Jeu du "trois mots = une phrase"

Bon, bah je trouvais qu'on manquait de jeux par chez nous, donc j'en met un que je trouve bien et que j'ai trouvé sur un autre forum

La régle est de former une phrase avec les trois mots que le posteur précédent aura mis, et d'en mettre trois autres, pour relancer le jeu

par exemple, pour commencer

Chateau-galop-souris

à vous !

Un beau jour, dans un magnifique château, une femme de ménage travaillait tranquillement dans la pièce principale lorsqu'elle apperçu un homme, qui la menacait d'un poignard.
Elle cria et grimpa sur une chaise.
Soudain arriva, sur son fière cheval souris (XD Marlyn) Son sauveur. D'un galop brave et incessant.
Celui qui entra en trombe dans le château pour la sauver.
Celui qui avait risqué sa vie pour la retrouvé morte.

Alors mmmm

Pêche - Bouée - Géant

Dans un jardin, un homme nommé Lawrence-Wylfried-Maurice Liégeois venait pour ceuillir des pêches. Il avait installé un échelle pour être à la bonne hauteur. Il était en train de remplir son panier quand le géant auquel apartenait le jardin arriva, en colère. Il fit tomber l'échelle du jeune homme qui se retrouva noyé dans de la boue.Heureusement, il s'en sortie grâce à une bouée qu'il avait toujours sur lui.
Il reparti chez lui en courant, ne rammenant rien pour le dînner.


Réfléchissons,

Chaussurre-Pastèque-Nain.

drôle d'histoire O_O.

Un jardin magnifique, des fruits à volonté. Tel était le domaine, du maître nain.
Celui-ci sourit. Enfilant ses chaussures, il passa la grande porte en bois dominée par son porche.
Avançant entres les arbres, il cherchait désespérément ce recoin magique où poussait les uniques pastèques du pays.
Il en cueillit une, belle, et s'en retourne la déguster en paix.

Livre - Passion - Accident

La vie. C'est un livre, dans lequel chacun choisit sa fin. Certains lisent ce livre avec passion, d'autres tournent les pages en attendant d'en terminer.
Il arrive que, par accident, une page soit déchirée, un pan de notre vie effacée, mais nous resistons, et nous démenons pour continuer...

alors...
*cherchecherche*

escargot-miroir-balle

Parfois, on voit de drôles de choses dans la nature. Tenez, encore la semaine dernière j'ai vut un escargot en train de se pavaner, fière comme un pan, devant un miroir.(oui,oui, c'était le jour ou je captais la radio Arya...) Et puis encore hier, je l'ai revu, en train de jouer à la balle avec mon chien...

Bon, voila une histoire de fou mais bon, faut bien trouver de l'inspiration...

Alors
( fouille, fouille, fouille...
cherche,ceherche,cherche...
trouve, trouve, trouve...)


Chaussette-Lit-Chocolat.

Un jour, j'étais dans mon lit, après une nuit d'amour. Je repensais à nous. Notre vie tous les deux. L'amour que l'on se porte.
Je te vois arriver, le sourire aux lèvres. Un bon chocolat chaud dans tes mains puissantes. Je te regarde, je m'approche de toi. Nous partageons de nouveau un long baiser. Passioné comme au premier jour.
Elle se leva. S'habilla en douceur, le laissant profiter des formes de son corps. Elle enfila ses chaussettes, ses chassures. Elle le rejoint avant de partir. Elle lui susurra quelques mots à l'oreille. Trois mots en vérité. Trois mots qu'elle regrettaient de ne pas avoir prononcer plus tôt.

(désolée pour l'histoire fallais que les idées Trichelieuses sortent d'une manière ou d'une autre)

Virtuel - Amour - Distance (no comment please)

T'es malade Arya ?????? O_O

rien n'est vrai. Tout n'est que poussière. Tout est virtuel. Virtuelles sont les erreurs de ma vie.Virtuelles sont les distances qui me séparent de toi. Virtuel est la Mort.
Seule une chose, restera à jamais ici. Dans ton coeur. c'est l'amour que je te porte....

