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 Syliane Demester

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MessageSujet: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 11 Oct 2008 - 15:02

Description générale

- Nom : Demester

- Prénom : Syliane, nommée Sylie

- Race : Humaine

- Age : 24 ans

- Alignement : Neutre bon

- Orientation : Domaine equestre, palefrenière

Description physique et mentale

- Description physique : Elle des cheveux plutôt long, d’un brun sauvage, et des yeux couleurs noisettes aux reflets dorés. Elle est assez grande et correctement musclée, mais ce n’est pas non plus un titan. Elle a des lèvres et des sourcils fins.
Sa peau est plutôt claire mais pas pâle. Elle s’habille d’habitude d’une tunique verte en soie brodée, d’une simple jupe mi-longue en coton blanc et de chaussons en satin bleus. Dans son travail ou dans les rues, elle préfère mettre une chemise et un pantalon en toile avec des bottes en cuir marron, voir un gilet en laine marron en dehors.
Elle a une allure simple et n'a sûrement pas la tenue d'un noble d'Al-Jeit, mais elle se tient tout de même correctement. Ses épaules ne sont pas très large, mais elle a quand même assez de force. Elle ne court pas très vite et est plutôt endurante.
Syliane sourit beaucoup, et cela se voit sur son visage. Habile et énergique, elle sait toujours que faire de ses mains et on la voit rarement immobile.

- Description du caractère : Syliane a un tempérament assez fougueux, et n’est pas du genre à se laisser faire. Comme elle s’emporte facilement, elle préfère rester un peu éloignée des autres.Étant quelqu'un d’assez indépendant, être seule ne la dérange pas, et elle a donc tendance à paraître solitaire, même dans son travail. En fait, la seule situation dans laquelle elle ne s’énerve pas tout le temps, c’est lorsqu’elle est avec les chevaux. Elle ne songe même pas à râler ou à s’emporter ; elle est tout à fait sereine en leur présence.
Elle ne fait donc pas très attention aux gents qui l’entourent, en dehors de ses supérieurs. Au fond, elle est râleuse mais pas méchante, et elle peut être d’une excellente compagnie, si elle n’est pas dérangé ; elle devient parfois même bavarde et enjoué.

- Principale défaut : Son caractère, qui peut la faire passer pour une fille asociale et teigneuse.

- Principale qualité : Ce même caractère ; son impétuosité l’aide parfois à se démarquer parmi les autres, même involontairement.

- Particularité : Syliane a une attirance singulière pour les chevaux. C’est pourquoi, malgré la possibilité évidente de devenir élève à l’Académie de Merwin, elle préféra ignorer royalement son don pour le dessin, pourtant assez bien développé, pour se consacrer entièrement à sa passion.


Vécu et histoire sociale

- Situation familiale : Son père, Silgan, est mort quand elle avait cinq ans. Sa mère, quand à elle, a disparue alors qu’elle avait douze ans ; elle se nommait Aidail. Elle fut donc en grande partie éduquée par sa tante, Siane. Syliane n’a pas de frères ou de sœurs, en dehors de son cousin qu’elle considère comme son frère, et, en dehors de sa tante et de son cousin, elle ne connaît pas les autres branches de sa famille, tombées dans l’oubli depuis bien longtemps.

- Situation sociale : Il s’agit d’une simple orpheline, au statut peu élevé dans la société, qui espère être engagée comme palefrenière à l’Académie de Merwin.

- Histoire : Syliane est née dans les plateaux qui se trouvent au dessus de Feriane. Elle a vécue ses cinq premières année dans le petit élevage de ses parents, entouré d’un minuscule village de plaines. Mais lors de la grande vague Raï, le hameau fut attaqué et brûlé…

La porte de la grange claqua et la fillette entendit la voix si familière lancer :
- Sylie ! Sylie, tu es là !?

Sans répondre, l’enfant tenta de se lever mais ses jambes se dérobèrent et elle s’étala dans la paille. Les pas précipités de sa mère lui signifièrent qu’on l’avait repéré. Sans qu’elle puisse réagir, des mains fermes la saisir et la remirent sur ses jambes tremblantes.
- Ne t’inquiètes pas, mon ange ; c’est finit, tout ira bien.

