Lewän Kihan [Combattant - Aequor]

Description générale

- Nom -
Kihan

- Prénom -
Lewän

- Race -
Son père est un faël et sa mère une humaine.

- Age -
17 ans

- Classe (primaire) -
Guerrier

Description physique et mentale

- Description physique -
Je détache mon regard de la vue que m'offre la fenêtre de la chambre et me tourne vers le miroir. D'après ma mère, mon père est un faël, mais moi je ne ressemble en rien à l'un d'entre eux. D'après mes connaissances, ils sont de petite taille, alors que je dois faire un peu plus d'un mètre quatre-vingt cinq. Leurs peaux est mate, mais la mienne l'est uniquement à cause des nombreuses heures que j'ai passé à l'exterieur. Et à mon plus grand bonheur, je n'ai pas les oreilles pointus. Pas que je sois contre, non loin de là, juste que je trouve cela pas très discret. Et il faut avouer que ça aurait un effet assez étrange sur quelqu'un qui ne ressemble vraiment pas à un faël. Et puis ... Cela nuirait à mon charme. Oui, il faut dire ce qui est, je suis plutôt beau. Assez beau même. Loin de moi l'idée de me vanter mais il suffit de voir le regard de certaines personnes de la gente feminines ... J'ai des cheveux blonds cendrés qui ondulent légèrement quand ils sont humides et qui tombent en mèche quelques peu désordonnés sur mon front et ma nuque, couvrant mes oreilles par la même occasion. Ensuite ... Mes yeux. Certaines personnes vous diront qu'ils sont bleus, d'autres vous diront qu'ils sont gris. Et ce sont eux qui ont raison ! Mes yeux sont d'un gris profonds et sont mis en valeur par ma peau bronzée. Je ne porte qu'un simple pantalon de toile noir et on peut donc apercevoir des muscles développés. Je crois que je vous ai tout dit !

- Description du caractère -
Je suis quelqu'un qui n'aime pas la solitude. Quand on est seul, on ne parle pas, ou alors c'est qu'il y a quelque chose de pas normal avec vous. Et moi j'aime parler, il faut que j'exprime mes sentiments sinon, au bout d'un moments, j'explose. Enfin, façon de parler bien sur, mais je n'arrive pas à garder mes sentiments pour moi. 
Je ne suis pas timide, et même plutôt extraverti. Je peut faire connaissance assez rapidement avec les autres si ils ne sont pas associables et décidés à me tuer. J'ai conscience du danger, mais je ne me pose pas de question, avec une tendance à foncer dans le tas et à réflechir après. Ce n'est pas pour autant que je suis bête ! Certes je n'ai pas suivie une formation intelectuelle, mais je suis tout de même intelligent.
Assez railleur, il m'arrive de me montrer moqueur quand je n'apprecie pas la personne et je n'aime pas que l'on me marche sur les pieds.
Malgré mon caractère plutôt symphatique, je peux me montrer dur et froid si vous le meritez et je peux aussi être violent si vous me mettez en colère.

- Principale(s) qualité(s) -
Symphatique, bonne santé et forme physique, parle facilement avec les autres, intelligent, sociable ... Beau ? //SBAFF//

- Principal(s) défaut(s) -
Fait trop facilement confiance, parfois moqueur, susceptible même si il ne le montre pas, il peut parfois trop parler et se montrer indiscret.

- Particularité(s) -
Lewän n'a aucune cicatrice étabt donné qu'il n'a jamais participé à un combat ni aucun tatouage pour le moment.
Il a juste un simple anneau de bronze à l'oreille droite et une chaine  au poignet que sa mère lui a offert.
Il possède un cheval gris pommelé aux crins noirs.

- Capacité(s) -
Lewän n'est pas vraiment taillé pour la souplesse bien qu'il ne soit pas completement raide. Des soldats lui ont appris quelques bases du combat, mais il ne sait jamais battu avec une lame. Ayant grandi dans un convoi, il a appris à monter à cheval assez jeune et est un bon cavalier. Il était éclaireur et il était aussi chargé de ramener de la nouriture, aussi c'est un bon archer.
Un rêveur lui a appris à lire et à écrire.