( bah quoi ? je m'entraine^^)

vitre-bosse-aïe

Juste une chose entendue avant le choc. Un mot:"Attention!" Et devant moi une vitre. Et un son suivant ces mots "SBAM !!!"
"AÏE !!!!!" Vous saviez que ça peut faire mal une vitre quand on se la prend dans la tête? En plus après ça fait une grosse bosse.
Et maintenant, il ne me retse plus qu'a mettre de la pomade dessus...


(bon, et le pire c'est que ça m'est arrivé l'année dernière...)

Joie-Larmes-Vie

Un être cher perdu. Un temps de réflexion pour se rendre compte qu'il est vraiment parti.
La vie a quitté son corps, son être. Son âme erre désormais autour de moi. Il me manque. Je sais qu'il y a un temps pour se rendre compte de la perte et pour faire le deuil. Mais ce deuil là durera plus longtemps.
Les larmes coulent le long de son visage. Sans jamais s'arrêter.
Pendant des jours, la tristesse fut installée sur son visage. Des cernes entouraient ses beaux yeux clairs. Sa peau était presque blanche et elle était cadavérique.
Même sa propre famille ne l'aurait reconnu. Depuis l'accident, elle ne savait plus quoi faire. Elle se retrouvait seule. Il l'avait abandonné pour toujours. Jamais elle ne le reverrait. Elle serait prête à tout pour le rejoindre. Mais le ciel l'avait emmené. Il l'avait retiré à elle. Il l'avait forcé à quitter son étreinte réconfortante. Il l'avait emprisonné. Elle était maintenant coincée entre sa vie et celle de celui qu'elle aimait et qui, dans un accident horrible, avait quitté ce monde pour toujours.
Un jour, alors que ses larmes coulaient encore. Son couer saignait toujours. Une main réconfortante s'approcha d'elle. Passant doucement le dos sur sa peau douce et blanche. Séchant ses larmes.
Elle leva la tête en douceur. Elle le vit. Il était là.
Etait-elle morte ?
L'avait-elle rejoint ?
Rêvait-elle ?
Non. Il était bien là, en chair et en os. Les larmes coulèrent de plus en plus.
Des larmes de joie. Elle se jeta dans ses bras. Ils échangèrent un regard, un baiser. Leur amour retrouvé.
Désormais ils étaient liés pour l'éternité.

(je fais ma romantique, pour changer tien -_-^^)

Mort - Envie - Enfer

Je dirige mes pas, vers cet endroit solitaire. Vers cet endroit, où maintes fois j'ai dirigé mes pas. Cet endroit sombre, lugubre, qui pourtant est mon domaine. Mon royaume. UN enfer sur terre, pourtant, j'y tiens plus encore qu'à ma vie.
Je caresse ces murs décrépis. J'effleure le papier peint décollé. J'ai froid. C'est une froide journée d'hiver. La neige tombe, blanche, inconsciente du mal qu'elle procure. INconsciente des vies qu'elle ôte.
Cette place est mon toit. Fait de ruines. Il fait froid. Je réajuste mon pardessus usé.
Petit à petit. Sans violence. Le froid me paralyse. Je suis au sol. Mes sens se brouillent.
Je réussis à regarder une dernière fois le ciel, regardant avec envie ces étoiles, quand l'une d'elles veille sur moi. Elle.
Je fais face à toi, sans crainte. Trop longtemps, tu m'as narguée, trop longtemps, tu m'as attaquée.
Tu as de multiples noms. Mais un seul est connu de ce monde. Mort.

trahison-détruit-coeur

Je peux????

