Description générale- Nom -Demeziel
- Prénom -Khili
- Race -Humaine
- Age -19 ans
- Classe -Guerrière
Description physique et mentale- Description physique -Khili est une petite tornade à elle-même. Petite de par sa taille, se situant légèrement en-dessous de la moyenne chez les femmes ; tornade parce qu’elle fait de l’effet sur les gens qu’elle croise. Une folle crinière rousse encadre son visage aux traits bien dessinés, balaie son corps au niveau des épaules. Des sourcils volontaires surmontent deux grandes prunelles vertes, insistant sur son caractère déterminé.
Possédant une silhouette fine à la taille mais plus insistée sur les hanches et la poitrine, la jeune femme ne semble pas, a priori, être une combattante. Ses courbes plus féminines que d’autres la font souvent se confondre avec une Dessinatrice ou quelque autre sottise. Mais c’est faux et elle n’hésite pas à se mettre en colère quand les gens ne comprennent pas.
« Si je leur dit que je suis une guerrière, pourquoi insistent-ils en me considérant comme une femme fragile, par la Dame ! »La jeune femme s’habille de façon très simple. Ayant bannie de sa vie les robes, les jupons, les rubans et autres fanfreluches, elle ne jure que par une tenue près du corps, de préférence de couleur noire, qui contraste violemment avec ses cheveux de feu. Parfait, c’est l’effet qu’elle recherche dans son apparence : un contraste violent, qui en met plein la vue.
- Description du caractère -Khili est une femme intrigante. Possédant sa part de mystère dans ce qu’elle est et ce qu’elle fait, elle n’en dévoile jamais trop dans ses paroles, détestant le simple fait de pouvoir être lue comme un livre ouvert.
De part les évènements de son passé, elle a tendance à intérioriser et a donc du mal à montrer ce qu’elle ressent. La jeune femme a également développé une certaine crainte de s’attacher trop aux gens, dans le but de se préserver. Elle n’en est pas moins sociable pour autant ! Au contraire, c’est une personne très amicale qui apprécie la compagnie de bonnes personnes, malgré son aversion très prononcée pour les Mercenaires du Chaos. En effet, elle est du genre à juger les gens par rapport à leur catégorie, même si elle sait que ce n’est pas bien. Mais elle est capable de se fermer totalement aux personnes de cette catégorie uniquement, sans chercher à savoir leur vrai caractère. Pour eux, mercenaire est synonyme de malheur et de mort. Ce n’est pas pour rien qu’ils portent le mot « Chaos » dans leur appellation, non ?
En bonne compagnie, Khili est une personne qualifiée de gentille. Enjouée, elle ne cherche pas compliqué dans les relations, surtout si elle peut s’amuser, peu importe la manière. La jeune femme est toujours prête à aider et faire bonne figure, mais elle hésitera toujours pour demander de l’aide de son côté, car elle est convaincue de pouvoir se débrouiller seule sans compter sur quelqu’un. C'est ce qu'elle appelle son petit côté "solitaire débrouillarde", le fait d'essayer de ne pas dépendre de quelqu'un pour avancer dans la vie sans quelqu'un pour s'appuyer dessus.
La jeune femme croit cependant en ses convictions avec une fermeté légendaire. Peu habituée au sexisme du fait que les femmes ne doivent pas être des guerrières, ou aux autres remarques blessantes, elle n’hésite pas à mordre quand il le faut pour remettre la gente masculine à sa place. Elle a de la patience, certes, mais il ne faut pas provoquer une flamme ambulante.
Peu consciente de son charme naturel provoqué par son visage entouré de sa jolie crinière rousse, de son sourire charmant et de ses yeux verts profonds mais nostalgiques, elle ne se méfie pas vraiment des relations amoureuses, elle-même ignorant si elle recherche ce genre de choses. Elle préfère sa tranquillité.
