Test de niveau de Liraï Caldin

Liraï entra dans la grande salle d'arme, qui, pour le moment etait vide. Il sorti ses dagues longues, les pris fermement, se mit en garde, et commença a porter des coups pour echuaffer ses muscles. Puis vint l'echauffement des mouvements, il commenca a courir vers le mur, sauta, planta ses pieds verticalement sur le mur tout en faisant un demi tour, et poussa fortement, tout en avançant ses poignards pour une attaque a la tete. Lorsque le maître d'armes arriva, et lui dis de commencer ses mouvements apres des salutations. Il commença ses enchainements :

Il se mit en garde basse, avec un bras en avant et en bas, tandis que l'autre et relevé. Tous deux etaient tendus vers un adversaire imaginaire. Puis, Liraï se flechit, sauta en avant et commença les echainements du kata du serpent. Lors de son saut, ses deux bras se tendirent, et se refermerent pour effectuer la morsure du cobra. Il se receptionna, s'accroupit, tendis la jambe et tourna sur lui meme pour faucher un enemi imaginaire. Il passa ensuite au style de l'aigle, qui etait principaelement utilisé sur les enemis a terre, il sauta, tendis ses bras vers le bas, avant de faire une pirouette avant, pour lacerer le corps de cet enemi imaginaire telles les serres de l'aigle. Liraï courru ensuite vers un mur, sur lequel il prit une impulsion pour replonger vers son adversaire fictif... Il passa ensuite au style du tigre, qui lacerait, aussi, mais avec une garde plus rapprochée, les poignards changerent de prises, pour devenir les griffes de Liraï. Tout en tournant sur lui meme, et faisant voltiger ses bras, il envoyait coups de pieds et coups de lames bien placés. Il termina cet enchainement par une prise effectuée cette fois ci sur un manquins en bois. Il sauta, plia les genoux en avant pour les envoyer dans la poitrine du manequin, tandis son bras droits attrapait la tete, et que son bras gauche plantait la dague longue dans la nuque du mannequins, qui se retrouvat a terre.
Il rangeat ses armes, et s'aligna devant le maître, qu'il salua. Il dit :
- je vais maintenant passer aux lancers, si vous le voulez bien. Il posa ses dagues, et sortit des poignards de laner et des shurkens. Et il s'en equipa, puis commença a courir en rond, apres avoir deplacé des cibles au centre de la salle. Tout en logeant la salle, il commenca a prendre prise sur le mur, pour ensuite lancer un poignard au centre de la cible, , il finit de monter le mur, touchant le plafond, et en lança un second, avant de retomber legerement. Il prit ensuite 3 shurikens dans ses mains, pour courir vers la cible, effectuer une pirouette avant tout en lançant les 6 etoiles, qui arriverent presque toutes dans la tete, unue ricochant sur le poignard lancé. Il retira enfin ses poignards de la cible, salua encore une fois le maître ceremonieusement, et dit enfin :
j'espere que ma presentation vous a plu. Et tout en se redressant, il dit : maintenant, pourrais je savoir mon defi ?


H.J : oups, je constate que je n'ai pas posté dans la bonne categorie -_-'

- Pour commencer, tu vas devoir m'affronter en duel amical. Autant te le dire de suite, ce ne sera pas une épreuve facile, et ce n'est que la première à ce défi.

Valen décrocha le fourreau de Daelos de sa ceinture pour ne pas être gêné pendant le combat et dégaina son sabre dans un mouvement complexe et gracieux qui ne ressemblait à rien de ce qu'avait déjà vu Liraï. A présent, Valen était concentré et sérieux... on ne décelait plus la moindre trace de son ironie habituelle dans sa voix ou son expression, il était d'un calme terrifiant.

- En toute honnêteté, je ne m'attends pas à ce que tu parviennes à l'emporter. Je n'ai encore rencontré personne qui m'ai mis en échec depuis que j'ai codifié et maîtrisé le style Juyo dont je suis le seul véritable pratiquant. Tu seras donc jugé sur ta capacité à te défendre et à t'adapter face à un style inconnu.

Le Maître d'armes salua son élève en levant son sabre avant de l'empoigner subitement à deux mains au-dessus de sa tête et à porter une attaque redoutablement puissante que stoppèrent les deux longues-dagues de Liraï. Il avait à peine paré le coup que le demi-Faël réalisait un saut du papillon et atterissait juste derrière son élève pour lui asséner un redoutable coup de pied fouetté qui le projeta en avant.
Le marchombre se releva rapidement et tenta de porter une attaque à Valen qui esquiva de manière audacieuse avant de contre-attaquer en réalisant un mouvement mystérieux qui fit vibrer et " chanter " la lame du sabre de Valen. En un coup précis et gracieux porté avec une seule main, le Maître d'armes venait de désarmer Liraï sous l'effet d'une puissante vibration qui se répercuta dans les lames de ses longues-dagues et les lui fit lâcher prise.
Aussitôt, Valen baissa son arme et salua son jeune élève.