C'était comme un gong qui ébranlait ma tête à chaque pas. C'était une confiance frivole, des idées fausses qui s'envolent...Trois mots normaux, calme, sans valeur apparente...mais ces trois mots mis bout à bout formait une trahison. Dure. Cruelle. Lache. Rusée. .C'était juste trois mots qui avaient fait basculer toute une vie, qui avait briser une âme et détruit un coeur...

c'était vraiênt facile...

Ciel - Lune - Ombre

Je regarde le ciel, les yeux brillants. Tu es là, je le sais. Tu n'es plus parmis nous, mais aux milieu des étoiles. LA lune, cette sphère de lumière blanche, éclaire mon visage, baignant mes cheveux d'éclats brillants.
La lumière de la lune est forte. Tout comme est forte l'ombre et la haine qui ronge mon coeur...

Sang-torture-mort

( et oui je suis un peu gore sur les bords )

Il fut un temps où, dans un endroit magnifique connu de moi et de moi seule, je guidais mes pas vers les recoins sombres et solitaires. Ces recoins vers lesquels je m'étais si souvent dirigée pour vivre un moment seule, ou presque. La tristesse était au rendez-vous.
Une douleur intense tiraillait mon corps. Paralysant mes membres, faisant saigner mon coeur.
Je savais que la fin était proche. Je savais que, bientôt, la douceur de la mort m'envelopperait dans ses bras forts et m'emmenerait loin de ceux qui m'ont aidé. Loin des gens que j'ai aimé. Loin de ceux qui ne voulaient pas cette perte.
Il ne me restait que quelques heures. Ces quelques heures, j'aurais du les passer en compagnie des gens qui ne veulent me voir partir. Mais j'ai décidé de les passer seule. Pour leur éviter la vision de mon dernier souffle. La vision d'un dernier espoir de les revoir un jour.
J'offrirais ce dernier instant à la nature de ce bois. Mon dernier souffle serait pour les arbres qui m'entourent. Mon dernier espoir sera sous forme d'un message que, peut-être, quelqu'un retrouvera un jour.
Maintenant, cet endroit magnifique connu de moi seule restera à jamais inconnu. Mes derniers instants. Des instants de souffrance. Des instants de bonheur intense. Mon seul souhait, mourir ici. Loin de gens qui ont tout fait pour me sauver et qui ont échouer.
J'ai mal. Cette maladie aura bientôt raison de moi. Mais, le temps qu'il me reste à vivre sera trop dur. Je veux en finir maintenant. Je veux achever mes souffrances plutôt que de me battre contre une guerre déjà perdue.
Un bras se lève. Un métal brille. Une dernière vision, un dernier mot. Un poignard se plante dans un coeur déjà mort.
Des souffrances horribles s'achèvent dans un dernier espoir.
"Pardon..."

(désolée de vous faire pleurer ^^ nan j'blague)

Montagne - Crevasse - forêt.

Au delà. PLus haut, plus loin. Sans limites.
Plus hautes que les montagnes. UN seul mot, qui pourtant ne veut rien dire, est capable de détruire des vies, d'apporter le bonheur, mais aussi le malheur.
Plus vivant que les forêts. ce mot respire, fait battre un coeur, fait vivre des gens.
Plus profond que les crevasses. Nombreux sont les penseurs qui ont essayé d'en sonder l'âbime. Ce mot n'a pas de fin, car ce mot est un tout...
Je me lève, et prononce ce mot, qui s'échappe au gré du vent, vers l'horizon lointain et brumeur.
Amour...

brume-vie-but

Dans le lointain au pays au delas des montagnes ou règne les brumes, pays glacial et maudit.
J'errais sans but, inconscient, amê damner sans passer, présent , ni futur, condamnée pour l'éternitée.
Partant vers un long voyage, sans détour, vers la fin de ma vie.

