Poèmes

Hello, poème très spéciale ...


La vie est nous,


Nous nous sommes des humains,


Les humains les êtres les plus horribles,


Les plus horribles mais pourtant nous sommes les seules,


Les seules à nous en rendre compte,


Un compte vous avez déjà fait le compte de vos vraies amies,


Moi oui et ils sont très peu,


Peu c’est le mot pour qualifier la liberté,


La liberté est la mode,


Le MODE quel chose horrible,


Horrible dans le sens ou nous somme son esclave,


Esclave oui, sinon ou vous dévisage,


Dévisager parce que vous n’etes pas a la mode …


… Ce poème est un petit coup de gueule,


Les coups de gueule sont essentiels pour la survie,


La survie de l’homme, sinon on explose,


Explose en 1000 morceaux,


1000 morceaux de colère,


Colère de jalousie,


Jalousie d’amour …


… est ce que notre monde ce résume a l’amour ?

Nous étions des enfants,
Si naïf, et de la vie inculte.
Nous avons grandis, prenant notre temps.
Et nous nous sommes cru adultes.

Nous avons joué à des jeux,
Terrifiant et bien souvent dangereux.
Des jeux qui nous ont formés,
Et d'acier nos coeurs ont forgés.

De plomb, nous sommes des soldats,
Sur l'étagère du monde.
Et quand le temps viendra,
Nous irons fleurir nos tombes.

On ne nous a pas mit d'armes entre les mains,
Ni sur la tempe.
Mais des mots, on nous a donné pleins,
Des mots tueurs, des mots trop amples.

Personne n'a pressé la détente.
Mais le bouton rouge s'est bien allumé.
Nous sommes des bombes vivantes,
Plus que prête à exploser.

On nous a gravé la haine dans nos coeurs de plomb,
Tatoué des ailes noires dans le dos.
Nous sommes les anges de la destruction,
Les messagers du Chaos.

Bientôt, quelqu'un pressera la gachette.
Il ne sera jamais plus question de jouer à la dinette.
Nous nous battrons pour rester en vie.
Nous sommes tous des enfants soldats de Colombie...

[ J'ai juste lu "L'enfant qui savait tuer"

Ambre : j'aime beaucoup ^^
Natan : c'est spécial, mais j'aime bien aussi

Bon alors..
Ca faisait longtemps que j'en avais pas mis
J'préviens, c'est en vers libres, donc pas de rimes.. ni de mètre !

**

J'marche le long d'une rivière que les hommes nomment les égouts.
J'regarde par cette fenêtre que les commères ont appelée enceinte,
J'vois les enfants courir après leurs vélos, leurs genoux verdis par l'herbe fraîche.
J'vois qu'en dehors de nos murs, la vie suit son cours.

Ici, le fleuve s'est arrêté.
Bienvenue au ghetto, visiteur..

Respire notre air vicié, regarde bien autour de toi..
C'est pas tous les jours que tu verras des fleurs au béton et des buissons aux fers.
Observe chaque mur qui menace de s'écrouler.
Ici c'est chez nous. Et on en bougera pas.

Nous les maraudeurs...

**

J'aime bien ton poème Marlyn !

A moi, avec un poème en prose :

Marlyn : franchement ton poème est super, j'aime.
Aléa : Ton poème est un peu space mais il ne manque pas de poésie continue comme ça !

a quand vos prochain poèmes ?

Un mot commençant par …

Un vent brusque
Chaud et impromptu
Qui s’est emparé de moi
Ne me laissant pas le choix
Si délicieux
Et dangereux
Je m’abandonnerais
Si seulement je pouvais
Ces caresses
Laisse sur moi ta délicatesse
Comme un aventure
Et ce matin je tire la couverture
J’aime tout ça
J’aime oh … toi

Une brise légère
Caresse ma peau
Et mes cheveux virevoltèrent
Au bord de l’eau
Tu es là
Et je suis là
Tout s’enchaîne
Et nous nous enchaînons
Sans chaînes
Sans haillons

Cet instant si précieux
Ne s’envolera pas aux cieux
Je n’oublie
Que lorsque l’ennui
Guette mes pas …

J'aime beaucoup le tien !