En entrainement, et parce qu’elle sait se battre quand elle le juge nécessaire, elle n’abandonne jamais avant d’avoir réussi une action. Fougueuse, elle se défend bec et ongles contre ses adversaires, suscitant des commentaires élogieux de la part de ses instructeurs. Même si elle n’a pas un physique taillé sur mesure pour le combat –ce qu’elle n’aura sûrement jamais-, elle est capable d’utiliser d’autres atouts pour vaincre ceux qui se mettent sur sa route.
- Principale(s) qualité(s) -Mystérieuse – Déterminée – Attirante – Fougueuse – Joyeuse
- Principal(s) défaut(s) -Blessante parfois – Perfectionniste – Sauvage – Bornée et obstinée – Juge au premier abord – Intériorise beaucoup
- Particularité(s) -Khili est une adepte de la nourriture sucrée, elle en est une graaande fan. C’est tout.
- Capacité(s) -Khili est une guerrière. Par conséquent, et puisqu’elle est en deuxième année à l’Académie (de rang Fer, donc), elle a développé quelques capacités physiques (parce qu’il le faut bien huhu). La jeune femme excelle quand il s’agit de se battre au corps à corps, déteste tout ce qui est précision comme le Tir à l’Arc –malgré ses efforts-, préfère jouer sur la vitesse que sur l’endurance, ou elle ne tient clairement pas longtemps. Elle peut se battre à l’épée, si elle lui convient parfaitement, au niveau longueur comme poids. Elle a eu toujours un coup de cœur pour les activités solitaires, n’aimant pas trop celles en équipe. L’escalade est une de ses préférée, surtout quand on peut observer le paysage depuis un point en altitude.
Vécu et situation sociale- Situation familiale -Khili est la fille unique d’Iris Sil’ Amora, fille d’un très riche et influent seigneur d’Al-Chen, et de Peter Demeziel. Celui-ci était un mercenaire du Chaos, spécialisé dans l’infiltration. Sa mission était de séduire la fille de ce seigneur, de la convaincre de l’épouser, puis, évidemment, s’en aller dès qu’il aurait en poche toutes les richesses de ce seigneur.
Pendant plus de six mois, il courtisa la belle jeune femme âgée alors de dix-sept ans, puis, utilisant des titres de noblesses factices, s’attira les grâces du père, qui accepta le mariage avec réjouissance. Une semaine après, Peter s’était enfui, laissant les caisses vides. Et une Iris enceinte.
Le seigneur, si honteux de son aveuglement, chassa sa fille qui se réfugia à l’écart d’Al-Chen, chez des amies, où elle enfanta sa fille, conçue dans le mensonge, née dans le déni.
- Situation sociale -Fille d'une noble et d'un mercenaire du Chaos.
- Histoire -| AuroreUn cri s’élève depuis la maison de chaume, perchée sur une colline, à l’écart de tous. Les oiseaux de nuit s’envolent depuis les arbres qui bordent une rivière qui serpente à quelques pas de là, entourant la bâtisse d’une protection irréelle. Calme paisible nocturne troublé aujourd’hui.
« Comment peut-on être une mère convenable à dix-huit ans ? C’est totalement ridicule ! »
On s’insurge, on se moque, on compatit. Personne ne fait attention à la victime de l’agitation.
Une foule se presse autour d’une jeune femme, l’écrasant de leur nombre, si bien qu’elle ne peut même plus y respirer convenablement. La sueur perle dans ses cheveux et elle respire avec difficulté, se forçant à ne pas écouter le bruit de fond de la cabane. Aujourd’hui est son jour, le jour de son enfant.
Pas le leur, surtout pas le leur.
Aux premières lueurs de l’aurore naît Khili.
Pas très grosse, pas très jolie.
Mais elle ne pleure pas. Elle se contente de fixer l’assemblée de ses yeux verts, semblant crier au monde entassé autour d’elle : « Je suis là, me voilà. »
| SecretLa jeune femme ouvre la lettre qu’un garde vient de lui apporter. Gardant un œil sur le bébé endormi près d’elle, elle déchire le cachet de son père, ouvre avec précaution l’enveloppe et déplie la lettre.
« J’ai rattrapé ton grand amour. Il pend aux murs de mon château.