neige-détour-éspérence

[i]Je suis dans un lieux qui est connu de moi seule, je n'y ai jamais enmener personne, sauf toi, préférant garder ce coin pour moi, égoïstement.
C'est un lieu fait de neige, qui représente l'éclat de bonheur que j'ai vécu il y a des années, le seul instant de bonheur qui s'est discipé avec ta disparition. Maintenant la seule chose qu'il me reste c'est l'éspérence. Celle de te revoir un jour sans te perdre à nouveau.
A cahque fois que je viens je passe par ce petit détour que j'avais pris avec toi. Mais je m'y suis perdue.
Alors maintenant je pense, ésperant que tu entendra. Je sens la froideur envahir mon corps, je le sens se glacer, geler.
Je doit devenir folle, oui c'est ça. Des hallucinations envahissent mon esprit. J'ai l'impression de te voir, que tu es là, que tu me prends dans tes bras. Mais pourtant, si c'est une hallucination, pourquoi mon corps se réchaffe-t-il? Pourquoi est-ce que je sens ta chaleur, ton souffle sur ma nuque? Je ne reve pas, tu es réellement. Tu as entendut mes prières mais pourtant, j'ai l'impression qu'il est trop tard pour moi.
Au dernier instant, celui de mon dernier souffle, je sens une larme, perle de beauté, cristal de tristesse, atterir sur ma joue. Je sens tes lèvrtes sur les miennes et un mot, le mot sauveur, libérateur. Tu m'as sauvé la vie, avec une l'arme et une phrase...
Je t'aime...[i]


Alors
Lueur-Froid-Vide

Une lueur, dans tes yeux. Un souffle, de tes lèvres. Un battement, de ton coeur. Tu es en train de mourir.
La vie s'échappe, tel un liquide, hors de ton corps. Je laisse échapper une larme, car là où tu vas, je ne puis te suivre.
Tu ne bouge pas. Tes yeux, vides, ont encore le fantôme de ta dernière blague, au fond.
Tes membres sont raides. Ton corps est froid. Lentement, je m'allonge, près de toi. Je ferme les yeux, et ne pense plus à rien. Sauf à toi.

Dans un froide nuit d'hiver, deux personnes ont été retrouvées. Mortes...


noirceur-chaos-besoin

Maître Corbac dans un arbre perché tenait en son bec un saucisson. Maître Lupus, par l'odeur alléché, lui tint à peu près ce langage :

- Maître Corbac, si la noirceur de votre plumage se rapporte au chaos de votre haleine, votre personne aura grand besoin d'un Holywood chewing-gum!

Maître Corbac, par ce discours horrifié , ouvrit le bec stupéfait et le saucisson alors tomba entre les crocs du vil parleur!

- Apprennez maintenant que même un Holywood chewing-gum ne pourrait rien faire pour votre cas, même en en-cas!

Moralité : mieux vaut puer que se faire arnaquer!

(Admirez mon remake de la fable de la La Fontaine!)

cure-dents- Caligula- Tampax (Vous allez vous amuser^^)

OO_OO Valen tout va bien ?
EXPLSDR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

bon, je vais pas faire aussi bien, mais on peut essayer

*est morte de rire et se ramasse sur le sol*
bon alors humhumbroumbroum

Caligula, dans sa grande mansuétude, daigna un jour d'été utiliser son impérial cerveau. Ses serviteurs, ébahis, lui apportèrent les outils dont il avait le royal besoin. Sa femme lui servit de source d'inspiration
Vinrent alors trois jours de travail acharné, durant lesquels Caligula montra toute l'ingéniosité de son sublime cortex.
Ainsi naquit le tampax. lors que les béotiens acclamaient leur divin empereur, un petit être se trouva bien géné. Il avait un morceau de viande entre les dents.
Caligula, dans sa magninime sagesse, eut pitié e se petit être. Il mit en service sa géniale cervelle, et passa une semaine enfermée dans son bureau, à travailler. Ainsi naquit le cure-dent..

bon pas terrible, mais c'est pas simple

Llewch Llenlleag- chaise-bobo

*est encore morte de rire en lisant le tissu de conneries du posteur précédent, pour ne pas le nommer*

