Cours marchombre (RP terminé)

L'été pointait maintenant le bout de son nez.

L'air se déja plus doux se réchauffait considérablement au fur et à mesure des jours qui avançaient vers la saison chaude. Des oiseaux qui n'avaient pas encore osé chanter piallaient allègrement, et deux buses blanche enroulaient les thermiques au dessus des jardins que la jeune femme traversait d'un pas léger. Elle regardait devant elle, impassible, se laissant aller aux caresses du vent sur ses joues et ses épaules. Elle laissa l'odeur des fleurs caresser ses narines et esquissa un sourire. Elle arriva enfin dans la cour, et accelerra sensiblement le pas. Elle jeta un rapide coup d'oeil aux bâtiments principaux, puis s'arrêtta devant l'entrée principale. Elle tendit l'oreille et fondit dans le vent. Elle entendit un bruit lours et régulier, et devina aisément que des chevaux, tirant sans doutes des charettes, s'approchaient. Ils seraient là dans moins d'une heure, jugea t'elle.
Elle reprit sa marche et entra dans la forge. Elle avait discuté avec Silind quelques jours auparavant, et tout devait être prêt. En effet, quand elle entra, l'habile forgeron travaillait tranquillement. Le visage mouillé de sueur, les mains épaisses enserrant une tige de métal au poids sans doute prodigieux. Elle se faufila dans un coin et se laissa aller au spectacle qui s'offrait à elle. Les mains puissantes domptant le métal fumant, la fournaise brûlante dégageant une chaleur mordante, et la concentration intense de l'Homme. Il était muscle et force à l'état pur. Il domptait le métal et en faisait son empire. Elle heurta une barre métallique pour signaler sa présence, et le forgeron se retourna. Elle le salua, et celui-ci lui indiqua l'endroit qu'elle pouvait utiliser. Il s'agissait d'un coin déblayé, plat, situé devant une forge dont la porte laissait filtrer un rayon rougeâtre. Le sol dallé était protégé par un métal, sans doute plus résistant que les autres. Terminant sa tâche, Silind la rejoignit bientôt, et lui démontra de nouveau son adresse, en ouvrant la forge, puis déversant les braises sur la grand plaque de métal. Moins chaudes que celle utilisées généralement, les braises ne firent pas fondre le métal. Ena le remercia d'un sourire et d'un signe de tête, et s'éloigna un peu. Elle vérifia que de l'endroit où elle se trouvait, elle n'était pas vue, puis attendit patiemment, sentant la chaleur imprégner son dos, frôlant la lmite du raisonnable...

On avait avertit Khelia que le cours aurait lieu à la forge, elle avait acceuillit avec bonne humeur cette nouvelle, mais dans son for intérieur elle se demandait ce qu'elles pourraient bien faire la bas. Elle était partit tôt pour pouvoir profiter de quelque minutes avec les chevaux et pour espérer croiser Alunia, ce qui avait raté d'ailleur, elle n'avait pas vu la jeune lotra depuis leur conversation dans l'arbre et elle pensait qu'elle avait trop de travail à récupérer pour venir flaner dans l'écurie.

Elle sentait lentement le froid diminuer et même si elle avait connue plus chaud, elle en était contente.

*En parlant de chaleur, je ne dois pas être loin de la forge!*

Elle vit la forge de loin, et la sentie après, une chaleur étoufante régnait dans la pièce, une pièce ou elle n'y avait encore jamais mis les pieds. La salle était de taille respectable, des outils envahissaient la pièce et la rendait plus petite. Un feu énorme ronflait dan une cheminée ce qui rendait des contraste saississant entre la lumière et l'ombre, Silind était visible, elle connaissait le forgeron que de nom, Elera était déja arriver, mais elle ne voyait pas Ena, Khelia pensait à juste titre qu'elle était comme à son habitude cacher dans les zones d'ombres.

-Bonjour Elera, Dame Ena, Silind!