Aidail l’empoigna sous les épaules et la serra contre elle en tentant d’ignorer les larmes qui coulaient sur les joues de la fillette. Puis elle s’élança vers la porte. En quelques secondes elle fut dehors, pour se retrouver devant un véritable carnage. Les villageois criaient et courraient en tous sens dans un chaos digne d’une guerre qui tourne à la débandade. Quelques corps juchaient la terre mais la fumée évitait une vision trop claire de ces cadavres sanglants. Cette fumée épaisse qui emplissait les narines de Sylie et lui donnait la tête lourde provenait de la grande bâtisse au centre même du village. Elle le savait, car elle l’avait clairement vu, malgré sa mère qui tentait de lui cacher cette vision effrayante. Oui, elle l’avait bien vu, cette maison de son enfance qui semblait être dévorée par un monstre sans nom. Un monstre brûlant et rougeoyant. Elle n’aurait su dire exactement de quoi il s’agissait, mais elle s’était déjà promit, tout au fond de son cœur d’enfant, de toujours craindre cette chose. Cette chose qui avait englouti son père, et qui lentement s’emparait des autres maisons du village.
- Sylie ? Sylie, regardes-moi !

La fillette s’arracha à ses pensées funestes pour tourner tant bien que mal son attention vers sa mère. Pour cela, elle du battre un moment des paupières, la poussière s’étant accumulée sous ses cils immobiles.
- Écoutes, Sylie. Maintenant, nous allons partir. Tu comprends ? Partir. Pour toujours.
- Pour toujours ? , répéta bêtement l’enfant.

