|  Sujet: Faolan Elwyn [Validée - Rêveuse] ![Faolan Elwyn [Validée - Rêveuse] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Jeu 9 Mai 2013 - 20:12 | | | Description générale
- Nom -Elwyn - Prénom -Faolan
- Race -Humaine - Age -
24 ans
- Classe (primaire) -
Rêveuse
Description physique et mentale - Description physique -Faolan a un physique plutôt séducteur. Fine, élancée, façonnée par de nombreuse années de chevauchée. Mais ce qui attire surtout l'attention, ce sont ses beaux yeux bleus, pétillants d'énergie. Un regard dont elle c'est servie de nombreuse fois pour amadouer, et obtenir ce qu'elle voulait. Faolan a de longs cheveux blonds, qui ondule légèrement. Elle a une musculature très fine, presque inexistante d'ailleurs. A voir sa taille de guêpe, on se doute bien que Faolan n'est ni puissante, ni bien lourde. Faolan a une peau claire, très légèrement bronzée, malgré tout le temps qu'elle passe dehors . Elle a des traits doux , mais on devine à son grand sourire que cette demoiselle est une originale , malgré un physique qui n'est pas très particulier. Elle porte, en temps normal, une tunique blanche à manche longue, un pantalon serrant, de grandes bottes qui lui remontent jusqu'au cuisse, une veste longue, une ceinture pour ranger quelques affaires, et quand elle monte à cheval, des gants en cuir et parfois une écharpe. On voit donc rien qu'a son physique que c'est une cavalière. On voit aussi qu'elle n'est pas très sportive, et d'ailleurs, elle ne l'est pas. Enfin, Faolan reste une bien jolie fille, aux yeux bleu pâle comme le ciel ... - Description du caractère -
Faolan est une fille plutôt originale. Très douce et pourtant pleine de caractère. Toujours joyeuse et souriante, nouer une conversation avec elle est un jeu d'enfant. En parlant d'enfant, Faolan est restée une petite fille dans l'âme, pleine d'imagination et limite jouette. Ce qui qualifierait le mieux Faolan, c'est qu'elle est obstinée, persévérante, une vraie tête mule. Quand elle a un objectif, une idée, ou simplement une chose qu'elle veut faire, il est quasiment impossible de l'en empêcher. Elle n'a pas peur de grand chose, même si elle est toute fine et que si on l'attaque, elle ne saura pas beaucoup se défendre. Si vous la croiser, il est fort probable qu'elle vienne vous parler, ou être sarcastique si vous l'ennuyer ne serais ce qu'un peu. Elle est culottée, il n'y a aucun doute là dessus. Énergie, est un mot qui la définit assez bien aussi. Elle a du mal à rester en place, et il faut toujours qu'elle aille voir tout, car en plus de ça, madame est curieuse. Elle adore monter à cheval, c'est une de ses passions d'ailleurs. Elle est devenue une bonne rêveuse grâce à ses 6 ans passé à la confrérie d'Ondiane. Faolan a pas mal de confiance en elle, et elle est courageuse (ou alors c'est du culot ). Elle n'est pas très agile, elle n'est tout simplement pas très sportive. Faolan a bien évidemment la langue bien pendue. Bavarde, blagueuse, et bien entendu, c'est une rêveuse. Elle passe son temps à imaginer de nouvelle chose, à rêver à un futur prochain. Libre, c'est aussi ce que Faolan aime être. Voyager, même en restant tout près d'où elle se trouve. Elle aime apprendre, et découvrir, et bien sûr rêver ...
- Principale(s) qualité(s) -Pleine d'énergie, douce .
- Principal(s) défaut(s) -
Têtue comme une mule .
- Particularité(s) -
Faolan a de magnifiques yeux bleus
- Capacité(s) -
Faolan est une excellente cavalière, puisqu'elle est née dans une fermette où on élevait les chevaux. Elle n'est pas très douée avec les armes, à part avec son petit poignard, qu'elle manie relativement bien, mais très peu souvent. Elle est allée 6 ans à la confrérie d'Ondiane, il est donc logique qu'elle soit une bonne rêveuse. Elle est loin d'être très agile, et aimerait s'améliorer dans ce domaine.