La jeune femme avait laissé ses yeux suivre la danse rougeoyante du métal. La martèlement des aciers sur l'enclume, tout au bord des flammes intenses, frappait ses oreille en cadence. La fumée de l'eau jetée avec un soin précieux sur les lames brûlantes effleurait ses joues et caressait son nez, qui se fronça dans l'attente de l'odeur âcre qui ne vient pas. L'eau chuintait, crissait, puis doucement se taisait. A chaque marteau qui s'abattait, des étoiles filantes s'éparpillaient délicatement comme dans un ciel ombrageux. Elle se détourna enfin du spectacle des mains large et des coups sonnants pour apercevoir Elera et Khelia, l'une après l'autre. Elle resta appuyée au mur de pierre, et attendit patiemment. Le regard d'Elera à Silind ne lui échappa pas. Elle savait déjà que sa jeune apprentie tentait d'apprivoiser le métal. Qui sait, peut-être ferait-elle une bonne forgeronne? L'idée même que l'apprentie prometteuse puisse s'éloigner de la voie de liberté qui s'offrait à elle sans retenue lui tira un frisson. Non, oublier ça. Elle offrit un sourire léger à Khelia, puis leur fit signe d'approcher. Sous ses pieds nu, la pierre froide et rugueuse la griffait, mais peu lui importait. Son visage s'effaça et devint vulgaire masque de froideur et de neutralité. Elle recula lentement, glissant contre le sol. La statue de marbre qu'elle semblait être devenue vola en éclat quand sa voie, chaude et profonde, s'étira en un murmure à peine audible.

- Le brasier de la vie n'est jamais que l'un des brasier du monde...

Puis, sèchement, elle se détourna des deux apprentie et glissa. Juste derrière elle se trouvait le charbon et la plaque métallique. Dans un élan mélodramatique, son pied se souleva, et sa plante rencontra les braises. La chaleur gagna instantanément son pied, mais avant que la brûlure ne puisse se tracer, elle avait déjà disparu. Elle caressa le bois brûlant, dansa sa tarentelle à la dérobée, chanta sa mélodie incongrue et souffla son immense ardeur. Elle se fit brûlante à son tour, sourit avec les flammèches, murmura sa légèreté. Elle chuchota des mots fiévreux et dévorant à la fournaise. Sa peau se fit enflammée, ses cheveux torrides, ses gestes ardents et passionnés. Son sang incandescent embrasait ses veines et son âme fervente et vive flamboyait dans un univers de flammes étincelante.
Quand elle cessa enfin son tango indiscible, qui n'avait été pourtant que douceur et légèreté, finesse et sérénité, elle posa de nouveau ses pieds sur la dalle froide. Ses plantes semblèrent s'irriter de sa froideur, mais elles s'adaptèrent, dociles. De l'autre coté du brasier se tenait toujours les deux jeunes fille. Son ballet endiablé avait duré de longues minutes et pourtant un instant bref et fugace. Elle ne prit pas la peine de regarder leur expression, cela ne l'intéressant guère. Se baissant prestement, elle saisit entre ses doigts une petite braise incandescente. Ses yeux caressèrent sa forme gutturale, et ses traits abrupt et calleux. Tracé de droites acharnée et rocailleuse, elle semblait sauvage et trapue, rêche jusqu'à son cœur. Son regard brûla des nuances de noire et d'orange jusqu'à ce que doucement s'éteigne la flammèche intrépide. Puis, d'un murmure souple et grave, elle demanda:

- Pourquoi les braises brûlent-elles?

Et elle referma sa main sur le charbon noir encore brûlant.

La danse d’Ena lui rappelait tellement la première Marchombre qu’elle avait rencontrée… Ellundril Chariakin. Sa silhouette tremblait derrière chaque geste de son Maître. Ballet de feu. Des étoiles apparurent dans les yeux d’Elera alors qu’ils attrapaient la lumière. Comment décrire l’indescriptible ? Les mots sonnèrent dans sa tête. Ou plutôt, pas des mots. Des images, des pensées, des émotions qui ne deviendraient jamais des lettres entremêlées.