Vécu et situation sociale

- Situation familiale -
Sa seule famille dont-il ai connaissance est sa mère qu'il a quitté pour rejoindre l'Académie, mais il lui a promit de la retrouver.

- Situation sociale -
Lewän n'est pas noble, son père est un faël qu'il n'a jamais vu et sa mère une simple alavirienne travaillant dans un convoi.

- Histoire -

Un convoi s'arrête pour la nuit dans un village près des Dentelles Vives. Dans ce convoi, une femme. Une femme ordinaire, cheveux blonds, yeux gris, de tailles moyenne. Une femme parmi tant d'autres. Mais c'est cette femme qui se fait agresser dans une sombre ruelle. Pourquoi elle ? Personne ne le sait, mais si ca avait été quelqu'un d'autres, la femme n'aurait jamais rencontré le jeune faël qui lui a surement sauvé la vie. 
La femme a abandonné le convoi pour rester avec lui. Seulement voilà, quelques mois plus tard, le faël disparait sans laissé de traces, laissant la femme seule. Ignorant qu'elle est enceinte.

*****

Un premier cri strident.
Dans un chariot, une femme vient de mettre au monde un enfant, aidé par un rêveur.

Lewän. Il s'appelera Lewän.

Le rêveur sourit et dépose le nourisson sur le ventre de la femme. La femme que le faël a abandonné pour des raisons inconnus quelques mois plus tôt. La femme qui s'est réengagé dans un autre convoi pour oublier la souffrance que lui a infligé ce faël. A son grand soulagement, son fils n'a aucune ressemblance physique avec son père. Elle ne veut pas se rappeler, elle veut tout oublier. Elle est décidée à prendre un nouveau départ avec son enfant.

*****

Dans un bois, un jeune garçon d'une dizaine d'années joue avec une fille du même âge dans les branches d'un vieil arbre. Ce garçon, c'est Lewän. Un enfant plein de vie qui a reussi à faire oublier la douleur de sa mère. D'ailleurs sa mère le cherche et c'est pour cela qu'il est dans l'arbre. Il se cache. Comme tout enfant de son âge, Lewän aime s'amuser et ne pas respecter les limites du cercle que les chariots ont formés le temps de se ravitailler. Après tout, les limites n'existent-t-elles pas pour être dépassées ?

Lewän ! Descend de là tout de suite et viens manger !

Le jeune garçon descend de son perchoir et affiche un air penaud devant celui faché de sa mère.

Tu sais bien que je ne veux pas que tu t'éloigne du convoi.

Oui, pardon maman.

Il lui dépose un baiser sur la joue et s'éloigne vers les chariots. Sa mère sourit. Il a reussi à la faire revivre, à lui faire oublier.

*****

Lewän a maintenant treize ans. Il continue de grandir au rythme des voyages du convoi dans lequel sa mère travaille. Il n'à pas de chez lui, d'endroits ou il peut s'installé, mais cela ne le dérange pas. Il aime les quêtes, les voyages, l'aventure.
Un jour, alors qu'ils revient au campement après une partie de chasse en compagnie d'autres membres de la caravane, il aperçoit un groupe de guerrier. Ils ont été embauchés pour renforcer la sécurité et ils sont en train de s'entraîner au combat. Lewän s'approche d'eux et regarde, fascinés les soldats maniés leurs sabres et leurs lances. Il reste là plus d'une heure et quand il retourne dans son chariot pour dormir, il sait que demain, il retournera les voir.

Le lendemain, il retourne voir les hommes qu'il a admirés la veille et regarde encore leur entraînement. Un des guerriers qui a remarqués sa présence lui propose de venir essayer. Lewän accepte sans hesiter et les guerriers lui apprenent quelques bases du combat. 
Cette fois-ci, Lewän en est certain. Il deviendra un guerrier.