Ne me reviens pas, toi et ton enfant bâtard. Plus jamais. »
|ParfumKhili a cinq ans.Une après-midi tranquille s’écoule dans la petite maisonnée qui résonne des petits cris de Khili. La petite fille s’amuse avec des poupées fabriquées avec amour par sa maman. Près d’elle, Iris s’occupe en faisant de la couture.
La première, sa préférée, c’est celle qui est comme sa maman. Elle est jolie, elle a une robe rouge, des longs cheveux bruns. Khili aimerait avoir les mêmes cheveux plus tard.
La deuxième, c’est la plus petite –celle que sa maman a raté au début et dont il a fallut couper le haut pour recommencer,-du coup, elle est plus petite-. Toute petite. Mais ce n’est pas grave ça.
La troisième, c’est son papa. Maman a dit qu’il avait les mêmes cheveux que Khili mais très court. Elle a dit aussi qu’il devait mettre un pantalon, et pas une robe. Alors Khili lui a enfilé un pantalon gris et un chapeau, parce que c’est plus pratique pour aller jardiner dehors et cultiver les racines de niam.
« Maman ? »
« Oui, chérie ? »
« Est-ce que le vrai papa, pas celui qui joue avec la fausse maman et la fausse Khili, est-ce que son métier c’est cultiver des racines de niam ? »
L’enfant regarde sa mère, les yeux plein de questions innocentes, un sourire aux lèvres.
Ce même sourire qui glace de peur sa mère. Aux tréfonds de son âme.
Dis lui, c’est le moment. Elle ne peut pas tout ignorer… Iris répond au sourire de sa fille.
« Bien sûr ! Même qu’il fait pousser des haricots, aussi. Tu veux que je te montre dehors ? »
« Oui ! »
La fillette se lève, surexcitée et sort de la petite maison en trombe, abandonnant au sol les trois poupées. Iris les ramasse lentement. Fixe celle au pantalon avec tristesse.
Lâche, toujours trop lâche…
|BriseKhili a sept ans.« Pourquoi est-ce que j’ai les cheveux rouges, maman ? »
Iris lève les yeux vers la frêle gamine à ses côtés, essuie avec application ses mains pleines de terre sur son tablier et passe la main dans les cheveux de sa fille. Recueille une de ses mèches douces qu’elle lisse de ses doigts.
« Ils ne sont pas rouges, ils sont roux, Khili. »
« C’est la même chose… Et ma question ? »
La jeune mère sourit devant l’impatience à peine masquée de la fillette.
« Ils sont roux parce que tu es née sous le soleil, mon ange. »
« Mais… les autres aussi ! Samia m’a dit qu’elle était née en pleine après-midi et… »
« On ne parle pas du même soleil, trésor. Tu es née aux premières lueurs du jour, tes amis sont nés pendant la journée. Quelque part, tu es unique, rien qu’à moi. »
L’enfant retient ce que sa mère lui dit. Au plus profond de sa mémoire.
La mère regarde sa fille, une fierté lisible dans ses yeux. Khili est sa fille.
Elle l’a méritée.
Elle l’aime.
***
« Maman, il reviendra papa ? »
« Oui. »
« Quand ? »
« Un jour, mon cœur. »
|EclairKhili a seize ans.La flèche se planta dans l’arbre avec un sifflement sec.
« Khili tu es vraiment trop forte ! »
Abaissant son arc, celle-ci offrit un léger sourire à Johan, qui semblait être plein d’admiration pour elle. N’importe quel aveugle aurait vu au premier regard que ce genre d’attirance n’était pas qu’amicale, mais il aurait vu également qu’elle n’était pas réciproque.
Khili n’en avait d’yeux que pour Tobias. C’était de lui dont elle voulait entendre les compliments, pas de Johan.
Si elle avait su cela plus tôt, peut-être que tout n’aurait pas dégénéré.
Peut-être qu’elle n’en serait pas là actuellement.