Effondrement d'un rêve d'enfant
N'existe plus le bleu des océans
Le joli dragon rouge de Sicile
S'est envolé en un battement de cils

Marée rouge, marée noire, marée verte

Rêve d'enfant qui doucement s'égraine
Lorsque l'herbe des prairies jaunit
Petit enfant qui s'épanouit
Bambin devient femme aux cheveux d'ébène

Marée rouge, marée noire, marée verte

Panier aux milles merveilles égarées
Arc-en-ciel qui perd ses couleurs d'été
Centaure à la douce robe baie
Qui saute au galop de la baie

Marée rouge, marée noire, marée verte
Et lentement fillette grandit

Si je peut me permettre, Shakespeare n'a pas écrit ce poème.
Ce poème est d'un jeune auteur Français.
Ce poème circule beaucoup comme étant l'oeuvre de Shakespeare.
Mais la seule chose qu'il a écrit de ce poème est cette phrase :

"Elle aimait la vie, Il aimait la mort,
Elle vivait pour lui, il est mort pour elle..."

Donc, Shakespeare n'est pas l'auteur de ce texte

Kaloÿll je te remercie de ta remarque car après vérification, je m'incline et te donne raison.
Ce poème n'est donc pas de Shakespeare mais d'un certain Pascal...
Je te remercie donc au nom de cet personne et permet moi de m'excuser pour cette méprise!

(le topic n'espas approprié mais je voulais soulever l'erreur qui pesait sur mon dos...)

Encore un^^


Un instant perdu dans l’abysse du temps
Puis retrouvé en un imprévisible moment
Un paysage différent, de nouveaux amis,
Mais une simple chanson te ramène de l’oubli.

Je t’avais cru ailleurs, loin, près de nulle part
Mais tu étais ici, dans un souvenir rare
Un souvenir de bonheur et de simplicité
Même si tu devais très bientôt nous quitter

Et puis tu es parti, disparu loin d’ici
Nous qui étions amies t’avons laissé aussi
Chacun de son côté de la surface de l’eau
Pour que nos yeux voient flous et ne lisent plus les mots

Quelques notes ont suffi à te faire revenir
Un message pour toi, pour ne pas en finir
Plus qu’à attendre encore, pour découvrir enfin
Si l’ombre d’une seconde a effacé nos mains...

Donc ce poème était destiné au concours de poème n°4...

Écrire un poème sur un académiciens aux choix gentil ou méchant...

Une amie m'a dit :

" Cela serait du gâchis de le jeter, copies - le dans :
" Tous et n'importe quoi ..."

Et voila :



Ruril est un gentil garçon,
Pas méchant,
Et pas bougon,
Tu est toujours marrant,
Toujours tendre,
Tu n'étais pas la avant,
Et depuis,
Je vois la vie beaucoup plus tendre !
Ruril tu est pour moi,
Bien plus qu'un ami,
Tu occupe toutes mes heures,
Tu ébloui ma vie,
Et rempli mon cœur,
...



Et j'espère que tu le prendra bien ... <3

( Ce n'est pas une déclaration d'amour pour ces qui aime les ragots ^^, c'est un déclaration d'amitié ... )

Elera -> J'arrête de commenter --" . Toujours simple de prime abord, il est doux et profond.

Loris -> C'est un joli poème. Un peu simplet, et je pense que tes vers sont un peu courts -C'est très personnel, ça-. Tu commence par dire "Il" puis "Tu", c'est un peu bizzare...


Et moi...

Et tes yeux, comme étoiles dans un ciel trop sombre
J'entendrais ton appel, du fond des temps
Un passé, trop vif, oublié, déjà, passé comme une ombre
Tu te souviens, deux oiseaux trop légers assis sur un banc?

Si ta voix, ton murmure, en écho à tout ce temps
Sonnait de nouveau, au creux de mon cou, fébrile
M'en souviendrais-je, soudain, des moments
Passés sous la pluie, tenant tes doigts fragiles

Tu vis de l'eau, des nuits, de l'océan infini
Les perles, larmes des nuages, glissent sur ta peau pâle
Alors que l'aurore se lève sur les vagues de ton esprit
Tu te souviens, trop loin encore, de nos pieds sur ces dalles

Le jour se lèvera une fois encore, promet-le moi...



Suscint, mais pour cause.

Ena >>> J'aime bien, c'est assez frais, même si les sujet est limite passé et repassé. Perso, j'ai eu un léger sentiment de frustration à la fin, du style le poème que tu lis, mais que t'as l'impression de pas comprendre en entier et qui laisse une impression zarb derrière les sourcils.

J'aime beaucoup le troisième couplet, mais certains moment sont un peu fragilounets de la syntaxe, du style les deux derneirs vers du second couplet.

Enfin, ce n'est que mon humble avis, amha comme ils disent.

