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 Incomplétude des didascalies, qu'elle disait.

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Anonymous

Invité

MessageSujet: Incomplétude des didascalies, qu'elle disait.   Incomplétude des didascalies, qu'elle disait. Icon_minitimeJeu 10 Déc 2009 - 22:08


[Sil'Loïs, Anastasya Elvìre Naëldra]



    C'est qui ?


Race : « J'ai deux pieds, deux jambes, deux genoux, dix orteils et dix doigts, je devrais donc être assez proche de la race humaine. Mais après tout, on ne sait jamais, mon arrière arrière grand-mère était peut-être à moitié raï ... »
Age : « Vingt-et-un, si j'en crois mon père. Il le sait mieux que moi, demandez-lui. »
Classe : Pas classe « Combattante. Vous y avez cru ? Dessinatrice, en fait. »
Enseignement suivi : « Un peu de tout, ma foi, quand l'envie me prend. » [Campagnonnage]


    Elle n'était pas vraiment belle-euh ♪♫

J'ai les yeux orange, les lèvres claires et la peau fine. Ou peut-être que je me trompe. Je me trompe ? Bon, j'ai point les lèvres claires, alors. Quoique. Si, en fait, j'ai les lèvres claires. Enfin, je crois.

« Et regarde quand tu souffles dans le froid, ça fait un nuage … »

Tarabethia n'est pas de ces personnes subtiles, au charme discret et à l'attitude raffinée … Non, Tarabethia elle fait mal aux yeux, tant elle tranche sur le décor. Elle fait pitié, elle fait sourire, pleurer, attise le mépris, l'étonnement, l'incompréhension, nourrit la curiosité, le rejet aussi ; mais la subtilité, ça non, ce n'est pas elle. C'est tout sauf elle.

« Et quand tu souffles dans l'eau, ça fait des bulles. »

Elle n'est pas bien grande, pas vraiment petite non plus, de taille moyenne, si l'on peux dire ainsi. Pas bien grosses, pas maigre non plus, mince peut-être. Un corps menu et tendre, enfantin, presque. Peu musclé, sans être malingre, commun, enfin. Elle ne gagnerait pas un bras de fer, pour peu que son adversaire ait plus de muscles qu'une gamine de sept ans. Et encore. Pourtant, dans ses loques de reine déchue, l'enfant femme dévoile par des mouvements amples et libérés une assurance sans limites, presque gênante. Comme si elle n'avait peur de rien. Comme si elle était invincible. Ce qu'elle n'est pas, qu'on se le dise ... Le fait est qu'elle court vite. Quand on a couru toute sa vie, on développe certaines capacités pour le replis défensif ... ou la fuite, lorsqu'on exècre les détours.
Dans ce tableau pour lors d'une rare normalité, l'on trouverait presque pitoyable de voir ce corps si banal se donner autant en spectacle. Patience.
Car l'enfant n'en reste pas moins une représentante de la gent féminine, avec pour preuves à l'appui des formes particulièrement développées au niveau du sternum, malgré des hanches discrètes. Elle en aurait été presque déformée si son torse n'avait pas été si étroit, forçant ses appas généreux à aller de l'avant au lieu de s'étaler ... Peut-être leur force vient-elle de là. Mais passons.

Au-dessus de tout cela fleurit un visage de poupée, à la blancheur et la finesse de porcelaine ; lisse et uni, relevé de quelques rougeurs au niveau des joues lorsque les soirées tranquilles virent à la débauche. Un visage expressif, et parfois - souvent - tordu par des sourires démesurés, ou des éclats de rire incontrôlés. Rarement par des pleurs. Un visage possédant un certain charme, sans pour autant être un modèle de beauté. L'on passerait à côté sans vraiment sans rendre compte, s'il n'y avait que cela.
Sous un front rond et lisse animé de fins sourcils de rouquine se démarquent deux grands yeux élégamment relevés de noir et parfois d'arabesques tracées au pinceau, fenêtres ouvertes sur un monde d'étincelles rieuses et de reflets. Des iris claires, portant une couleur difficilement définissable, entre le gris-vert et le blanc laiteux. Un poète parlerait de la couleur de l'écume, un gastronome de celle de la chair d'une huître ; à chacun sa vision des choses …
Entre des pommettes rondes et peu saillantes s'étend un nez incurvé vers le haut, aux ailes mobiles, se terminant sur une bouche fine et claire, tantôt teintée d'un rose pâle. Des lèvres sensibles, qui se gercent au moindre froid, et s'ouvrent sur deux rangées de dents légèrement jaunies par un mode de vie peu estimable. Au moins auront-elles le mérite d'être droites.
Autour de ce visage dansent des boucles oranges, vaporeuses et aériennes, s'étendant jusqu'aux hanches de la demoiselle. Des boucles chéries, soignées, parfois convoitées, qui dénotent avec violence sur la blancheur d'une peau de porcelaine. L'on aurait presque peur que ces flammes orangées dévorent son visage si fragile.

Et ici commence le chaos. Car se serait-elle promenée dans la plus simple des robes que seule sa chevelure aurait pu la démarquer d'autrui ... Mais ce n'est pas le cas. C'est une excentrique. Une bizarrerie. Elle ne porte que des habits de la haute noblesse, mais les chemins les ont tellement déchirés qu'on la croirait vêtue exclusivement de loques. Des loques colorées et vives à outrance, ornées de chaînes et autres accessoires qui font de ses tenues de véritables patchworks, à mi-chemin entre la haute-couture et le ridicule. La vérité, c'est que l'attitude tonitruante et libérée de la jeune femme lui donne surtout une allure de débauchée vulgaire et trop joyeuse, sans que cela ne semble la gêner. Après tout, n'est-ce pas ce qu'elle est ?