***
C’était le printemps. Après une autre séance d’arc, Tobias et elle s’était retrouvé tous les deux. Et ce qui devait arriver arriva. Ils étaient attirés l’un par l’autre, le reste était venu tout seul : un baiser au goût d’espoir.
Et Johan l’apprit. Inévitablement.
Ce qui déclencha chez lui une colère irrépressible. Jalouse et méchante.
***
« Comment tu peux me dire ça ? Il s’est passé quelque chose avec Tobias hier, et alors ? Ca ne te regarde pas que je sache ! »
« Khili tu es vraiment… »
« Je suis vraiment quoi ? Je ne suis rien du tout ! C’est toi qui es jaloux à un point pas possible ! »
Elle appuya son doigt sur son torse. Elle sentit les muscles derrière se tendre. Colère contenue. Un sourire qui irradiait à la fois le désespoir et l’ironie se dessina sur ses lèvres tristes.
« Je ne peux rien faire pour toi, désolée. Tes parents ont du rater quelque chose dans ton éducation, parce que ta jalousie, je peux rien n’y faire. Soigne-toi, Johan !»
Un éclair de dureté prit place dans les yeux du jeune homme. Froid, méchant.
« Il est vrai que toi tu as hérité du don de faire tomber les autres amoureux de toi pour ensuite les lâcher comme des choses inutiles et insignifiantes. Puisqu’on parle de famille, on peut dire que tu as bien hérité de ton père ! »
La colère brilla dans les yeux de Khili. On n’insultait pas son père. Surtout si c’était faux. Sa main s’écrasa sur la joue de Johan. »
« Ne parles pas de mon père comme ça ! »
« Ton père n’était qu’un sale mercenaire du Chaos, bordel ! »
La violence des propos saisit Khili. Au début, plus que la signification des propos eux-mêmes. Elle fit un pas en arrière. Protesta en fusillant l’auteur de ces mensonges.
« De quoi tu parles ? Mon père était un Itinérant, il est reparti en voyage pour gagner de l’argent, et il en envoie tous les ans à ma mère ! »
Mais, insidieusement, elle sentait que quelque chose n’allait pas.
Que l’écho de ses paroles sonnait faux.
Elle en vit les premiers signes sur les visages de ses camarades.
Tobias avait pâli. Samia porta la main à sa bouche pour étouffer un cri, et Johan écarquilla les yeux, tenta d’ouvrir la bouche, mais les paroles se bloquèrent dans sa gorge.
« Tu… »
Khili regardait la bande en face d’elle. Sans le savoir, elle tremblait. Sa vision se troubla. Elle avait l’impression d’avoir reçu un coup de poing dans l’estomac, et la douleur se répercutait absolument partout, entravant sa respiration, paralysant ses muscles.
« Non… »
« Khili attend je suis désolé… ! »
Elle recula d’un pas quand Johan lui saisit le bras.
« Laisse-moi ! »
La douleur imprégnait son cri, seule arme pour se défendre de l’horreur qu’elle venait d’encaisser.
Son père était un meurtrier.
La pire des personnes.
Une multitude d’émotions tourbillonnaient dans sa tête, des questions fusaient dans son esprit, et la seule qu’elle retint fut : « Pourquoi ? »
|TempêteLa nuit est tombée.
Une porte qui claque violemment. La longue chevelure de feu de Khili lance des éclats quand elle rencontre la lumière du feu de la cheminée. A l’image de sa colère.
Dans son fauteuil, Iris s’est redressé, posant avec application l’œuvre sur laquelle elle était en train de travailler.
« Maman ! »
Elle aboie, cri noyé dans sa rage.
« Maman, dis moi. Où il est ? »
Ses paroles pleines de venin se jettent sur sa mère.
« Chérie… »
Iris tremble. Le moment est venu. S’est abattu sur elle comme un coup de massue. Imprévisible et foudroyant.
« Ne m’appelle pas chérie ! Est-ce que papa va revenir ? Est-ce qu’il va revenir comme tu me l’avais promis ? »
« Khili, qui t’as parlé de ton père ? »
La jeune fille plante ses yeux dans ceux de sa mère.