Danse du brasier qui brûle pour le soleil
Emoi aux ailes incandescentes
Union de deux flammes qui s’enroulent et s’embrasent

Elle ne répondit pas à la question d’Ena. Son silence, c’était sa réponse. Avant sa rencontre avec Ena, elle aurait sûrement cherché une explication plausible sur le feu, sur le toucher, et comment le corps ne pouvait pas supporter les brûlures. Avant d’avoir contemplée sa danse, elle aurait répondu que les braises brûlaient parce qu’elles brûlaient. C’était dans leur nature, tout simplement… Parce que. Comme elle était marchombre parce qu’elle était marchombre. Mais ce n’était pas exactement vrai. Une braise brillant seule dans le noir ne brûle personne… Comme le pied n’a pas à s’enfoncer dans la neige, la peau n’a pas à brûler en effleurant les étincelles. Dans sa tête, tout était clair à la lumière du feu…

Elle se souvenait du cours dans la neige. Et, la glace à peine fondue sur le lac aux premières lueurs du printemps, elle s’y était rendue, seule. Elle avait laissé les vagues lui lécher les pieds pendant longtemps, figée droite devant le vent, à écouter l’écume. Et puis finalement, la statue c’était mise en mouvement. Elle avait posé un pied sur la vague. Et elle était partie. Un pas, un deuxième ; l’eau n’était pas aussi délicate que la neige, mais plus joueuse, plus vivante. Elle avait suivi les vagues, sans jamais empêcher le courant de se rendre là où sa force le poussait. Et elle avançait, elle avançait sur les flots à l’emprise glacée mais pure. Elle s’était laissée couler. Comme une main, le courant l’emportait vers le fond. Sous l’eau, elle avait éclaté de rire, heureuse… Plus tard, lorsqu’elle s’était enfin décidée à laisser le bassin derrière elle, trempée et frigorifiée, et pourtant se sentant mieux qu’elle ne l’avait jamais été, elle avait croisé plusieurs élèves dans les allées. Quelque chose de mystérieux brillait sur son visage… Comment pouvaient-ils vivre, sans ce savoir mystérieux ? Cette fille qui dégringolait l’escalier pour arriver plus vite, et celui là qui regarde par terre en avançant comme s’il ne savait pas où iraient ses pieds s’il levait le nez ? Ils ne savaient pas. Ils ne voulaient pas savoir. Ils étaient… différents.

La neige, l’eau. Et maintenant, le feu. Serait-ce la même chose ? Tendant la main vers les braises, elle en prit une du bout des doigts. Et la lâcha immédiatement. Sur ses doigts, une marque rouge qui disparut petit à petit. Le feu ne serait pas aussi facile à apprivoiser… Elle le savait, pourtant. N’était-ce pas pour ca qu’elle admirait tellement les talents de Silind ? Lui connaissait le feu, le menait de ses yeux rougeoyants. Elle, elle n’en avait jamais été capable. Elle l’observait, mais c’était toujours les mains de Silind qui replaçait l’objet au bon endroit dans la fournaise. Elle, elle ne savait pas quelle flammèche saurait donner au métal la chaleur recherchée. Elle ne connaissait que les cendres… C’était pour ca, plus que tout, qu’elle avait accepté de devenir son apprentie.

Elle reprit une autre braise. Et la rejeta en secouant sa main, avant d’en reprendre une autre sans prendre la peine de tremper ses doigts dans l’eau.

Ena ne tarda pas à se montrer, montrant un visage d'impassibilité comme à son habitude. Sans crier gare et avec un peu de mise en scène, elle dansa sur les braises, jouant avec le feu et la chaleur, comme quand elle dansait avec la neige, une situation toute fois différente car ce n'était plus le froid qui mordait ses pieds mais une chaleur étouffante. Pour finir elle prit dans sa paume une braise encore rouge pour refermer ses long doigts dessus.

