Reconnaissance

Anaïel se remuait les pensées tandis que maafax et elle circulaient sous terre, se rapprochant toujours plus de l'odeur noséabond qui blessait leurs narines, tel de l'amoniac concentré.
Ses yeux brillaient étrangement dans la pénombre, comme sils étaient éclairés de l'interieur.
Maafax se posait des questions sur l'étrange phénomène, mais avant d'avoir pu ouvrir la bouche, un sifflement retentit. lointain. Aucun risque, Anaïel ne trésaillit qu'a peine et maafax se demanda pourquoi.
Comme si elle avait lu ses pensées elle expliqued'une voix sifflotante :
- je suis sure que tu as deviné que c'était un ts'liche.
Maafax acquiésa.
- Il es encore très loin continua Anaïel. Elle le ragrda à son tour dans les yeux et se fut lui qui voulu les détourner cette fois si, mais il resta sur ses position.
Anaïel gigotait sur place, était nerveuse, mais ne savait pas si elle devait se dévoiler à ce garçon qui était encore un étrangé une semaine avant. Elle opta pour un compromis et siffla, dans la voix une promesse qui ne pouvait signifier autre chose que la mort si il la trahissait :
- pour ta première question, non je ne suis pas faëlle. Tu as été franc avec moi, je le serais avec toi, mais pas aujourd'hui. Je te parlerais une fois rentré à l'académie, si tu le souhaite toujours.
Elle lui sourit ambigueusement :
- juste un indice, je ne suis pas humaine... encore moins que toi.
Maafax sursauta à cette dernière phrase. Comment pouvait-elle savoir qu'il était lui aussi une éxeption, que l'oeil d'otolep l'avait choisi ?
Quand il repris ses esprits, Anaïel se coulait lentement pour lui permettre de la rejoindre le long des parois de la galerie.
Soudain, un autre sifflement retentit. Tout proche.

Maafax sentit que Anaïel disait la vérité. Jamais une personne ne pourrais mentir sur l'oeil d'otolep. Son habitat, son lien avec sa vie. Tout en marchant d'un pas rapide mais discret, il songeait.

*Pas faël, cela m'arrange, je ne connait rien sur eux*

Il se tenait à moins d'un mètre sur le côté d'Anaïel. Prèt à bondir à tout moment. Il regrettait de ne pas avoir de lien avoir certains éléments. Pas d'eau et pas de feu. Cela limitait les possibilités.

Anaïel sursauta. Maafax la regarda, lui demandant par un simple regard ce qui se passait. En quelques heures un lien s'était tissé entre eux, ils avait chacun concience de la présence de l'autre et pouvait communiquer par un simple coup d'oeil.
L'instint d'Anaïel se manifesta comme une sonnette d'alarme, tissant sa toile dans tout son corp. Un sifflement.
La jeune fille se jeta sur Maafax et le renvers tandis qu'une flèche jaillit du néant lui aurait transpercé la gorge une fraction de seconde plus tôt.
Il se reçu souplement et fit un roulé boulé pour se retrouvé debout, cherchant l'archer.
Anaïel s'était plaquée contre le mur et Le garçon, ne la voyant pas pensa une seconde qu'elle s'était enfui, le laissant seul avec le tueur.
Celui si sortit de l'ombre. Un ts'liche armé d'un bel arc s'avança en grinçant de la chitine. Son sourir mauvais et haineux frappa le garçon au fond de l'ame mais il se repris vite. Le monstre jeta son arme et murmura, comme pour lui seul :
- il n'y a pas beaucoup de distraction dans ses tunels, je vais m'amuser un peu avec le misérable petit bout de chair que tu es...
Le garçon ne lui laissa pas le temps de finir et lui bondit dessus par surprise...

[le tue pas trop vite, jveux aussi ma part lol !! c'est plus marrant si je t'aide à en finir sh: ]

Ces yeux noirs devinrent blanc. Pourtant, la colère et la haine l'avait occupé. Il en était presque devenu allergique. L'arc flamba d'un trait. Heureusement pour le ts'liche qui l'avait laché.
Dans un saut, il plaqua ses mains contre les deux faces du visages du ts'liche. Il passa derrière lui. Il secoua sa manche. Un poignard en sortit. Il lui taillada la queue avant de l'enfoncer dans son flanc droit. Il monta sur son dos. Le ts'liche se débattait rageusement. Il voulut se plonger dans les spires mais en fut rejeté avec violence. Il s'arreta de bouger.

-Pathétique.

Maafax avait dit cette phrase dans un souffle unique.

-Pathétique.

Répéta t-il. Le ts'liche tendit ses bras vers l'arrière et attrapa de ses griffes l'air. Le garçon était déjà parti depuis quelues pouillème de seconde. Il avait sauté en avant. Mais au lieu 'atterir, il se maintient en l'air et frappa rageusement la machoire de l'animal avant de revenir au sol. Le ts'liche écroulé par terre émit un râle.
Il regarda Anaïel.
-A toi.

[mais heu c'est trop facil lol nan jdéconne t'inquiète !]


