serait pas simpasde ne pas répondre, mais personne ne connaissait la vérité pour le moment. Elle avait même laissait tombées ses amies quand ses parents était morts, pour allait seule vers la vie adulte.
5 minutes passèrent puis elle répondit.

-Tu sais je n'ai encore jamais parlée à personne de cette incendies même pas à mes ancienne amies. J'avais 8 ans je rentrée du marchée et cette incendie était déjà déclarée, j'ai perdu mon frère et mes parents ce jours là. Ensuite je suis partit seule vers la vie adulte à devoir volait pour me nourrir ce qui ne mas pas fait plus de bien car c'était difficile, je perdais plus de kilos que j'en prenais.

Elle avait dis tout cela avec une vois qui tremblée plus que légèrement. Une larme se mit à coulait le long de sa joug qu'elle ne prit pas la peine de l'essuyait. Elle avait désormais 15 ans et faisait le pois d'une enfant de 13 ans ce qui était largement insuffisant.

- Tu sais je n'ai encore jamais parlé à personne de cet incendie même pas à mes anciennes amies. J'avais 8 ans je rentrais du marchée et cet incendie était déjà déclaré, j'ai perdu mon frère et mes parents ce jour là. Ensuite je suis partit seule vers la vie adulte à devoir voler pour me nourrir ce qui ne m'a pas fait plus de bien car c'était difficile, je perdais plus de kilos que j'en prenais.

La voix de Lyarme tremblait. Les larmes coulaient. Renn sortit du bain, tendant une serviette à son amie.
Elle se sécha vite et renfila sa tunique, puis, elle s'assit sur le rebord de la baignoire et invita Lyarme à faire de même. Ce qu'elle fit.

- Tu n'as pas eu une enfance facile, je comprends pourquoi tu ne vas pas bien. C'est horrible de perdre sa famille dans un accident pareil. Mais, réfléchis. Pense-tu que tes parents et ton frère auraient voulut que tu te meurs pour eux ? Ne crois-tu pas qu'ils auraient préféré te voir heureuse ? Si tu ne veux pas te resaisir pour toi même, resaisis toi pour eux, pour tes amis. Tu ne dois pas te laisser déprimer, ce n'est pas ce que tes proches auraient voulut.

Elle savait qu'elle devait faire de même. Mais elle, elle ne savait pas vraiment ce que son frère aurait voulut pour elle. Sûrement pas la voir triste, quoi que...
Mais elle savait, par contre, que ses parents auraient voulut qu'elle soit heureuse.
Même si ce n'était pas ses vrais parents, elle les considérait comme tels, et elle les aimait plus que ceux qu'elle n'avait pas connu.

Lyarme sortit puis après avoir remis une tunique s'assit sur le rebord de la baignoire.

- Tu n'as pas eu une enfance facile, je comprends pourquoi tu ne vas pas bien. C'est horrible de perdre sa famille dans un accident pareil. Mais, réfléchis. Pense-tu que tes parents et ton frère auraient voulut que tu te meurs pour eux ? Ne crois-tu pas qu'ils auraient préféré te voir
Heureuse ? Si tu ne veux pas te ressaisir pour toi même, ressaisis-toi pour eux, pour tes amis. Tu ne dois pas te laisser déprimer, ce n'est pas ce que tes proches auraient voulut.

Ses proche auraient sûrement voulue la voie heureuse mais elle ne connaissait pas se sentiment qui est la joie.

-Je sais, mais j'ai était trop peu heureuse dans ma vie pour me souvenir de ce qu'ai la joie. Et mon frère même s'y il avait survécue ce qui totalement impossible, il ne se souviendrait pas de moi, il n'avait pas 3 ans. La vie ne sourit pas à tout le monde.

- Je sais, mais j'ai été trop peu heureuse dans ma vie pour me souvenir de ce qu'est la joie. Et mon frère même s'y il avait survécu ce qui totalement impossible, il ne se souviendrait pas de moi, il n'avait pas 3 ans. La vie ne sourit pas à tout le monde.

Renn ne savait plus du tout quoi inventer pour remonter un peu le moral de Lyarme qui, apparement, descendait en flèche. Franchement elle avait tout fait, tout inventé. Plus rien ne lui venait à l'esprit.

- Tu sais, la joie est une chose qui ne s'oublie pas. Un jour, tu comprendras et tu seras de nouveau heureuse.