- Bien battu, mais le combat était largement inéquitable, ainsi que je l'avais prévu. Nous allons reprendre... sauf que je vais m'adapter à ton niveau pour te permettre de donner le meilleur de toi-même.

A nouveau, Valen salua Liraï et se mit en garde. Cette fois, c'était une garde que connaissait le jeune marchombre, le demi-Faël allait utiliser l'Ataru cette fois.

Valen ne s'était pas taillé une réputation d'invincibilité sans raisons. En un mouvement éclair, le demi-Faël releva brutalement ses deux jambes et frappa la tête de son jeune élève qui tomba en arrière. Liraï avait réussi à le mettre plusieurs fois à terre et, même si le style Ataru n'était pas son style de prédilection, Valen allait maintenant passer à l'offensive.
Alors que Liraï se relevait à peine, Valen exécuta son légendaire saut du papillon tout en portant une attaque avec son sabre au passage, attaque que le jeune marchombre eut bien du mal à parer. Ensuite, passé derrière lui, il effectua une série de rotations ponctuées d'attaques au sabre et de coups de pied fouettés qui acculèrent le jeune homme.
Finalement, le marchombre parvint à briser son assaut et à contre-attaquer. Alors qu'il attaquait, Valen esquiva souplement une attaque, para la seconde avec son sabre dans un mouvement inhabituel avant d'asséner à son élève un violent coup dans l'abdomen avec le pommeau de Daelos. Le combat était fini... Liraï était plié en deux sur le sol et avait perdu ses deux longues-dagues sous le choc; il était complètement à la merci du Maître d'armes.

- Bien, tu maîtrises suffisamment l'Ataru pour suivre les cours spécialisés dans le maniement d'une arme. Seulement, je trouve que c'est peu judicieux et que tu devrais t'initier aux autres styles avant de choisir celui que tu vas maîtriser.

Ensuite, Valen raccrocha le fourreau de Daelos à sa ceinture avant de rengainer son sabre.

- Au fait, ne tente jamais d'attaques frontales comme tu l'as fait dans un vrai duel. Il aurait suffit que je pointe mon sabre sur toi au dernier moment pour que tu t'empales dessus, ce que je n'ai évidemment pas fait... j'apprécie peu de me retrouver avec des élèves morts ou mortellement blessés.
Par ailleurs, aucun marchombre n'aurait agi de la sorte. Ton inexpérience sans doute...

- Je suis desole de vous contredire, mais c'est une technique de mon maïtre disant que la meilleure des feinte est l'ataque dont on s'attend le moins. Bien que j'aie fait des attaques frontales, celle ci ne se terminaient pas par un assaut direct qui etait censé suivre. Et je pense que contre un combattant plutot bon, j'aurai fait l'affaire. Face a vous, qui etes exoert dans le maniement du sabre, je n'aurai surement pas pu eviter la pointe, car vous auriez su la mettre quand votre adversaire ne peut plus se deplacer, et ne penettre pas encore votre garde. A tout hasard, est ce vous qui dispenserez les cours avancés du style Ataru ?
dit Liraï en observant son maître avec curiosité.


H.J : juste une question comme ça, je vias peut etre me faire mal voir, mais, d'apres ce que j'ai compris, je peux maintenant dispenser les cours d'Ataru de base non ?

- L'Ataru n'est pas mon style favori, et de loin. Cependant, je le connais en profondeur et je suis le seul à pouvoir l'enseigner par simple manque de professeur.

Valen s'était détourné vers le milieu de la salle, visiblement songeur. Il connaissait tous les styles majeurs, mais il désirait surtout former des élèves au Juyo. Cependant, devait-il pénaliser les autres élèves pour autant... Non, il ne pénalisera personne et continuera à faire son travail convenablement. La transmission du Juyo attendrait...

Hj: en fait, tu devais passer un test de niveau pour suivre les cours spécialisés dans le maniement d'une arme, ce n'était pas encore le défi du maître. Cependant, il y a toujours moyen de te nommer assistant-Maître d'armes si tu veux. Mais il faudra probablement modifier quelques petites choses.