Vécu et situation sociale
- Situation familiale -
Faolan, a un père, pas de sœur ni de frère, car sa mère est morte en la mettant au monde.
- Situation sociale -
Faolan est une fille qui a vécu longtemps dans une écurie. Elle avait peu de contact, puisqu'elle habitait dans un coin reculé au bord du lac Chen et en arrivant à la confrérie d'Ondiane, elle a rencontré beaucoup de rêveurs.
- Histoire -
Quinze lignes minimum
Un faible cri déchira le silence de la nuit, deux grand yeux bleu transpercèrent l'obscurité, un souffle léger se fit entendre. Un souffle qui demeura seul... Une vie contre une autre...
Les bords du lac Chen replongèrent dans un silence profond ...
***
- Faolan !!
La petite fille détourna la tête, continua à courir. Les hautes herbes montaient jusqu’à son ventre, et elle était obligée de sautiller pour avancer dans la dédale de verdure. On cria à nouveau son prénom. Déconcentrée, un de ses pieds se prit dans une racine. Elle tomba au sol, avec un hoquet de stupeur. Resta immobile. Des pas rageurs fessaient vibrer le sol autour d'elle. Elle ferma les yeux, avant de ses faire soulever par dessous le ventre .
- C'est pas possible! Je t'avais dis de ne pas toucher à la barrière !
- Je ... je voulais juste en caresser un ...
- Oui mais ils en ont profité pour s'enfuir! Tu sais combien vaut un cheval ?
La petite fille hocha la tête, une larme glissa sur sa joue .
- Je suis désolée papa ...
Le père soupira, essuya la larme de sa fille de 5 ans .
- Bon ... Pour te racheter, tu vas m'aider à les retrouver. Il n'y en a que 4 qui se sont échappés, ça ne devrait pas être trop compliqué .
Un tout petit sourire se dessina sur les lèvres de Faolan. Son père se détourna, sa fille lui attrapa la main, et lui emboita le pas. Ils se dirigèrent vers l'écurie, où le père saisi quelques cordes et des licols. Il tendit une corde à sa fille, qui l'enroula autour de son épaule. Sans dire un mot, ils s'élancèrent vers la prairie toute proche qui s'étendait devant leur fermette. Les deux premiers chevaux mangeaient paisiblement des touffes d'herbes, et ce fut un jeu d'enfant pour les ramener dans le grand enclos. Le troisième, part contre, galopait à toute allure, et il fallut ruser pour l'attraper. Ils cherchèrent le quatrième, mais il n'y avait plus traces de lui... Ils rentrèrent chez eux à la tombée de la nuit, découragés et déprimés. Le père tomba sur son lit et dormit d'un sommeil de plomb. Faolan se coucha, les mains derrière la nuque, réfléchissant où pouvait être partit le cheval. Ses paupières se fermèrent et la petite fille plongea dans des rêves profonds...
Faolan se réveilla en sursaut. On martelait la porte d'entrée. Elle se glissa hors de son lit s'avança vers la fenêtre. Son père était en bas, en train de dialoguer avec le voisin, qui habitait à 1 km de la fermett . Elle descendit les marches en courant, faillit tomber plusieurs fois. Elle se précipita dehors. Le cheval était là, avec le voisin .
- V'la qu'j'ai trouvé cette bête en train d'manger la paille d'ma bourrique! J'savais bien qu'c'était à vous, mais j'avais point le temps d'vous l'ramener hier .
Le père remercia le voisin, lui donna de l'argent pour sa paille et pour le remercier d'avoir ramener le cheval. La petite fille souriait aux anges. Le père lui jeta un regard malicieux .
- Tu devrait aller t'habiller non ?
La petite rougit, en se rappelant qu'elle ne portait qu'une tunique courte, une petite culotte et avait les cheveux en bataille. Elle rentra à l'intérieur, remonta les escaliers, et s'arrêta devant une grande armoire. Elle l'ouvrit. A l'intérieur, on trouvait tout les vêtements, bottes, et accessoires pour un cavalier. Elle saisit un pantalon serrant et une tunique, les enfila à grande vitesse, puis replongea dans l'armoire. Elle en retira une paire de botte, qui remontait jusqu'aux cuisses. Elle prit des gants en cuir, une ceinture et un bandeau pour les cheveux, et courra vers le miroir. Elle peigna ses longs cheveux blonds, mit le bandeau, les gants et la ceinture, avant de se précipiter à l'extérieur. Comme à son habitude, son père scellait son cheval. Les yeux de Faolan pétillèrent. A côté du cheval de son père, se tenait un autre cheval, déjà harnaché .