    Et toi j'te connais pas, et t'es plus ma copine ♪♫


« Y'a comme un grain, dans cette petite tête. Comme un vide. Une case qui manque. J'sais pas, y'a un truc qui cloche.»

Y'a comme un grain, dans cette petite tête, oui. Quelque chose qui ressemble à de la folie douce, peut-être. Quelque chose qui fait qu'elle ne ressent pas les limites de la pudeur ... qui fait qu'elle ne sait pas faire la différence entre le bien et le mal. Elle n'a aucun principe, aucune morale ; juste quelques vagues idées de codes enseignées par sa famille paternelle.
Et dépourvue de ce bon sens qui nous semble si naturel, ses choix deviennent hasardeux, illogiques. Que choisir entre la vérité et le mensonge ? Aujourd'hui je mens, demain on verra. Je l'étrangle, ou je me laisse faire ? S'il cligne plus de trois fois les yeux dans les cinq secondes qui suivent, je l'étrangle. Et c'est toujours ainsi. Des décisions portées sur un facteur exterieur, qui n'a rien à voir avec le sujet.
Tarabethia a déjà eu l'idée de se suicider. Ce fut un roseau qui la sauva, en résistant au vent.

Il n'est donc pas difficile de deviner que la vie menée par cette jeune fille est parfaitement chaotique. Il est en revanche délicat de la décrire comme sympathique ou désagréable, quand elle peut un jour faire preuve d'une générosité sans borne et le lendemain devenir la pire des pestes ... Ce qu'elle est aux yeux des autres ne dépend que de ses choix, qui sont faits de façon arbitraire. Alors que se passe-t-il, dans sa tête à elle ? Des shémas. Des maths. De la même façon que a + b = x, sourire + gâteau résulte à J'aime. Elle aime. Ou elle n'aime pas. Elle ne trouve ni gentil, ni méchant, ni bien, ni mal, elle aime. Ou pas. Ce qui ne décide en rien l'attitude qu'elle adoptera vis-à-vis de ce qui fait l'objet de son amour ou de son absence d'amour ... On arrive alors à des résultats étranges, parfois.
Ceci dit, le cas de Tarabethia n'est plus aussi extrême, car vivre dans une communauté saine depuis maintenant cinq ans lui a appris quelques principes basiques qui font d'elle une jeune fille à la compagnie agréable, aux réactions quelque peu étranges, mais pas tant que ça. On parviendrait même à trouver une logique dans la plupart de ses actes.


Principale(s) qualité(s) : Hm. Persévérante. Elle a un certain courage.
Principal(s) défaut(s) : Instable. Si ses airs de mignonne donnent envie de lui faire confiance, elle n'en reste pas moins dépourvue de morale et pourrait changer radicalement si un choc venait à troubler ses habitudes.
Particularité(s) : Elle cache sa noblesse sous un faux nom.
Capacités : Des capacités dans l'érudition majoritairement ... Elle est faible, ses reflexes sont médiocres, sa souplesse laisse à désirer et son endurance n'est pas des meilleures. Quant à son don, il n'est pas extraordinaire non plus. L'on peut en revanche noter un sens de l'équilibre plutôt impressionnant, ainsi qu'une sensibilité tactile singulièrement développée qui lui vaut de craindre particulièrement les températures trop basses ou trop élevées.

    Celle qu'on prenait pour une fille de joie, une fille de rien ♪♫


Situation familiale : « Mon père vit quelque part à Al-Vor avec ma belle-mère, mon frère jumeau et ma demi-soeur de trois ans. Quant à ma mère, je n'ai aucune idée de l'endroit où elle se trouve ; peut-être même n'est-elle plus de ce monde. »
Situation sociale : « Ni argent ni titre, je suis une fille des rues. » [Fille d'un riche ambassadeur attaché à l'empereur d'Al-Jeit, Tarabethia, de son vrai nom Anastasya Elvìre Naëldra est issue de la haute noblesse.]

Histoire :

Papa, pourquoi elle est partie Maman ? [...] Mais le monsieur des étoiles, il la ramène quand ? [...] Pourquoi ? Il est méchant ? [...] Mais s'il ramène pas ma maman, je l'aime pas. [...] Moi j'ai envie de voir Maman. [...] Elle ressemble à quoi Maman ? [...] Elle en a de la chance. [...] Pourquoi elle les a coupé ? [...] Mais Papa, est-ce qu'il y a des oiseaux, dans les étoiles ?

Papa, pourquoi le monsieur des étoiles il a toujours pas ramené Maman ? [...] Mais ils ont eu le temps de visiter toutes les étoiles, non ? [...] Papa, pourquoi tu pleures ?

Papa, c'est elle, Maman ? [...] Si c'est pas Maman, pourquoi elle dort dans ton lit ? [...] Elle aussi elle a vu le monsieur des étoiles ?

_________


[En cours]



    Et sinon, tu fais quoi dans la vie ?


Comment avez-vous connu ce site ? En tapant 'Mireille Mathieu et la revanche des endives' dans Google.
Autre chose à nous dire ? Cette fiche est en cours, au cas où ...


 
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