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 Tifen Layan (Chantelame* /marchombre - Assistante du Maître d'armes)

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Tifen Layan
Tifen Layan

Maître chantelame et marchombre
Messages : 1043
Inscription le : 26/02/2007
Age IRL : 32


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MessageSujet: Tifen Layan (Chantelame* /marchombre - Assistante du Maître d'armes)   Tifen Layan (Chantelame* /marchombre - Assistante du Maître d'armes) Icon_minitimeLun 7 Mai 2007 - 18:05

Description générale

- Nom : Layan

- Prénom : Tifen

- Race : Humaine

- Age : 16 ans

- Alignement : Chaotique Bon

- Classe (primaire)
: Marchombre

- Classe secondaire : Chantelame

- Enseignement suivi : Enseignement Marchombre

Description physique et mentale

- Description physique : Tifen a une taille moyenne pour son âge, car elle mesure environ 1m70, et une corpulence assez fine, forgée par les années de marche et d’entraînement. Ses longs cheveux noirs de jais sont toujours tressés et lui tombent au milieu du dos. Son teint est assez mat, résultat de toutes les journées que la jeune fille a passé à l’extérieur, quel que soit le temps. Ses yeux de couleur sombre reflètent à merveille ses sentiments, malgré tous les efforts que l’adolescente emploie pour essayer de masquer ce qu’elle ressent. Quelques cicatrices sans gravité ornent ses bras et jambes, cicatrices récoltées au cours de jeux avec Khan, quand elle était enfant. Comme elle a longtemps vécu dans la forêt, Tifen porte des vêtements très simples, fabriqués par ses soins, dans les tons marron, qui sont arrangés de manière à ne pas entraver ses mouvements et à ne pas s’accrocher aux branchages, chose assez pratique, particulièrement pour la chasse, et refuse de porter tout habit ressemblant de près ou de loin à une robe. Discrète, la jeune fille se déplace assez silencieusement, en particulier dans les bois, une habitude qu’elle a acquise en chassant.

- Description du caractère : Tifen est une jeune fille déterminée, qui veut toujours aller au bout de ce qu'elle entreprend. Elle ne s'attache pas facilement aux gens, car les années qu’elle a passées loin des hommes lui ont appris à se méfier des inconnus et des hommes en général, mais lorsque quelqu'un compte vraiment pour elle, Tifen fera tout ce qu'elle pourra pour aider cette personne. Mais la jeune fille reste plus à l’aise au milieu des animaux qu’en la compagnie des hommes, malgré le temps qu’elle a déjà passé à l’Académie de Merwyn, et se fait donc discrète et silencieuse.

- Principale(s) qualité(s) : Courageuse, parfois téméraire, agile et sincère.

- Principal(s) défaut(s) : Solitaire, assez susceptible, têtue.

- Particularité(s) : Tifen arrive à se faire comprendre des animaux, surtout de Khan.


Vécu et histoire sociale

- Situation familiale : Tifen s'efforce d'oublier ses parents, qu'elle a quitté très jeune. Sa seule famille est désormais Khan, son tigre, et Ambre Naeëlios, qu'elle considère comme sa sœur.

- Situation sociale : Fille du peuple

- Histoire :

Coups, gémissements, douleur. Un coup de pied plus violent que les autres envoya valser la fillette à l’autre bout du couloir. Une voix s’éleva, en colère.

-Tifen, espèce d’incapable ! Tu as encore laissé une tâche ! Je t’avais pourtant dit que je voulais que ce sol soit impeccable.

La petite fille de 5 ans jeta un regard à la marque noire de quelques millimètres de diamètre sur le sol foncé. Une fois de plus, elle était passée à coté sans la voir. A moins que cette petite tâche ne vienne juste d’être faite pour la faire punir. La voix de sa mère reprit

-Et tiens-toi droite, quand je te parle ! On ne t’a donc jamais appris la politesse ?

