Myra Ril' Otrin (Dessinatrice - Assistante du Maître dessinateur)

Description générale

- Nom : Ril’Otrin
- Prénom : Myra
- Race : Humaine
- Age : 36 ans
- Alignement : neutre bon
- Classe : Dessinatrice
- Enseignement dispensé : Enseignement traditionnel


Description physique et mentale

- Description physique : De longs cheveux or, lisse, retombant autour d’un visage fin avec des yeux couleur renard, un nez fin, de petites lèvres et des joues roses. Myra a un corps fin, mais pas très musclé, mais elle voudrait bien l’être un minimum. Elle porte généralement une robe blanche, mais ça lui arrive de porter un pantalon avec une tunique et un poncho, quand il fait froid. Ses yeux change parfois de couleur, par rapport au temps, quand il fait moche ils sont orange foncé et quand il fait beau orange clair, mais la plupart du temps ils sont de la couleur du pelage d’un renard. Sa peau est halée et elle a un grain de beauté juste en dessous de l’œil droit, ses yeux attirent plus l’attention qu’autre chose, car ils sont magnifiques. Elle fait environ un mètre septante, elle a de petits pieds sur lesquels elle mets des bottes brunes et elle a des mains pas trop petite avec de longs doigts, sur le majeur de la mains gauche, elle porte une bague avec un rubis orange qu’elle n’enlève jamais, c’est un cadeau de famille.

-Description du caractère : Myra adore s’amuser, partager avec les autres ses connaissances en matière de dessin ou d’autres, elle rigole sans arrêt, mais sait aussi être sérieuse quand il le faut et même des fois, ça lui arrive de crier sur les gens, mais pas souvent. Il faut vraiment réussir à la mettre en colère et toucher ses points faibles. Sinon elle est extravertie, agréable à vivre et très gentille, parfois trop. Ça lui arrive de pêtter un câble, de pleurer d’un coup et qu’après cinq minutes ça soit passé, mais ensuite elle redevient toujours souriante. Mais attention au futur élèves, quand elle se mets en colère il faut faire attention, elle serait capable d’utiliser son don pour vous punir et se serait pas drôle du tout, car quand elle s’énerve, elle s’énerve.

- Principale(s) qualité(s) : généreuse, courageuse, ouverte

- Principale(s) défaut(s) : agressive quand elle s’énerve (voir le caractère ^^), veut toujours faire plus que ce qu'elle peut

- Particularité(s) : Quand elle a fait l’analyse de son don, il y avait les cercles du pouvoir et de la volonté étaient superposés, mais le cercle de la créativité était un peu plus grand, son don était assez puissant.


Vécu et histoire sociale :

- Situation familiale : Ses parents étaient Sentinelles et avaient de très grand dons eux aussi, elle n’a pas de sœur ni de frères et ne connaît pas le reste de sa famille.

- Situation sociale : Myra est noble, mais a passé son enfance à jouer dans les rues d’Al-Jeit avec des enfants de la rue.

- Histoire :