Pourquoi les braises brûlent-elles?

Elera ne répondit pas son silence signifant une réponse parfaitement compréhensible pour tous, mais Khelia aimait dire les mots même si elle savait depuis peu qu'elle ne devait pas les gaspiller.

-Les braises ne brule pas, dame Ena, ce sont nos perceptions qui nous font croire qu'elle brûle.

Elle fit ensuite comme Elera prenant une braises dans sa main, elle laissa tomber la petite étincelle aussitot, la douleur l'avait surprise, elle ne pensait pas que cela serait si chaud. Elle en prit une autre et la fit bouger partout sur sa main pour que la douleur n'ai pas le temps de l'atteindre, elle joua avec la roche une dizaine de seconde avant que ses perceptions reviennent et que son cerveau associa les marques rouges aux brulures du feu. Tout en sachant que si elle touchait une surface froide le douleur n'en serrait que plus vive, elle prit une autre braises et s'amusa à l'acompagner ses les lignes de sa paume, elle réussit à les accompagner tous avant que la douleur repis de plus belle.

(dsl du long retard mais mon inspi était complétement à séche et il a du mal à rependre du poil de la bête.)

Les mots de Khelia sonnèrent doucement devant elle. Elle regarda son apprentie, les yeux éclairés par les braises. La jeune Felixia avait beaucoup appris, depuis son arrivée. Elle avait immensément grandi de l'intérieur, elle avait avalé la vie et la voie marchombre. Elle la regarda saisir des braisons entre ses doigts, et tenter d'oublier les perceptions que son corps se préparait par avance à ressentir. Elera se brûlait juste à coté d'elle, les yeux fixés sur les charbons. La jeune femme regarda Khelia et, hochant la tête pour approuver sa réponse, dit d'une voix froide.

- Elles brûlent parce que nous le voulons bien.

Elle s'arrêta, suivit un instant des yeux leurs manèges, puis reprit.

- Votre esprit s'est déja préparé à réagir à la brulûre causée par la braise avant même que ne vous soit venue l'idée de les toucher, à votre arrivée.

Un court silence.

- La braise ne vous appartient pas, laissez là vous brûler puisque tel est son désir. Elle ne brûlera jamais que votre peau, et cela importe peu. Laissez-la réchauffer votre esprit.

Elle se tut, se baissa et avança la main sur les rougeoiements irréguliers. Elle caressa quelques charbons brûlants, avant d'en saisir un qu'elle fit tourner entre ses doigts. Elle se releva, les yeux fixés sur le braison, illuminés et profonds. Elle joua un instant puis laissa l'éclat glisser au creux de sa main et s'immobiliser. Lorsqu'il menaça de s'éteindre, elle souffla dessus pour le raviver.

- Redonnez-lui sa vie, Insuflez-lui des flammes.

[ Khelia, Elera ne va pas réussir aujourd’hui, donc n’attends pas que je le fasse pour marcher sur le feu =p ]

Deux réponses différentes, deux réponses dont aucune n’était vraiment fausse. Mais pas tout à fait vraies non plus… ‘Elles ne brûlent pas’, avait dit Khelia. Pourtant, Elera sentait parfaitement la douleur sur sa main. Elles brûlaient, ce n’était pas une impression… ou plutôt si, la douleur était une impression, mais une impression réelle. Tant qu’à le vouloir… encore une belle réponse, mais Elera n’avait aucune envie de se retrouver avec une main écarlate, et pourtant, c’était bien le cas. Elle ne contrôlait pas le feu, elle ne pouvait pas l’empêcher de lui ronger la peau. Les braises brûlaient parce qu’elles voulaient brûler.