« Johan. Tobias. Samia…
Sa voix se brise.
« Ils savaient tous. Tout le monde au village savait que mon père était un meurtrier ! Qu’il était un mercenaire du Chaos. »
« Non… »
Les yeux d’Iris s’embuent de larmes tandis que ceux de sa fille grondent d’orages.
« Tu savais hein ? Pourquoi tu m’as caché la vérité ? »
« Khili, je… »
« POURQUOI ?! »
Le cri est souffrance. Incompréhension. Elles souffrent toutes les deux. Si proches et pourtant si éloignées.
***
« Où est-il ? »
« Il est mort… »
La mère cherche de la douleur dans le regard de sa fille.
N’en trouve pas.
Il y a tout sauf une quelconque trace de tristesse.
Juste un grand vide plein de haine.
***
« Qu’est-ce que tu fais ? Tu ne peux pas partir ! »
« Bien sûr que si. Il l’a fait, je ne vois pas pourquoi je ne réussirai pas. Je suis sa fille aussi, après tout. »
Les paroles sont comme des flèches qui se plantent dans la poitrine d’Iris.
Et ça fait mal.
Plus mal que d’avoir appris la mort de Peter.
Plus mal que de savoir la vérité.
|Un soupçon d’espoirLe jour se lève.
Le matin de ses dix-huit ans.
Perchée sur une petite colline, elle contemple le paysage qui s’étend sous ses yeux.
L’Académie se dresse devant elle. Reflet de magnificence, grandeur majestueuse.
Avenir.Partie RPGUn an plus tôt.Khili franchit l'Académie. Sincèrement étonnée par l'impression de puissance que dégage le bâtiment. Toute sa vie, elle n'a connu que des endroits modestes, sans fioritures et prestance. Ce n'est pas vraiment ce qu'elle préfère. Mais elle pouvait avouer que l'endroit lui coupait le souffle. Elle se surprit à se demander si son grand-père vivait dans un endroit aussi beau que celui-ci. Sa mère n'en parlait jamais. Sa mère. Voilà bien longtemps qu'elle ne l'avait plus vue.
Peu importe.
Aujourd'hui, ce jour lui appartenait. Pas au passé.
Elle se rend dans le bureau de l'Intendant. Craignait-elle ce moment ? Non, elle était confiante. L'Académie était certes un endroit qui signifiait renouveau et avenir pour elle, mais si elle n'était pas prise, elle ne le prendrait pas mal. Elle retournerait sur les routes et elle improviserait ensuite.
Elle toque à la lourde porte en bois, et pénètre dans le bureau après que la voix derrière le battant lui incite à entrer.
Devant elle se trouve un homme. "Pas tout à fait un homme", crient ses conclusions hâtives, soulignant les cheveux longs de celui-ci, en particulier. Refoulant son sacré défaut à juger trop vite, elle s'approcha du bureau avec une assurance que soulignait son visage neutre, sans trace de timidité ou de peur. Elle prit la parole après que l'Intendant lui ait signifié de s'assoir devant lui.
- Bonjour. Je m'appelle Khili Demeziel. Simple. Concret.
- Je souhaiterai m'inscrire dans votre Académie.Ça lui semblait trop directe, justement.
Elle sembla chercher ses mots.
- ... si vous êtes d'accord bien sûr.C'était mieux. Elle n'avait pas besoin de lui en mettre plein la vue. Elle était simple, concrète. Ses mots n'avaient pas besoin d'être superficiels, elle ne rentrerait pas dans cet endroit sous le visage de quelqu'un d'autre.
Inspirant légèrement, elle posa son regard vert impassible sur l'Intendant. Seul un infime mordillement de lèvre indiquait qu'elle était tendue, prête à entendre une réponse qui déciderait de son avenir.
Autres- Comment avez vous connus ce site ?Une certaine personne nommée Ichel m’a forcé à… Meeerde j’avais dit que je ne dénoncerai pas ! ♥
(valide moi ma femme ! )- Autre chose à nous dire ? Le cooooode est : ... caché par un admin vilain