Valen ?!?!?!?! t'as fumé quoi ?!?!?!?!?!
Avec Ea (elle est derrière moi) on était totalement écroulées !
T'as des idées des fois. Mais, juste un truc, évite d'appeler ton gosse Caligula.
J'vais essayer :

Un jour d'été ensoleillé, la pluie tombait en rafale contre les murs de pierre vitrée d'un château au troisième étage du rez-de-chaussé d'un immeuble New-Yorkais.
Un grand parc au beau milieu du toit de la maison appartenant au roi Celte Llewch Llenlleag. En l'an 3000. Les chaises au beau milieu des cabinets qui donnaient vue sur une magnifique exposition de poubelles dans la chambre à coucher. Le camion qui passait une fois par heure pour les ramasser donnait bien du souci au roi. Celui-ci devait à chaque fois déplacer sa chaise pour permettre au camion de passer par la porte du première étage donnant sur la rue.
Un jour, il en eut marre. Il décida de déplacer les poubelles pour les mettres dans une autre pièce. La chambre de sa chère et tendre bel môman. Surnommée affectueusement "terminator". Un soir, alors qu'elle dormait, l'aigle empaillé sous son chapeau lui déféqua sur la tête, la réveillant en sursaut et en sueur, ce qui ne changeait pas de d'habitude. Elle commença a crier sur la pauvre bestiole qui, empaillée, n'entendait absolument rien de ce que bel môman disait.
Celle-ci avait enfilé son sublime bonnet de nuit rose et jaune avec des pois verts et bleus. Elle avait eu du mal à fourré son aigle, surnommé affectueusement par ses soins "piafounet", sous ce bonnet légèrement trop petit pour sa tête démesurée.
Elle avait revêtu son pyjama préféré, celui qui représentait le dessin animé qui avait bercé son enfance, les beaux, les grands, les intelligents Teletubies.
Un soir, notre Magnificance Llewch Llenlleag entendit sa chère terminator se réveiller en sursaut dans la pièce du troisième étage, dix étages au dessus de lui. Il pensa gentiment à elle :

*Quoi ?!?! Elle est pas encore crevée ste vieille peau ?!?!*

Bel môman voulut se venger de cette mauvaise blague poubellienne.
Elle resta enfermée trente jours et trente nuits pendant trois mois dans la poubelle, pour que personne ne vienne plus la déranger. Elle réfléchit, du peu de matière grise qu'elle possèda un jour dans le temps.
Un beau jour, une invention révolutionnaire naquit dans le magnifique et grand cerveau de piafounet. Il lui chuchotta à l'oreille, elle sourit, enfin si on pouvait appeler sourire cette moue édentée et étrangement noirâtre. Un jour, elle sortit et monta deux étages plus bas voir son bô fils. Les appartements de celui-ci se trouvaient trois étages plus haut que ses appartements. Ils eurent une longue et cuisante discution. Cuisante surtout pour le gros popotin de notre cher roi.

- C'est quoi que c'est poubeelle qui viennent encombrer mon domaine !

- Mais !! Bel môman !!! Il faut bien un endroit pour que le camion vienne les chercher sans déranger personne ! Et puis, un lit suplémentaire ne te ferait pas de mal !

- C'est vrai, tu as raison. Mais je suis pas d'accord ! Alors tien !

*SBAM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!*

AÏEEEEEEEEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Un gros coup de poêle. Un autre, un autre. Un coup de canne, encore un, un autre. Notre Roi cria à son domestique :

- Lawrence-Wilfried-Maurice-Orson-Caligula-Tarentule-Brendon-Hypolite-Napoléon-Léonard-Sherman-Jean-Robert Liégeois (diminutif -> Jean-Robert, tavernier et majordome) !!!! Va chercher mon fusil de chasse !!! On a un vieil ours vieux et malade, boitant, borgne que même une fourmi pourrait tuer d'une pichenette à abattre !