Bonheur et souffrance

Dans les idées d'aujourd'hui
Ces deux mot sont inscrit
Tel deux opposé
Sans pouvoir être associé

Moi je souffre en étant heureuse
Non pas que je souffre d'être heureuse
Mais que mon cœur embrumé
Ne sais plus où est la vérité

J'aime un homme
Qui des fois parait bien distant
Et pas seulement physiquement
Pourtant j'ai croqué la pomme

J'ai envie qu'il me le dise
Qu'il sera toujours là pour moi
Mais je veux que ce soit
Sincère, honnête, pas comme les psaumes d'église ...

Je ne veux pas être qu'une Eve désespérée
Simplement la femme qu'il va aimer à jamais
Être la mère de ses enfants
Et pouvoir lui dire dans longtemps
Alors que nos cheveux seront blanchis par le temps
Te souviens tu ... ?


********************************************


L'ennui est une perle noire
Qui sans cesse ronge mes ailes
Et qui à jamais me plongera dans l'obscurité de mon âme ...

très pessimiste ton poême Ala... mais j'aime !!!

bon voila, j'ai envie d'en mettre aussi ^^

Danse, danse avec moi, petit pantin
Laisse moi te montrer, enfin
Ses si belles choses que sont le luxe, étreint
se qu'est le pouvoir, se qu'est le chagrin.

Danse, danse avec moi petit pantin
laisse moi, laisse moi mouvoir tes filins
puis envolle toi, ellyptique humain
vers cet enfer qu'est ton destin.



un autre ? ^^


de gamine on la traite, la jeunette
pour les raisons bien débiles
qu'elle aime les peluches et jouer

et parce que pour elle, chaque jour est une fête.

je pouvais pas mettre les trois, la "limite de message" était dépassée ^^ donc je post le dernier :

Un dernier ?



valaaaa
! (les votres sont magnifiques, j'aime beuacoup le tien Ena et aussi le
tien Elera ! vous avez une sorte de talent commun et je trouve que vos
poêmes se ressembles beaucoup.)

Bon... Commençons par le commentaire ^^
Anaïel, personnellement, je trouve que ton premier poème est le plus beau, mais c'est dommage qu'il comporte 2fautes d'orthographe ^^ les "ses" et "se" sont plutôt des "ces" et "ce", non? Pour le reste, honnêtement, j'adore.
Je n'aime pas trop le deuxième mais sans savoir donner de raisons... Pour le dernier, il est plus abstrait (miiiiih ) mais je trouve le dernier vers du premier paragraphe trop long par rapport aux autres, il casse le rythme selon moi uu'

Pour le reste.. après un super beau film, j'ai eu envie d'écrire ça :

j'aime beaucoup ton poème Dol, même si mes préférés restet ceux d'Elhya et d'Elera ^^ j'ai franchement du mal a faire de long poêmes comme ça, donc ça m'épate ^^
c'est structuré, ya du rythme, mais il manque un peu de vocabulaire je trouve... enfin c'est mon kiff à moi de faire des poêmes avec des mots compliqués donc ce dernier avis n'engage que moi ^^
en tout cas c'est joli et j'aime bien.

un poême que j'ai... rêvé ^^

les arbres chantent leur étrange psalmodie
et les rêves nagent dans un lac d'amertume
tandis que les poissons volent vers l'infini
l'avenir aura bientôt une curieuse saveur écume

(c'est court je sais ...)

Oo
C'est bien la première fois que je vois dire à Doll qu'elle manque de vocabulaire...

Je n'aime pas beaucoup ton poème, et je ne sais pas pourquoi...


Je sais, c'est pas très constructif, mais un poème sur un film, aussi beau que soit celui-là, je ne vois pas...
Quoiqu'à la deuxième lecture, ça passe mieux...
Oo...
"esprit-brouillon', ça me fait penser à Thiéfaine...("Yeux-mescal", "Nuit-métropole" ...)

Sinon, Anaïel, j'aime bien ton premier et trosième poème...Je trouverais ça plus joli avec des majuscules en début de vers...

Voila...

Moi, j'aime bien vos poèmes, je trouve que comparez au quelque vers qu'il m'arrive d'écrire c'est superbe. Oui, ce n'est qu'un pauvre Scientifique qui vous parle, enfin bon. Je trouve ça charmant, bien tournée, Si ce n'est le manque de Majuscule en début des lignes qui me géne car j'y suis habitué. Franchement même s'ils sont inspirées d'un film, d'une envie, ou qu'ils vous viennent comme ça, moi je vous dit chapeau !

C'est donc à moi, petit homme par mon orthographe, mais grand par ma taille et mon esprit aiguisé a toute blague, tricheuliardise que je puisse faire. Je vous écris un court poème qui pour moi est une sorte de critique des gens qui sont, non, qui se disent normaux.