Instant de surprise aux paroles suivantes du maître qui venaient de rejoindre les dernières pensées de l’apprentie. Elles veulent brûler, alors laissez-les faire… Non, Elera ne comprenait pas. Elle essaya bien de prendre une braise dans le creux de sa paume, de la laisser là sans la rejeter au loin, d’accepter la douleur… mais comment pouvait-elle alors qu’elle vrillait sa main, que la fumée s’élevait ? Ena disait que ce n’était pas grave, mais elle n’avait pas la moindre marque… et combien étaient morts par le feu ? Non, Ena devait vouloir dire autre chose par ses mots… Autre chose qui restait obstinément dissimulé dans les ombres. Réchauffez son esprit ? C’était plutôt un gémissement que les braises lui apportaient. Elera plongea sa main dans l’eau, heureuse de son flot froid et apaisant. L’eau, au moins, ne la mordrait jamais. Elle connaissait ses courants, les suivait, les caressait, les devenait. Mais le feu… ? Avait-il un courant, lui aussi ? A voir les charbons qui crépitaient immobiles, une lueur en leur cœur, elle pouvait facilement l’imaginer, mais alors il était bien différent… Elle attisa lentement les braises, mais comprendre leur souffle de vie ne semblait pas annuler leur nature. Elles brûlaient. Et Elera n’arrivait pas à l’accepter. Ena avait raison. Elle s’était préparée à réagir à la brûlure dès le début. Et puisque les braises brûlaient, qu’elles l’avaient toujours brûlées, c’était logique, non ?

*Le marchombre n’est pas logique. Il se joue de la force des éléments, puis les dépasse…*

Une phrase qui n’était pas vraiment la sienne jaillissant soudain dans sa tête. Sans aider le moindre du monde ses pauvres doigts meurtris. Retour à la case eau-et-en-vitesse.

Les paupières immobiles, figées, recouvrant délicatement les yeux obsidienne de la jeune femme. Tendrement, la chaleur, la douce homélie des braise l'encadrèrent, caressèrent sa peau, sensuelles, légères. Les volutes chaudes glissaient dans son cou, le long de sa nuque, lui arrachant un frisson. Elle suivait les gestes de ses deux apprenties. Elera, le visage crispé par la douleur. Khelia, lentement, se fondant dans la nature profonde des braises, dans leur façon d'être. La marchombre rouvrit les yeux, brièvement, lançant un regard à la jeune Felixia. Elle s'avança lentement et posa ses pieds sur l'étendue de braises. Instantanément, vives et comme mus par une colère inhumaine, les braises s'acharnèrent contre sa peau. Irascibles, ces petites...

Le soleil baignait tranquillement la cour, devant elle. Silind, le visage luisant, les mains fermes se posant délicatement sur une pièce longue et fine, travaillait comme s'il n'existait pas d'autre dimension à son univers. Uniquement du métal incandescent et des éclats étincelants. Peut-être son monde se réduisait-il à cela, un monde de lumières afriolantes dansant devant ses yeux. Un bref instant, la Maître Marchombre l'envia. Mais le monde de Silind s'étendait au delà de la forge...L'image de Celëbrian se dessina un instant dans son esprit, avant qu'elle ne la chasse, brutalement. Elle n'était pas ici pour cela. D'une voix égale, elle murmura à Elera:

- Danse avec elle...

Elle se baissa et saisit un braison délicatement entre ses doigts, dans un geste juste assez lent pour que Khelia puisse réagir, elle la lui envoya. Sans attendre la réaction de la jeune fille, elle recula, sentant le sol de ciment froid, subitement trop dure, trop rêches sous ses pieds. Ses deux apprenties seraient bientôt des oiseaux. Des marchombres. A elles de se débrouiller. Elle contourna la plaque et s'éclipsa en silence. Elle reviendrait plus tard afin de débarasser l'endroit. Pour le moment, laisser aux deux jeunes femmes le temps d'apprendre...

[Désolée de couper ainsi court à la fin du cours - Wa, le jeu de mot foireux >< -, mais d'abord, le cours s'éternise, et ensuite, il faut que je termine mes sujets...Dites-moi si vous souhaitez répondre ou non^^]