*SBAM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!*

- CHIURE DE BROMURE DE PICRATE DE CUCURBITACE A PEDALE TU VAS ARRETER OUI !!!!!!

Llewch Llenlleag deuxième du nom descendant de la ligné des Llenlleag, comprenant une génération, princes, rois, ex-rois de l'Allemagne du sud. Territoire situé au nord-est bla bla bla... décida de se rebeller. Il saisi le fusil de chasse et tira... pour se reprendre la balle en pleine poire. Les bourlets qui font flop flop de bel môman terminator avait fait ricocher la balle !!
Ainsi il perdit la vie ! Dans la tristesse et la solitude ! Les pitits bobos de sa vie ne seront réparés que par le camion poubelle, arrivant au bon moment, qui eut raison de bel môman.

(désolée pour toutes les conneries mais là...)

Ventilateur - rouge à lèvres - Mentos

EXPLSDR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
jamais vu autant de conneries en un seul post xD
*se casse la gueule, et arrive pas à se relever*

LE SARKHOTDOG !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Parfaitement, je suis allé passer mes vacances aux Uèsses chez mon copain Georges ; ça vous en Bush un coin, hein ? Qui a dit en plein dans le Blair ? C’est malin, ça.
Mais d’abord, faut que je vous dise: ça m’a rien coûté, enfin je veux dire, ça vous a rien coûté, puisque j’ai tout payé mais ça m’a rien coûté quand même en tant que Président. Parce que, sinon, en tant que citoyen, c’est plutôt chérot. Heureusement que la villa elle est à des copains qui nous ont invités par pur hasard parce qu’ils se trouvent tout à fait par hasard à quatre vingt bornes de la baraque des Bush qui absolument par hasard passent leurs vacances là en même temps que nous, ils avaient même le ventilateur !!Ce que c’est que la chance, tout de même, hein ? Alors pendant qu’on y était, ils nous ont invités comme ça pour une partie de pêche et un barbecue : rien que des hamburgers et des hot-dogs, ça nous a mis l’eau à la Bush, je te dis pas, enfin façon de parler parce que Bush, il a failli se retrouver le bec dans l’eau. Non, pas dans le lac, y sait nager, figure-toi, surtout depuis les inondations à la Nouvelle-Orléans. Bref, ya l’autre crétin, je sais plus qui, Sirop ou Serrau, qu’a cassé sa pipe et il a fallu que je retourne à Paris ; en plus Cécilia, elle a pas voulu faire le Bush-trou, je la comprends, remarque, moi aussi je préfère le trou normand.
Mais bon, on allait pas faire la fine Bush, hein ? Quand je suis revenu on les a bouffés les foutus hot-dogs, assaisonnés de mentos, même que les journalistes y z’ont cru que je m’en étais flanqué un autour de la taille pour aller nager, mais c’était juste mes poignées d’amour. Alors pour pas faire désordre, ils les ont effacées de la photo, on sait jamais, ainsi que le rouge à lévres ; Georges il aurait pu se vexer, d’autant que, comme j’ai dit, on est tous une grande famille. C’est pas le moment que le Bush à oreille vienne tout gâcher. Surtout que lui, pour les oreilles, il est encore mieux que moi : quand il sort la tête par la portière, sa bagnole fait demi tour. Bon, mais dans tout ça, z’aimeriez bien savoir de quoi on a parlé, hein ? Hé bien je vais vous répondre… motus et Bush cousue.



( le gros délire, je pouvais pas résister xD)



bon je propose



.oO°cuillère°Oo. -

°Oo.cache-pot.oO°

- oO°iconoclaste°Oo

Il était une fois, une jeune fille...
Non, un garçon...
Non, pas un garçon, une fille...
Enfin, bref, c'est l'histoire d'un mouton. Il été noir, frisé, avec un grand bec bleu. Il été comme le vilain petit canard... mais ce n'était pas un canard. C'était un mouton...
Le pauvre mouton été seul. Sa mère a été charcutée pendant le comice agricole, son papa avait la vache folle, et son petit frère avait le SIDA. Oui. Protégez vous. C'est important.
Le pauvre frère du mouton, qui s'appelé Jojo le Chimpanzé avait attrapé ça avec son ex parce qu'il avaient pas mis le pr... le pr... le cache pot quoi.
Pauvre chimpanzé. Il est mort de la mucoviscidose... non, c'est le mouton... non, c'est la vache folle... non, c'ets le père !!! enfin bref.