Normal, vous vous dites normal
Et donc par mes fait je suis anormal.
Mais regardez vous, Être normaux !
Vous êtes vêtue de rose, de flash
Vous vous coiffez en chose atroce
Êtes vous des animaux de basse cours
Pour vous faire des crêtes ?
Si ce que vous êtes est normal,
Alors moi, regardant vos faits et gestes
Je préfère rester dans mon anormalité
Et rire avec pitié de votre normalité
Car ainsi, je n'aurais pas a me justifié
Puisque je suis anormal et vous normal.


J'préfére les poémes en prose faire des rimes me demande de la reflexion, et lorsque j'ai pas le temps pour, j'fait en prose mais j'trouve ça beau quand même.

Je suis désolée mais je suis pas fan de ton poème Tarus : trop violent à mon gout ( personnel). Mais bon chacun son style. Le mien est différent , je sais pas si vous connaissez: on appelle ça les poèmes surréalistes (avis aux amateurs). En faite on prend un poème qui est liée par plein de petits mots et on doit détruire ces liens pour en former un qui veut tout et rien dire . Je vous mes les 2 venant de moi :

le # normal#:

Déchirure, le monde est brisé de particules voletant à travers l'univers. Un univers composé de briques et de poussière.
Un monde salit qui n'est plus que l'ombre de lui-même, coupé en plusieurs terres.
Il subsite dans ce monde une partie de douceur traduit par une architecture du passé, symbole d'une puissance révolue.
Ancienne gloire de ce monde qui ressurgira et renaîtra de ses cendres.
La destruction est le terrau d'un nouveau monde, meilleur que l'autre se verra détruit pour redevenir encore meilleur.
Une boucle infini qui définit l'univers dans lequel nous sommes ancrés et prisonniers.

Le #transformé#:

Déchirure brise de particules, l'auteur du monde.
De briques et de poussière.
Monde salit en plusieurs terres, ombre de lui-même. Douceur royale d'une puissance révolue d'architecture.
Cendres du monde, ressurgiront en ancienne gloire.
Destruction d'un monde, meilleur que lui-même son terreau sera.
Ancrées et prisonniers dun cercle bouclant l'univers.
Noirceur Monde, réalité d'une lumière fictive produit en chaîne .
Désespoir de cause résultant d'un gachis de courbe façonnant le monde.
révolution d'un univers menés par la lance de fer.
Ultime parcelle de cette perdition.


Dites moi vos impressions; un prochain arrivera bientôt^^

Ca faisait longtemps.

***

Ce ne sont pas des mots mais des larmes qui coulent
Et jaillissent de l’esprit comme d’un puits optique
Pour former les méandres d’une voie catoptrique
Que des pas anonymes sans le savoir foulent ;

Sentinelle figée, Ombre du saule pleureur,
Confinant dans son creux ses écrits assoupis,
Pour ne pas qu’ils piétinent son monde et sa folie
Sous les branches vagabondes il enferme sa peur.

Il remue et enterre ses rêves voltigeurs.
La terre humide accueille le papier et la pluie
Souvenirs, sentiments et chemins infléchis
Névroses exténuantes et scabreuses tumeurs.

Naufragé du néant, souche pourrie qui s’écroule
Celui qui sans racines craint l’instant fatidique
Où l’illusion se pare de reflets dramatiques
Ne lâche pas le souffle qui en lui se déroule.

Simple souffle de vie qui cavale sous sa peau
Frustration carcérale et ramure dans le vent
Minuscule grain de sable dans le désert du temps
Il n’ose s’exposer aux ravages des flots :

Ils lisseront ses os pour qu’il devienne galet,
Effaceront ses traits qu’il ne soit que pantin
Un être comme un autre qui calligraphe en vain
Pour ne pas que chaque mot ne devienne une plaie.

Il a mis trop de lui dans ses miteux couplets
Trop de maux trop rapides et sans trouver le frein
Pour figer les aveux, s’arrêter au refrain
Et ne plus s’exposer aux regards aiguisés.

Et pourtant pour le peu qui démêleront le faux,
Il avance vers la rive les tambours aux tympans ;
Sur les ondes agitées émerge lentement
L’âme nue du poète sous les yeux des falots.

Héhé je suis arrivé sur ce topic en voyant qu'Elera avait posté un nouveau message et du coup en grande curieuse que je suis, j'ai voulut voir !! Patatra ! Un sujet pleins de poèmes !! Trop cool, je suis fan ! J'ai lu quelques uns de vos poèmes, vous êtes vraiment trops forts !! Bon ben du coup, moi aussi je poste ^^ !!


Voili, voilou ! Donc je l'ai fait un peu à l'arracher une nuit où j'arrivais pas à dormir =).