Sombre rencontre (RP terminé)

Aroy était tout sauf calme, il avait une rencontre avec un mercenaire du chaos et ses guerriers ne pensait qu'a franchir les montagnes pour passez à l'attaque sans plus tarder. Il avait du mal à retenir leur haine effrainer mais cela n'en était plus jubilant à ses yeux. Il trouvait que le moment de la vengance tardait, que le cris des raï ne résonnait pas assez, il voulait sa vengence maintenant. Mais avant tout il devait attendre ce mercenaire dans une grotte qui était du coté du pays raï, pour plus de sécurité, il devait venir seul, car les instints meurtrier de ses compagnons pourrait prendre le dessus à un moment crucial. Un chose était sur, les raï n'amait pas attendre.

Il franchit donc le seuil de la grotte seul, la rage au dent et l'oeil percant, il faisait confiance au mercenaire pour attaquer l'académie, mais pas pour leur lieu de rendez-vous. Un monstre pourrait se cacher là sans que personne n'en sache rien, et Aroy était en première ligne. Après s'être assurer que personne ne viendrait troubler la conversation qui s'en suiverait, il attendit debout dans le noir que la personne concerner arrive. Il s'était vu une seule et unique fois, mais il n'avait pas oublier les promesse faite, détruire l'académie et les humains. Etendre le royaume raï, assouvir leur soif de sang, rêgner sur les misérable vermisseau et larves de Gwendalavir.

*C'est pas vrai, il faut toujours que c'est humain ne soit pas là, en retard et encore en retard, pas pire que des trodds*

Aroy devenait de plus en plus impatient quand un bruit ce fit entendre et il vit la silouhette de la personne qu'il l'attendait, et de sa voix rocailleuse et caverneuse, il demanda.

-Quand est ce que le sang de nos ennemis seront sur nos lames? Quand sentirons nous leur chair sous nos lances et nos épées, quand attaquerons nous les alavériens? Quand ce fils de Merwyn sera tuer de nos mains?

[je suis vraiment désolée pour le retard... Flémingite quand tu nous tiens.. uu' Si quoi que ce soit, MP ou MSN ]

Les raïs détestaient attendre. Et Dolohov prenait toujours un malin plaisir -probablement digne des divas et de son sang- à retarder un maximum sa venue.
L'idée même de discuter avec l'un de ces cochons purrulents était une torture pour un être aussi précieux et raffiné que pouvait l'être le puissant mentaï, malheureusement décidé à pactiser plus que jamais avec la sous-espèce.

Il fallait bien admettre que pactiser avec ces créatures avait des avantages non-négligeables, le premier étant le nombre.
Personne en Gwendalavir, pas même son ancien maître, n'aurait pu estimer correctement le nombre de Raï réellement présent dans leur royaume.
Pour chaque cochon tombé, il semblait qu'une dizaine de guerriers prenaient la relève, tous semblant avoir le même âge, la même rage, la même force affolante.
Où se cachaient les femelles cochons, les porcinets, où étaient les faiblesses de ce peuple, si l'on exceptait cette impatience, et la soif de sang combinée à la petitesse de leur cerveau?
Ils étaient une arme de destruction massive.
Puissante, et utilisable en durée...

Quand on voyait le temps que les maîtres Mercenaires noirs prenaient pour former la fine fleur de leur guilde, il était bien nécessaire de prévoir un gros des troupes pour affaiblir l'ennemi. Dussent-ils sentir le rat crevé et risquer de se retourner contre vous en plein combat.

La grotte était depuis longtemps le lieu de réunion où Humain machiavélique et Raï surdoués se rencontraient. L'auteur de souffre et de moisi qui en émanait avait le don de repousser les créatures curieuses qui se seraient approchée. La couverture était parfaite.

La première réplique du porc siffla, apportant son lot de pestilence, et surtout un sentiment d'agacement au noble humain. Celui-ci s'avança à peine dans la caverne, assez pour ne pas être vu, assez peu pour préserver son identité à la créature. Passant dans les spires avec vélocité, il constata qu'aucun dessinateur ne se trouvait à portée, et retint un sourire amusé.

- Comment vous en privez ne serait-ce qu'une semaine de plus? , sussura-t-il avec ironie. Dès demain, à la nuit tombée, profitez du brouillard et attaquez. Je te laisse le choix du nombre, tu connais tes... enfin tes raïs mieux que moi. Répétez les assauts, à intervalles irréguliers, avec un nombre variable de soldat, et en attaquant chaque fois d'une manière différente. Ses fils de chiens qui vivent à l'académie de Merwyn ont encore la chair tendre, et le sang qui court dans leur veine a la puissance de la jeunesse. Quoiqu'il arrive, sonne la retraite avant l'aube, et retirez-vous dans vos cachettes. J'ose espérer que tu as bien ordonné à ton armée d'espionner. Je veux un rapport de chaque bataille, consigné ici par toi-même. Chaque faille de leur système doit être découverte. Ainsi, à l'hiver prochain je te promets la bataille de ta vie, mon ami, et l'asservissement de ceux qui ont restreint les conquêtes de ton peuple. Notre marché sera honnoré dans le sang. As-tu des questions avant de passer à l'action?