- Alors? Tu es prête ?
Faolan hocha la tête, et se hissa sur la selle. Elle n'était jamais beaucoup montée à cheval, mais elle avait tellement vu son père faire qu'elle savait comment faire. Son père monta à son tour sur son cheval, avant de lui donner les instructions pour son premiers cours de cavalière ...
- Elle s'appelle Scandens, et elle est pour toi .
Faolan se baissa pour caresser sa jument, un immense sourire déformaient son visage et illuminait le bleu de ses yeux .
- "Scandens ..." Répéta la petite fille
En entendant son nom, la jument poussa un hennissement joyeux .
***
Une jument au galop longeait les rives du lac Chen. Le vent fouettait les joues d'une jeune fille aux cheveux blonds, étincelant au soleil .
- Allez Scandens ! Plus vite !!!!
La jument pris encore de la vitesse, tellement que Faolan dû se planquer contre son dos pour éviter de tomber. Elle riait aux éclats, et Scandens lui répondait en hennissant. Deux meilleures amies. Faolan et Scandens ... Voilà déjà treize ans que Faolan l'a reçu de son père, treize ans qu'elle ne s'en séparait plus. La jument ralentit, haletant tellement elle avait donné. Faolan descendit de son dos, en lui caressant doucement la crinière .
- Tu deviens vieille Scandens !
La veille jument tapa du sabot, ce qui fit rire Faolan. Sa semaine de voyage touchait à sa fin, et Faolan approchait de l'écurie. Elle arriverait en soirée chez son père, pile à l'heure pour manger. Scandens s'arrêta un instant pour boire, et Faolan la laissa aller au bord de l'eau en toute liberté, lâchant son licol. Elle sortit une gourde de sa sacoche, et s'adossa à un arbre. Un craquement de brindille se fit entendre, et Scandens décampa avant même que Faolan comprenne pourquoi. Elle se leva , s'immobilisa... Des voix se levèrent à quelques mètres d'elle. Son cœur battait si vite qu'elle avait dû mal à penser. Elle tourna rapidement la tête vers le lac. Elle s'avança vers l'eau en essayant de faire un minimum de bruit. Elle se coucha derrière une pierre regarda ce qui s'avérait être une maigre bande de malfrats. Elle aurait dû courir, loin, jusque chez elle . Dommage que les deux hommes baraqués avaient attrapé Scandens...
Faolan demeura longtemps derrière sa pierre, a se demander comment elle allait récupérer son cheval... Elle plaqua ses mains contre son visage, ferma les yeux. Un monde étrange s'ouvrit à elle, très confiné. Elle comprit qu'elle venait d'entrer dans les Spires. Il n'y avait pas beaucoup de possibilités... Faolan n'était pas une bonne dessinatrice , mais comme beaucoup , elle savait créer une flamme. Cela lui suffisait largement. Un des bandits tenait Scandens avec une corde. Une idée lumineuse lui traversa l'esprit. Elle croisa les doigts pour que cela marche, et dessina...
Un hurlement étonné secoua le lac. Scandens couru vers sa maîtresse qui tapait des mains pour qu'elle la rejoigne. Faolan monta sur son dos, talonna sa monture, et disparu en quelques secondes, laissant derrière elle, un bandit qui tentait désespérément d'éteindre le feu qui avait étrangement pris sur sa main...
***
- Je pars.
-Comment ça tu pars?
- Je m'en vais demain à Ondiane.
- A la confrérie?
- Oui...
***
Le souffle presque éteint, un homme est affalé sur le dos d'un autre homme puissant, frappant de toute ses forces sur la porte de la confrérie d'Ondiane. La porte s'ouvre enfin, deux rêveurs et Faolan se précipitent vers l'homme, qui dépose son compagnon dans les bras des rêveurs. Le garçon était mal barré. Griffé de partout, couvert d'éraflures ignobles et profondes, la peau trouée par des coup de dent.