Pitoyable.
Mais c'était tout ce qu'elle avait trouvé. C'était tout ce qui lui venait à l'esprit. A moins que... Elle saisit une flèche dans son carquois et la posa sur le sol. Elle grava légèrement quelques mots :

Famille perdue
Détresse profonde
Tristesse

Avancement de la vie
On grandit
Oublie.

- La vie peut te sourire, il suffit que tu le veuilles.

Apparemment Renn était a cour d'idées pour la réconfortait. La joie ne s'oubliait pas, il fallait juste la récupérait au fond de soi. Un jour serait-elle de nouveaux heureuse sa elle ne savait pas. Tout ce qu'elle savait c'était que son moral était vraiment très bas. Renn avait gravée quelque mots sur le sol.

Famille perdue
Détresse profonde
Tristesse

Avancement de la vie
On grandit
Oublie.

-Merci, d’essayer de me réquonfortait, c'est très simpas.

Renn avait vraiment mit tout ce qu'elle avait dans ces poèmes. Elle voulait aider Lyarme à retrouver la joie de vivre qu'elle avait du avoir à un moment, avant l'accident. Elle ne savait pas si la réaction de la dessinatrice montrait qu'elle allait mieux.

- Merci d'essayer de me réconforter, c'est très sympa.

Elle releva la tête. Celle-ci semblait aller un peu mieux. Mais Renn préférait encore en avoir le coeur net.

- C'est naturel, je suis là pour ça après tout. Si tu as besoin de te confier à moi, viens me trouver et je t'aiderais. Je te remonterais le moral parce que je sais le faire, je sais passer ma bonne humeur. Et j'éspère avoir réussit à t'aider un peu, aujourd'hui.

Elle leva les yeux. Croisant les doigts pour obtenir une réponse positive de la part de Lyarme. Celle-ci eu une légère hésitation avant de commencer sa réponse...

Marlyn trainait dans l'académie, perdue dans ses pensées. Elle n'avait parlé à personne depuis son retour, ni prononcé un seul mot.
La nuit tombait. Pour faire quelque chose, Marlyn entra la salle de bains des filles. Sans relever la tête. Les mains dans les poches.
Elle poussa la porte de chêne. Observant les yeux avec un regard froid, neutre, elle s'aperçut que deux filles se trouvaient là. Renn, et une première année qu'elle ne connaissait pas.
Son visage de marbre ne trahissait pas ses pensées. Elle resta debout, contre l'encadrement de la porte. Des larmes sur les joues des deux filles attirèrent son attention. Quelle pitié ! On pleure quand on est faible !
Mais, ne disant rien, elle planta son regard glacial dans les yeux de la nouvelle, et murmura, d'une voix sourde :

Je dérange, on dirait...

Le changement de comportement de la jeune fille n'étonna pas Marlyn. Après tout, tout le monde essayait de paraitre le mieux possible, devant les gens...
Un sourire aux lèvres, un sourire ni chaleureux ni accueillant, elle ôta ses habits, découvrant ses anciennes cicatrices et brûlûres, et entra dans le bassin.
L'eau la revigora, apaisant ses muscles endoloris. Depuis si longtemps, elle n'avait pas pris de bain...
Elle se laissa couler, disparraissant à la vue des deux filles. Une minute entière s'écoula avant qu'elle ne réapparaisse, à l'autre bout du bassin.
S'adossant au rebord, elle observa les deux filles, et dit, de son ton froid :

Je te salue, Renn Rvaedhi. Et toi, qui es tu ?

-Lyarme Asimir.

Marlyn enregistra le nom, et replongea quelques peu sous l'eau pour se détendre. Ses muscles roidis par l"effort se détendirent. Elle se sentit mieux. Emergeant à nouveau, elle les observa un peu, cherchant quelque chose à dire. Elle avisa de nouveau les traces de larmes sur les joues de la Corbac.

POurquoi pleurais-tu, jeune fille ?

Le ton moqueur qu'elle avait employé montrait bien la pitié qu'elle éprouvait envers les gens qui pleuraient;..

-J'ai mes raisons.

Une réponse qui ne laissait aucun doute.Tant pis. Marlyn ferait avec.

Renn ne parlait pas. Ni Lyarme. Marlyn s'ennuyait.

Au bout d'un moment, en ayant marre, elle sortit de l'eau, prit ses affaires.

Je vous salue, Renn, Lyarme.

Et disparut en un pas sur le côté.