Aroy n'aimait pas le ton ironique du mercenaire, celui-ci était suffisament près pour voit ses contours mas son visage demeurait flou et sombre, mais cette petite précaution n'écranlait rien dans Aroy, il ne voulait qu'une chose, tuer autand de monde que possible. Son odeur persistante et malhodorante emplissait toute la grotte, mélangée mantenant au soufre, une odeur de sang séchée et de sueur formait un parfum peu ragoutant qui aurait pu tuer un siffleur en furit.

Le discour du mercenaire ravi Aroy, sa vengance le lendemain soir, attaque répétée, variable, bien que cela n'a jamais été le fort des guerriers cochon. Une seule chose le narguait la retraite avant l'aube, une chose insensée pour lui mais qu'il savait crucial pour le plan, ensuite il devait retenir le rapport après chaque bataille, une chose insensée dans son peuple, la seule chose qu'ils disaient en rentrant d'un combat c'était le nombre de pillage et de mort, mais c'était une régle à respecter et même si il ne supportait pas cela, il devait le faire, pour que leur vengance soit totale.

As-tu des questions avant de passer à l'action?

-Une seule, est ce que vous respecterez la part du marché? Est ce que vous vous souvenez que vous ne devez pas intervenir dans la bataille? Vous ne ferez comme la dernière fois, vous ne viendrez pas dans cette bataille juste pour votre plaisir?

Il n'avait pas du tout apprécier ce coup bas dans le dernier assaut fait contre l'académie, ces chiens avait volée leur gibier, ils étaient arriver dans le combat. C'était mélé à leur combat, vaincue des éléves qui aurait pu faire leur trophée et ils avaient sonnée la retraite alors qu'un raï, à part quelque exception restait toujours sur le lieu d'un combat que l'issut soit mauvaise ou non, ils devaient restée pour leur fierté, leur fierté de combattant.

Il attendit la réponse du mercenaire, écumant un peu plus de rage à l'a pensée de cette traitrise, une traitrise qu'il n'appréciait pas, et si il apprenait qui avait manigancer tout cela, il se ferait une joie de décapitée la tête de ce traite.

La question posée par le guerrier pustuleux aurait pu s'appeler le "choc des cultures". Heureusement pour le mentaï, il faisait trop sombre pour que le raï puisse voir le sourire franchement amusé et méprisant qui se dessinait sur les lèvres de Dolohov.
La promesse qu'il n'irait pas risquer sa couverture au milieu d'une boucherie? Ah, ça, c'était un engagement bien dérisoire, et sur lequel il comptait de toutes façons.

-Ne doute pas de moi. Je t'offre la vengeance que tu attends. Je n'engagerais mes propres troupes qu'au moment de la bataille d'hiver, celle qui décimera définitivement la vermine qui vit dans l'établissement. Pour le reste, tant que tu appliques les conditions, je ne me mêlerai en rien de votre... lutte légitime.

Il commença à reculer, signe que leur entretien était terminé, et qu'il respectait le moment où les raïs se rassembleraient probablement pour les rites qui leur étaient propres, et les dernières planifications de bataille. Arrivé au seuil de la caverne, où la pestilence commençait à disparaître au profit des premières fleurs du printemps...

-Une dernière chose, Aroy. Ca tient plus du détail, mais disons qui si tu parviens à accomplir cette... bagatelle, je pourrai te rendre un autre service. Dans cette académie, il y a deux personnes dont il faut particulièrement se méfier. Le premier est un homme, aux oreilles pointues, un bâtard faël, ajouta-t-il, une pointe de malice trouvant son éclat sur ses prunelles grises.Il était de notoriété publique chez tous ceux qui connaissaient un minimum l'espèce Raï que celle-ci haïssait celle des faëls.

-Sa force est redoutable. Mais il lui pend au côté une fiole de cuir, particulière. Il en a une autre dans sa chambre, au cas où vous arriveriez à entrer dans le bâtiment. Dérobe-lui, et amène-la moi ici.
La seconde est une femme. Elle dessine comme un raï sème la mort. Elle a des airs hautains de grande dame, et une épée batarde sur le dos. N'oublie pas d'utiliser un gommeur pour éviter qu'elle prenne un avantage trop considérable. Ceci est seulement un conseil. A bientôt...