- Un tigre? Demanda Faolan
L'homme hocha la tête, en se mordant les lèvres. Lui était aussi un peu amoché. Les habits en lambeau par endroit, des traits ensanglantés couvrant son torse. Les rêveurs emmenèrent le garçon dans les bâtiment de la confrérie, et se mirent directement au travail. Faolan s'approcha de l'homme, posa ses mains sur son torse, sans sembler être gênée et sans avoir demandé l'avis de personne. L'homme frémit au contact de ses mains chaudes, sera les dents, pensant qu'une douleur allait venir. Ce fut le contraire. Ses blessures se refermèrent une à une, la douleur se dissipa. Après quelques secondes, il ne resta que le sang de ses blessures qui avait coulé sur son buste, et qui semblait désormais sortir de nulle part.
- Merci... Souffla l'homme en palpant ses pectoraux .
- De rien! Lança Faolan avant de se détourner et de repartir vers les bâtiments
- Attend! Comment tu t'appelle?
- Faolan ...
La porte se referma derrière elle. L'homme resta seul, les yeux rivé sur la porte, espérant qu'elle s'ouvre pour revoir les yeux de la jeune fille ...
***
Faolan monta sur son cheval, salua une dernière fois les rêveurs de la confrérie d'Ondiane. Ses cheveux blond était attaché en arrière avec un ruban de cuir. Ses yeux pétillaient de bonheur. Elle claqua de la langue, Niger trotta vers l'horizon. Niger était un cheval noir, au museau et aux bouts des pattes blancs. Quelques taches pâle ornaient son pelage par endroit. C'était un étalon que Faolan avait dresser par elle même, en utilisant ce qu'elle avait acquis pendant ses dix huit année à l'écurie de son père. C'était une belle bête, intelligente, aux yeux aussi pétillants que ceux de Faolan. Elle talonna son étalon, qui partit au galop vers L'académie...
Résumé de son histoire: La mère de Faolan est morte lorsqu'elle l'a mit au monde. C'est donc son père qui l'a élevée. Celui-ci est propriétaire d'un élevage de chevaux, sur les rives du lac Chen. Elle a toujours vécu aisément, elle était même un peu gâtée par son père. A l'âge de 5 ans, son père lui offre son premier cheval, Scandens, et lui apprend à monter. Cette jument va l'accompagner jusqu’à ses 17 ans, puis, décidant que Scandens était trop vieille pour les grandes chevauchée, Faolan reçu un étalon de son père, Niger. Faolan est une fillette parfaitement épanouie, ouverte au monde qui l'entoure. Elle a l'habitude de partir en chevauchée autour du lac Chen pendant plusieurs jours, seule. Elle aimait beaucoup ses moments de liberté, et son père était d'accord qu'elle parte, mais par pur précaution, son père lui offra un petit poignard, qu'elle devait utiliser en cas d’urgence. Elle a donc apprit à un peu magner son couteau, mais elle restera une débutante. Après avoir réussi à soigner une blessure sur sa cuisse par le rêve, elle va décider d'aller à Ondiane, pour devenir rêveuse. Elle quitte donc son père à 18 ans, avec Niger, et part pour Ondiane. Elle passera les six années suivantes à Ondiane, puis après avoir apprit qu'une académie prestigieuse recherchait des rêveurs. Elle se lance donc vers Al Poll, essayant de décrocher une place dans la fameuse Académie de Merwyn...
RPG
| Citation: |
Les braises du feu virevoltaient dans une petite clairière, proche d'Al Poll. Les paumes des mains tournée vers la chaleur, Faolan regardait les myriades étoiles qui parcouraient le ciel. Cela fessait une journée qu'elle chevauchait en direction d'Al Poll, vers cette fameuse Académie de Merwyn. Ses yeux se fixèrent sur une petite lumière parmi tant d'autres. Une petit étoile brillante, à côté de l'étoile polaire. Celle dont son père parlait toujours. Celle de sa femme, celle de la mère de Faolan. Ses pensées se tournèrent vers son père... Cela fessait plus de 6 ans qu'elle ne l'avait pas vu. Six ans qu'elle avait passée à la confrérie, à soigner les plus hideuses blessures qui soient et à dresser Niger, son étalon. D'ailleurs, celui-ci était attaché à un arbre, en train de la regarder avec des yeux qui en disaient long.