Anaïel s'avança d'une démarche féline et jeta un coup d'oeil au monstre. Celui si ouvrit de grand yeux quand il vit ceux à la couleur si inhabituelle de la juen fille. Son regard toujours vrillé dans celui du ts'liche, elle chantonna doucement. Un énorme rocher tomba du plafond et fit une bouilli de chitine. Le rocher boula contre toute attente en dirrection de la parois droite (qui montait en pente douce évidament...) et s'encastra dans le mur.
Anaïel sourit à maafax et continua d'avancer. L'odeur devint de plus en plus éceurante.

Maafax fut tenté de se pincer le nez tellement l'odeur devenait nauséabonde. Sous, l'eau, il n'avait aucun problème pour retenir sa respiration mais ici... De plus, compte tenu de l'environnement, il était hors de question de s'atrofier les mains à cause d'un envirronement qui devenait malsain. Il regarda Anaïel et lui demanda d'un regard *comment on fait?*

Anaïel ferma les yeux quelques secondes et se dirigea droit vers le mur, à une dizaine de mètre du tombeau du tsliche. Elle promena ses longs doights sur la roche etcelle si s'ouvrit. Un gommeur apparu. Juste une demi seconde, le temps que la jeune fille dégaine son poignard et le coupe en deux.
Les deux jeunes continuèrent leur marche et bientôt leur gorge s'irritèrent à cause de l'air malsain. On avait l'impression qu'une chape de poison flottait dans l'air, mais le danger n'était pas mortel, Anaïel en mettrait sa main au feu.
Maafax et elle entendirent un bruit. Une anfractuosité fut repérée et les deux adolécent s'y précipitèrent. Ils se colèrent l'un contre l'autre et le noir les recouvrit peu à peu.
Deux tsliches apparurent.
- Ysanec ne donne plus de nouvelle, mauvais signe.
- t'inquiète, si il est quelque part, on retrouvera forcément son corps.

Anaïel frissonna au son de la voix chargée d'une haine qui durait depuis des génération. Elle sentit Maafax respirer un peu plus rapidement et bougea un tantinet car une pierres était enfoncée dans son omoplate.
Les deux tc'liches arretèrent de parler.
La jeune fille se rendit compte que maafax se tenait près à passer à l'attaque. Elle tourna son visage vers lui. Ils étaient tellement près l'un de l'autre qu'ils se touchaient de temps en temps le bout du nez.
D'un regard chargé elle lui signifia de ne rien faire. Aussi doué qu'il fut, il ne pourrait pas abatre deux ts'liches sur leur garde. Même avec son aide.
Les deux ts'liches continuèrent leur recherche.
Et Maafax et Anaïel demeuraient blotit l'un contre l'autre dans l'anfractuosité de la roche, à l'abris des regards.

[ j'ai dit qu'on pouvait communiqué par regard, mais on peut parler aussi, sinon ça fait un peu vide :lol:]

Maafax le regarda. Le bruit des pas des ts'liches se repercutait tel des vibrations sur la roche. Quand elles furent presque imperceptibles, il sortit. Il toucha les parois de la roche et continua à avancer. Il aimait sentir le poids des éléments, même s'il n'était pas en accord avec la roche, cela ne l'empêchait pas d'en apprécier la caresse.
Ils arrivèrent à une intersection. Il passa sa main dans la directions des deux galeries. Il sentait la fraicheur venir de l'une d'elle.

*A droite*

Il prit le chemin et après avoir traversé la galerie dans sa longueur, il s'arreta. Un gigantesque mur d'éboulis recouvrait la galerie. Maafax posa son oreille contre.

-La roche n'est pas fraîche, le mur est recent.

Il se tut quelques minutes. Puis continua :

-Je confirme, il y a un accès vers l'extérieur juste derrière. Il y a un appel d'air. Je pense qu'il faudrait qu'on sorte, et continuer en dehors de la montagne pour reprendre l'accès plus haut. Cela nous évitera de faire de très mauvaise rencontre qui pourrais mettre en danger la princesse. Qu'en penses-tu ?

Anaïel hocha la tête :
- je te suis, à près tout tu doit mieu connaitre la montagne que moi.
Elle continua quelques secondes plus tards :
- mais n'oublie pas que nous sommes justes en reconnaissance et qu'on ne doit pas se battre pour sauver la princesse.
Elle le regarda au fond des yeux, attendant sa réponse

[pas le tps ce soir dsl ^^]

Anaïel jeta un coup d'oeil de biais à Maafax qui ne l'apperçu pas. Elle voulait savoir ce à quoi il pensait, et fu récompensée par un sourir satisfait qui lui présenta.
Le vent faisait voler les cheveux méchés de la jeune fille et briller ses yeux au dela de toute normal. Le vent, l'air, son élément, son complément... Elle tendis légerement les paumes vers le ciel et les notes pures et enchenteresse, notées d'une pointe féroce envahirent sa tête, son corps, chaques cellules de son être pour la faire devenir comme lui... libre, farouche et indépendante, puissante ou carressante...
Anaïel sentit vaguement comme une aura se dresser autour d'elle, ou plutôt à l'interieur d'elle, et tout lui paru possible. Tout.
Maafax la regardait avec des yeux ronds.

