Calme et sérénité (RP inachevé)

-Quel magnifique jardin ! la richesse luxuriante de ces fleurs emplit mon coeur de bonheur.
Il marche, flânant, se penche et ceuille une fleur, l'hume, et la détaille
Je sens que je vais me plaire ici. Ce lieu est prompt à la poésie (soyez indulgents, c'est de l'improvisation)

-Oh jardins parfumés ,
Vous emplissez mon âme de senteurs,
Violentes, capiteuses et exaltées,
Ou douces, légères, et pleines de candeur.

Toi, la rose matinale,
Tu est délicatesse faite fleur,
Dominant les fresques florales,
Rouge écarlate à toute heure.

Et vous autres, mes demoiselles,
Violettes, jasmin, et muguet,
Fraiches et pures jouvencelles,
Des jardins parfumés.

(alors ? lol)
il s'assoit sur un banc et "rêve"

Aridna revenait de l'infirmerie, l'air abattu. Elle venait d'apprendre que Arya n'était plus de service à l'académie. La nouvelle l'avait attristé. Elle venait de perdre une amie et une collègue de travail.

*Ce qui veut dire plus de boulot à l'infirmerie.*

La femme marchait sans se presser vers les jardins, le seul endroit qui pouvait lui redonner le moral. Elle poussa la porte qui gardait jaloussement ce petit paradis. Dès qu'elle franchit le seuil de l'endroit, un doux parfum ennivrant vint effleurer ses narines. Aucun décord n'aurait être plus magnifique. Aridna avanca ver le centre des jardins. Elle attendit bientôt les son de la fontaine. Il luisemblait que cela faisait des années qu'elle n'avait pas mit le pied dans cet endroit. La rêveuse ferma les yeux quelques secondes. Elle se concentra sur les bruits que la nature lui offrait. Les chant des oiseaux vint se joindre à celui de la cascade et du vent dans les feuilles. Une bourasque de vent vint faire onduler sa longue chevelure. En ce jour de printemps, Aridna avait revêtu un petit manteau pour se protéger du froid. Bien que ce fut le printemps, le vent était encore chargé de la fraîcheur de l'hiver. Il restait encore quelques amas de neige, mais quelques fleurs avaient déjà commencé à pousser. D'autres affichaient fièrement leurs pétales déjà ouvertes. Aridna marchait quand elle vit qu'elle n'était pas la seule à avoir eu l'idée de venir se ballader en ces lieux. Sur un banc, à trois mètre d'elle, un homme semblait dormir. La rêveuse s'avanca à pas feutrer vers l'homme. Elle vit qu'il tenait une splendide fleur entre ces doigts. Ne voulant pas le réveiller, elle poursuivit son chemin.