*****

Lewän a quinze ans à present. 
Les guerriers qu'il a admirés deux ans plus tôt sont partis, mais lui ont enseignés les bases du combat.
Il est devenu l'éclaireur du convoi et chevauche un cheval gris pommelé aux crins noirs. C'est un cadeau du maître caravanier pour mener à bien sa nouvelle tâche.
Lewän est heureux. Il a quinze ans, possède un cheval et surtout, un membre du convoi lui a parler d'une académie. L'Académie de Merwyn. Une école ou sont formés les Alaviriens souhaitant devenir dessinateur, rêveur ou encore guerrier. Lewän le sait, il va rejoindre cette école et devenir un guerrier. 

Seulement, il y a sa mère. Il ne peut pas l'abandonner. Aussi, il préfère ne pas lui en parler tout de suite.

******

Lewän vient d'avoir dix-sept ans et a annoncé à sa mère son attention de se rendre à l'académie. Il a mis deux ans avant de se résoudre à lui parler, pas juste par peur de sa reaction, mais aussi parce-qu'il est heureux avec les membres de la caravane. Mais il veut devenir guerrier et il sait qu'il ne peut pas le devenir en restant avec eux. 
La reaction de sa mère l'a légèrement surpris. Elle n'a pas chercher à le retenir ou quoi que ce soit, au contraire elle lui a souhaité une bonne route. Il l'a serré contre lui et lui à promis de la retrouver à la fin de son apprentissage. 

*****

Maintenant, je suis en direction de l'Académie en compagnie de Djal, le cheval que j'ai eu à mes quinze ans, et je suis bien décidée à devenir un guerrier.

RPG

 L'aubergiste n'avait pas pensait à installer des volets aux fenêtres et les rayons du soleil vinrent caresser mon visage. J'ouvris difficilement les yeux, éblouis par la lumière. Je me levais en soupirant et allais ouvrir la fenêtre. Je m'appuyais sur le rebord et appreciais la fraicheur du matin. J'étais arrivée à Al-Poll la veille. Ma destination ? L'Académie. Étant arrivée tard dans la soirée, j'avais préféré passer la nuit dans une auberge du coin pour recuperer de mon voyage. En effet, je n'avais pas beaucoup dormis, mais cela en valait la peine. La prestigieuse Académie de Merwyn ou sont formés artisans, rêveurs, marchombres et guerriers. Jusqu'à maintenant, je ne m'étais pas posé la question de savoir si j'allais être accepté ou non. Je l'esperais vraiment car sinon je n'aurais nul par ou aller. 
Je sortis de mes pensées et m'habillais d'un pantalon sombre avec une épaisse chemise blanche sans col et allais prendre mon petit déjeuner. Les rares personnes déjà debout étaient installés autour de table de bois sombre entourés de banquette assez banals. Je m'installais à une table vide et commandais de quoi prendre des forces pour la journée à venir.

Mon petit déjeuner terminé, je me levais et allais régler la chambre et le repas à l'aubergiste avant de remonter chercher les quelques affaires que je possédait. Pas grand chose à vrai dire. Quelques habits, une paire de botte, un arc. J'enfilais ma veste de cuir noir et mes bottes avant de sortir pour récuperer Djal. Je le sellais rapidement et pris la direction de l'Académie.

Lorsque qu'elle se dressa devant moi, je m'arretais. Elle était grande, belle, un parc l'entourait et une cascade setriuvait non du mur d'enceinte. Je remis Djal au pas et arrivait devant le portail en me présentant. Je déposais ma monture aux écuries et partis à la recherche de l'intendant. En parcourant les couloirs du bâtiment, je remarquais la beauté des lieux et admirais les tapisseries. Bon, certes c'est beau, mais je ne suis pas là pour ça ! J'arrivais devant une porte sur laquelle une plaque était accrochée. Sur cette plaque, un nom. Aziel Ril'Krysant. Pas de doute possible, c'était bien le bureau de l'Intendant.