[petit trip avant la fin ]

Il prit ses lunettes et les mit sur son nez. Il sortit et marcha quelques instant dans la neige. Suivi de près par Anaïel, il commença à grimper sur la roche gelée. Il s'aggripait avec souplesse mais pas autant que le faisait Anaïel.
Il semblait sauter de paroi en paroi.
Il semblait s'élever dans les airs au lieu de s'accrocher pour ne pas tomber.
Il défiait les lois de la gravitation.
[juste un petit passage pour dire que c'est F=Gx(MxM')/d²]
Au bout de quelques minutes, ils étaient arrivé en haut.
Sans essouflement.
Aucune fatigue. Une vue imprenable sur l'Académie leur faisait face.Il se tourna vers Anaïel et lui dit :

-Si il m'arrive quelque chose, promet moi de faire ce que l'on te dira.

Il regarda Anaïel quelques instants puis souleva une couche de glace pour pénétrer dans une autre gallerie.

Anaïel sourit et répondit :
- je te retourne la phrase.
Maafax acquiesa et pénétra dans la galerie suivit de près par Anaïel.
L'odeur était suffoc ante mais les deux adolécents s'engagèrent sans tergiverser vers ce qu'ils pensainet être la caverne ou la princesse était retenue prisonière. Le chemin glissait en pente douce mais quelques graviers toquèrent en bas dans la paroi, au premier tournant.
Les deux adolécents débouchèrent dans une petite salle, à peine plus grande qaue la galerie. Anaïel tendis le bras et areta Maafax avant qu'il n'entre.
- fait attention, il ya quelque chose de louche ici.
La jeune fille ne pouvait ignorer la sonette d'alarme qui avait retenti en elle à l'approche de la grotte. Quelque chose se préparait dans l'ombre.

un sifflement très tenu retentit. Anaïel te Maafax plongèrent à terre avec la mmee soudaineté qu'on aurait dit qu'ils savaient ce qui allait se passer. Une vinghtaine de flèches empoisonnées rasèrent leurs tête et se fichèrent dans le mur d'en face. Quand les deux adolécents se remirent sur leurs jambes, étaient couvers de boue et le sang tachait leurs genoux.
Anaïel avança lentement vers le bout de la galerie et rien ne se produisit. Elle savait ce qui se passait. Elle en avait froid dans le dos.

Elle se retourna soudainement vers Maafax et lui expliqua se qui allait se passer d'une voix basse et sourde, loins de sa voix habituelle :

- il faut partir, je sais ce qui se passe.Ses flechettes ne sont qu'un moyen de masqué l'alarme qui se déclenche si quelqu'un passe ici. Les ts'liches vont rappliqués ici dans moins d'un quart d'heure, ils ne se presseront pas mai la salle est tout près, et nous ne sommes pas de taille à affronter la légions de ts'liches et de mercennaires qui s'avance maintenant vers nous.

Maafax cilla et lança :
- comment sai-tu sa ? tu m'a dit que tu n'était jamais venue ici. et ce piege ,e figure sans doute pas dans les tracés qui sont pareils de montagnes en montagnes.
- je le sais c'est tout, répondit-elle en détournant les yeux. Il faut qu'on rentre mais si on continue, on risque, ou plutôt on va se faire déssaper net !! [ allez une ptite citation 2007 :p]

Maafax réfléchhit pour répondre.

Maafax éprouva un regret, abandonner si près du but. Il jeta un dernier coup d'oeil dans la galeries avant de sortir. Il regarda Anaïel quelques instants.

-Il vaut mieux rester sur ce versan. Ils doivent se douter que nous avons découvert leur cachette et je pense qu'il vont essayer de nous intercepter.

Il n'attendit pas qu'Anaïel répondent. Il marcha une ou deux minutes pour revenir en face de la falaise qu'ils avaient précédemment gravit. Il se mit sur le rebords et dit :

-Cours le plus vite possible vers l'Académie, j'ai quelques chose à faire avant de rentrer. Je te retrouve là bas.

Maafax s'accroupit et plongea en avant. Il descendait à pic vers les rochers qui formait une terrasse 500 mètres plus bas.
Après avoir parcouru la moitié de la chute, il se roula en boule avec souplesse. Il formait à présent une sphère quasi-parfaite. Ses deux mains se pointèrent vers le sol. Le choc fut violent. Un craquement énorme se fit entendre au moment du contact. Maafax réenroula ses bras et se laissa rouler jusqu'en dehors de la vue d'Anaïel.
Sur le sol, des craquelures s'étaient formés.

Anaïel était frustrée de ne pas savoir ce qu'allait trafiquer Maafax. Elle resta 5 bonnes minutes à essayer de saisir les notes du vent que les flocons lui apportaient. Elle tourna soudain les talons et courrus jusqu'à l'académie, aussi éphémère et insaisisable qu'un feu folet.

====> académie