Quand Myra était petite, elle aimait bien aller jouer dehors, et elle s’était fait un ami qui s’appelait Dellan, c’était un petit garçon qui habitait loin de chez elle, alors ses parents l'accompagnaient toujours en faisant le pas sur le côté pour le voir, mais le quartier était plein de gros hommes bourrés durant toute la journée. Un matin, alors qu’elle venait à peine de finir de déjeuner, elle fit un bisou à son père et sa mère, puis s’éclipsa dans sa chambre pour prendre son petit sac à dos qui était à son habitude, sous son lit. Elle alla vers sa mère qui l'emmena volontier chez son ami. Comme à chaque fois, elles arrivaient devant la porte d’entrée, sa mère repartie et Myra toqua, mais cette fois personne ne répondit. Elle se dit qu’il était parti quelque part et que se n’était pas prévu, alors elle alla faire un petit tour dans les environs. Elle traversait des centaines de rues différentes toute différentes les unes des autres, et bientôt elle arriva dans un marché. Myra adorait ça, les gens qui criaient des mots incompréhensibles tellement il y en avait, des centaines d’étalages avec pleins de jolies choses qui, parfois, ne servaient strictement à rien mais on se sentait obligé de l’acheter. Elle passa devant un vendeur de gobeur d’ombreuse, il en avait un sur l’épaule. Il était magnifique, d’un vert émeraude, elle aurait eu envie de le caresser si il n’avait pas été aussi haut, ses yeux brillaient de milles feu devant le reptile, puis elle défit le lien qui les avait uni pendant une folle seconde en regardant un autre objet. Une boite en bois où il y avait écrit quelques mots, mais elle n’arrivait pas à lire, les lettres étaient trop abîmées, mais la boite, elle, sortait de l’ordinaire. Elle n’en avait jamais vu pareille, deux oiseaux étaient uni tournaient l’un sur l’autre, mais le plus étonnant c’est qu’elle ne connaissait pas la race de l’animal. Ils étaient d’un orange qui virait sur le rouge, avec des longues plumes qui s’entremêlaient entre elles.
- Tu la veux, fillette ? demanda le vendeur qui la fit brusquement sursauter.
- Euh... je... je ne sais pas, c’est combien ? Begeya-t-elle.
Il la regarda, lui fit un grand sourire et lui tendit la boite :
- Pour toi, ma jolie, c’est gratuit.
Elle le regarda d’un air perplexe et ensuite lui fit elle aussi à son tour son plus beau sourire.
- Merci beaucoup ! Mais je voudrais faire quelque chose pour vous.
Elle se concentra, ferma les yeux et deux seconde plus tard, une magnifique rose en cristal apparue sur le comptoir de l’homme.
- Voilà pour vous remercier, mais bien sûr c’est qu’un dessin, j’aurais voulu pouvoir faire plus.
- Ce n’est pas grave tu en a déjà fait beaucoup en venant jusqu’ici, car rien que de te voir, ça m’a redonné la pêche et la bonne humeur. Tu es une petite file mignonne et tes parents doivent être fier de toi. Très fier.
- Merci, bon je dois rentrer, au revoir et peut-être à une prochaine fois !
Myra se retourna une dernière fois pour lui faire un signe de la main et il lui sourit gentiment. Elle fit son pas sur le côté, avec dans son sac, la petite boite ronde aux oiseaux inconnus.

Quand Myra eut 18 ans, ses parents lui offrirent une bague avec un magnifique rubis. Elle appartenait à sa grand-mère, et l’objet se passait de fille en petite-fille, alors depuis elle ne l’enlève plus. Elle la porte toujours, dans n’importe quelles situations, quand elle se baigne, quand elle dessine, quand elle mange, quand elle voyage, tout le temps. En septembre, elle commença à étudier l’art du dessin, même si elle l’avait déjà travaillé toute seule chez elle, en cachette. Ses professeurs étaient tous très impressionné qu’elle sache déjà beaucoup de choses pour son âge, le fait qu’elle soit déjà capable de faire le pas sur le côté les intriguait. Ils voulurent faire une analyse et les résultats qu’ils trouvèrent les impréssionnaires encore plus. Les cercles de la volonté et du pouvoir étaient très grands et superposé avec ça, mais le cercle de la créativité était un tout petit peu plus grand que les deux autres, son pouvoir était presque le don absolu. Sur ce, ses enseignant la fit travailler encore et encore pour voir jusqu’où elle pouvait aller, mais à chaque fois elle les impressionnait de plus en plus, mais ce fut le jour où elle dessina cet étrange animal sur la boite que l’homme lui avait donné qu’ils décidèrent d’arrêter, ils ne voulaient pas qu’elle les dépasse en puissance. Certe, l'animal était en bois, mais il était impressionnant. L’oiseau avait été une grande surprise pour eux mais encore plus pour Myra, car elle se souvenait des deux oiseaux sur la boite, mais ne se rappelait pas avoir voulu en dessiner un. C’était un oiseau de feu, il n’avait pas de plumes normales, non c’était des plumes de feu. Il était magnifique, majestueux et mystérieux à la fois. Le soir même elle voulu réessayer mais cette fois en modèle réduit. Elle se concentra, entra dans l’imagination, montait de plus en plus dans les spires, modulait son dessin, modifiait des couleurs, des formes, mais cette fois il ne se passa rien. Elle fut profondément déçue.

Elle grandit encore et encore, toujours avec le même entrain, elle gagnait en assurance et en beauté de jour en jour. Elle eut 23 ans et elle voulu partir, voir le monde, elle en avait marre du train train quotidiens, elle voulait changer de monde, en gros prendre l’air. Elle en parla à ses parents, et le soir même elle était partie sur les chemins de la solitude et de la liberté.


Autre :

- Comment avez-vous connu ce site ? ben... c'est plus que facile, je suis la ch'tite suisse, Ichel Calwin

Alors alors... Je ne vois rien à redire, tu as modifié ce qu'on a vu qu'il fallait modifier o/

Re-bienvenue à l'Académie, et bonne chance pour les cours, chère collègue!

Merci chère collègue
Je ferais de mon mieux !!