Je passais une main dans mes cheveux pour les repousser de mes yeux et soufflais un bon coup. Allez Lewän ! C'est pas le moment de te planter ! En effet, si j'étais accepter dans l'Académie, je pourrais prendre un nouveau départ, servir à quelque chose, et j'aurais une chance de devenir un guerrier. Mon habituel sourire se redessina sur mes lèvres et je cognais mes doigts contre la porte. J'attendis que l'on m'invite à entrer et je refermais la porte derrière moi. Je me retrouvais dans une grande pièce avec un bureau sombre et derrière ce bureau, un grand homme au cheveux bruns et aux traits sévères. Je m'avançais de quelque pas et pris finalement la parole.

Bonjour. Je me nomme Lewän Kihan et j'ai 17 ans. Je viens juste d'arriver et je viens me présenter pour suivre une formation guerrière !

Je m'étais approcher et je pouvais maintenant distinguer son regard qui me détaillait minutieusement et sa barbe en pointe donnant l'impression que son visage était plus alongé qu'il ne l'était vraiment. Il me regarda et j'attendis une réponse de sa par en espérant qu'elle allait être positive.

Autres

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Citation :

Aziel écrivait, les lèvres pincées. C’était l’une des rares fois où il s’était senti obligé de recommencer une lettre. D’habitude, une fois lancé, il se contentait de ce qu’il avait écrit, de ses longues phrases parfois un peu pompeuses mais somme toute convenables et adéquates. Mais cette fois ci … Il fallait dire aussi qu’il n’avait pas tout à fait l’habitude de déclarer un décès à une famille dont il ne connaissait pas grand-chose, voire rien du tout. Habituellement, il n’envoyait ses condoléances qu’aux personnes qu’ils côtoyaient, de près ou de loin, et préférait même leur donner de vive voix. Mais cette fois ci, il ne pouvait pas. Il ratura un nouveau mot, et, soupirant, attrapa une nouvelle feuille. Cette fois ce serait la bonne. Il n’avait pas de temps à perdre.

Evidemment, ce fut ce moment que choisit le nouvel élève pour frapper à la porte. Aziel se redressa sur son siège, fixant la porte. Et comme d’habitude, ordonna plus qu’il ne permit d’entrer. Le futur élève entra alors. Comme d’habitude, Ril’Krysant procédait à un examen minutieux de ce qu’il avait devant les yeux. Il tentait de deviner, à chaque fois, ce que serait le nouvel arrivant, guerrier ou dessinateur, respectueux ou rebelle. Avant qu’il n’ouvre la bouche, évidemment ; sinon, cela perdait tout son sens. Il avait refermé la porte, cela étant déjà un bon point pour lui. Car, rappelons-le, Aziel avait horreur des portes ouvertes. Il s’avança ensuite vers lui. Ne prit pas la peine de le saluer comme il l’aurait dû. Et avait mis un peu trop d’enthousiasme dans sa voix, à son goût. Soit, il n’était après tout pas là pour juger, et cette Académie avait pour prétention de recueillir chaque personne voulant y apprendre.

Guerrier. Il songea, un peu cyniquement, que la maison Aequor venait de perdre l’une de ses seules guerrières. Comme il venait à point pour la remplacer … En tout cas, voilà qui était décidé. Il tira une boîte d’un tiroir, en sortit la bague sertie d’une pierre bleue et la remit au jeune homme.

- Hum, je suis ravi de vous accepter dans cette Académie, néanmoins … il y a quelques soucis avec les maîtres d’arme. Je compte bien évidemment régler ce problème au plus vite afin que vous puissiez avoir des cours. Et à propos de votre maison, la vôtre sera Aequor. Votre salle commune et dortoir se trouvent au deuxième étage de l’aile ouest. Des questions ?

Aziel posait toujours cette question à la fin, mais bien souvent, les élèves ne lui demandaient rien, préférant se référer à leurs camarades.