- C'est bon je viens...
Elle retira la gourde de sa sacoche, s'avança vers son cheval, lui donna à boire comme si elle l'avait fait avec un biberon. Le cheval vida le contenu de la gourde, avant de se coucher paisiblement au pied de l'arbre. Faolan retourna auprès du feu, se couvrit d'une couverture, et se coucha par terre. Elle resta longtemps éveillée, guettant les bruit étranges de la nuit. Puis, la fatigue prit le dessus, et elle tomba dans un sommeil profond ...
Elle fut réveillée par quelques hennissements de Niger. Elle poussa un grognement de mécontentement, se redressa et regarda ce qui restait de son feu. Le jour était à peine levé, et un pâle soleil illuminait la clairière. Elle balaya les cendres qui avait atterrit dans ses cheveux, puis se traîna jusqu’à son sac. Elle en sortit une brosse, et se peignit les cheveux, puis les noua avec le lien de cuir teinté en bleu. Elle se leva, enfila ses bottes de cavalière, qui lui remontaient jusqu'au cuisses et une tunique beige légère, qu'elle resserra avec une ceinture. Quelques minutes plus tard, elle sella Niger, et monta sur le dos de l'étalon. Celui-ci se mit en route dés que sa maîtresse le talonna. La matinée était belle, ensoleillée, la clairière était baignée de lumière.
Faolan inspira profondément, contempla L'Académie. Elle ferma les yeux, laissant le vent lui caresser les joues. Niger baissa sa tête à la hauteur de l'herbe, et mangea quelques touffes jusqu'au moment ou sa maîtresse lui demanda d'avancer. Un peu déçu de quitter son met, il renâcla de mécontentement. Faolan lui donna un petit coup sur les fesses, et il se mit en route en trottant. C'était une fin de matinée, le ciel était peu couvert, et une grande lumière illuminait le paysage. Elle arriva devant la porte, interpella un garde qui lui lançait des regards étranges.
- Je suis rêveuse , on m'a dit qu'on demandait les rêveurs à l'Académie .
Le garde lui fit un signe de tête .
- C'est pas ici, c'est à Eolianne qu'il cherchent des rêveurs.
Le garde désigna une bâtisse que l'on apercevait au loin. Faolan remercia l'homme, remonta sur le dos de Niger, et se dirigea vers la bâtisse que l'homme lui avait indiqué. Faolan remarqua la cascade et le lac qui s'étendait là, mais ne s'y attarda pas. Elle avait d'autres chats à fouetter. Elle tapota contre l'encolure de Niger pour qu'il ralentisse, et posa les pieds au sol. Elle noua le licol de Niger autour d'un arbre, et martela doucement la porte d'entrée. Lorsque celle-ci s'ouvrit, elle garda son sérieux du mieux qu'elle pouvait.
- "Bonjour. Je m'appelle Faolan Elwyn, je suis une rêveuse et j'aimerais intégrer cette confrérie." Dit elle simplement
Ses yeux pétillaient de joie, mais elle ne souriait pas. Son coeur battait vite, trop vite peu être...
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Autres - Comment avez vous connus ce site ? Après avoir totalement dévoré les trois trilogies de Pierre Bottero , j'ai été un peu déprimée que ce soit déjà finit . J'ai cherché un forum de rpg qui tournait autour de ce thème et je suis tombée sur un gros forum qui semblait être bien . J'ai regardé un peu comment on jouait les personnages du livre , et j'ai eu envie de me pendre tellement c'était mauvais . J'ai abandonner l'idée d'un site rpg . Une semaine a passer et j'ai relu 120 fois mes livres , avant de retourner sur internet . J'ai fait une longue recherche ... Puis je vois , sur l'annuaire des forums " L'académie de Merwyn " . Tiens tiens ... Je clique dessus . Je vais voir le contexte .... C'était exactement le genre que je voulais  Sans les personnages du livre , un contexte super cool ... Et me voilà - Autre chose à nous dire ? 597324
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