Brusquement, la fillette fut remise sur ses pieds et traînée jusqu’à une porte sombre. Porte qui s’ouvrit, révélant une cave noire et exiguë. La petite Tifen fut projetée à l’intérieur, et elle eu juste le temps d’entendre une dernière fois la voix de sa mère qui lui annonçait qu’elle serait privée de repas, et que ça lui apprendrait à faire son travail correctement, avant que la porte ne se referme. Le silence enveloppa l’endroit. Tifen s’adossa contre une caisse en soupirant. Les journées se suivaient et se ressemblaient, depuis qu’elle avait passé son quatrième anniversaire. Le travail, que ses parents trouvaient toujours mal fait, les coups, les privations. La seule nourriture qu’elle avalait était celle chapardée dans la cuisine, dès que sa mère avait le dos tourné.

Tifen n’avait aucun souvenir datant d’avant ses quatre ans. Elle n’y prêtait guère attention, mais il lui arrivait parfois de se demander si ses parents avaient toujours été ainsi, même quand elle était bébé. Le ventre de la petite gargouilla dans le silence, la sortant de ses pensées et lui rappelant sa faim. La nuit était tombée à l’extérieur, comme le confirmait la température en baisse dans la cave. Grelottant dans sa maigre chemise de toile, Tifen se roula en boule et essaya de s’endormir. La nuit serait courte. Réveillée à l’aurore le lendemain, la fillette se mit au travail. Mais elle n’avait qu’une seule envie, s’enfuir. La forêt qui voisinait la maison l’attirait chaque jour de plus en plus. Cette forêt, c’était la liberté, la vie…

Profitant d'une discussion entre ses parents, Tifen se glissa dans la cuisine et attrapa le pain aux herbes qui avait été préparé la veille. Le bruit de la conversation se tut soudain, et des pas se dirigèrent vers la cuisine. Profitant de la surprise de son père lorsqu’il l’aperçut ainsi, le pain dans les mains, la fillette se glissa entre ses jambes, évita la main qui voulait la retenir et s’enfuit hors de la maison. Derrière elle, les cris retentissaient


-Tifen ! Reviens ici tout de suite ! Si je t’attrape, tu vas voir !

La petite risqua un regard en arrière, et vit son père à ses trousses. Cela la fit accélérer encore, et elle entra à toute vitesse dans les bois, courant droit devant elle. Rapidement, son père abandonna la poursuite, en se disant que de toute façon, la fillette ne survivrait pas longtemps, seule dans la forêt en pleine automne.

----------------

Accroupie sur une branche, Tifen observait les tigres en contrebas. Ils avaient repéré sa présence, sans aucun doute, mais ils n’avaient pas jugé dangereuse la petite fille tremblante, vêtue d’une simple chemise sale et déchirée, qui les regardait en silence, cachée derrière le feuillage protecteur d’un vieil arbre. Mais rapidement, des bruits se firent entendre. Des hommes surgirent de tous les cotés et attaquèrent les tigres, pris au piège. Apeurée, Tifen observait sans un mot le carnage, incapable de détourner les yeux. Rapidement, tous les tigres furent tués, sauf un. Un petit bébé, qui ne devait pas avoir un an. Les chasseurs le frappèrent, insensibles à ses grognements de douleur. Du haut de sa branche, la fillette ne comprenait pas la cruauté des hommes. Des souvenirs datant des derniers jours, juste avant sa fuite, la frappèrent de plein fouet. Elle se voyait à la place de l’animal, battue par ses parents. Le bébé croisa son regard et Tifen sut qu’elle ne pouvait pas rester indifférente et inactive. Elle se laissa tomber sur le sol, attrapa le petit tigre dans ses bras et partit en courant sous les exclamations des chasseurs. Des larmes coulaient le long de ses joues, tandis qu’elle s’efforçait de ne pas serrer trop fort le petit animal, afin de ne pas aggraver les blessures causées par les chasseurs.

La fillette marchait au hasard, sans s’arrêter. Elle devait trouver quelqu’un pour soigner le petit tigre, sinon, ses blessures allaient s’aggraver. Une lumière se fit apercevoir entre les arbres. Tifen approcha doucement. Une maison, construite dans un arbre, se tenait là, et la lumière provenait d’une fenêtre. Un vieil homme était appuyé sur le rebord de la fenêtre. Après avoir longuement hésité, l’enfant s’avança, se dévoilant à la lumière.