- Pour toujours.
Elles restèrent un moment toutes deux silencieuses, comme pour assimiler la chose. Elles étaient cachées dans une ruelle sombre où un silence effrayant régnait ; les cris des raïs et des villageois traqués avaient cessé et le seul bruit subsistant venait du feu qui faisait craquer les poutres des maisons. Soudain, pour la plus grande incompréhension de Sylie, Aidail fondit en larme. Cette mère, qu’elle avait connu si solide et si sûre d’elle, semblait tout à coup perdre tous ses moyens. Sylie ne comprenait pas. Et elle ne voulait pas comprendre. Elle voulait retourner se rouler dans la paille pour oublier tout ça. Elle voulait effacer les hurlements de terreur qui l’avaient tiré du sommeil. Sa mère et son père qui l’avaient caché dans la grange.
Mais seule sa mère était revenue la chercher. Cela, elle l’avait comprit. Elle avait comprit que son père aussi était parti pour toujours, mais seul.
- Maintenant, allons-nous en.
Aidail avait cessé de pleurer, mais les larmes avaient tracé deux fins sillons sur ses joues, ce qui troublait très particulièrement Sylie. La fillette hocha la tête, trop perturbée pour réagir plus. Et elles s’en allèrent.
Aidail couru un moment dans les rues silencieuses en portant difficilement Sylie. Quand elles eurent atteints l’unique écurie encore debout, elle posa doucement l’enfant devant la porte et lui prit la main. Elles entrèrent.
Il s’agissait d’un tout petit bâtiment, constitué d’une unique allée où quelques chevaux s’entassaient. Aidail lâcha la main de Sylie et prépara en vitesse un petit cheval bai aux membres robustes. Elle le sortit de la stalle et fit signe à l’enfant de s’approcher.
Sylie avança de quelques pas hésitants, sans comprendre ce que sa mère voulait. Malgré qu’elle est grandit au milieu des chevaux, elle n’en avait elle-même jamais monté, chose étonnante, et était un peu surprise que sa mère veuille utiliser un tel moyen de transport. La fillette ne se doutait pas que les chevaux étaient la meilleure façon de voyager dans l’Empire de Gwendalavir. D’ailleurs, elle savait à peine que sa terre natale se nommait Gwendalavir. Alors qu’elle se trouvait à quelques pas du cheval, sa mère l’empoigna soudain par la taille et la déposa sans douceur sur les épaules de la monture. L’animal rechigna très légèrement mais ne tenta pas de baisser la tête pour faire tomber l’enfant, au grand soulagement de celle-ci. Aidail fit passer tant bien que mal le cheval par la porte puis grimpa derrière sa fille. Syliane restait pétrifiée sur les épaules du petit cheval, serrant de toutes ses forces les genoux. D’un claquement de langue, la mère fit partir l’animal au galop. Surpris, celui-ci obtempéra pourtant ; il s’élança dans les petites rues désordonnées du hameau, passant entre les corps et les blessés gémissants. Aidail fermait les yeux sur tout ce chaos. Ce fut sûrement pour cela que Syliane en voulue à sa mère par la suite ; cet espèce d’égoïsme, du à la peur. Aidail ne jeta pas le moindre coup d’œil aux hommes survivants, et tenta d’ignorer les gémissements des mourants, qui lui écorchaient les oreilles. Cette nuit là - car il s’agissait bien d’une nuit - la mère de Syliane due faire preuve de tout son courage pour rester indifférente aux appels désespérés des villageois, un courage qui la ferait ensuite trembler de honte, car elle s’apercevrait rapidement que seul sa vie et celle de sa fille avait compté à ses yeux.
La fillette, quand à elle, avait fait disparaître de sa vision ces horreurs que son esprit fragile ne parvenait pas à accepter. Les bras serrés sur sa poitrine, elle gardait les yeux fixés sur l’encolure du cheval, comme hypnotisée par le balancement régulier de la bête. Auparavant pétrifiée de peur, elle commençait pourtant à se détendre. Bientôt, elle délia ses bras et plongea les mains dans la crinière rêche et épaisse du cheval. Rassurée par ce contact à la voix rude et confortable, elle resta ainsi un moment, avant de desserrer doucement les jambes. Quand elle releva lentement le menton, elle s’aperçue qu’elles étaient sortis du village et qu’Aidail avait passé une main affectueuse autour d’elle. Sans vouloir se l’avouer, Syliane constata avec effarement qu’elle préférait de loin le contact avec l’animal que celui que la main crispée de sa mère lui apportait. Elle se garda bien de repousser le bras maternelle et, au contraire, se laissa aller un peu plus sur les épaules de la bête, tout en resserrant sa prise sur les crins de l’animal.
Elle n’y pouvait rien. Elle avait adopté la bête. La bête l’avait adopté. Le cheval avait été le seul à la couper de la terreur et de l’incompréhension environnante. Il avait été le seul à rester calme, comme si les évènements ne l’atteindaient absolument pas. Et, à son coté, Syliane n’avait pas été atteinte. Maintenant, elle savait qui serait son compagnon de toujours. Ce n’était pas inscris dans son sang ni dans son entourage. C’était inscrit dans son cœur et dans son destin.


Elles allèrent donc jusqu’à Al-Jeit, où Aidail retrouva sa sœur, une dessinatrice d’âge moyen nommée Siane. Siane avait un jeune fils, Danaé, qui se lia rapidement d’amitié avec Syliane, ayant à peu près le même âge. Le père de Danaé était mort peu avant l’arrivée de Sylie et de sa mère, pris comme cible par un groupe de coupe-jarrets.
Aidail commença alors à délaisser sa fille. Détruite par la mort de son mari, elle se réfugia dans la boisson et dans une relation douteuse avec marchombre, ce qui lui coûta par la suite la vie.
Ce fut donc Siane qui s’occupa de l’éducation de sa nièce. La petite fille grandit à son coté et finit par la considérer comme sa mère, la sienne ayant disparue depuis un moment. Siane, désolée par la chute de sa sœur, ne pouvait pourtant rien y faire ; elle se contenta donc de ramasser les miettes en s’occupant de Syliane comme s’il s’agissait de sa propre fille ; elle eut donc deux enfants, Siane et Danaé, qui s’entendait à merveille et devinrent bientôt tels que s’ils avaient vraiment été frère et sœur. Alors que Siane avait dix-sept ans et son cousin dix-huit, Danaé partit faire ses études de dessinateur à l’Académie de Merwin, pour le plus grand regret de Sylie. Ils continuèrent à se voir autant que possible, mais forcément moins qu’avant. À ses propres dix-huit ans, Syliane faillit elle-même entrer à l’Académie. Sa mère adoptive le souhaitait, mais la jeune fille ne voulait pas le lancer là-dedans. Elle considérait le dessin comme utile, mais là s’arrêtait son avis sur la chose. Siane ne l’y força pas, étant une femme tolérante, et lui permis de choisir sa carrière. Alors, Syliane parvint à se faire engager comme palefrenière dans un vieil établissement qui vendait des chevaux. Elle y resta près de trois ans, apprenant le métier tout en gagnant de l’argent. Pourtant, elle continua à habiter avec sa tante, ayant peu confiance en le monde extérieur. Quand elle eue vingt-deux ans, elle décida de laisser tomber son emploi de groom et tenta de se faire engager ailleurs. Mais il y’avait peu d’élevages dans la région autour de la capitale, et encore moins dans la capitale elle-même. Un jour, alors qu’elle avait la joie de revoir Danaé, celui-ci évoqua un poste libre de palefrenier à l’Académie de Merwin. Intéressée, Syliane se renseigna un peu plus à ce sujet et se rendit compte que, en effet, l’Académie proposait cet emploi. Bien heureuse de pouvoir se rapprocher de son frère, elle se jeta sur l’occasion et déposa sa candidature au poste de palefrenière.