Ce mouton été né avec une cuillère en argent dans la bouche. Mais quand toute sa famille est morte le même jour, a la même heure, dans le même hopital, dans la même chambre, Mouton (appelé le comme vous voulez) s'était approché de l'église et déposé un cierge tout les jours dans l'espoir de mourir, comme Jésus.

Et puis un jour, ce chat... ce MOUTON atterrissa dans une école. Non, sans mauvaises pensé, il se sentait seul au milieu de tout ces mouton de panurge... oui, c'était un mouton de luxe... noir quoi...
Les RACISTES !!!!!! Ils ont INTERDIT les moutons noirs a l'écoles !!!! LES MECHANTS !!!!

Bref, le lapin... le MOUTON retourna a ces occupation, et devena ICONOCLASTE a pleins temps.
C'ets un dur travail vous savez...

Et voila... maintenant, je vais aller me recoucher, parce que franchement... j'ai du un peu trop boire...
Pour le MOUTON, ceux de mon collège, ne pensez pas a une personne que je ne citerais pas... qui aime les maths -_- !

P.S : Ca veux dire quoi iconoclaste ?!!! ^^

Trois autres mots... euh...
-Gluten,
-Parisiens,
-Vodka.

Manger, dormir. Passer d'un lit à un canapé, d'un canapé à un fauteuil, d'un fauteuil au congélateur. Il a remplacé celui-ci par un frigo depuis qu'il s'est trompé et à dormit dedans.
Il va des fois aux toilettes, de temps en temps. Mais son lit lui suffit de ce côté là.
Voilà son quotidien.
Mais aujourd'hui fut un jour exceptionnel pour Lawrence-Wilfried-Maurice-Orson-Caligula-Tarentule-Brendon-Hypolite-Napoléon-Léonard-Sherman-Jean-Robert Liégeois. Ce matin, il s'était levé (naaan ? siiii !!), a prit une douche (t'es sûre ?!?! ouiiii !), à déjeuner de gluten, c'est plus rapide que de faire cuire les pâtes (et ouais, on peut pas tout avoir de premier coup).
Après un baillement long, très long. Il se retint de retourner dans son lit-toilette-garde manger-baignoire-frigo dans le placard de la chambre des toilettes pour piquer un petit roupillon.
Il alla chez les coiffeur (O_o). Il s'est retrouvé nu sans sa touffe de cheveux qui lui sert habituellement de vêtements, de serviettes, de manteaux et accessoirement de papier toilette.
Ce soir il a prit un taxi américain pour une soirée chinoise en plein coeur d'Amsterdam. Il a rencontré un parisien. Il était, ou du moins semblait, très gentil. Mais Lawrence-Wilfried-Maurice-Orson-Caligula-Tarentule-Brendon-Hypolite-Napoléon-Léonard-Sherman-Jean-Robert Liégeois en gardera un très mauvais souvenir. Même si il s'en rappelera pas le lendemain. Totalement bourré, il se retrouva dans son lit, enfin plutôt le lit du parisien. Voilà le fabuleux destin d'Amélie Poulain de Lawrence-Wilfried-Maurice-Orson-Caligula-Tarentule-Brendon-Hypolite-Napoléon-Léonard-Sherman-Jean-Robert Liégeois.
Finir bourré à la Vodka Caramel !!!

Mmmmm alors :

¤pétrolette¤
¤corde à linge¤
¤bifidus actif¤