----------------

Grâce au vieil homme, qui s’avérait être un ermite, le petit tigre fut sauvé. Une complicité se développa très vite entre l’humaine et le félin. Ignorant le nom de son ami, Tifen avait décidé de l’appeler Khan. Lorsqu’ils quittèrent le vieil ermite, la fillette avait beaucoup appris. Elle savait désormais reconnaître les baies comestibles et celles qui ne l’étaient pas, et elle avait appris les rudiments en matière de premiers soins. Plus d’une année était passée, et la petite atteignait désormais les six ans trois quarts, comme elle ne manquait pas de le préciser avec une pointe de fierté et l’impression de passer pour une grande, sous le regard amusé du vieil homme. Le soleil printanier brillait dans le ciel quand l’enfant et le tigre disparurent dans les bois. Pendant quelques années, Tifen vécu ainsi, avec Khan. Elle faisait quelques apparitions rapides dans les villages, pour se ravitailler en nourriture, au cœur de l’hiver, mais elle ne restait quasiment jamais à la même place.

La fillette devait approcher les dix ans quand elle arriva en pays Faël. Enfin dix ou onze, elle ne savait plus vraiment, car elle ne se souvenait pas avec exactitude du nombre d’étés passés dans les bois. Elle apprit là bas à tirer à l’arc et à grimper, fit la connaissance du peuple Faël et de leurs coutumes, et chassait convenablement quand elle reprit son chemin, un arc à la main. Désormais, avec Khan, elle avait élaboré une stratégie de chasse combinant la rapidité de son ami et ses capacités au tir et à l’escalade, parvenant ainsi à se débrouiller seule. Le lien qui existait entre l’enfant et le tigre s’était encore renforcé, au point qu’ils parvenaient à communiquer ensemble, ce que Tifen mettait sur le compte du temps qu’ils avaient passé ensemble. Selon ses calculs peu précis, la jeune fille atteignait bientôt les 13 ans.

Au cours de sa quatorzième année, Tifen se fit la connaissance d’un armurier dans un petit village qu’elle avait traversé. L’homme était amusé par cette jeune fille qui avait appris à se débrouiller seule et, pour l’aider, il lui proposa de travailler dans son magasin. Tifen aurait pu refuser, mais elle était attirée par les armes, qu’elle admirait sans parvenir à en détacher le regard, et c’était un hiver glacial, plus froid que tous ceux qu’elle avait déjà connu, ce qui lui posait certaines difficultés de survie. La jeune fille passa donc l’hiver à aider le marchant dans sa boutique, faisant de son mieux pour renseigner les clients quand c’était dans ses capacités. Elle apprit auprès du villageois à compter, à reconnaître et à manier certaines armes, en particulier le poignard, ainsi que quelques bases de lecture, bien qu’elle ne comprenne pas l’utilité de ce dernier point. Khan restait quant à lui à proximité, et l’adolescente ne manquait pas une occasion de passer le voir, dès qu’elle avait un instant libre. Lorsque le printemps revint, Tifen exprima son envie de retrouver la forêt. L’homme ne fit rien pour la retenir, mais il lui fit don de deux poignards et d’un conseil.


-Tu devrais aller à l’Académie de Merwyn, à Al-Poll, Tifen. Je suis certain que tu pourrais faire une bonne marchombre.

La jeune fille acquiesça vaguement et partit, accompagnée de Khan. Elle retourna dans la forêt et réfléchit longtemps aux paroles de l’armurier. Entre temps, elle s’était rendu compte qu’elle ne pouvait pas seulement communiquer avec Khan, mais aussi avec les autres animaux, ce qui détruisait parfaitement sa théorie du « c’est parce que je le connais depuis que j’ai 5 ans ». Un peu dépassée, elle erra plus d’un an dans tout Gwendalavir. Aller à l’Académie signifiait pour elle perdre sa liberté et elle voulait l’éviter à tout prix, après le mal qu’elle avait eu à l’obtenir. Mais ce mot, marchombre, l’attirait au plus haut point, comme un papillon est attiré par la flamme d’une bougie. Finalement, Tifen se décida, et elle avait approximativement seize ans lorsque qu’elle se présenta aux portes de l’Académie pour devenir marchombre

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Fiche mise à jour le 3 janvier 2008

 
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