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Jehan Hil' Jildwin
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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 14:26

Bonjour et Bienvenue sur l'Académie de Merwyn, Syliane !

C'est une bonne fiche de présentation que voilà, j'aurais malgré tout quelques petites remarques à faire Smile

Tout d'abord, peux-tu nous indiquer ton orientation souhaitée, dans " Description générale " ? What a Face Parce qu'il n'y est pas^^

De plus, il te faudra un peu étoffer la description physique de ton personnage, tu n'as pas dix lignes sur mon écran Rolling Eyes

En dehors de cela, je n'ai rien d'autre à te dire, bonne petite édition, et ensuite tu pourras aller postuler pour être répartie ^^
Ah, j'oubliais, nous avons déjà quelqu'un qui se présente comme palefrenière, il faudra peut-être changer ?

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 14:37

D'accord, je vais m'en occuper, pour la description et l'orientation.
Au fait, j'ai vu un "s" à "palefrenier", dans les postes libres ; j'avais bien vu que quelqun y avait postulé, mais n'est-ce pas possible qu'il y'en ai plus d'un ?

Jehan Hil' Jildwin
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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 14:41

Ca il faudra que tu voies avec la personne en question, soit Kusanagi Sil' Masamune ( si je ne me trompe dans l'orthographe du nom uu' ) M'enfin tu dois bien pouvoir t'occuper d'autre chose aussi, non ?

PS : j'avais oublié, mais trouve-toi un avatar rapidement Wink

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 14:56

Oui, je cherche, pour l'avatar ^^
Pour l'idée de m'occuper d'autre-chose, ça me pose un léger soucis : j'ai pas énormément d'inspiration pour le reste des postes et être élève ne m'intéresse pas du tout. Et puis je suis assez fada des chevaux...

Jehan Hil' Jildwin
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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 18:52

Dans ce cas, envoie un Mp à Kusanagi, et arrangez-vous, puis préviens-moi que je puisse te valider monkey

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeMer 22 Oct 2008 - 17:01

J'ai tenté de rallonger la description, mais je vais devoir faire un peu plus Neutral
Pour l'orientation, je n'était pas sûre ; c'est bon, comme ça ?

Elera
Elera

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeJeu 30 Oct 2008 - 23:25

Oui, c'est la bonne orientation^^ Est-ce que tu t'es deja arrangee avec Kusanagi, pour etre son assistante ou autre? Si oui tu es validee^^

Invité
Anonymous

Invité

MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeMar 4 Nov 2008 - 16:56

En effet, je l'ai contacter par mp et elle est d'accord ^^

Vivyan Ril' Lake
Vivyan Ril' Lake

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeMer 26 Nov 2008 - 21:00

Fiche validée.

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitimeSam 29 Nov 2008 - 22:55

Merci merci ^^

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MessageSujet: Re: Syliane Demester   Syliane Demester Icon_minitime



 
Syliane Demester
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